Histoire Erotique

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Daniel, Consultant - Chapitre 2

Voilà six mois que je suis en couple avec Alessia. Pour mon anniversaire, celle-ci m'offre une série de cadeaux, tous plus excitants les uns que les autres. Au passage, je commets un écart avec Christiane, une collègue de travail.

Proposée le 12/05/2022 par Imagine69

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Inclassable
Type: Roman


Alessia enserra délicatement mon sexe en érection et m’attira avec elle sous la douche. Cela faisait six mois que nous étions ensemble. L’été était passé et l’hivers prenait ses marques. Nous nous lavâmes mutuellement en nous caressant, nous embrassant, nous taquinant. Peu de temps après notre première fois, l’italienne et moi avions emménagé ensemble et vivions le grand amour. Chaque moment avec elle était un pur plaisir. Me réveiller à ses côtés me procurait un bonheur profond et sincère. Notre vie était rythmée par des moments très différents, de complicité, d’amitié, de séduction, d’amour et de sexe torride. Alessia était bien la femme que je m’étais imaginé : vive d’esprit, légèrement dominatrice et complètement provocatrice. Elle aimait séduire et jouer avec le feu : haut transparent dans la rue (sans soutien-gorge, cela va de soi), string apparent au restaurant, mains baladeuses en place publique et fellations à peine cachées. Alessia adorait cette pratique, qu’elle soit agenouillée, accroupie, penchée, allongée sur le ventre ou sur le dos. Elle adorait mener la cadence ou se voir imposer mes désirs. Elle adorait me pousser à bout puis s’arrêter au bord de l’orgasme avant de me faire l’amour ou finalement me faire jouir dans sa bouche. Elle adorait repousser ses limites ou essayer de nouvelles techniques. Je n’avais jamais autant joui que ces six derniers mois. Je chérissais tout d’elle, de son corps à ses blagues en passant par toutes les banalités du quotidien.

Alessia éteignit l’eau, me poussa contre le mur et blottit mon sexe dur entre ses fesses et mon ventre. Elle se hissa sur la pointe des pieds et commença à se déhancher en montant et descendant. Mes lèvres se posèrent dans son cou et mes mains soupesèrent ses seins fermes. Elle se pencha en avant, pris appui sur la vitre de la douche et me lança un regard fiévreux par-dessus l’épaule. Je saisis ma hampe, fit glisser mon gland sur son anus puis dans la fente de son vagin avant de l’y enfoncer à moitié. J’admirais mon amante faire le reste, s’empaler sur moi, coller ses fesses luisantes à mon corps brulant, porter une main entre ses cuisses pour masser ses lèvres écartées, palper mes bourses rondes, taquiner son clitoris. J’épiais sa petite tâche de naissance sur son postérieur, ses reins creusés et ses cheveux trempés. Je les regroupais à l’arrière de sa tête et cela eu l’effet escompté. Alessia intensifia d’elle-même le rythme et m’encouragea à la rejoindre, la compléter. Mon bassin se mit en marche et nos corps s’entrechoquèrent sensuellement. Mes muscles se raidirent et je relevais ma copine contre moi pour repousser mon orgasme. Je glissais une main entre ses cuisses pour remplacer ses doigts et taquinais son clitoris plus énergiquement. Elle commençait à geindre fébrilement, à trembler. J’étais proche de mon objectif quand elle me stoppa et se retira.

- Tu n’as pas le droit de me faire autant de bien, murmura-t-elle en se retournant.

Elle se colla à moi, leva son genou jusqu’à mon flanc et enfonça mon sexe en elle. Je passais un bras sous sa cuisse levée et l’autre sur sa fesse pour la soutenir. Mon bassin entama des vas et viens qui la firent grimacer. Mon majeur glissa dans le sillon de ses fesses, s’aventura sur son anus :

- Mon doigt te dérange ? demandais-je entre deux râles.
- Jamais, répondit-elle en se mordant la lèvre.

Je savais que des pressions à cet endroit l’excitaient. Nous n’avions jamais essayé la sodomie mais ce n’était pas l’envie qui me manquait. Je commençais à taquiner son œillet quand Alessia posa sa main sur la mienne et m’invita à forcer son sphincter. Je la regardais avec de grands yeux, mon sexe se tendit en elle sans cesser de la pénétrer. Mes phalanges s’enfoncèrent l’une après l’autre dans son anus. En l’espace de cinq secondes, mon amante atteignit un orgasme puissant qui allait signer ma chute. Elle tremblait, criait et chancelait en laissant sa tête pendre en arrière. Alors que j’étais sur le point de jouir, Alessia se libéra de mes emprises et s’agenouilla dans la douche, le dos creusé, le regard fébrile :

- Sur mon visage, souffla-t-elle.

