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L'homme fontaine (2)

La suite des aventures de Louis, éjaculateur précoce et abondant. Sa sœur découvre qu’il éjacule tous les jours dans ses culottes et décide de se venger. Et cette fois la vengeance va être très chaude …

Proposée le 2/09/2022 par André Halphus

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Thème: Masturbation
Personnages: Solo
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman


(suite de https://www.histoire-erotique.org/recit-erotique-1745.html)
Sandra découvre, stupéfaite, sa culotte maculée d'une quantité impressionnante de sperme encore chaud. Or il n'y a qu'un seul garçon présent dans la maison : son frère Louis …

Elle n'en croit pas ses yeux. Son sentiment premier est évidemment la colère :
"Quel petit salopard de vicieux ! Il était bien en train de se branler, et dans ma culotte l'enfoiré !" se dit-elle.
Mais elle est en même temps saisie par la quantité de sperme qu'il y a dans la culotte. Il aurait dû mettre plusieurs jours pour en accumuler autant. Et pourtant, il est encore chaud, et il n'y a pas de traces de sperme séché. Et en plus elle reconnait bien sa culotte du jour, qu'elle a mise au sale juste avant que Louis n'aille aux toilettes, 10 minutes plus tôt !!
Elle n'est pas particulièrement fan de sperme. Au contraire, elle trouve ça plutôt dégoûtant, aussi bien pour la texture que pour l'odeur. La première, et dernière, fois que son copain Julien l'a convaincue de le faire jouir dans sa bouche, elle a failli lui vomir dessus. Et quand elle accepte de le finir dans ses mains, voire sur ses seins, elle se dépêche toujours de s'essuyer, à grand renfort de mouchoirs ultra-absorbants et de lingettes.
Mais là, elle reste scotchée devant la marée de sperme qu'elle découvre dans sa culotte. Jusqu'à ce que sa mère la sorte de sa rêverie :
- "Sandra, dépêche-toi, l'épicerie va fermer, et c'est maintenant que j'ai besoin du lait".
Du lait … de la crème … c'est exactement ce qu'elle a en face d'elle. Mais elle n'a pas le temps de penser à comment elle doit réagir. Elle rince abondamment sa culotte pour éviter que le sperme n'y laisse des traces indélébiles, et met directement sa culotte dans la machine à laver, avant de récupérer son legging et son top dans le panier, et d'y chercher une autre culotte. Elle constate alors que toutes ses culottes, ou en tous cas celles qu'elle arrive à attraper, sont maculées de tâches blanchâtres plus ou moins sèches.
"Ce petit salop se masturbe tous les jours dans mes culottes ! Mais quel putain de pervers ! Ça va pas se passer comme ça, tu vas me le payer, crois-moi !!"
Sandra se dépêche de s'habiller, sans culotte, et fonce chercher le lait pour sa mère. Doit-elle lui dire pour Louis ? Non, ce serait trop facile, et ce n'est pas dans ses habitudes d'aller pleurer dans les jupons de maman, surtout pour un différend avec son frère. La vengeance est un plat qui se mange froid, et s'il veut découvrir les dessous féminins, elle va lui montrer ce qu'une femme sait faire.

Dès le lendemain soir, elle guette le retour de Louis. Elle a même refusé une sortie avec son copain pour mettre son plan à exécution ! Elle attend qu'il s'approche de sa porte, qu'elle a laissée très légèrement entrouverte, et commence à gémir en posant son doigt sur sa vulve, par-dessus la culotte.
- "Mmmmh, ouiii, oh Julien, oh oui prends-moi. Oh comme ça oui … Mmmmhhh, hannn ouiii …"

Louis est exténué : il a révisé comme un dingue et passé trois épreuves à blanc aujourd'hui. Comme la veille, il n'a même pas trouvé 5 minutes pour se masturber dans la journée. Pas même une petite branlette de soulagement après avoir travaillé 2h en face de Nadège et son décolleté plongeant. Il pourrait presque exploser rien qu'avec le contact de son jeans sur son sexe lorsqu'il s'assoit trop près de son bureau.
Comble du comble, lorsqu'il passe devant la chambre de sa sœur, il entant des petits gémissements :
- "oh Julien, oui, tu me fais jouir, ohh mmmh"
Il n'en croit pas ses yeux : Sandra est en train de se masturber en pensant à son copain. Et elle n'a même pas fermé sa porte. Il peut tout voir : sa sœur allongée sur le dos sur son lit, la main gauche sur un sein qu'elle caresse à travers le fin tissu de sa robe, remontée jusqu'à ses hanches, l'autre main sur la culotte à travers laquelle il devine les grandes lèvres gonflées de sang, desquelles commence à sourdre un liquide qu'il commence à bien connaitre. Il voit la tache brune grossir petit à petit sur le tissu beige de la culotte. Il se cale discrètement contre la porte, la main sur la bosse de son pantalon, sous lequel sa verge bat déjà la mesure des mouvements de Sandra.

