Une bonne habitude

Chaque jour ou presque, le narrateur, un homme assez âgé, reçoit une agréable visite. Sa visiteuse est jeune. Tout se passe en silence, masturbation et fellation. Puis elle s'en va jusqu'à la prochaine fois.

Proposée le 29/08/2022 par janus04

Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme

Une bonne habitude

Maintenant l’habitude était prise et j’étais loin de m’en plaindre. Presque chaque jour, du lundi au vendredi, vers cinq heures moins le quart, elle frappait quelques petits coups rapides à la porte de mon appartement. Elle ne sonnait jamais et n’avait pas voulu dire pourquoi, mais ainsi je savais avec certitude que c’était elle.
Dès que j’avais ouvert elle me sautait au cou, refermais ses jambes sur mes hanches et disait invariablement :
« Bonjour Didi, ça va ? »
Elle ne m’expliqua jamais non plus pourquoi elle m’avait choisi ce surnom.
Je répondais :
« Ça va, ma Lulu. »
C’était à peu près les seuls mots que nous échangions. Je l’entraînais, toujours pendue à mon cou, jusqu’à ma chambre et la déposais sur le lit. Silencieuse et attentive elle me regardait me déshabiller. Une fois allongé, elle s’agenouillait près de moi et commençait à tripoter doucement mon sexe encore mou. A mon âge on ne bande plus aussi rapidement qu’à vingt ans mais ça avait l’air de lui plaire de prendre ma queue et de la laisser retomber sur mon ventre, de la reprendre, la caresser sans la quitter des yeux. Elle avait un air sérieux, absorbée par ce qu’elle faisait.
Peu à peu ma bite frémissait, commençait à s’affermir et à se dresser. Toujours aussi sérieusement, elle la saisissait et la serrait un peu plus fort, puis commençait à faire des mouvements de va et vient très lents, découvrant et cachant tour à tour mon gland. Régulièrement elle cessait ce mouvement, serrait un peu plus fort ma bite et se penchait sur elle, toujours très attentive, pour l’observer de près. Du bout de l’index elle en effleurait l’orifice. On eut dit qu’elle l’étudiait pour en faire une description précise.De l’autre main elle caressait et soupesait mes couilles, puis reprenait toujours en silence sa masturbation.
Je parvenais enfin à une complète érection, respirant de plus en plus vite et bruyamment. Je reculais le plus possible le moment de l’éjaculation et quand j’en sentais venu l’éminence je glissais une main sous sa jupe ou sa robe (elle ne venait jamais en jeans ou pantalon), entre ses cuisses et caressais à mon tour sa chatte.
C’était le signal. Nous n’en avions pas convenu explicitement mais cela s’était fait tacitement. Elle approchait son visage vers mon sexe dressé qu’elle tenait énergiquement et je sentais sa bouche se refermer sur mon gland. Alors elle fermait les yeux et dans un mouvement régressif, comme un bébé tète le sein maternel, elle tétait avidement ma bite frémissante. Je ne tardais pas à éjaculer, j’avais l’impression d’emplir sa bouche de mon sperme tandis qu’elle menait cette fellation à son terme.
Puis elle se redressait, déglutissait en souriant enfin, sautait du lit et rajustait sa petite culotte. Quelquefois on échangeait quelques mots, mais le plus souvent elle se contentait d’un « Au revoir, Didi, à demain. » auquel je répondais en écho un « Bonsoir, Lulu, à demain. »
La porte se refermait sur elle et je restais encore un moment allongé nu sur mon lit. Ma bite était à nouveau au repos entre mes jambes, toute ramollie. Jusqu’à sa prochaine visite.

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