J’hésitais un instant pour savoir si elle était sérieuse. Je ne lui avais jamais fait ça auparavant. Ses yeux ne mentaient pas, ses intentions étaient claires. Je commençais à me masturber rapidement puis passais une main tendre dans ses cheveux. Alessia soutenait mon regard jusqu’à ce que j’atteigne l’orgasme et que des giclées épaisses de semence viennent s’allonger sur son visage. Je la trouvais sublime et excitante. Une fois terminé, elle essuya mon gland sur ses lèvres déjà souillées :

- Joyeux anniversaire mon amour, dit-elle en léchant mon frein.
- J’avais complètement oublié ! C’est un sacré cadeau… qui mériterait bien une photo.
- Mon portable est à côté du lavabo, rétorqua-t-elle en levant un sourcil malicieux.

Dès le début de notre relation, nous avions immortalisé pléthore de moments intimes, de nus presque artistiques et de positions plus ou moins acrobatiques. Nous commencions à avoir une sacrée collection ! Je sortais de la douche puis y revenais avec le portable pour saisir le visage de ma femme dans toute sa splendeur et son indécence. Alessia n’hésita pas à me reprendre en bouche pour pimenter les clichés, les rendre encore plus érotiques. Elle me rendait fou ! L’objectif du téléphone braqué sur elle lui faisait toujours de l’effet, comme s’il finissait de la dévergonder. Je m’accroupissais à son niveau, caressais sa joue juteuse et embrassais ses lèvres :

- Merci pour ton cadeau mon amour, chuchotais-je en léchant sa langue.
- Peut-être que ce ne sera pas le dernier, conclut-elle avec un air mystérieux.

Nous finîmes de nous embrasser puis nous rinçâmes avant de nous préparer pour le travail. Alessia travaillait toujours pour la même entreprise. Ma mission de conseil était arrivée à son terme et j’en avais enchainé deux autres avant de revenir au cabinet pour peaufiner de nouvelles offres. Ludovic était resté un mois de plus chez le client avant de me rejoindre. Il suivait notre relation depuis le début et je crois qu’il éprouvait parfois de la jalousie en voyant l’amour que je portais à ma copine. Lui était célibataire, mais il avait récemment fait la connaissance d’une femme, Katia, qui l’avait approché pour lui vendre une solution de digitalisation. Il n’arrêtait pas de me parler d’elle, elle qui ne semblait pas insensible à son charme. Il me la décrivait comme étant « sublime, bandante et intelligente ». Ce qui le faisait fondre, c’était son accent lithuanien et ses seins « entre lesquels tu as envie de t’étouffer ». Il devait la voir hier pour finaliser l’achat de licences. J’avais hâte qu’il me raconte tout ça. Pour le moment, je finissais d’enfiler mon costume en regardant Alessia se maquiller devant le miroir, nue :

- Hum, tu pourrais m’attacher avec ta cravate, lança-t-elle en m’épiant dans le reflet.
- Ne me tente pas ou tu vas en subir les conséquences, l’avertissais-je en m’approchant.

Je posais une main sur son sein et l’autre sous sa gorge pour guider ses lèvres vers les miennes. Elle passa les siennes sur mon pantalon, comme si elles étaient liées. Je pressais mon bassin contre son postérieur et la poussais doucement contre le miroir froid jusqu’à ce que sa poitrine s’y écrase :

- Tu ne veux pas faire l’amour à ta femme encore une fois ? demanda-t-elle en soufflant.
- Je vais être en retard mais promis je me rattraperai ce soir, répondis-je en reculant.
- Au fait, je nous ai réservé un restaurant. Je t’enverrai l’adresse pour que tu m’y rejoigne directement, ajouta-t-elle en se décollant de la glace.

Je la remerciais et l’embrassais : « Encore une chose… j’ai adoré… ton doigt baladeur ». Je me rapprochais à nouveau d’elle, glissais mon majeur entre ses fesses et le posais sur son œillet : « Moi aussi, terriblement ». J’avais tellement envie d’elle ! Elle me repoussa : « Bonne journée mon amour ». J’adorais quand elle me chauffais avant d’arrêter, quand elle repoussait le moment de la délivrance. Je partais au travail. Depuis que j’étais avec elle, je n’arrivais plus aussi tôt car chaque matin, elle me donnait envie de rester un peu plus chez nous. Tous mes collègues étaient déjà arrivés et s’installaient en salle de réunion. Je prenais place à côté de Ludovic dont le sourire était sans équivoque :

- Alors cette réunion avec ta belle Katia ? demandais-je à voix basse en sortant mon ordinateur.
- Tu ne vas jamais me croire, répondit-il avec excitation. On l’a fait hier, c’était magique et je ne suis plus célibataire ! Je te raconte ça après, ajouta-t-il quand Marc, notre directeur, entra.

