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Vente à domicile

Floriane Bertin, jeune commerciale dynamique de 22 ans, chez Ticlos, doit rendre visite à deux clients quinquagénaires cet après-midi. Elle doit proposer un devis pour la clôture de la nouvelle propriété, une simple formalité. Ils préfèrent voir la jeune fille physiquement. Allez savoir pourquoi...

Proposée le 13/02/2023 par descollages

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Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman


Vente à domicile

Vente à domicile ----

Floriane Bertin, jeune commerciale dynamique de 22 ans, chez Ticlos, doit rendre visite à deux clients quinquagénaires à leur domicile cet après-midi. S’agissant pour elle, de proposer un devis pour la clôture de la nouvelle propriété, une simple formalité. Ils préfèrent rencontrer la jeune fille physiquement. Allez savoir pourquoi.

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Comme prévu, la petite voiture blanche de la société Ticlos arriva à 16 h 30 précises devant la jolie propriété de Monsieur et Madame Desprez. Ce jour-là, manque de chance, il pleuvait à verse. Floriane ouvrit la portière, qu’elle flanqua bruyamment. Son index appuya fermement sur l’interphone éclairé, un crépitement se fit entendre au bout d’une bonne minute, autant dire une éternité.

– Ah bonjour ! répondit une voix féminine à l’autre bout. Je vous ouvre.

Malheureusement, la jeune fille brune fut obligée de parcourir à pied la grande cour intérieure bitumée d’une centaine de mètres. Essayant de s’abriter avec sa sacoche noire comme elle put ; peine perdue, la pluie redoubla de plus belle.

Pendant ce temps à l’intérieur, Stéphane regardait sa femme, curieusement ravi que le temps soit aussi maussade. Il aurait pu ouvrir le portail, mais volontairement a préféré voir la petite commerciale se faire tremper dehors, sous le déluge automnal.

– Tu es vraiment salaud tout de même ! dit sa femme, un brin hypocrite.

Floriane sonna précipitamment à la porte d’entrée, trois fois de suite, prise de panique. Si ça continue, elle allait finir trempée jusqu’aux os.

Au bout d’une minute interminable, Chantal se décida enfin à ouvrir la grande porte, accueillant la petite brune toute tremblante.

– Nous sommes désolés, la porte automatique du garage a un souci en ce moment. annonça-t-elle, d’une voix mielleuse. Mais rentrez, je vous en pris, il fait tellement bon à l’intérieur, venez vous sécher.

La jeune commerciale ne se fit pas prier. Elle passa le seuil de la porte en essuyant avec insistance ses chaussures ruisselantes sur le paillasson en poils ras.

Stéphane quant à lui, parcourait de haut en bas la jeune fille avec un appétit sans égal. Elle était encore plus belle que sur la photo du site du fabricant de clôtures. De longs cheveux noirs encadraient son visage étincelant de jeunesse. Ses jolies rosées, et son regard vif plurent tout de suite au séducteur insatiable.

Il s’avança vers elle pour lui serrer la main. La poignée de main était franche et énergique, c’est une fille de tempérament qui ne doit pas souvent se faire déstabiliser dans la vie courante se dit-il.

– Nous avons décidé de nous installer dans la cuisine, on sera plus à l’aise. lança Stéphane, de sa voix la plus chaude. Nous n’avons que deux chaises de bar, on va s’arranger ne vous inquiétez pas. Posez votre sacoche sur la table haute.

Encore un piètre mensonge, d’habitude, ils ont toujours quatre chaises assorties, cette fois encore, tout était prévu pour créer une promiscuité exagérée.

Chantal, en femme très affectueuse, invita Floriane à se changer. La malheureuse dû se déshabiller à la hâte dans la salle de bain du rez-de-chaussée. Impossible de faire une vente les cheveux humides, habillée d’un tailleur vert devenu une vraie éponge.