Sandra sait que son frère l'a entendue. Elle le sent, là, derrière la porte. Elle ne s'était pas masturbée depuis ses premiers émois de jeune pubère, mais elle doit donner le change pour son frère. Mais son esprit lui joue rapidement un vilain tour : elle avait oublié à quel point il pouvait être agréable de se frotter le clitoris, même par-dessus une culotte. Et, finalement, se savoir épiée dans ce moment intime aurait presque tendance à augmenter son excitation. Et c'est bientôt un véritable orgasme, tout sauf simulé, qui la secoue sur son lit, à la fois heureuse de ce petit plaisir, ravie d'imaginer l'état dans lequel elle doit plonger son frère, et en même temps un peu honteuse du spectacle qu'elle donne d'elle-même : que va-t-il penser d'elle ?! Que c'est une salope ? Une inavouable dévergondée qui, elle aussi, s'adonne à cette pratique tant réprouvée par la morale puritaine dans laquelle ils ont été élevés ?
Une fois ses esprits retrouvés, Sandra se lève et, comme elle le fait tous les soirs, se déshabille pour enfiler son pyjama, et va mettre sa culotte au sale. Elle passe un peu de temps dans la salle de bains à préparer sa vengeance, et retourne dans sa chambre, comme n'importe quel soir, pour lire un peu avant de passer à table.

Le spectacle de sa sœur se donnant seule du plaisir est trop fort pour Louis : lorsqu'il voit sa sœur se crisper soudainement en étouffant un cri, il ne peut faire autrement que de l'accompagner dans la jouissance, et se répand dans son boxer. Une fois de plus son abstinence du jour ne joue pas en sa faveur, et il doit rapidement abandonner son poste d'observation pour aller aux toilettes et s'essuyer. Il revient en catimini dans sa chambre, et attend patiemment que, comme tous les soirs, sa sœur aille mettre sa culotte dans le panier de linge sale. Il bande toujours comme un fou : déjà qu'en temps normal il lui aurait fallu au moins deux ou trois éjaculations pour se calmer, mais maintenant qu'il vient d'assister au plus excitant spectacle qu'il lui ait jamais été donné de voir, il est à moitié fou d'excitation. Il lui faut la culotte de sa sœur maintenant. Il est quasiment près à venir la chercher dans la chambre de sa sœur si celle-ci ne se dépêche pas d'aller la jeter au sale.
A peine Sandra est-elle sortie de la salle de bain qu'il s'y précipite à son tour, avant de s'enfermer dans les toilettes, avec l'objet de ses convoitises. Il commence par imprégner ses doigts du précieux nectar si généreusement déposé par sa sœur sur le triangle de l'entrejambe. Il se délecte de sa viscosité, et s'imagine déjà, avec sa copine virtuelle, en train de caresser sa vulve brulante. Puis il porte la culotte à son nez, pour respirer les effluves intimes à plein poumon. Il remarque une étrange note acide qu'il n'avait jamais remarquée jusqu'à présent. Sans doute un témoin de l'orgasme de Sandra : cette culotte est un collector ! Il évite soigneusement de toucher son sexe pendant son inspection de peur de partir trop vite. Mais c'est peine perdue : l'odeur si particulière de cette culotte, qui le renvoie directement au spectacle de sa sœur, le fait jouir immédiatement en une longue saccade de jets crémeux qui viennent s'écraser sur le mur des toilettes.