La réunion commença et mon portable vibra une dizaine de minutes plus tard. Alessia venait de m’envoyer l’adresse du restaurant. J’ouvrais la conversation quand elle m’envoya un cliché de son visage souillé que j’avais pris ce matin : « Encore joyeux anniversaire mon amour ». Mon sexe commença à durcir et Ludovic murmura : « Ah mince c’était aujourd’hui ton anniversaire ». Je cachais immédiatement l’écran et il rougit de honte en s’excusant. Il venait de voir un nouvel aspect excitant de ma femme. J’espérais qu’il n’allait pas hanter ses rêves ou lui donner des envies. Mais je n’y croyais pas moi-même ! La réunion se termina et j’envoyais un message à Alessia : « Tu es folle, j’étais en pleine réunion ». Elle répondit du tac-au-tac : « Quelqu’un a vu ? ». Je jetais un coup d’œil à Ludovic : « Possible, même certain ». Elle me renvoya la photographie sur laquelle elle avait mon sexe en bouche : « Comme ça ils comprendront quel genre de femme dévouée je suis ». Marc me tapa sur l’épaule : « Ben alors Daniel, qu’est-ce que tu regardes ? Elle est mignonne cette demoiselle ». Je cachais à nouveau mon portable et me levais : « C’est fou, on n’a plus d’intimité nulle part de nos jours ». Le quinquagénaire chauve ricana et je sortais, un brin en colère.

- Viens on va prendre un café avec Christiane et Luc histoire que je vous raconte ma rencontre avec Katia, dit Ludovic sur mes talons. Oh et encore désolé et joyeux anniversaire Dan !

Je le suivais jusqu’à la terrasse où nous attendaient déjà nos deux collègues. Christiane était une jolie rousse qui adorait la photographie et les potins. Luc nous avait rejoint il y a peu et découvrait encore le monde du conseil fait de jeune gens ambitieux, parfois requins, et d’histoires à dormir debout. Une fois les breuvages servis, Ludovic commença à nous compter ses mésaventures de la veille avec Katia.

- Je suis arrivé dans leurs locaux et Katia m’attendait à la réception avec une petite robe moulante et un joli décolleté, commença-t-il. Nous nous sommes fait la bise et elle m’a accompagné dans une salle où sa boss nous attendait. Je vous épargne les détails techniques mais on a finalisé l’achat des licences et sa directrice lui a proposé de me faire visiter les locaux.

Tout le monde l’écoutait attentivement et j’essayais d’imaginer à quoi Katia pouvait ressembler.

- Du coup elle m’a fait faire un tour en finissant par une salle de réunion au dernier étage qui ressemblait davantage à un salon qu’autre chose, poursuivit-il. Je lui ai fait la remarque et là, les stores se sont baissés et elle m’a dit : « C’est parfait pour ce que j’ai envie de te faire ». Elle m’a sauté dessus et on s’est embrassés sur le canapé. Bien évidemment, j’ai investigué ce qu’elle avait sous sa robe et rien : ni culotte, ni string, rien !

Je sentais mon érection renaitre en buvant ses paroles. Christiane rougissait légèrement.

- J’ai continué avec ses seins et pareil, rien du tout ! continua Ludovic.
- Ils étaient comment ? demanda Luc, visiblement captivé par l’histoire.
- Ils étaient ronds et fermes avec de petites auréoles dures, détailla Ludovic. Vraiment parfaits ! Du coup on continue et puis elle se met entre mes cuisses et me fait une des meilleures fellations de ma vie. Le genre de fellation qui en dit long sur la femme et son degré d’excitation. La voyant très engagée, je lui demande si elle peut me faire une branlette espagnole.
- Quel gougeât ! intervint Christiane. Tu m’étonnes que t’étais célibataire !
- Oui et bien tu ne crois pas si bien dire parce qu’elle n’a pas hésité à caller ma queue entre ses seins pour me la faire ! rétorqua-t-il. Bref, elle fait monter l’excitation et je l’arrête avant qu’il ne soit trop tard. Je l’allonge sur le canapé, lui enlève le reste de sa robe, la lèche et la doigte.
- Elle était comment sa…, commença Luc avant de se pincer les lèvres.
- Vous êtes incorrigibles les hommes, lâcha Christiane en roulant les yeux.
- Elle était toute aussi parfaite que sa poitrine ! répond Ludovic en ignorant le commentaire de la rousse. Imberbe, lèvres fines et légèrement rosées… un délice ! Je remonte, on s’embrasse et je la pénètre. On fait l’amour fougueusement pendant quelques minutes puis elle me supplie de la prendre en levrette mais de ne pas finir en elle car elle ne prend pas la pilule. Elle se retourne, on commence et je peux vous dire que quand tu as un cul aussi bombé que le sien face à toi, tu ne dures pas longtemps. Du coup je me suis retiré et j’ai fini dessus.
- Et tu ne l’a pas faite jouir ? lui demandais-je en le taquinant.
- Non… mais elle m’a dit qu’elle avait adoré, qu’elle voulait qu’on se revoit en dehors du boulot.
- Vous avez un truc avec le fait d’éjaculer sur les femmes, lâcha Christiane un brin irritée.
- Tu as des choses à confesser ? la tannais-je sans attendre de réponse.
- Peut-être un petit quelque chose qui s’est passé avec quelqu’un du bureau la semaine dernière, commença-t-elle en souriant. Mais je ne vous dirai pas qui c’est !
- Oh, pourquoi ? se plaignit Luc qui commençait à être avide de potins lui aussi.
- Parce qu’il est marié… et que ça ne vous regarde pas ! rétorqua Christiane.
- Allez, dis-nous en un peu plus, l’encourageais-je d’une voix apaisée.