– Je vais vous prêter un pull en laine, un t-shirt, et un legging de sport : ça devrait vous convenir, nous sommes à peu près la même taille, il me semble. dit Chantal, aimable et rassurante.

Au bout d’un quart d’heure, elle réapparut dans la cuisine. Accoutrée comme un dimanche matin, Floriane ne se sentit vraiment pas très bien. Chaussée de pantoufles roses fourrées, elle parcourut la pièce la tête légèrement baissée.

– Vous n'êtes pas mieux au sec ? lança poliment Stéphane, découvrant le splendide décolleté du t-shirt, bâillant à l’extrême, sous le pull en laine au col franchement arrondi.Sans compter ses magnifiques fesses mises en valeur dans le legging flashy.

– Si, merci, répondit-elle, honteuse de cet accoutrement grotesque.

Mais, comme dit souvent son chef de ventes : « le client est roi, ne montrez aucune faiblesse, et surtout, pensez à conclure votre vente impérativement. N’oubliez jamais cela ! ».

Les affaires allaient pouvoir débuter. L’ordinateur portable de la commerciale s’alluma tout doucement. Le fond d’écran de la société Ticlos apparut en quelques secondes, où plusieurs icônes étaient organisées çà et là.

– Viens ma chérie, tu vas t’asseoir sur mes cuisses, on verra ensemble notre projet. dit Stéphane à sa femme, en lui faisant un clin d’oeil.

Juste à côté, la jeune fille brune commença à baratiner pendant une vingtaine de minutes. Elle leur parla de la solidité du produit fabriqué en France, des techniciens à leur écoute en cas de problèmes, et blablabla et blablabla...

Pendant que Floriane jouait avec sa souris pour la simulation sur plan, Stéphane avait entrepris un tout autre jeu. Il pelotait tranquillement la poitrine de sa femme, tout en l’embrassant dans le cou. Puis, il commença à soulever légèrement la jupe de celle-ci pour faire apparaître le haut de ses collants noirs brodés.

– Tu me chatouilles, arrêtes petit voyou ! ricana Chantal. Tu es vraiment un obsédé toi alors ! Évite de faire ça quand on a du monde enfin...

Très proche du couple, Floriane se sentit réellement troublée par les attouchements prononcés de Monsieur Desprez sur son épouse. Elle luttait de toutes ses forces, en essayant de rester concentrer au maximum.

Comme les jeunes filles de son âge, sa petite culotte n'était pas du tout de cet avis. Sa fente devint tout à coup agréablement moite et chaude. Floriane dut décroiser les jambes plusieurs fois pour se calmer un peu.

Voyant ce petit signe évocateur, Stéphane continua de plus belle les petites caresses sur sa femme, qui se sentit presque partir dans cet élan torride.

– Vous croyez que vos seins sont plus gros que les miens ? interrogea-t-elle, en effleurant la petite brune. En tout cas, ils ont l’air plus fermes. Insista-t-elle en soupesant à pleines mains les deux mamelons de Floriane.

– Je, je ne sais pas, vous avez peut-être le même bonnet. répondit-elle au hasard, séduite par les doigts délicats de Madame Desprez devenus plus entreprenants. Pour tout vous dire, je fais du 95 C.

– Oh ! Vous allez me rendre jalouse, et surtout exciter mon mari. dit-elle, en passant une main sur l’entrejambe de Stéphane qui commençait sérieusement à bander. Regardez dans quel état vous me l’avez mis !

– Mais Madame, je suis confuse, vraiment. répondit la petite brune, sur le point d’être désarçonnée, par la tournure des événements inhabituels.

Chantal enleva son petit haut noir, pour dévoiler sa poitrine saillante, complètement nue. Elle n’a pas voulu mettre son soutien-gorge aujourd’hui, c’est signe qu’elle est de très bonne humeur. Stéphane la pelotait de plus belle, tout en fixant droit dans les yeux la pauvre commerciale rougissante.

