Histoire Erotique

Littérature adulte en ligne, histoires érotiques et récits coquins gratuits...

Le jurassien et la petite indienne. 3

Chez nous dans le Jura, il n'y a pas de pur sang arabe mais de robustes chevaux comtois, infatigables, qui peuvent labourer des heures durant sans jamais prendre de repos. Ca ne rebutent pas mes deux visiteuses et après la vallée juteuse me font découvrir le gouffre sombre de leur cul.

Proposée le 2/09/2022 par mlkjhg39

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Jeu érotique
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Histoire de notre rencontre. 3


Et aussitôt, elle s’assied sur mes cuisses, mais cette fois-ci, elle me tourne le dos. Elle pose ses mains sur mes épaules, ses pieds sur mes cuisses et soulève ses fesses. Margot, comprenant quelle sera la suite du programme, prend mon mandrin et le tient fermement jusqu’à ce que mon gland soit engagé dans la fente de sa copine qui se laisse tout doucement descendre.
Une fois qu’elle a bien trouvé la position idéale pour un emboitement parfais de nos deux sexes, j’ai droit à une chevauchée inversée digne d’un cosaque montant à cru. Elle me taille le crayon à une vitesse folle.

Suite :
Mais c’est assez exténuant, elle finit complètement fourbue et repose les pieds à terre, mon flotteur complètement immergé dans son puits d’amour.
A moi de prendre la relève. Je glisse mes bras sous ses cuisses pour les soulever, bloquant mes mains à la pliure de ses jambes et me relève d’un coup de reins. Elle se retrouve suspendue à moi, son dos contre ma poitrine, Mon sexe au plus profond de son intimité.
Sans trop de difficulté, je relève les bras décollant sa vulve de mon pieu jusqu’à la limite ultime et laisse retomber son corps qui fait du bruit quand il claque sur le mien, elle m’aide en appuyant des jambes et des mains pour se soulever. Margot s’est agenouillée entre mes cuisses et profite de petites erreurs d’appréciations de ma part pour me dévorer le dard ou coller ses lèvres sur la vulve d’Alice.
Mais moi aussi je fatigue et vais la déposer sur le divan avant de m’assoir à côté d’elle pour reprendre mon souffle.
Margot voit tout de suite une occasion de reprendre le témoin de chair et de sang dans sa chatte. Elle me chevauche, posant un genou de chaque côté de mes jambes et prend son plaisir toute seule sur mon nœud. Ses gros seins ballottent au rythme de ses ruades.
Alice ne veut pas être de reste, elle monte sur le divan, se glisse entre nos deux corps et me donne sa chatte à sucer et ce qu’elle me demande est très explicite.

-J’aimerais voir luire ma cyprine dans ta petite moustache après que tu m'ais dévorer la chatte. Sentir ta langue sur mon petit clito, oh… accepterais-tu de jouer avec ? J’aime qu’on me doigte bien aussi, et longuement, part à la découverte de toute ma petite chatte qui s'avère être aussi chaude que moi. Que tes doigts parcourent mes parois gonflées par le désir, à la recherche de ma jouissance.
-Moi aussi, j'ai soif de ton jus… Je lui jette.
Son clitoris gonfle sous mes doigts, ma langue le titille, j'essaie de l'attraper entre mes lèvres.
-Huuum, j’aime quand tu joues avec... oui frotte bien que mon jus te souille la bouche !
Je l'agace de ma langue, j'excite ses lèvres intimes en la frottant dessus.