Elle hésita, se mordilla la lèvre inférieure maquillée de rouge puis bu une gorgée de café :

- Je travaillais tard le soir, les locaux étaient vides. Ce fameux Monsieur vient s’assoir sur le bureau et papote avec moi. Nous nous étions déjà envoyé quelques messages… plutôt chauds. Les minutes passent, la tension monte et il me dit que j’ai de jolies lèvres. Avant que je ne percute, il sort son sexe et le fourre dans ma bouche. Je réagis et le suce avant qu’il ne m’allonge sur le bureau et me lèche tout l’entrejambe. Avec toute la courtoisie d’un pervers comme lui, il me prend directement par derrière sans y aller par quatre chemins…
- Par derrière ? Tu aimes la sodomie, toi ? demanda Luc interloqué.
- Ben oui et alors ? rétorqua-t-elle. Bref il y va un peu comme un rustre et je me caresse parce que je suis quand même excitée par la situation et le lieu. J’arrive à finir en limitant les décibels et là, Monsieur se retire et me lâche tout ce qu’il a sur mon haut à 100 euros que je venais d’acheter. Je lui ai bien sûr dit le fond de ma pensée et il est parti en ricanant.
- Ouai, pas sympa ! commentais-je en ne pouvant m’empêcher de l’imaginer ainsi.
- Tu peux parler ! ricana Ludovic en me tapotant l’épaule avant de se taire.
- Quoi ? enchaina Christiane au quart de tour. Balance Daniel ! Moi j’ai tout raconté !

J’hésitais en pensant à Alessia. Voudrait-elle que je divulgue notre vie intime ? Je pensais que oui et leur racontais donc nos ébats sous la douche en m’arrêtant avant la conclusion. J’hésitais encore une fois, regardais autour de nous puis sortais mon portable et leur montrais la première photographie que m’a copine m’avait envoyé. Ils déglutirent tous simultanément :

- Woah, pas mal ! lança Luc la bouche ouverte.
- Et c’est elle qui me l’a demandé, ajoutais-je pour ne pas paraître pervers.
- Elle est très mignonne ta copine, commenta Christiane avant de glisser son doigt sur l’écran. Oh, pas mal foutu toi aussi ! Je ne savais pas que tu t’épilais, dit-elle en soulevant un sourcil.

Je tournais l’écran vers moi et voyais qu’elle avait changé la photographie pour celle sur laquelle Alessia me suçait. Je retournais malgré tout l’image vers elle, avec un soupçon de fierté :

- Je prends soin de moi, répondis-je en la laissant se rincer l’œil et se lécher les lèvres.
- Bon, c’est recevable quand c’est une femme qui le demande ! conclut Christiane.

Nous finîmes notre café puis remontâmes travailler. J’avais tellement hâte de retrouver Alessia que je n’arrêtais pas de consulter mon portable. Allais-je lui avouer que j’avais montré les clichés à mes amis ? Après tout, elle ne les connaissait pas physiquement et eux non plus car je tenais à garder mes deux vies bien séparées. La journée passa et je sentais que Christiane me regardait avec insistance et intérêt. J’espérais ne pas avoir fait de bêtise. Sur les coups de dix-sept heures, elle répondit à son téléphone, prit son ordinateur et partit pour trouver une salle. Dix minutes plus tard, elle m’envoya un message : « Je suis en réunion, est-ce que tu peux me ramener le dossier X-010 des archives ? ». Je regardais Ludovic qui était penché sur son écran puis décidais de partir au sous-sol tout seul. Je déambulais dans les couloirs blancs puis entrais dans la salle des archives. J’allumais la lumière et m’avançais quand la porte se referma derrière moi. Christiane se tenait là, en sous-vêtements, le regard en feu.