– J’aimerais bien m’occuper de tes nichons, ça te plairait ! dit-il, sur un ton vicieux à souhait. n'aie pas peur, on est habitué à des plans à trois, tu sais. Ma femme n'est pas jalouse, au contraire ça la fait mouiller comme une fontaine.

Après cette délicieuse confession, Chantal décida de sortir au grand jour l’énorme bite du pantalon de son mari. Dès qu’elle fut sortie, Floriane aperçût le monstre joliment veiné. À s’y méprendre, on eut dit un gros serpent animé de palpitations des plus sauvages.

– Regarde ma chérie comme elle est belle, c’est avec ça que je m’amuse chaque nuit. souffla Chantal, toute fière, commençant à branler l’engin tout doucement de la main gauche. Je vais t’apprendre d’abord à la sucer. C’est un réel délice, et à regarder tes jolies lèvres, je ne voudrais pas dire, mais, ta bouche est faite pour ce genre de pratique.

Devant l’occasion unique qui se présentait à elle, Floriane ne perdit pas une minute. Elle enleva son gros pull laine, puis son t-shirt blanc, et enfin son merveilleux soutien-gorge rouge en dentelle transparente. La magnifique paire de seins fut enfin libérée, pour le plus grand bonheur des deux clients. Stéphane écarquilla les yeux, et admira les formes généreuses terminées par deux tétons pointés vers le ciel.

Chantal invita la jeune fille à s’approcher du membre viril de son mari en pleine érection. Leurs regards se croisèrent, elles ne purent s’empêcher de contempler le membre splendide bandé au maximum, offert comme une gourmandise.

– Attends j’ai l’habitude, regarde bien comme je fais d’accord ? dit Chantal, sur un ton maternel.

Elle s’appliqua tout d’abord à lécher calmement le gland rougeoyant. Puis, fourra une demi-longueur du splendide engin dans sa bouche bien ouverte. Les allées et venues lubrifièrent l’organe, rempli désormais d’une jolie salive luisante.

Floriane prit le relais sans hésiter. Les lèvres douces de la jolie brune sucèrent plus rapidement la bite de Stéphane, heureux de voir cette petite s’occuper de son sexe. D’une main tranquille, il lui dégagea ses longs cheveux noirs, pour mieux contempler les assauts répétés de la bouche sensuelle.

– On dirait que ce n’est pas la première fois, n’est-ce pas ? lança Stéphane, habitué à se faire pomper par des petites jeunes de son genre, trouvées dans des clubs libertins de la région. Je parierai même que tu prends ton pied en me suçant, je me trompe ?

– Et alors gros cochon, tu ne vas pas t’en plaindre ! rétorqua Floriane, un peu essoufflée par l’exercice. Si tu veux, tu peux me l’enfoncer au fond de ma gorge espèce de vieux salaud !

Le quinquagénaire ne perdit pas une seconde, et fit coulisser sa grosse queue jusqu’à la garde. La jeune fille sut trouver la technique pour ne pas perdre son souffle, mais ses jolis yeux marrons commencèrent à larmoyer un peu.

Voyant les qualités admirables de la jeune fille, Chantal sentit qu’il était temps d’aller chercher son jouet fétiche : un caméscope numérique. Elle brûlait d’envie d’immortaliser ce moment si voluptueux.

La voilà partie précipitamment dans le salon, puis elle revint en trottinant. Le voyant rouge s’alluma au bout d’une minute, moteur, ça tourne. Un petit réglage sur le zoom, pas de flou : c’est parfait.

– Aller petite salope continue de le prendre en bouche, je te filme pendant ce temps-là ! murmure la voyeuse, commençant à mouiller terriblement. Où as-tu appris à sucer comme une spécialiste ? C’est peut-être un don de ta maman aussi cochonne que toi ?

