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RENOUVEAU - Les gorges de l’ardèches (Partie 1)

RENOUVEAU. Une romance érotique de notre couple. Entre réel et phantasme, vous allé l'histoire de notre couple amoureux. Comment nous luttons pour toujours rester passionné comme au premier jour.

Proposée le 26/09/2022 par damienardent

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Histoire vraie


RENOUVEAU - Les gorges de l’Ardèche (Partie 1)

Renouveau.
Ce mot résonne en moi comme une rengaine. J’approche la 40ène et mon corps, mes pulsions sexuelles me réclame du changement.
Je suis marié depuis maintenant 10 ans à ma femme. Elle est vraiment belle et encore plus sexy qu’à nos débuts.
Depuis toutes ces années ensemble, elle me fait toujours une forte impression. Je la désire.
Son corps, ses formes pulpeuses me font gonfler d’envie comme au premier jour.
Nous avons toujours été un couple qui aimons le sexe et nous nous en sommes jamais caché.
Au prémisse de notre relation, il nous arrivait souvent de sortir quelque peu des sentiers battus. Mais comme pour toutes relations au fil des années, la passion se transforme en amour, l’amour en routine.

Pour comprendre notre histoire, il faut revenir à nos débuts.
J'habitais à Saint-Denis. J’avais alors 24 ans et j’étais un garçon assez timide pour faire des rencontres dans la vie réelle. Je me suis inscrit sur plusieurs sites de rencontre et je dois avouer que je n'étais pas trop mauvais pour faire des rencontres.

Un soir j’entame la conversation avec un jeune femme de Paris 14ème. J’avais un peu menti sur ma fiche de profil. Je disais habiter Paris 14ème et avoir 26 ans. Un classique.

Plusieurs jours se passe et appréciant chaque conversation nous avons décidé de nous rencontrer. C’était le jour de la fête de la musique. Nous décidâmes pour cette première sortie ensemble de sortir pour profiter des festivités.
<< Je passe te prendre vers 18H00, puis si tu es d’accord nous irons danser. J’ai deux amis avec moi >>.
Message envoyé ! Mais non pourquoi j’ai dis ça. Deux amis à un premier rendez-vous, c'est ridicule. Trop tard c’est envoyé, jamais elle n’acceptera.
<< Ok, je t’attends pour 18H00>>.

Elle accepte, j’en suis tout étonnée. A 18H00 je suis devant sa porte, un peu nerveux à l’idée de découvrir celle qui avait attiré mon attention durant plusieurs jours.

Elle ouvrit la porte. Elle était là devant moi, un charme à couper le souffle. Elle s’était apprêté, chic sans être sophistiqué, l’air un peu bohème. Je la regardais un peu gêner et déjà charmé.

<< Salut ! >> me lança-t-elle le sourire au coin des lèvres et elle enchaîna.
<<On y va, je suis prête.>>

Nous sommes partie retrouver mes compagnons et nous avons dansé dans plusieurs bars. Je me souviens encore de la voir se déhancher sur un air de salsa, faisant bouger ses anges d’une façon si torride que j’en frissonnait de plaisir. Je pouvais découvrir à travers sa robe sa poitrine volumineuse et ferme. Ce soir-là elle ne portait pas de soutiens-gorges, son décolleté plongeant laissait les courbes de ses formes se dessiner sous mes yeux. Je ne pouvais m’empêcher de la regarder de tout son corps et je sentais bien qu’il y avait quelque chose de différent avec cette fille.

Après plusieurs heures à danser et flirter, elle décida de partir en me déposant un petit bisous sur la joue.
<<On se rappelle. A plus !>> Et avec son sourire charmeur elle disparaît dans une bouche métro.
Quoi c’est tout ? Elle me laisse comme ça ? Pas de baisé plus charnel, pas de dernier verre ? Est-ce que je l’ai déçu, ou alors j’ai trop insisté en la dévorant des yeux comme je l’ai fait.
Elle était partie et je suis resté là comme un con pensant avoir été un looser de première.
Après un débrief sommaire avec mes amis, j'ai pris le métro ligne 13, et après quelques stations, mon téléphone a vibré.
<< Simpa la soirée, ca te dit de venir dîner à la maison demain>>.
Ma rencontre du soir m'invite chez elle. Finalement ça ne s’est pas si mal passé ! Cette nuit histoire à commencé, c’était lancé.