Je ralentis la cadence de mes doigts dans sa chatte. Elle me supplie de reprendre plus vite...
J’accélère encore mes doigts. J’ai trouvé son point G, j’appuie dessus, elle n'en peut plus de plaisir et m’arrose littéralement de son jus.
J’ai les doigts tout poisseux de sa mouille, j'en profite pour faire visiter sa corole à mon majeur.
On dirait qu’elle est aussi chaude du cul. Je leur annonce qu’il est temps de passer à autre chose et renverse Margot sur le divan.
-Je vais me coucher par terre, qui veut être la première à empaler son petit trou du cul sur moi ?
Elles se battraient presque. Mais je donne la primeur à Alice, un peu de chevalerie à ma gente dame du net. Je continue à préparer son anus avec l’aide de Margot qui elle s’occupe du côté face, il va falloir que son cul s'adapte dans un moment à la grosseur de ma queue.

-1 doigt, puis 2, puis 3, voilà, tu es prête, à toi de diriger la suite !
Elle saisit mon sexe d’une main, le place a l'entrée de son petit trou et commence à onduler de gauche a droite et d’avant en arrière, délicatement en se baissant lentement. Mon gland glisse doucement dans son cul, elle pousse sur ses jambes pour le faire revenir en arrière. Je regarde le spectacle. Elle cambre bien ses reins pour que j’ai la plus belle vue qui soit. Elle descend doucement, très doucement. La pression de ma bite est très forte sur son anus. Elle est obligée de remonter encore. elle serre les dents.

-Quel diamètre ! Je n'en ai jamais pris d’aussi gros...
La pression de son corps écrase ma verge, ses mouvements ondulatoires facilitent la pénétration de ma prune qui doit se faire toute petite pour écarter ses chairs, ça y est, je suis dedans ! Je sens mon gland reprendre ses proportions dans son anus et tracer son chemin, elle s'amuse comme moi tout à l'heure, ne me faisant découvrir que l'entrée de cette grotte sombre.
-Oh oui je la sens bien !

Elle s'amuse à la faire entrer et ressortir.... Son cul est grand ouvert, mais j’en veux plus. Je pose mes mains sur ses fesses et écarte pour bien voir mon sexe la pénétrer... C’est si bon !
Au bout d’un moment, ses bras et ses jambes commencent à tétaniser et elle tremble comme une feuille, ses pieds glissent sur le sol et elle se retrouve assise sur mon corps, ses fesses claquent, mes couilles sont écrasées entre nos deux corps, elle a enfin en elle l'intégralité de mon rostre si épais.

-Aaahhh ! Je chaviiire ! Je dégouline!!! S’écrit-elle. Quel pied !
Elle malaxe mes couilles en gémissant... Elle saute et resaute sur cette épée qui la transporte... Elle crie comme une folle. Je glisse mes mains sous ses fesses et accompagne sa chevauchée de grands coups de reins, les minutes s'écoulent lentement, nous en apprécions chaque seconde qui nous rapproche de l'apothéose. Elle nous commente en live :

-C’est si booonnn… je suis parcourue de frissons, je sens ton souffle dans mon cou !
Elle se tourne pour que sa langue puisse s’engouffrer dans ma bouche …
- Tu perfores mon cul avec fracas, je vais jouir... Rejoins-moi mon amour !
La pression monte dans mes couilles, mes spermatozoïdes sont sur la ligne de départ mais ne rencontrerons pas l'œuf tant espéré, Margot sourit, écoutant les commentaires de sa copine :
-Je jouis sous tes coups de boutoir, et je m'assoie sur toi pour la sentir encore tout entière au fond de moi...
Elle se laisse aller de tout son poids, elle me veut bien au fond... Puis s’écroule sur mon corps.
Je badigeonne de ma crème ce vestibule si sombre, nous nous rejoignons dans la jouissance.
Je t'enlace de mes bras, prenant sa bouche. Patiemment, j'attends que la pression retombe et que ma queue dégonfle, toujours enfichée jusqu'à la garde entre ses fesses, me laissant débander dans son anus complètement ouvert... Son corps est parcouru d’ultimes soubresauts.
Elle décule enfin de moi, Margot se précipite et lui écarte les fesses de ses mains.