Sentant que Stéphane n’allait pas tarder à venir, au vu des gémissements rauques de celui-ci, Floriane décida d’arrêter la savoureuse fellation et de faire coulisser l’engin entre ses énormes seins. Experte en branlette espagnole, elle fixa le mal en rut droit dans les yeux pour l’exciter davantage, durant les va-et-vient.

– Et maintenant, tu vas me faire le plaisir de jouir sur mes seins, tu en meurs d’envie espèce de pervers ! lança la jolie brune, en activant sa poitrine de bas en haut à un rythme volontairement lent. Chantal regarde-moi ça, il bande comme un étalon ton mari, je pense qu’il ne va pas tarder à m’en mettre partout !

La voyeuse ne répondit rien, elle ne voulut pas gâcher la scène torride ponctuée par des propos verbalisés derrière la petite caméra, cela aurait été dommageable pour la prise.

Les prédictions de la jolie brune vinrent presque à la minute même. Un jaillissement blanchâtre fut éjecté comme un petit geyser brûlant et abondant. Trois jets remarquables tapissèrent dans tous les sens les deux sphères accueillantes.

– Han oui ! Petite salope ! C’est si bon de venir sur toi tu sais ! haleta Stéphane, secoué par un ultime orgasme délicieux. Si tu n’y vois pas d’inconvénient, j’aimerais bien essuyer ma queue sur ta merveilleuse poitrine pour terminer.

Chantal jubilait. Cette Floriane était la perle rare qu’elle cherchait depuis tellement longtemps. Voyant le comportement lubrique de la jeune fille, elle n’allait pas en rester là, l’occasion était trop belle.

Quand son mari eut fini de s’essuyer le bout de sa bite fléchissante, elle coupa le caméscope et le posa sur le plan de travail de la cuisine. Puis, vint embrasser sur la joue l’actrice qui commençait à vouloir nettoyer avec son t-shirt, la souillure poisseuse restée collée sur ses mamelons magnifiques.

– Arrête tout de suite ! lança brusquement Chantal.

La femme blonde, se leva direction le tiroir du buffet de la cuisine. Elle en sorti une cuillère à soupe.

– Je vais t’enlever tout ça ne t’inquiète pas ma chérie ! dit-elle, en revenant un peu essoufflée.

De la main droite elle commença à faire glisser la grosse cuillère sur la poitrine de Floriane. Le jus encore tiède fut récolté au fur et à mesure. Puis Chantal la passa devant le visage de la jolie brune, comme pour tester ses réactions.

– Ne sois pas timide voyons, avale-moi ce délicieux sirop d’amour ! proposa-t-elle.

La petite commerciale ne résista pas longtemps, et ouvrit la bouche en grand.

La cuillère passa les lèvres pulpeuses, ensuite Floriane avala la précieuse semence gluante et amère. Elle fit une légère grimace, mais au bout de la deuxième fois, sa langue commençait et s’habituer. La petite brune commençait même à réclamer plus rapidement cette petite gourmandise. Au bout d’une dizaine de cuillerées, la dégustation fut entièrement consommée. Les jolis seins devinrent absolument propres dans les moindres courbures.

Chantal releva quelques gouttes restées sur les lèvres de Floriane avec le doigt, pour l’introduire dans sa bouche. La jeune commerciale suça plusieurs fois l’index de Chantal pour ne rien perdre.

La maîtresse de maison se releva d’un bon, comme pour ne pas gaspiller de temps. Tout en se caressant les seins, elle se tourna vers son mari qui ne bandait plus du tout.

– On va te laisser récupérer un peu mon chéri, quant à toi, tu vas nous montrer comment tu joues avec ta chatte allongée sur la table, tu veux bien ma petite puce ? proposa la femme mûre, en reprenant sa petite caméra portative.