Après plusieurs semaines de rendez-vous, nous commencions à être sous le charme l’un de l’autre. Il était à chaque fois de plus en plus difficile de se quitter et nous passions des nuits interminables à se découvrir, à nous essayer. Parfois en discutant de longue heure sans se lasser et d’autres en explorant et découvrant nos corps et les plaisirs qui vont avec.
C’est lors d’une de ces soirées que nous avons décidé d'aller découvrir les gorges de l’Ardèche.

En arrivant nous avons trouvé un coin au bord de la rivière un peu isolé, pour passer notre première à la belle étoile. Je me suis mis à faire un feu pour dîner. Elle était belle, ses yeux étincelaient à la lueur des flammes.
Je devais à ce moment-là avoir un sourire niais au coin des lèvres mais qui disait à quel point je la désirais.
En me regardant, je pense qu’elle compris et commença à retirer ses premiers vêtements pour se retrouver en à demi pour mon plus grand plaisir.
Nous savions que nous n’étions pas seuls. Bien que légèrement caché nous entendions parler et rire à quelques centaines de mètres de nous.
<< J’ai envie de te sucer maintenant ! >> lâcha-t-elle en se pinçant la lèvre inférieure.
Je n’ai été long à convaincre et immédiatement je me retrouvais le sexe à l’air, pentalon en bas des chevilles.
L’air frais du soir me caressait les couilles remplies de désirs devant cette beauté à demi-nu.
Ma petite coquine s'avança près de moi et me saisit la verge à demi-molle avant de faire quelques va et vient pour la faire grossir entre ses mains.
J’avais eu quelques expériences avant elle mais rien de comparable. Au milieu de nul part, elle me branlait avec douceur et fermeté à la fois.
On pouvait se faire surprendre à tout moment mais ça n'avait pas l’air de la déranger.
Elle continuait ses aller et retours, mettant une petite pression à chaque plus forte au passage du gland, me faisant grossir de plus en plus.

A genoux, j’étais assis les jambes écartées face à elle profitant de ce moment comme un cadeau qu’elle m’offrait.
J’ai commencé à caresser ses seins.
De la paume de la main je traçait les contours de sa poitrine et je sentais des frissons les parcourir, sa peau se tendait et ses seins se relevaient gonflés de passion. J’entrepris de les soupeser délicatement, comme on le ferait avec une bourse pleine de pièces pour en évaluer le poids.

D’un coup de main elle me fit basculer en arrière, ne me laissant aucune possibilité de résister.
Allongé sur le sol, la queue bien en érection, je sentit ses lèvres envelopper mon gland puis descendre le long de ma verge dur et chaude de désirs. Ses mouvements de va et vient se faisaient lentement et étaient très sensuels. Elle descendait puis remontait sans se lasser.
Chaque descente se faisait un peu plus profonde, je pouvais sentir mon gland toucher le fond de sa gorge.
Dieu que c’était bon, je perdais complètement pied et je n’avais jusqu'à présent connue pareille suceuse.

De temps en temps, lors de la remontée, comme pour reprendre son souffle, ma belle faisait tourner sa langue sur mon prépuce et tirant légèrement de sa main faisait apparaître mon gland pour le goûter et le lêcher avec grand soin.
L’excitation était de plus en plus intense, j’ai senti quelques goûte sortir de mon engin, signifiant à ma suppliscieuse à quel point c’était bon.
Elle pris quelques secondes pour goûter aux prémices de mon foutre puis repris de plus belle sa besogne avec un mouvement plus rapide et toujours sensuelle. Ma belle laissait échapper quelques soupirs de plaisir comme lorsque l’on se régale d’un bon dîner.