Dès que Louis est entré dans les WC, Sandra vient coller son oreille à la porte, pour écouter le résultat de sa machination. Elle attend impatiemment le moment où son pervers de frère goûtera à son cadeau empoisonné. Elle identifie facilement le bruit du pantalon que l'on descend, et imagine aisément le boxer suivre le même chemin. Puis elle n'entend plus rien : Louis doit être en train de regarder la culotte. Elle écoute avec attention, espérant entendre des bruits de clapotis d'un prépuce humide qui coulisserait sur son gland, ou une respiration un peu forte qui témoignerait de l'excitation de sa victime. Mais rien … Son plan serait-il en train d'échouer ? Moins de deux minutes après s'être postée derrière la porte des toilettes, elle entend enfin un :
- "Arrghhh" à peine étouffé.
Ca y est, il commence, et il démarre sur les chapeaux de roue apparemment. Puis elle entend le bruit de papier toilette que l'on découpe, un léger grognement, comme quelqu'un qui râle après soi-même, suivi d'un bruit sourd : le papier, très lourd, jeté dans la cuvette.
Elle n'en croit pas ses oreilles ! Se pourrait-il qu'il ait déjà joui ? Il n'est pas dans les toilettes depuis deux minutes qu'il aurait déjà éjaculé ?!

Louis essuie en grommelant le mur et le sol avec du papier toilette, et replonge son nez dans la culotte, pour se remettre dans l'ambiance. Il ne lui faut pas longtemps pour se laisser aller et caresser doucement son sexe bandé. Comme à son habitude, il étale alors la culotte dans sa main gauche, qu'il referme comme un puits d'amour dans lequel il enfonce son gland. Il sent rapidement une sensation de chaleur dominer la moiteur du tissu. L'effet est radical : excitation plus effet de chaleur égal jouissance assurée. Mais cette fois, il peut accompagner sa jouissance en accélérant sa masturbation, et en resserrant son étau brûlant sur le gland. Il n'avait encore jamais éprouvé pareille sensation en se masturbant dans les culottes de sa sœur, et la conséquence est abondante et visqueuse : il se déverse rapidement en un ras de marée de liqueur épaisse. La quantité est tellement importante qu'il ne peut tout contenir dans sa main, et est obligé de se tourner vers la cuvette pour y faire couler le surplus.

Derrière la porte, Louis semble avoir repris sa masturbation. Sandra peut entendre les soupirs, et les petits ahans de satisfaction. Elle n'est pas franchement excitée par la situation, ce n'est pas son truc, mais se sent quelque part fière d'être l'inspiratrice d'une passion si manifeste. D'ailleurs la manifestation en question s'accélère rapidement, et elle entend Louis étouffer un nouveau grognement. La puissance des jets est telle, qu'elle a l'impression d'entendre les saccades de sperme exploser contre le tissu, puis se déverser dans l'eau. Son frère n'est pas très expressif dans son orgasme, mais, à en juger par les bruits de clapotis, la quantité de sperme a l'air à nouveau impressionnante.
- "Ah ouiii, tiens, prends-ça Nadège. Ah tu mouilles pour moi hein ?! MMhhh oui, vas-y…"
Louis est visiblement reparti pour un troisième tour, en imaginant coucher avec Nadège, sa camarade de classe très certainement ! Sa perversité n'a donc aucune limite !!
Mais contrairement aux deux tours précédents, les soupirs de plaisirs font rapidement place à des gémissements, qui semblent exprimer davantage la douleur que la jouissance : son stratagème arriverait-il enfin à donner des résultats ?

Louis recommence rapidement à éprouver du plaisir, mais pas seulement. Quelque chose ne va pas, mais il ne saurait dire quoi. Il a l'impression d'être encore plus sensible du gland, qui commence sérieusement à brûler. A chaque fois qu'il touche son gland, il ressent un étrange mélange de plaisir intense accompagné d'un jet de semence de plus en plus liquide et translucide, et de douleur aigue comme s'il se frottait le gland avec des orties. Rapidement, ses doigts, son nez et sa bouche se mettent également à brûler et piquer, comme s'il était couvert d'acide.
Il se retient de crier, mais la douleur devient de plus en plus forte : il doit se rincer au plus vite, la liqueur intime de Sandra est en train de le brûler à vif. Il remonte son boxer, dont le frottement sur le gland tumescent provoque un nouveau jet de sperme. A nouveau lorsqu'il remonte son pantalon, la compression de la braguette sur son sexe qui ne veut pas dégonfler provoque une éjaculation. Pis encore : chaque pas qu'il fait vers la salle de bain provoque une nouvelle décharge douloureuse.
Une fois dans la salle de bain, il se dépêche d'enlever ses vêtements et fonce dans la douche à l'italienne pour s'asperger le sexe et le visage d'eau froide. Il déteste les douches froides, mais dans l'état où il est, il n'y a que le froid qui puisse le calmer. De la même manière que l'eau tiède semble chaude lorsqu'on s'asperge un coup de soleil, même l'eau froide de la douche lui paraît brûlante, et provoque un jet quasi-continu de sperme sous l'effet involontairement aphrodisiaque de la chaleur sur son gland.