Chantal demanda à Floriane de se rhabiller et lui proposa un petit café. Tout en buvant quelques gorgées brûlantes de l’expresso, Chantal expliquait succinctement ce que devait faire la jeune fille. L’actrice d’un jour fut toute excitée comme une star avant un tournage, elle oublia même le but premier de sa visite chez les Desprez.

– Tu as bien compris, fait comme si tu étais en chaleur ma chérie ! Je veux que tu excites mon mari au maximum ! dit calmement Chantal, fin prête à commencer la prise.

Dès les premières secondes, la jeune commerciale entra tout de suite dans la peau du personnage. Elle avait vu assez de films pornos sur le net pour s’en inspirer. Seulement, elle voulut apporter sa petite touche personnelle.

Floriane repéra un cadre photo posé sur le plan de travail, à côté de l’évier. Elle le saisit, puis lécha langoureusement le visage de Stéphane souriant sur le cliché.

– Oh, tu me manques, tu sais ! Si seulement tu pouvais être là pour me baiser ! j’ai envie de ta grosse queue maintenant. lança-t-elle.

Elle reposa le cadre, ensuite passa une main sous son pull. Ses caresses étaient longues et sensuelles faisant gonfler sa poitrine de plus en plus sensible. Tout en fermant les yeux, elle entreprit de faire glisser sa main droite sous son legging pour atteindre sa toison en feu un peu moite.

Floriane se tortillait de plaisir. Sa langue passa sur ses lèvres pour sentir le sel de l’excitation qui commençait sérieusement à l’embraser. Sachant que le spectateur aurait hâte d’en voir davantage, elle retira son gros pull en laine épaisse. Enfin dévoilé, le soutien-gorge rose laissait apparaître en transparence ses petits tétons mis en relief, et sa lourde poitrine généreuse.

Elle se rapprocha de la caméra en soufflant de plus en plus fort. Ses mains continuaient de pétrir ses deux globes de chair, comme pour en apprécier leur fermeté. Tout en détachant les agrafes de son soutien-gorge, elle lança un regard lubrique bien appuyer vers l’objectif.

– Hum j’ai trop chaud ! Il faut vraiment que je trouve un moyen de calmer ma petite chatte ! dit-elle, d’une voix lascive.

Derrière le caméscope, Chantal mouillait comme une vraie fontaine. Son mari ne tarda pas à la rejoindre pour lui caresser son joli cul rebondi. Il entreprit faire glisser sa jupe noire, et fit descendre les collants opaques à mi-cuisse. Puis, il termina de baisser tout en douceur sa culotte en soie déjà bien humide à l’avant.

La voie était enfin libre pour qu’un index puisse pénétrer la petite forêt moite, et procéder à de petits va-et-vient.

- Je vais te branler ma chérie, pendant que cette jolie salope fait son numéro ! murmura-t-il à son oreille. Dis-moi que ça te plaît ! Surtout ne t’arrête pas de filmer.

Chantal commençait à vaciller sous les assauts répétés du doigt qui la fouillait plus profondément. Elle eut du mal à conserver sa position verticale, mais essayait de tenir bon. Sa fente devint brûlante, et la petite rivière du plaisir ne cessait de couler comme un torrent délicieux.

Un doigt ne suffisait plus. Stéphane le comprit tout de suite, et engagea le majeur collé à l’index pour ouvrir davantage la fente luisante. Les frottements interminables la rendaient complètement folle.

– Oh mon chéri, passe ta langue comme l’autre jour ! Supplia-t-elle, en ondulant légèrement son bassin avec des petits coups de reins prononcés.

Pendant ce temps, Floriane eut le temps de se mettre absolument nue sur la table de la cuisine. Les pieds joints, ses jambes écartées à l’extrême formaient un gros losange, offrant une vision parfaite de son intimité.

Son pubis avait conservé une légère pilosité brune. Contrairement à ses amies, elle préférait garder de jolis poils ras, ce qui ne gâtait en rien son joli sexe rosé. Les lèvres étaient fines comme des pétales de rose, elles n’attendaient qu’une seule chose : des caresses voluptueuses et interminables.