Je savais que si je n'intervenais rapidement s’en était fini de moi et que je finirais vidé sans avoir pu goûter aux autres délices de son corps.
Je la saisie alors par les cheveux pour la tirer et lui faire arrêter son infernal cadence qui allait de toute évidence me faire exploser de plaisir.
La tête en arrière, sa nuque était bien tendue. Je me suis mis à la sentir laissant ma respiration courir le long de son cou. Elle sentait divinement bon et cette odeur m’enivrait, augmentant un peu plus le plaisir établie entre mes cuisses.
Je la tenais fermement par les cheveux lui empêchant de relever sa tête. Ses yeux étaient fermés et elle pinçait ses lèvres avec ses dents. Elle était à genoux en se tenant avec sur deux mains placé en arrière ce qui cambra son dos bien et releva sa poitrine.
Sans la lâcher, je saisis fermement son sein à pleine main. Je restais quelques secondes à jouer avec, le faisant rouler entre mes doigts, pinçant à plusieurs reprises son tétons rougis par le désirs de ses émotions.
Doucement, parcourant l’ensemble de corps dans une longue caresse, j'atterris au porte de son intimité. Elle portait encore sa culotte, humide du désir qu’elle éprouvait. A travers le tissus mouillé, je caressait doucement son sexe, le sentant ainsi se rédire un peu plus de plaisir. Que c’était bon d'entendre ses soupirs sortir de sa bouche qui signifiaient << Encore, encore, j’en veux plus >>.

Basculant sa cullotte sur le côté, je mis à nue son vagin, lisse et dépourvue de tout poil, gonflé et mouillé, prêt à recevoir ce qu’elle désirait le plus à ce moment précis.
Mais moi aussi j’avais bien l’intention de la tourmenter un peu avant de passer à l’inéluctable.
Je glissait alors un doigt me frayant une place entre ses deux lèvres. Pas trop profond, juste assez pour aller caresser du bout du doigt le haut de son intérieur, lui laissant échapper de nouveau gémissement. Je sentais la chaleur de son vagin sur mon doigt, des goûttes commençaient à couler dans la paume de ma main. Je me mis à alterner, entrant et sortant pour caresser son clitoris. Je sentais qu’elle perdait pied, et qu’elle attendait le moment ou je m'introduirai en elle.
Je ne la fis pas trop attendre et dans un élan qui me surpris moi même je lui criais : << À quatre pattes, tout de suite>>.


Elle s'exécuta avec empressement, me tourna le dos et se mis à quatre pattes, laissant apparaître devant mes yeux ses fesses parfaitement rebondies.
A ce moment- là j’avais totalement oublié que nous étions dans la nature et qu'à tout moment nous pouvions être surpris.
Seul ses fesses et son vagin pointant dans ma direction occupait mon esprit.
L’empoignant alors de chaque côté je m'introduis avec fougue et puissance. Je brûlais de désirs et je devais lui faire sentir.
Ce que je fis avec des mouvements de coïte dur et soutenu. Et sans ménagement, serrant ses fesses de plus en plus je continuais à la pénétrer.
Elle respirait de plus en plus fort et ses gémissements se transformaient en petits cris, je sentais son liquide couler le long de ma verge pour finir sa course entre mes cuisses.


Soudain je mis brusquement un terme à ma course folle. Un peu plus loin, caché par les flammes de notre campement, j'aperçus une silhouette accroupie à côté d’un arbuste. Quelqu’un regardait notre spectacle que nous livrions en pleine nature. Il avait l’air d'apprécier et se caressait l'entrejambe à travers son pantalon. Je fut encore plus surpris que ma partenaire regardait dans sa direction sans aucune gène.
Elle tourna sa tête dans ma direction et avec un sourire du coin des lèvres posa une main sous ma fesse et me fit comprendre que je devais reprendre la ou je m'étais arrêté.


