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Ma femme dans le bus populaire vers le marché (1) :

Dans le bus complet qui nous amenait vers le marché hebdo, ma femme, s'est mélangée au milieu des hommes qui ont profité pour frotter leurs bites contre sa croupe. Un jeune, collé à elle a sorti sa bite et s'est frotté contre son cul et à éjaculé. Ma femme a laissée faire. Au retour, ce sera pire.

Proposée le 21/10/2022 par DALIDA

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Transport
Type: Fantasme


Comme nous avions besoins de quelques achats importants à faire au marché hebdo, ma femme Fatima, 40 ans et moi, Azzi, 50 ans, nous avons été obligés hier matin, de prendre le bus collectif car ma voiture est chez le mécanicien depuis deux jours. Le bus étant assez rempli, nous avons eu beaucoup de difficultés pour monter dans la cohue. C’est ainsi que ma femme étant montée avant moi à l’intérieur, nous avons été rapidement séparés. Quant je suis arrivé à monter, ma femme était déjà au milieu de la foule et j’arrivais à distinguer seulement son hijab noir, d’ailleurs elle était la seule femme au milieu de ces homme. Quant le bus a démarré j’ai essayé de la rejoindre, en vain, et je croyais que quelqu’un allait lui offrir une place assise. Mais après plus de cinq minutes, je la voyais toujours debout au milieu des hommes, elle se tenait par une main à la barre supérieure du bus. La manche de son hijab avait glissé et on voyait la chair de son avant bras et son bracelet d’or. Je ne voyais pas son autre main.

Le bus continuait sa route. A un moment donné, il s’est arrêté pour prendre encore d’autres clients et j’en ai profité pour avancer un peu vers ma femme, mais il y avait encore un homme entre nous et elle me tournait le dos. Je voulais dire à l’homme de me laisser passer, mais je me suis retenu car il me semblait qu’il était trop collé à ma femme et qu’il n’avait aucune main qui le retenait à la barre supérieure du bus. Je commençais à m’inquiéter car le me demandais où étaient ses bras et ses mains alors qu’il collait au dos et à la croupe de ma femme. Profitant des secousses du bus je sui arrivé à me mettre sur le coté, sur le flan de l’homme. Dans ma nouvelle position, je voyais maintenant nettement le visage de l’homme, qui était assez âgé et mal rasé et qu’il collait vraiment son bas ventre sur la croupe de ma femme. J’étais étonné et choqué et, un instant j’allais me fâcher et le repousser, mais j’étais étonné de l’immobilisme de ma femme. La poitrine de l’homme était collée à son dos et le visage tellement proche du cou de ma femme que j’étais sur qu’elle ressentait son souffle. En somme il était en train de sodomiser ma femme à travers son hijab et de lui donner presque un baiser au cou et elle restait immobile, sans protester. Alors, je me suis arrêté pour voir la suite.

Je me suis un peu reculé pour essayer de voir où étaient les mains de l’homme et rapidement j’ai constaté qu’elles tenaient largement les hanches de ma femme. De plus, malgré que son bas ventre fût collé à la croupe de ma femme, j’ai réussi à constater que sa bite était hors de sa braguette. Je voyais juste le bout de la tête de son zeb un peu courbé et qui se frottait au cul de ma femme. Parfois, ce bout de zeb disparaissait de l’autre coté de la croupe et revenait de mon coté. L’homme profitait des secousses du bus pour faire des pressions avec son bassin. Ces légers frottements et vas et viens sur les fesses de ma femme étaient très légers mais comme j’étais, moi aussi pratiquement collé à eux, je les ressentais nettement. De plus, l’homme haletait légèrement vers le cou de sa proie qui laisser faire sans bouger.

J’ai eu la nette impression que ces attouchements de l’homme semblaient plaire à ma femme et cela m’a chagriné. Mais je ressentais des sensations bizarres mais agréables au bas ventre et je désirais que cela continue. D’ailleurs, mon zeb commençait à bander dans mon slip. Je me suis encore mieux positionné pour bien distinguer la tête de son zeb qui frottait le cul de ma femme. Maintenant l’homme agissait, par ses mains sur les hanches de la femme pour faciliter ses mouvements. Quant il s’est reculé un peu, le voyais nettement la tête de son zeb bien pointée et une petite partie de sa hampe brune. J’ai réussi à voir que le hijab était enfoncé entre les fesses de ma femme et quant l’homme a poussé vers l’avant, son zeb a disparu dans le sillon des fesses. Il était pratiquement en contact avec l’anus de ma femme et peut-être même qu’il l’avait un peu pénétré, du moins je m’imaginais.