– Fourre ta langue dans son cul, pendant que je joue avec mon clito ! ordonna-t-elle au gros cochon qui avait déjà commencé son ouvrage.

Floriane connaissait parfaitement les attitudes aguicheuses qui rendaient un mâle complètement fou. Elle renifla sa culotte en plissant les yeux, tout en sortant sa langue gourmande pour lécher le suc iodé imprégné dans le tissu. Ses doigts écartaient sa vulve humide comme pour inviter une bouche experte à venir boire la source tiède et odorante.

En parlant de bouche, Stéphane dévorait littéralement la chatte de sa femme avec un appétit sans restriction. Difficile de filmer dans de telles conditions, mais Chantal tenait bon. Elle joua avec le zoom pour ne rien rater de la scène torride proposée sous ses yeux.

À l’écran de l'appareil, les moindres détails de cette fissure charnue, si parfaite, agitée furieusement par deux doigts délicats, furent enregistrés sans flou ni tremblement particulier : une vraie prouesse étant donné les circonstances.

Les Desprez allaient savourer dès ce soir, le visionnage en boucle de cette petite cochonne se faire plaisir sur leur propre table de cuisine, mais surtout le partager avec des amis au moment de l’apéro.

– Oh Stéphane, je sens que je vais jouir pour toi ! gémit la petite brune, aux frontières de l’extase.

– Et bien, nous allons goûter à ce bonheur ensemble petite salope ! répondit Chantal, devenue brusquement vulgaire, sur le point de défaillir par les coups de langue répétés de son mari vorace.

Floriane fut prise de convulsions, agitant de bas en haut son bassin, à grands coups de reins très prononcés. La bouche entrouverte, le souffle presque coupé, elle tournait la tête dans tous sens comme une furie. Le nez plongé dans sa petite culotte, plusieurs gémissements sourds se firent entendre, pendait qu’elle se masturbait avec intensité.

C’est au moment où elle repensa à la grosse queue de Stéphane, qu’elle se contracta subitement, les fesses en apesanteur. Les cuisses toutes tremblantes, une décharge électrique saisit son bas-ventre pour lui envoyer cette douce chaleur au moment de l’orgasme.

– Stéphane, je suis ta petite cochonne, regarde comme je mouille pour toi ! cria-t-elle, en s’effondrant sur la table de la cuisine.

Le mâle trop occupé à lécher la cyprine dégoulinante dans la fente de sa femme, ne put lui répondre. Et pour cause, Chantal faillit bientôt l’étouffer avec ses cuisses tellement contractées, pendant qu’il s’appliquait à fourrer sa langue à l’intérieur de sa vulve poilue.

– Mon chéri, je crois que, cette petite aurait besoin que tu la...

Elle ne put finir sa phrase. Un déluge visqueux et odorant déferla le long de ses jambes. Chantal dû se cambrer un peu, tant le plaisir charnel la fit monter au sommet de l’extase. Une chaleur très agréable lui parcourut tout le corps la forçant à pousser des cris d’animal en chaleur.

– Oh mon amour arrête avec ta langue ! Han han han ! Tu vas me rendre folle ! dit-elle, essayant de reprendre sa respiration.

Ayant compris qu’il venait de combler sa femme, Stéphane à grand regret retira la bouche de l’entrejambe bouillonnante. Il huma une dernière fois ce parfum aux effluves prononcées, tout en se caressant le sexe. Rien que cette odeur le rendit dans un état d’excitation presque incontrôlable.

Il caressa les seins de Chantal pour essuyer les perles de sueur ruisselantes. Puis, il s’attarda sur les tétons encore durs, pour les pincer légèrement, ce qui fit tressauter sa partenaire encore bien droite, malgré les émotions.

