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Les escapades de Manon - Mise en bouche

L'histoire vraie de Manon, mariée depuis 20 ans. Épouse aimante, fidèle, complice, elle n'eut d'amants qu'à partir de 45 ans lorsqu'elle découvrit le monde du libertinage. Elle fit dès lors de nombreuses rencontres coquines et ce avec le consentement évident de son mari qui y trouva son compte.

Proposée le 23/01/2023 par alexandrun

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FHH
Lieu: Hôtel
Type: Histoire vraie


Manon est mariée depuis 20 ans. Épouse aimante, fidèle, complice, elle n'eut d'amants qu'à partir de 45 ans lorsqu'elle découvrit le monde du libertinage. Elle fit dès lors de nombreuses rencontres coquines et ce avec le consentement évident de son mari qui y trouva son compte. Femme séduisante, belle brune, mature, bon chic bon genre, elle illustre parfaitement l’acronyme anglo-saxon de milf ; une maman que nous voudrions tous baiser. Son charme et ses atouts de séduction n'étaient plus à démontrer tant elle se faisait draguer, plus ou moins lourdement d'ailleurs, par les clients de sa jolie boutique de fleuriste entre autres.


Ce fut à l'occasion d'ébats amoureux, lors de jeux érotiques, scenarii coquins ou autres fantasmes que son mari prit pleine conscience du redoublement d'excitation de son épouse lorsqu'il abordait avec elle la présence, encore virtuelle, d'un autre homme. Un soir par exemple, ils faisaient l’amour depuis quelques minutes seulement lorsqu’il lui murmura à l’ oreille qu'elle pourrait sucer son amant avant qu’il ne la baise bien fort. Cette seule évocation suffit à lui déclencher un orgasme intense suivi très promptement par celui de son mari. Manon était coquine, elle croquait la vie à pleine dent et avaient maintenant envie de nouvelles sensations, d’adrénaline, de désirs sans cesse renouvelés et de profonds plaisirs. Bref, elle voulait des hommes, des vrais, virils, charmeurs, charmants, joueurs et entreprenants.


Ainsi, la solution la plus simple que le couple retint pour combler ses désirs de sens et d'aventures coquines fut l'inscription sur des sites libertins. Manon y avait créé un profil de femme mariée, disponible, encline aux plaisirs des sens et y avait adjoint une galerie de photos sexy. Le couple amoureux avait convenu d’un commun accord que madame rencontrerait seule et raconterait ensuite ses aventures à son mari dans les moindres détails. Sur le papier, ce projet semblait idéal et très excitant pour nos deux protagonistes.


C’est ainsi que Manon installa sur ces espaces virtuels et coquins une certaine aura. Elle était en effet très sollicitée et faisait face à d’innombrables demandes qu’elle n’arrivait même pas à suivre. Pour autant elle n’était pas dupe, toutes les femmes inscrites rencontraient un certain succès tant les hommes y étaient plus nombreux et demandeurs. Cela arrangeait bien ses affaires car un large choix de coquins s’offrait à elle même si on peut toujours émettre à juste titre des avis négatifs sur cette pratique, les libertins eux n’y trouvaient que des avantages, chacun savait pourquoi il était là et ça rendait les choses bien plus faciles.


Un soir d’hiver, le mari de Manon fut très excité lorsqu'il surprit sa femme dialoguant par caméras interposées avec un homme semble-t-il très intéressé. Ce soir-là, il rentra tard du travail, la nuit était déjà tombée, la lumière tamisée de la chambre donnait une ambiance particulière qui avait attisé sa curiosité. Il s'approcha de la fenêtre et aperçut son épouse devant l’ordinateur en pleine discussion écrite via la messagerie instantanée d’un site échangiste. Devant la caméra, elle se montrait attentive, lascive et, sembla-t-il, très souriante. Il ne la voyait que de dos, en revanche il distinguait plus nettement son interlocuteur dont le visage occupait encore l'intégralité de l'écran. Sa présence devant la fenêtre à double vitrage passa inaperçu alors que la scène qui se déroula derrière le voile transparent du rideau fut teintée d'un érotisme intense et surprenant mais ne le déstabilisa d’aucune manière dès lors que le couple s’était ouvert aux nouvelles expériences. Bien au contraire, il ressentit un large trouble, une chaleur inhabituelle marquée par une ardeur naissante. La séance de caméra coquine se poursuivit longuement jusqu'au moment où sa femme se retrouva entièrement nue, jambes écartées, angle de vue de la caméra ajusté pour jouir violemment devant la queue de son amant virtuel qui occupait maintenant tout l’écran. Ce dernier se masturbait frénétiquement jusqu’à déverser plusieurs saccades de sperme sur la surface de son bureau comme pour honorer les charmes de Manon et sa générosité. Le mari aux aguets ne put s’empêcher de sortir sa queue et se donna du plaisir tant la tension fut forte. Plus tard, dans la nuit, il avoua à sa femme l’avoir vue derrière la fenêtre en compagnie de son amant virtuel. Conséquence ; ils firent l’amour longtemps, amoureusement avec une grande complicité.