J’étais certain, maintenant que ma femme participait à ces attouchements car je pense avoir distingué un léger mouvement de sa croupe vers l’arrière donc vers le zeb de l’homme. A ce moment, ma propre bite était gonflée au maximum et j’ai eu l’impression que j’allais éjaculer dans mon slip. Je ne voyais pas le visage de ma femme car elle nous tournait le dos. A ce moment, un écart important du bus nous a secoués et l’espace entre l’homme et ma femme s’est un peu agrandi. Cela a permis au zeb de l’homme de quitter le cul de ma femme. J’étais tellement bien positionné avec le regard totalement vers le bas que j’ai aperçu une plus grande partie du zeb de l’homme, sa tête et une bonne partie de sa hampe, bandé et gonflé à l’horizontal. Il se corrigea immédiatement en se recollant à ma femme et son zeb a plongé dans le hijab, droit dans le sillon entre les fesses de ma femme. Il m’a semblé qu’il s’était enfoncé assez loin, dans l’anus et sûrement dans le cul de ma femme. Il m’a semblé aussi qu’elle avait réagi dans un léger mouvement de tout son corps. Elle a même essayée de tourner un peu sa tête, puis elle a reprit sa position immobile.

L’homme s’était aussi immobilisé, bien collé à la croupe de sa proie, son zeb ayant certainement pénétré le cul à travers je hijab. Puis son mouvement d’oscillations et de vas et viens ont recommencé. Son visage était maintenant collé au cou de sa poie et son souffle haletait plus fort. J’étais collé à eux et je ressentais leurs vibrations. Ma femme se baisait sodomiser nettement à travers son hijab par un homme et elle semblait aimer cela et participer, j’étais sur que sa chatte mouillait de désir. Puis la main de l’homme qui était de mon coté a quitté la hanche de ma femme pour tenir le zeb et le frotter et le pousser vers l’avant plus fortement qu’auparavant. Je voyais nettement son zeb et cela ne semblait pas le déranger car c’est moi qui le couvrait de mon coté. C’est tellement clair qu’il m’a jeté un coup d’œil de complicité et a continué ses mouvements qui sont maintenant plus rapides et plus forts. Incroyable mais vrai, son zeb était dehors de son pantalon mais assez caché par ses mains et le hijab de ma femme.

Il poussait tellement fort son zeb contre le cul de ma femme qu’il enfonçait nettement le hijab entre les fesses de ma femme et elle restait toujours immobile. Je ne voyais que ses mains car son zeb avait disparu dans le hijab enfoncé dans le cul de ma femme. Je voyais très bien qu’il était en train de sodomiser ma femme et cela semblait donner aussi du plaisir à mon propre zeb gonflé et qui sembler prêt à éjaculer. Puis l’autre main de l’homme contourna la hanche de ma femme et disparu par devant, sous le bas ventre, donc vers la chatte. C’est alors que j’ai remarqué un léger mouvement de ma femme comme pour écarter un peu ses cuisses. Elle lui abandonnait sa chatte, la salope. Elle était excitée et J’étais maintenant persuadé qu’elle jouissait de ces attouchements du zeb par derrière et qu’elle écartait ses cuisses par devant pour mieux jouir de l’autre main de l’homme dans le creux de sa chatte. Ils restèrent ainsi un bon moment, seuls les légers, très légers mouvements de vas et viens de l’homme et, peut-être les petits reculs de la croupe de ma femme contre le zeb et que j’étais seul à distinguer étaient perceptibles. Les mouvements du bus les aidaient à bouger l’un contre l’autre et baiser à leur aise.

Soudain, l’homme eut un léger sursaut et s’est un peu reculé pour se détacher légèrement de ma femme et ses deux mains ont rejoint son zeb par devant. Je me suis, moi aussi, légèrement écarté pour mieux observer et j’ai compris qu’il éjaculait dans le creux de ses deux mains. A ce moment, j’ai bien aperçu une bonne partie de son zeb, encore bandé, et qu’il essuyait sur le hijab de ma femme. Je pensais qu’il allait maintenant reculer, mais je me trompais. Il s’est recollé contre elle, contre sa croupe. Et, remettant encore une fois ses mains sur les hanches de ma femme, il poussa un léger coup et son zeb pour enfonça encore une fois le hijab dans le sillon du cul de sa proie. Il avait encore envie d’elle et elle recula un peu pour jouir encore du contact de ce zeb qui s’enfonçait encore dans son cul. J’étais sûr maintenant que sa chatte mouillait au maximum de jouissances et que son anus palpitait encore de désir. Alors l’homme recommença ses petits vas et viens contre cette croupe qui l’acceptait avec plaisir. Ils se donnaient encore des jouissances et ma femme j’étais maintenant convaincu qu’elle y participait. Ils continuèrent ainsi jusqu’à l’arrivée près du marché.