- Christiane, qu’est-ce que… commençais-je avant qu’elle ne m’intime le silence.

Elle s’avança vers moi et défit son soutien-gorge qu’elle laissa tomber en révélant sa jolie poitrine. Mon sang se glaça, j’étais paralysé. Elle se blottit contre moi, écrasa sa poitrine nue contre mon torse.

- Ta photographie m’a fait beaucoup d’effet ce matin, susurra-t-elle en posant sa main sur mon pantalon pour pétrir mon sexe. Moi aussi je veux t’offrir un cadeau d’anniversaire.
- Christiane, non… répondis-je en repoussant sa main qui revint immédiatement.
- Laisse-toi faire Daniel ! Tu pourras me la mettre ou tu voudras, éjaculer sur chaque partie de mon corps, poursuivit-elle langoureusement en palpant mon sexe dur. Tu aimes ça, non ?
- J’aime ma copine, Christiane… dis-je en cherchant plus de force pour la repousser.
- Alors pourquoi est-ce que tu bandes ? me demanda-t-elle. Ça peut rester notre petit secret…
- Je n’ai pas besoin d’une maitresse… c’est absurde !
Elle déposa un baiser sur mes lèvres sans que je ne parvienne à l’esquiver. Elle me testait.
- Dans ce cas-là, tu n’auras pas de mal à me repousser, conclut-elle en s’agenouillant lentement.

Ses doigts commencèrent à défaire ma ceinture et mon pantalon sans que je ne l’en empêche. J’étais pétrifié et quelque part, excité. Malgré ses gestes lents, il ne fallut à Christiane qu’une poignée de secondes pour extirper mon sexe droit de mon boxer. Un sourire espiègle se dessina sur son visage :

- Pas mal du tout, souffla-t-elle en m’analysant de plusieurs angles.

Elle me regarda dans les yeux, ouvrit ses lèvres rouges, s’approcha de moi. Je devais réagir vite !

- Chris… soufflais-je alors que mon sexe s’enfonçait dans sa bouche humide et douillette.

La rousse gémit en fermant les paupières comme si elle me dégustait. Elle recula en taquinant mon gland avec sa langue puis revint en creusant ses joues. Mes muscles se contractèrent. C’était bon mais l’image d’Alessia me rattrapa. Je repoussais ma fellatrice et esquivais sa tentative pour revenir :

- Je suis désolé Christiane, mais je ne peux pas, tranchais-je.

Je remontais mon pantalon et partais de la salle en la laissant quasiment nue, à genoux sur le sol. Je fermais les yeux et serrais les dents. Je m’en voulais terriblement pour cet instant de faiblesse ! Je remontais à l’étage, faisais mon sac, saluais Ludovic et partais à la va-vite du bureau pour ne pas recroiser la jeune femme. Je marchais dans la rue puis m’installais dans un parc en attendant l’heure du diner avec Alessia. Fallait-il lui avouer ? Je regardais nos photographies sur mon téléphone. Quel imbécile j’étais ! Une heure plus tard, je me remettais en route et la retrouvais devant le restaurant. Elle était magnifique avec sa petite robe noire évasée, ses talons hauts et ses yeux bien maquillés. Elle releva légèrement le bas de son habit pour me montrer qu’elle portait un porte-jarretelles :

- Hum, madame est d’humeur coquine ce soir ! lâchais-je en l’embrassant fougueusement.
- Je dirais plutôt… salope, répondit-elle en glissant un morceau de tissu dans ma poche. J’hésitais à garder ma petite culotte, et puis finalement…
- Tu as fait le bon choix, la coupais-je avec un baiser. Il faut que je te dise quelque chose Alessia.
- Ca attendra ! répondit-elle m’attirant vers un bar à côté du restaurant où nous devions diner.