Lorsqu'elle entend Louis crier un peu plus fort, Sandra se met en retrait dans le couloir pour que son frère ne la voie pas en sortant des WC. Il est tellement pressé qu'il ne fait de toute façon pas attention à elle. Il n'a d'ailleurs même pas pris le temps de nettoyer les toilettes, qu'elle découvre, stupéfaite, complètement maculées de sperme, comme si une orgie venait de s'y dérouler.
Elle suit discrètement son frère dans la salle de bain, dont il n'a pas non plus pris le temps de fermer la porte. La vision qui s'offre à elle est alors au-delà de ce qu'elle aurait jamais pu imaginer : son frère, plutôt bien monté, est en train d'éjaculer quasiment en continu. Et pas des petites répliques post-orgasmiques, non, de vrais geysers larges et abondants, d'un liquide manifestement très fluide et transparent, ce qui n'est pas étonnant vu la quantité qu'il a déjà éjaculée depuis 5 minutes qu'il se masturbe.
Au début fière de son stratagème, devant la douleur manifeste de son frère et l'absurdité de cette lance qui crache à tout va, Sandra se sent rapidement gênée : elle voulait lui donner une bonne leçon pour sa perversité, pas le transformer en un monstre de foire priapique !
Résistant aux haut-le-cœur que lui provoque l’odeur saturante de sperme, elle commence par aller nettoyer les toilettes : pas question de mêler les parents à cette histoire qu'elle doit régler seule avec son frère. Elle fonce ensuite dans sa chambre chercher une crème apaisante, qu'elle utilise tant pour les brûlures ou les coups de soleil que pour son intimité sensible aux frottements des préservatifs qu’elle utilise avec Julien.

Sandra rentre dans la salle de bain expliquer la situation à son frère : après avoir compris ses petites habitudes onanistes et fétichistes quotidiennes, elle a décidé de se venger en enduisant sa culotte d'un spray au piment que lui a donné l'un de ses copains de la fac de bio. Sa masturbation, qui n'était censée être qu'un simulacre, devait exciter Louis pour qu'il ne se rende pas compte de l'odeur un peu acre du produit. Elle se sent maintenant penaude de ce plan machiavélique qui a parfaitement fonctionné. Louis dans un premier temps ne cherche ni à s'énerver, ni à s'excuser, il veut juste que les sensations de brûlure s'arrêtent !! Il dépose de la crème apaisante sur ses lèvres, son menton et son nez, puis commence à s'en enduire le gland, tellement douloureux qu'il ne se rend même pas compte que sa sœur reste coite, face à lui, totalement interloquée par le geyser continu de son sexe. Le baume est heureusement très efficace, et Louis commence à reprendre ses esprits.
Lui-même est effaré de la quantité de sperme qu'il vient d'éjaculer dans un si court laps de temps. L'avantage est qu'au moins il a finalement débandé, la honte d'être nu devant sa sœur l'aidant un peu. Et il n'a plus du tout envie de se masturber, comme un boulimique enfin repu.
Sandra aide alors son frère à nettoyer la salle de bain, pendant qu'il lui raconte sa situation : son excitation très rapide, ses éjaculations précoces, dans des quantités pantagruéliques, et la taille de son sexe, qu'il juge petit par rapport aux standards qu'il a l'habitude de voir dans ses films et revues porno. Tout ça ayant pour conséquence qu'à 18 ans, il est toujours puceau, et n'a que les culottes de sa sœur pour assouvir ses fantasmes.
Sandra, attendrie par la détresse de son frère, commence par le rassurer sur la taille de son sexe : les pornos ne sont pas une bonne référence pour juger ! Au contraire il aurait plutôt un sexe supérieur à la moyenne. Quant au fait qu'il soit précoce, non seulement ce n'est pas le seul, mais en plus ça ne l'empêche visiblement pas de continuer. Au contraire, elle connait des filles qui seraient folles d'envie de coucher avec un mec qui peut jouir autant de fois de suite ! Si en plus le mec en question est puceau et a tout à apprendre, elle connait la candidate idéale pour l'éducation sexuelle de son frère …

La suite au prochain numéro ;)

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