– Et maintenant, c'est à moi de filmer, tu vas te gouiner avec elle, je veux te voir la baiser ! ordonna-t-il, arrachant quasiment le caméscope des mains de son épouse.

– Mais...

– Il n’y a pas de mais ! gronda-t-il, tellement pressé de la voir exécuter son ordre.

La femme blonde s’approcha tendrement de la jeune fille reposée, encore étendue sur la table de cuisine. Elle approcha ses lèvres des siennes pour lui prodiguer les plus doux baisers de sa vie. Chantal était si tendre, sa bouche un peu sucrée, lui procurait un plaisir jusque-là inconnu.

– Il semblerait que Stéphane aie une terrible envie de nous regarder faire l’amour ! rien de ne t’y obliges, mais j’ai très envie de toi ! murmura Chantal, déjà installée les cuisses de part et d’autres du corps allongé de la jeune brune.

Dans cette position, Floriane avait tout le loisir de lui peloter les seins, tout en l’embrassant tendrement. Les deux langues se rencontrèrent pour la première fois pour son plus grand bonheur. Sa bouche gourmande l’invitait à s’abandonner totalement. Elle se sentit partir lorsque le corps de Chantal commença à onduler sur elle.

– Je vais poser ma chatte contre la tienne, tu vas voir, c’est vraiment extraordinaire ! glissa Chantal à son oreille, se doutant qu’il s’agissait pour elle d’une première fois.

– Oh oui vas-y ! répondit-elle, brûlante de désir.

Le cadreur subjugué par la scène torride dont il était témoin, filma les deux complices se toucher dans les zones les plus sensibles de leur anatomie. Chacune d’elles, savaient précisément où poser les doigts et la langue pour déclencher un maximum de sensations délicieuses.

– Continue de prendre mes seins dans ta bouche, pendant que je me frotte sur toi ! dit Chantal.

La petite brune n'eut pas besoin de répondre, tant elle était occupée à sucer bruyamment les aréoles de sa partenaire. Elle alla même jusqu’à mordiller les tétons dressés, histoire de l’exciter un peu plus.

– Fais ce que tu as envie petite cochonne ! tu sens comme ça vient, n’est-ce pas ?

– Oh oui, c’est tellement bon, j’aimerais tellement mettre mes doigts pour me caresser la fente. supplia-t-elle.

– Hors de question, tu triches ma belle ! Avec moi tu vas devoir goûter le fruit délicat de la lenteur, crois-moi, il est bien meilleur ! murmura-t-elle, tout en souriant à la jeune fille.

Au bout d’une vingtaine de minutes, le rythme nonchalant du début changea subitement. Les deux femmes se frottèrent avec beaucoup plus d’intensité, pour la plus grande joie de Stéphane qui commençait sérieusement à bander.

Le quinquagénaire fit un plan sur les fesses ondulantes de sa femme déterminée à faire jouir sa jeune partenaire. Son cul parfait entamait des va-et-vient avec élégance, comme une sensuelle danseuse orientale.

Puis, il zooma avec insistance sur la partie la plus intéressante. Les deux fentes humides s’appuyaient l’une contre l’autre avec délice, dans un déluge de cyprines mélangées. La fusion de ses deux sexes était l’image même de la perfection érotique.

– Baise-moi plus fort ! ordonna Floriane, qui commençait à trembler. Oh oui Chantal, je suis ta petite pute d’amour, baise-moi encore ! j’ai envie de jouir pour toi !

Les baisers fougueux de Floriane devinrent indécents. Ses lèvres pourtant tièdes au début devinrent plus froides. Ce signe ne trompait pas. Chantal accentuait le mouvement de ses reins, et joua avec sa langue dans la bouche de sa partenaire.

Elle jeta un regard vers la caméra, les yeux illuminés d’un feu pervers. Puis, elle reprit ses longs baisers, agitant désormais son corps avec davantage de puissance. Au moment crucial, Chantal secouée de spasmes, se leva tout en empoignant avec fermeté ses jolis seins lourds.