C’est alors que l’homme s’est reculé et ses mains se sont agitées sur son zeb pour le remettre discrètement dans son pantalon. Et quant le bus s’est arrêté, ma femme s’est enfin retournée pour voir l’homme. A ce moment, elle ne m’avait pas encore vu, alors que j’étais derrière et sur leur flanc. J’ai vu l’homme qui lui souriait et il me semblait qu’elle répondait à son sourire. Et c’est alors qu’elle fit une chose qui me semblait incroyable mais qui me confirma sa participation à la sodomie et aux jouissances qu’elle en a tirées. J’au vu la main de ma femme, descendre de la barre du bus et, discrètement et rapidement, au milieu des mouvements de la foule du bus, elle la dirigea par derrière, vers la braguette de l’homme qui était derrière elle. Et elle empoigna son zeb à travers le pantalon. C’est comme ça que j’ai pu constater la longueur et la grosseur du zeb dans la main de ma femme qui a du ressentir sa puissance. Mais elle le relâcha rapidement et s’éloigna, dans la cohue, vers la porte du bus.

L’homme, satisfait de sa drague et de son éjaculation, puis de l’accord de la femme qui avait empoigné son zeb, réussit à la rejoindre pour se coller encore à sa croupe. Sue son visage, on voyait nettement un grand sourire de satisfaction. Ils atteignirent la porte du bus et sortirent ensemble, presque comme mari et femme. Mais dehors, ma femme commençait déjà, par ses mouvements de tête, à me chercher et je fus rapidement à coté d’elle. J’ai bien remarqué le désappointement sur le visage de l’inconnu qui comprit que sa proie était accompagnée, mais j’ai aussi remarqué que son zeb gonflait encore sa braguette, puis il s’éloigna.

Le hijab de ma femme était visiblement tâché par derrière au niveau de son cul. Je savais que c’était le sperme du zeb essuyé par l’homme. Ma femme marchait à coté de moi, sans dire un mot comme si rien ne s’était passé. Elle ne savait pas que j’avais tout vu entre elle et l’homme collé à son cul. Alors que je lui faisais remarquer que son hijab était tâché par derrière, pour savoir ce qu’elle allait répondre, elle ne semblait pas être étonnée et me répondit simplement qu’elle avait déjà remarque cela, ce matin, sur son hijab. Et elle a ajouté qu’elle le nettoiera dès notre retour à la maison. C’était un gros mensonge qui me confirma qu’elle avait bien participé et jouit des attouchements de l’homme et savait qu’il avait éjaculé et qu’il s’était essuyé sur son hijab par derrière. J’étais sur, qu’elle aussi, elle doit avoir le slip totalement mouillé de cyprine et que sa mouille coulait encore entre ses cuisses. Je me suis promis, pour tout à l’heure, à notre retour, de bien choisir un bus bien rempli.

Deux heures plus tard, nous avions finis nos achats et j’ai proposé, à cause des deux cabas pleins, qu’on revienne chez nous par taxi mais ma femme a nettement refusé sans même me donner les raisons de son refus, moi, je pense avoir deviné pourquoi. Elle désirait revivre ce qu’elle avait vécu lors de son premier voyage, se frotter aux hommes et à leurs zebs gonflés et, peut-être trouver un plus hardi que les autres pour pousse son zeb dans le cul ou la chatte. Pour l’exciter encore, j’ai proposé de monter dans un bus qui était assez vide mais elle a encore refusée. Elle a attendu qu’il soit pratiquement rempli pour monter en se frottant à la foule masculine jusqu’au milieu du bus. Cette fois aussi, c’était l’unique femme au milieu de ces mâles. Avant de monter, elle avait sorti de son sac à main, un flacon pour se parfumer. Ainsi, maintenant, au milieu des hommes, elle embaumait tout le bus et c’était effectivement excitant. Moi, je n’ai réussi que difficilement à monter à l’avant, gêné par mes deux cabas.

Elle m’avait fui vers le milieu, c’était sa manière de me dire qu’elle désirait être au milieu des mâles et ressentir leurs zeb gonflés lui frotter les flancs, les hanches, la croupe, le bas ventre par devant vers sa chatte. Elle avait les deux bras levés et les deux mains sur la barre supérieure du bus et avançait entre les hommes qui, tout en la laissant s’avancer, en profitaient pour se frotter à elle. Elle les échauffait et cela l’excitait. Les bras levés, son corps était totalement libéré pour profiter des attouchements indiscrets de partout. De plus, dans cette position de bras levés, sa poitrine et ses seins étaient très soulevés, dressés et on pouvait distinguer les belles rondeurs de ses seins et de leurs pointes sur le devant du hijab. Donc, elle avait programmé cela et ne portait pas de soutien et ses rondeurs étaient très facilement accessibles aux attouchements, caresses et frottements des poitrines et des mains de son entourage mâle. Ma femme les excitait et s’offrait à eux, attendant seulement celui qui va oser la toucher franchement et se coller à elle. Arrivée vers la fin du bus, elle s’arrêta. Elle avait devant elle le dos d’un homme qui collait à la vitre du bus. Elle garda ses bras levés et les mains sur la barre et s’immobilisa, ce qui fait que sa poitrine collait au dos du gars.