Pour sceller cette nouvelle vie de libertins, il fallait maintenant que Manon fasse une première rencontre. Cela tombait bien car elle discutait depuis peu avec un homme et le feeling passait bien. Vint le jour de la première rencontre, Manon s’était minutieusement préparée et avait sollicité l’aide de son mari quant au choix de robe ou de lingerie. Il était à ce sujet toujours de bons conseils et elle abondait souvent dans son sens, une manière subtile alors de le faire participer. Un rendez-vous à la table d’un café fut pris entre les deux amants pour parfaire connaissance, s’offrir un moment de séduction, une manière de laisser le charme agir et la magie opérer. Chacun avait la liberté jusqu’au dernier moment de remettre la rencontre à plus tard, voire à ne pas donner suite, heureusement l’élu s’avéra très charmeur et charmant. Ils convinrent de se rendre dans un hôtel très proche alors que l’ambiance s’était fortement réchauffée. L’homme bandait déjà sous la table. Manon quant à elle était troublée, presque intimidée. Elle rejoignit pourtant sans détour son amant devant l’entrée de l’établissement le cœur battant, le souffle court et le désir naissant. Elle avait eu le temps juste avant d’envoyer un message laconique à son mari ; homme charmant, nous allons à l’hôtel. Cela suffit à le rassurer et à nourrir son imagination.


Comme un petit couple, l’amant prit la main de Manon pour monter l’escalier qui les menait vers leur nid d’intimité ; la chambre 206. A peine la porte fut-elle refermée, toute pudeur laissée dehors, l’ambiance devint plus passionnée, plus électrique, plus sexuelle. L’amant plaqua Manon contre le mur, la serra dans ses bras avant de l’embrasser à pleine bouche. Elle répondit naturellement à ce débordement de désir aussi soudain que troublant en se donnant à lui entièrement. Il ôta ses vêtements, fit glisser sa jupe noire le long de ses jambes et déboutonna doucement son chemisier blanc. Elle se retrouva en lingerie, ensemble string-sg de dentelle bleue, jarretelles, bas-couture et talons. Il s’extasia devant sa beauté et déposa de doux baisers dans son cou, sur ses épaules, son ventre et le haut de ses cuisses, puis l’accompagna vers le lit et l’invita à s’étendre sur le dos. A son tour, devant elle, il se déshabilla lentement faisant ainsi monter le désir à son paroxysme lorsqu’il quitta enfin son caleçon laissant apparaître une énorme queue qui retint instantanément toute la convoitise de Manon. Elle était bien plus grosse que celle de son mari, plus large aussi, exagérément dressée, dure, veinée comme elle aimait et dont l’énorme gland semi-décalotté parut aux abois, prêt à bondir et à sortir le grand jeu. Elle posa alors une main sur son string et l’autre sur sa poitrine tout en glissant deux doigts sous son soutien gorge afin de titiller son téton devenu trop dur. Elle finit par se libérer de cette contrainte en jetant à terre la dentelle bleue et fit jaillir sa lourde poitrine auréolée d’un désir brûlant. L’amant lui demanda de retirer sa petite culotte et tous deux se caressèrent, face à face, s’appréciant de la tête aux pieds. Il saisit d’ailleurs le pied encore chaussé de Manon qu’il posa sur son sexe et se frotta entre talon et semelle. Il retira ensuite le soulier et continua à se frotter sur le nylon. Manon se redressa enfin, assise sur le lit, lui toujours debout, la queue à hauteur de son visage elle en huma le doux parfum de sexe. Elle la saisit, la caressa et la branla lentement avant de l’approcher de sa bouche et de ses lèvres gourmandes. C’est à cet instant qu’elle put jauger précisément l’ampleur du plaisir qu’elle allait prendre. Elle suça son amant avec délectation, enfonçant tant qu’elle put le gros chibre dans sa gorge, le faisant coulisser à des rythmes différents, jouant avec ses couilles, les faisant rouler dans ses mains ce qui semblait ravir son amant d’un jour. Celui-ci glissa enfin sa tête entre les cuisses de Manon pour s’occuper de sa chatte accueillante, entièrement lisse, chaude, humide et gonflée d’intention. La langue du gourmand s’insinua entre ses lèvres et titilla son clitoris rendu sensible ce qui lui provoqua quasi instantanément un orgasme profond qu’elle ne put retenir. Toute inhibition levée les amants torrides se lâchèrent totalement, librement comme s’il s’agissait d’une rencontre unique, sans lendemain et profitèrent de chaque instant, de chaque désir, de chaque caresse pour s’extasier, s’abandonner, jouir et jouir encore.