L’intérieur était sombre, je ne comprenais pas ce que nous faisions là. Soudain, les lumières s’allumèrent et une foule scanda « Joyeux anniversaire ! ». Je rougissais instantanément et questionnais Alessia du regard. Elle sourit puis m’embrassa avant de m’inviter à saluer les personnes, principalement mes collègues de bureau, mais aussi quelques amis de l’université et mon meilleur ami d’enfance, Tristan. Mes lèvres se pincèrent en voyant Christiane, un peu hésitante, voir honteuse. Je la saluais comme si de rien n’était puis serrais la main de mon directeur qui était à côté, de Luc et de Ludovic. A côté de ce dernier, se trouvait Katia. Elle était en effet très charmante et sa robe couleur saumon sans bretelles offrait une superbe vue sur sa poitrine. Elle me tendit sa main douce que je serrais en la remerciant d’être venue. Quelque chose dans son regard était électrisant et je ne pus m’empêcher d’imaginer mon sexe entre ses seins. Je saluais le reste des convives et serrais Tristan contre moi : « Tu as une copine géniale Daniel ! Elle a tout géré de A à Z avec Ludovic ». Je m’en voulais de l’avoir trompée ainsi. Je m’approchais d’elle et l’embrassais en la remerciant. Tout le monde se servit un verre en se mélangeant aux autres clients du bar. La fête et la musique commencèrent !

Alessia se déhancha contre moi en me chauffant sous le regard intéressé de certains de mes collègues, dont Luc. Je repensais aux photographies et étreignais ma copine :

- Les images de ce matin… Luc, Ludovic et mon boss les ont vu, murmurais-je à son oreille.
- Hum ça en fait du monde ! répondit-elle. Tu es sûr que ce n’est pas toi qui leur a montré ?

Je ne savais pas quoi répondre car elle n’avait pas tort. Elle m’embrassa sensuellement puis m’emmena danser avec Katia et Ludovic. Les deux femmes se trémoussaient l’une contre l’autre entre nous deux puis Alessia les fit changer de place et je me retrouvais avec la belle blonde qui se mouvait contre moi. Ma copine me regardait avec des yeux de braise et quand elle guida les mains de mon ami sur ses hanches, j’en fis de même avec la lithuanienne qui colla un peu plus ses fesses à mon sexe dur. A quoi jouaient-elles ? Ludovic jeta un coup d’œil dans ma direction et haussa les épaules. Alessia lâcha son cavalier et partit en direction de Luc. Je me détachais de Katia, qui rejoignit son copain. Seul, je jetais un coup d’œil dans la foule. Je vis Christiane de dos, entre les cuisses de Marc, assis sur une chaise haute, qui avait les mains sur ses reins. Je compris que c’était lui l’homme marié et pervers avec qui elle s’était envoyée en l’air. Je partais voir Tristan en épiant Alessia qui dansait entre Luc et un inconnu :

- Elle est très… jolie ta copine, tu n’as pas peur pour elle ? me demanda mon ami d’enfance.
- Je lui fais confiance, répondis-je en croisant le regard fiévreux et aiguisé de l’italienne.
- Oui, enfin, ça m’étonnerait que les deux mecs n’aient pas une grosse érection là, lâcha-t-il.

Il avait raison et d’une certaine façon, cela m’excitait d’avoir une femme aussi séduisante. Quand l’étranger commença à remonter le bas de sa robe, je me levais et traversais la foule à la vitesse de l’éclair : « N’y pense même pas ! ». L’homme me regarda et me demanda qui j’étais. Je le saisis par le col de son t-shirt et le dégageais : « Je suis son mec ! ». Alessia me toisa, me prit par la main et me fit traverser le bar jusqu’à m’attirer dans une cabine des toilettes pour femmes. Là, elle me poussa contre le mur en bois et m’embrassa fougueusement : « Désolée, mais tu m’excites quand tu défends ce qui t’appartient ». En moins de cinq secondes elle ouvrit mon pantalon, libéra mon sexe et s’accroupit. Une trace de rouge à lèvre attira mon attention sur ma hampe mais Alessia ne sembla pas la voir. Elle enfonça mon sexe dans sa bouche et me procura une fellation intense et baveuse. Elle était sublime et n’avait rien à envier à Christiane : « Je vais défendre mon territoire plus souvent ! ». Elle sourit, me suça de plus belle puis me dit : « Viens on retourne faire la fête ». Elle se releva et allait ouvrir la porte quand je la rattrapais et la plaquais à mon tour contre le mur : « Tu ne vas pas t’échapper comme ça Madame Je-ne-met-pas-de-culotte-et-je-suce-mon-mec-dans-les-toilettes ».