Très rapidement, j’ai vu un jeune homme, à l’avant, se frayer un passage vers elle, avec difficultés certes, mais avec volonté et énergie. Et arrivé à son niveau, il se colla carrément au derrière de ma femme. Ses deux mains qui glissaient d’abord sur la barre supérieure du bus ont disparu quant il se colla à la croupe de ma femme. J’étais sûr que les mains du jeune homme tenaient, maintenant les hanches de ma femme. Comme elle ne bougeait pas, les mains tenant la barre et le corps tendu, j »étais certain qu’elle devait apprécier le collage du jeune à sa croupe, comme le précédent. Après un petit moment, elle ôta une de ses mains de la barre et elle disparut vers le bas. Là aussi j’étais certain que sa main était allée toucher ou même caresser et provoquer la braguette du jeune et son zeb.

Cette pensée m’excita beaucoup et j’avais une folle envie de m’approcher pour voir, mais les deux cabas que je tenais me gênaient. Après un moment, j’ai capitulé et j’ai décidé de m’en débarrasser, en les posant derrière le dossier du chauffeur du bus et de les cacher par dessous son siège. Puis j’ai commencé à avancer vers ma femme en profitant petit à petit des secousses du bus. Et, arrivé à son niveau, je me suis glissé comme avant et volontairement sur le côté, donc me collant aux flancs de ma femme et du jeune homme collé à elle. Ainsi, comme tout à l’heure, je Pouvais voir en gros ce que faisait le jeune homme dans le dos de ma femme.

Il avait, comme prévu, ses deux mains accrochées aux hanches de sa proie et son bas ventre tendu à fond vers l’avant, était tellement collé à la croupe de ma femme qu’au début je ne pouvais rien distinguer. Mais, comme j’étais pratiquement collés à eux, je ressentais les légers déjà les légers mouvements du bassin du jeune contre la croupe de ma femme, donc il faisait ses vas et viens de son bas ventre, mais je ne voyais pas encore son zeb. Mais comme j’étais tellement excité et désireux de voir, j’ai osé donner quelques légers coups d’épaule et de corps au jeune homme, ce qui l’a déstabilisé et obligé à s’écarter un peu du corps de ma femme. Il m’a jeté un regard effrayé et apeuré tout en ôtant ses mains des hanches de ma femme. Je crois qu’il pensait que sa proie était en relation avec moi, peut-être même ma femme. Mais, pour le rassurer et l’encourager à continuer sa drague, je lui ai fais un clin d’œil complice et un sourire ajoutés à un hochement de tête pour continuer. Il a été soulagé et a répondu à mon sourire, et immédiatement ses mains ont retrouvé les hanches de ma femme, son bassin s’est recollé étroitement à sa croupe et il a recommencé les vas et viens de son zeb.

Mais pendant ce court intermède où l’espace entre eux s’était assez élargi, j’ai aussi aperçu sa bite, du moins une partie à découvert, la tête de son zeb et un peu de sa hampe. Il était bandé car pointé vers l’avant. Et j’ai pu aussi constater deux choses importantes, le hijab de ma femme était enfoncé entre ses fesses de ma femme et surtout sa main qu’elle avait envoyée par derrière, à la recherche du zeb qui avait abandonné son cul. Avant que le gars ne réagisse, elle saisit le zeb et l’enfonça vers son cul. Heureusement que j’avais souri au jeune homme et ce geste de la femme l’encouragea encore mieux. Et c’est alors qu’il se colla encore plus sur elle et redémarra ses légers frottements et vas et viens. Pour ma part, la vue de ce zeb d’étranger tendu, le geste de ma femme qui l’avait empoigné et poussé volontairement vers elle, dans ce sillon du hijab profilait la fente de ses fesses et de son cul, tout cela a déclenché mon excitation et mon zeb s’est réveillé dans mon slip.

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
Incroyable comme j'ai mouillée trop excitant j'ai la chatte en feule me suis branlée comme jamais heureusement que j'ai mon gode a portée de main je vais me défoncer la chatte et le cul
Posté le 13/05/2023

Guépiere
Bravo belle histoire de candaulisme voues etes comme mon mari qui adore me voir m'occuper de queue des autres hommes les faire jouir et en jouir. Pensez à lire à noter mes récits et à faire des commentaires. De plus vous pouvez partager avec tous vos contacts un lien vers mes aventures bien réelles. Merci d'avance bisous Marie
Posté le 21/10/2022


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