-Pousse ma chérie, donne-moi sa crème !
Alice serre les fesses plusieurs fois pour expulser de ses boyaux ma semence que Margot, sans aucun préjugé ni dégoût, lape avec empressement avant de l’embrasser pour lui donner sa part.
Pendant les minutes qui suivent, je n’existe plus pour elles, Alice et couché au sol, Margot a glissé a tête entre ses cuisses et lui dévore la cramouille tout en baissant son arrière-train pour qu’Alice lui rende la pareille.
A ce spectacle, Popaul a vite fait de sortir de sa torpeur et redresse la tête.
Pour ne pas interrompre leur cunnilingus enflammé, je me mets à genoux derrière Margot et cherche une autre cible pour ma torpille. Alice, voyant ce qui se prépare, change de trou et le lubrifie de sa bave. Margot pousse ses fesses vers moi pour me donner son accord.
Je pose mes mains dans le creux de ses hanches et pousse mon bassin vers l’avant. Elle est beaucoup plus étroite du fion que son amie et son sphincter résiste à mon premier essai.
Je rapproche encore un peu plus mes genoux pour diminuer la distance entre nous reculant au maximum les fesses. Mon gland est collé à son petit trou.
Je donne un grand coup de reins en tirant sur mes mains. Ma saucisse de Morteau pour ceux qui connaissent la pub qui a fait tant parler d’elle, disparaît jusqu’aux couilles dans son fondement.
Elle pousse un cri assourdi par le sexe d’Alice qu’elle dévore avant de m’engueuler :

-Putain !... Espèce de saligaud, tu me casses le fion avec ton défonce-cul ! Tu as une vraie tour infernale qui m’éclate l’anus !
Je me retire et donne ma sucette à Alice, je l’enfonce le plus loin possible dans sa gorge pour lui faire produire une bonne dose de bave puis refait disparaître mon pieu en entier dans la petite corolle si serrée qui broie ma verge sur toute sa longueur.
Les cris de protestation de Margot se sont vite transformés en encouragements :
-Plus fort espèce de Billoute, fais-moi jouir du cul, putain ce que je prends… Alice, si tu as encore un autre étalon comme lui en réserve, je suis encore partante, bordel ce qu’il me fait jouir avec sa grosse pine !... Elle est merveilleuse et combinée avec ta bouche et tes mains, je n’ai jamais autant mouillé !!! Sa verge est si droite et si dure !!!

Alice en profite pour me triturer les couilles avec une main, ou pour me gober un œuf quand je fais une pose.
Au bout de quelques minutes de ce traitement, j’arrive à nouveau au Nirvana. Mais la contraction du cul de Margot combiné aux papouilles d’Alice ont fait monter encore d’un cran la pression dans mes bourses. Je décule de Margot en râlant de plaisir quand un jet d'une puissance folle comme ça m'arrive de temps en temps jaillit du méat, monte dans les airs et crépit son corps des reins aux cheveux, les suivants fusent baissant à chaque fois d'intensité, son dos est zébré de filament blanchâtres.
Je viens de me vider les couilles comme jamais. Oh que c’est bon...

Nous avons continué jusqu’à la nuit et que ces deux affamés de sexe aient tari le puits. Je me suis endormi heureux entre deux belles femmes aussi épuisées que moi.
Ça promet pour demain…………………..

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Fermer définitivement L'activation des cookies et de javascript est nécessaire à son bon fonctionnement. Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d'éviter au maximum les abus inhérents à la notation des récits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d'une fois la même histoire érotique.
Les notes attribuées à la volée pour un même auteur (qu'elles soient bonnes ou mauvaises) seront modérées.

Commentaires de l'histoire :

gorge profonde69
Je connais ces chevaux, robustes, avec une queue proportionnée à leur gabarit massif.
Posté le 3/09/2022


Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email


Histoires érotiques choisies :
Le jurassien et la petite indienne. 2
Le jurassien et la petite indienne.
La petite annonce
La petite mort
Ma petite saleté 2