Je me remis à la tâche avec un peu de gêne de savoir que quelqu’un nous épiait pendant que nous nous adonnions aux plaisirs de la chair. Cela n’avait pas l'air de bouleverser ma belle. Au contraire, elle recommençait à gémir avec plus de force et de passion, comme si, en plus de vouloir nous donner du plaisir, elle souhaitait en donner à notre invité.
Pendant que je reprenais mes esprits, l’homme tapis dans l’ombre se mit à l’aise et sortit un chibre énorme et dur qu’il commença à astiquer avec sa main.
Ma belle poussa un cri aigu en voyant l’engin de notre ami, submergé par l'excitation de la situation.


Un peu embarrassé de voir ce pénis bien plus gros que le mien, il fallait que j’affirme ma virilité en prenant ma tigresse avec hargne et passion.
Mes coups de bassin se faisaient de plus en plus ample et fort, mes couilles claquaient et je râlais de plaisir. Je me mis à lui donner des petites claques sur chacune de ses fesses et voyant qu’il n’y avait pas d’objection je continuais un peu plus fort.
Nous étions devenu des bêtes sauvage, poussant des cris d’animaux, transpirant le sexe et halletant de désirs. Sa croupe commençait à bien rougir et soudain elle me lança sur un ton très sûr d’elle << Insultes-moi ! Maltraite moi !>>.
Ce que je fis sans perdre de ma fougue.
<< Tu es ma petite salope à moi ! Tu aimes ca >>
<< Oui ! Encore ! >> répondit-elle à bout de souffle.
<< Ca t'excite de te faire prendre devant des inconnus ! Nue dans la nature comme une chienne ! >>
J'apercevais notre inconnue qui torturait son sex avec des mouvements rapide et sec. Je pouvais deviner ce bruit si particulier quand un homme s’adonne au plaisir solitaire.
<< Je vais te faire jouir comme jamais ! Tu es cochonne et tu pue le sexe ! Regarde comme tu l’excites ! >> lui criais-je en recommençant à la fesser afin que le rouge de fesses, toujours tendu, ne s'amenuise pas.
La passion était à son comble, je sentais ma verge dur comme jamais elle ne l’avait été. Mes couilles étaient prêtes à expulser toute ma semence bien au fond son vagin qui lui aussi montrait les signes d’un orgasme intense.
C’est notre comparse qui fut le premier à venir dans un grognement montrant à quel point on l’avait satisfait. Il se vidait devant nous sans retenue.
Ce fut le coup de grâce pour ma belle qui se mit à crier sans retenue. Ses jambes tremblaient et je sentais son vagin se contracter de plaisir.
Dans les secondes qui suivirent ce fut à mon tour de lâcher tout ce que j’avais pour inonder son intérieur.
Je sentais mon jus se répandre en elle et mes mouvements devenaient saccadés.
Mes mains étaient bien agrippé à ses deux fesses et je profitais de chaque instant de plaisir.


Tous ceux qui étaient aux alentours devaient maintenant nous entendre car nous ne faisions plus du tout attention au volume de nos cris.
Ce fut au bout de 6 ou 7 giclés que je finis par libérer ma sauvageonne qui se retourna vers moi pour finir par m’embrasser à pleine bouche.
Rien n'avait d’importance, nous étions au comble du bonheur devant notre feu qui lui aussi était calmé.


Notre partenaire d’un soir se rhabilla et partit rapidement en nous faisant un petit sourire pour nous remercier et nous faire savoir qu’il avait apprécié ce spectacle en plein air.
Cette nuit se passa à la belle étoile. Blottie contre moi, j’ai passé une partie de la nuit à lui faire des caresses.


Cela faisait à peine quelque semaine que nous étions ensemble et nous venions de vivre une nuit intense et charnelle.

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Commentaires de l'histoire :

damienardent
Merci beaucoup pour votre message. Je suis en train de rédiger la suite...
Posté le 27/09/2022

etreinteAmoureuse
Vraiment très excitant ... hâte de lire la suite.
Posté le 26/09/2022


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