– Je sens que je vais partir Floriane, laisse-moi te conduire au pays des délices ! murmura-t-elle, les yeux mi-clos.

A peine ces quelques mots prononcés, la petite brune se sentit flotter au milieu d’une sensation cotonneuse, complètement détachée de la réalité. Une vague orgasmique parcourut son bas-ventre d’une subtile chaleur. Cette sensation savoureuse était indescriptible, tellement elle fut puissante.

Floriane, toute trempée, aurait voulu prolonger cet instant éphémère, mais cette fois Chantal exténuée embrassa la jeune fille une dernière fois avant de la quitter en se levant lentement.

– C’était si bon ! souffla Floriane, souriante tout en se caressant le sexe.

– Je te l’avais promis ! ria doucement Chantal, ravie d’avoir donné cette jouissance ultime à la petite brune, encore noyée dans les vapeurs d’un plaisir lesbien.

La maîtresse de maison remit sa petite jupe et son chemisier oubliant volontairement ses sous-vêtements. Elle posa sa petite culotte et son soutien-gorge sur le passe-plat.

– Et moi alors ! lança Stéphane, se sentant délaissé d’un seul coup.

– Toi, tu vas attendre un peu ! répondit sa femme, sans lui prêter d’importance. Ce sont les hommes ça, toujours envie de baiser. Regarde l’horloge mon amour, le patron de Floriane risque de s’inquiéter il est déjà 18 h 30 ! Le temps qu’elle rentre au bureau, il faut une petite demi-heure en voiture.

La jeune fille courra dans le salon pour aller chercher sa tenue de travail, étendue sur le radiateur. Ouf ! Son tailleur avait eu le temps de sécher comme il faut. Assisse sur l’un des gros fauteuils en cuir beige, elle termina d’enfiler ses chaussures.

– Ah encore une chose ma chérie, tu vas me laisser ta petite culotte ! dit Chantal, à l’autre bout de la pièce. Si tu veux qu’on signe le contrat, ce sera notre petit cadeau.

– D’accord, de toute façon j’ai toujours aimé rester à l’aise nue sous ma jupe !

– Ah, mais non, tu vas mettre la mienne en échange ! répondit la femme blonde, excitée par ce rituel un peu marginal.

– On peut dire que tu as les idées tordues ! après tout pourquoi pas, ça va me faire drôle de porter la lingerie d’une vicieuse comme toi.

Le trio se retrouva autour de quelques feuilles agrafées. Le stylo glissa sur le contrat exagérément facturé. Qu’importe, la jeune commerciale avait su argumenter à sa manière les qualités du produit d’une manière très personnelle.

Avant de partir, Floriane embrassa longuement Chantal sur la bouche en jouant avec sa langue. Puis, ce fut au tour de Stéphane. Le baiser fut plus court, mais elle en profita pour caresser fermement la bosse de son pantalon.

– Pense à moi quand tu la baises ce soir vieux cochon ! murmura-t-elle à son oreille.

La porte d’entrée s’ouvrit en grand. Dehors le temps était devenu radieux comme par enchantement. Un soleil ardent éclairait la cour bitumée ; Floriane le cœur battant arriva au portail, puis actionna la gâchette de sécurité. Le moteur de sa petite Clio blanche vrombit nerveusement. La jeune commerciale sentit son sexe encore la brûler. Rêveusement, elle repensa à cette vente inoubliable tout en passant légèrement la main sous sa jupe.

Descollages.

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Commentaires de l'histoire :

descollages
Merci pour votre message ! Hélas je n'ai pas prévu de suite, mais pourquoi pas...8) @+ @descollages13 (twitter) ou mp ici si vous voulez dialoguer avec moi je vous répondrais sans faute !...;-)
Posté le 18/03/2023

Anonyme
j'aurais aimer une suite merci
Posté le 18/03/2023


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