Manon se fit baiser dans toute les positions, des plus communes comme un vieux couple amoureux aux plus audacieuses comme de jeunes amants fougueux, certaines qu’elle n’avait même jamais expérimentées avec son mari. Elle se souvint à cet instant de ce qu’il lui avait dit juste avant son rendez-vous ; amuse-toi, éclate-toi, quitte à prendre un amant autant prendre un maximum de plaisir. Et du plaisir elle en prit, comme jamais, même quand elle se fit sodomisée par le large pieux de son soupirant qui y mit toutes les formes pour ne pas précipiter l’instant et pour en faire un moment inoubliable. Manon se fit enculer comme une chienne en chaleur, elle gémissait, criait sous les coups de boutoir, hurlait même et en redemandait. Leurs ébats durèrent des heures, cela faisait très longtemps qu’elle n’avait pas baiser comme ça, jouis aussi souvent et intensément, chaque orgasme lui provoqua spasmes et soubresauts incontrôlables, elle se demanda même si elle pouvait en parler à son mari tant elle avait pris du plaisir. Oui. Sa réaction sera bonne. Incontestablement. C’est ce qu’il attendait, en bon mari candauliste, en bon mari cocu.


Tard dans la soirée, les amants finirent par se séparer à regret mais néanmoins ravis et repus de sexe pensant ne jamais se revoir. C’est ce qui était convenu même si l’avenir nous apprendra qu’ils se recroisèrent cette fois-ci pour une nuit entière, dans le lit conjugal de Manon à l’occasion d’un déplacement de son mari. C’est lui-même d’ailleurs qui lui suggéra cette idée audacieuse.


Pour sa première expérience hors couple, Manon avait pris tant de plaisir, elle avait touché du doigt l’interdit, s’était donnée corps et âme avec la bénédiction de son époux. En toute complicité, elle s’était ouverte aux plaisirs des sens avec un autre homme, avec un inconnu. Par la suite, chaque nouvelle rencontre fut l’occasion de vivre une aventure inédite, ressentir des émotions différentes, des instants hors du temps où se mêlèrent séduction, sensualité, désirs et plaisirs insatiables.


Le soir, tard, quand Manon retrouva son mari, elle lui raconta son aventure dans les moindres détails et répondit à toutes ses questions. Il avait emmagasiné une telle tension tout au long de l’après-midi qu’il ne mit guère de temps à se libérer d’un tel émoi.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Rob
Bonjour. Bel esprit libertin. Votre femme fait-elle toujours des rencontres ?
Posté le 6/09/2023

Anonyme
C'est ce qu'on appelle une reconversion coquine réussie, on attend la suite....
Posté le 27/01/2023

Anonyme
C'est ce qu'on appelle une reconversion coquine réussie, on attend la suite....
Posté le 27/01/2023

Leon
pas mal ,mais ça manque de chaleur.
Posté le 24/01/2023


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