Elle sourit et je relevais le bas de sa robe pour dévoiler son pubis nu et son porte-jarretelles : « C’est un peu long comme nom. Tu as autre chose d’aussi long ? ». Nous échangeâmes un rire et je la portais contre la paroi avant de la pénétrer et de la faire crier de plaisir : « Assez long pour toi ? ». Elle se mordit la lèvre en grimaçant : « Oui, plus long que ceux qui se sont frotté à moi toute la soirée ». Je m’arrêtais et la regardais avec jalousie et excitation : « Est-ce qu’ils bandaient les deux mecs avec qui tu dansais ? ». Sans hésiter, elle répondit : « Comme des taureaux ! ». Elle me rendait fou et elle le savait bien ! Je lui assénais des coups de reins torrides qui la firent crier à nouveau : « Et toi… tu bandais en dansant avec Katia ? ». Moi aussi j’avais envie de la taquiner : « Comme jamais ! ». Elle mordit ma lèvre et je la pénétrais encore une dizaine de fois avant de la faire redescendre. J’eus à peine le temps de remettre mon caleçon, qu’Alessia ouvrit la porte pour partir. J’allais la sermonner quand elle s’arrêta net : « Ah salut Katia, je ne savais pas que tu étais là. Très jolie robe ! ». Je me pinçais les lèvres. M’avait-elle entendu ? J’attendais un instant, refaisais mon pantalon puis sortais. Alessia avait disparu. Katia était penchée devant le lavabo, sa robe rentrait légèrement dans le sillon de ses fesses rondes. Nous échangeâmes un sourire de malaise avant que je ne sorte des toilettes.

Je pris une grande inspiration et retournais voir Alessia qui discutait avec Marc et Christiane. Mon rythme cardiaque s’emballa et je la rejoignais pour m’assurer de ce qui allait être dit :

- Ah, voilà le boss de la soirée, dit Marc avec ses petits yeux plissés.
- C’est vraiment une grande surprise, je ne m’y attendais pas ! répliquais-je en souriant.
- Il faudrait qu’on recrute ta copine… elle a été parfaite, ajouta-t-il en la toisant.
- Il nous a beaucoup parlé de toi, lança Christiane avec un regard froid qui se voulait chaleureux.
- Ah bon ? J’espère en bien quand même, rétorqua-t-elle en se blottissant contre moi.

Nous discutâmes un instant puis allâmes nous éclipser quand Alessia posa une dernière question : « Au fait, il est très joli ton rouge à lèvres Christiane. Il me semble l’avoir déjà vu quelque part. C’est quelle marque ? ». Mon sang ne fit qu’un tour et je vis ma collègue perdre ses moyens : « Euh… je ne sais plus… je pourrais te la donner ». L’italienne opina du chef. Nous retournâmes danser à quelques pas malgré mes jambes chancelantes : « Elle est mignonne ta collègue… mais lui il a l’air sacrément pervers ». Je reprenais une inspiration : « C’est comme ça que tu m’as appelé la première fois, non ? ». Elle rigola, se retourna face à lui, posa sa tête sur mon épaule et guida mes mains sous ses seins : « Je te rassure, je ne le laisserais pas faire ce que tu m’as fait ce soir-là». Nous continuâmes de nous déhancher puis Alessia partit au bar pour reprendre un verre. J’allais voir Ludovic qui se reposait à côté de Katia. La blonde et moi échangeâmes un regard timide. Je débriefais mon ami à propos de Christiane et Marc puis nous discutâmes un peu boulot. Ne voyant pas ma copine revenir, je partais au bar et la surprenais en train de s’égosiller avec le barman : un type grand, barbu et viril. Je m’approchais par derrière et étreignais ma femme:

- Ah, monsieur est là ! Je vous sers quoi ? me demanda l’homme.
- Une pinte de blonde s’il-vous-plait, répondis-je en me collant à ma copine.
- Seulement en échange de votre brune, rétorqua-t-il en rigolant, je plaisante ! Tenez !

Belle répartie, mais pas sûr qu’il plaisantait ! Je trinquais avec Alessia, buvais une gorgée et l’embrassais par-dessus son épaule. Elle passa une main derrière ma tête et me fit un baiser lent et sensuel qui dû mettre le pantalon du barman à rude épreuve. Je poussais un peu plus ma copine contre le meuble, guidais son talon droit sur le repose pied et glissais ma main à l’intérieur de sa cuisse. L’italienne se laissa faire et mes doigts atteignirent rapidement son intimité encore humide à l’abri des regards. Je malaxais son clitoris secrètement et elle guida mon autre main dans son décolleté. J’enfonçais deux doigts dans son sexe, la caressais de l’intérieur et palpais son sein nu sous sa robe.

- Très excitants les tourtereaux ! lança le barman. On peut savoir ce qu’il se passe sous le bar ?
- Monsieur est en train de doigter sa brune, répondit Alessia en lui souriant sans gêne.
- Monsieur est un homme chanceux, rétorqua-t-il en me faisant un clin d’œil.
- Ça t’excite que je te masturbe devant lui ? demandais-je à Alessia qui acquiesça. Chef !

Le barbu revint vers nous et je baissais la bretelle de la robe de ma copine pour dévoiler son sein. En parallèle, je pressais légèrement son clitoris et la faisais gémir. J’étais terriblement excité de la dévoiler ainsi et encore plus par le fait qu’elle se laisse faire : « Très joli sein ! Je vous offre la bière ». Alessia retira lentement mes doigts de son sexe puis remit sa bretelle avant de saluer l’homme et de m’attirer derrière elle. Elle prit un sac en chemin et m’emmena dehors, à l’écart des fumeurs. L’air était vivifiant.

- Je confirme, tu es un gros pervers ! dit-elle en rigolant. J’ai un dernier cadeau pour toi.
- Alessia, il ne faut pas ! C’est beaucoup trop, répondis-je avec gêne.

Elle me tendit le sac et je pris ce qui était à l’intérieur. La forme ressemblait à une bouteille ou un parfum. Je l’ouvrais lentement puis découvrais un tube de lubrifiant :

- On n’a pas besoin de ça généralement, si ? commentais-je en fronçant les sourcils.

Elle reprit le flacon et le rangea dans le sac derrière elle. Elle se blottit contre moi, guida mes mains sous sa robe, sur ses fesses nues, et posa les siennes sur mes épaules en me fixant dans les yeux :

- Peut-être… pour… , commença-t-elle en se rapprochant de mes lèvres.

Pensant comprendre, j’aventurais mon majeur sur son anus. Elle sourit avec envie tandis que je découvrais la plateforme métallique d’un plug anal. Mon excitation monta en flèche :

- Depuis quand ? lui demandais-je poursuivant mon exploration.
- Ce matin, répondit-elle. Je crois que je suis prête… en tout cas j’en meurs d’envie.
- Je crois qu’il se fait tard, on devrait rentrer, lui proposais-je avec impatience.

Elle acquiesça et nous nous embrassâmes fougueusement avant de prendre le sac et de rentrer dans le bar. Nous saluâmes les invités qui n’étaient pas encore partis en prétextant être fatigués. Ludovic me lança un regard entendu et Katia, un sourire intimidé. Collés l’un à l’autre, Alessia et moi rentrâmes au pas de course chez nous. A peine la porte de notre appartement fermée, l’italienne me plaqua contre le mur, m’embrassa et me déshabilla. Elle ne me laissa pas en faire de même pour elle. Une fois en caleçon, elle me poussa sur le canapé, posa le tube de lubrifiant sur la table du salon et me donna son portable : « Au cas ou tu veuilles prendre des photos ». Immédiatement, je braquais l’objectif sur elle et elle m’offrit un sublime strip-tease tout en conservant ses bas et son porte-jarretelles : « Je t’ai déjà dit que tu avais un corps magnifique ? ». Elle vint s’allonger sur moi de manière féline et lécha mes lèvres : « Je me souviens uniquement que tu m’as dit que j’avais un « cul parfait » pour notre première fois ». Je souriais, passais une main sur sa fesse gauche et lui donnait une petite tape : « Et je maintiens ! ». Nous nous embrassâmes longuement en nous caressant et nous frottant l’un à l’autre.

Les lèvres de mon amante descendirent sur mon torse et mon ventre creusé de désir. Elle se redressa, retira mon caleçon, écarta mes cuisses en grand, saliva dans les paumes de ses mains et me masturba doucement. Son regard brûlant me toisait et je pris un cliché d’elle. Je revis Christiane me faire une fellation dans la salle des archives et ne pus m’empêcher d’interrompre ma copine : « Alessia, il faut que je te dise quelque chose… ». Ses mouvements s’arrêtèrent et je lui racontais le fil de ma journée jusqu’à mon écart avec ma collègue. L’italienne était stoïque, elle me laissait parler. Je ne remarquais pas que ses mains avaient repris leurs vas et viens doucement. Je partageais avec elle mon instant de faiblesse, tentais tant bien que mal de lui expliquer à quel point j’avais été paralysé :

- … elle a fait deux allers-retours et je l’ai repoussée avant de partir, conclus-je fébrilement.
- Merci de me l’avoir dit, répondit Alessia d’une voix douce. J’avais remarqué son rouge à lèvre sur ton sexe et je comprends pourquoi tu ne l’avais pas nettoyé plus tôt.
- Tu… tu ne m’en veux pas ? lui demandais-je un peu abasourdi, le cœur battant.
- Si, je t’en veux énormément, répondit-elle sur un ton qui se voulait froid mais qui sonnait faux.

Je m’attendais à la voir se lever et partir mais au lieu de ça, elle se pencha et enfonça mon sexe jusqu’à sa glotte. Je soufflais, ne comprenais pas ce qu’il se passait dans la tête de mon amante qui montait et descendait lascivement. Elle se retira et me regarda en léchant mon gland :

- Ne t’avises plus de mettre ta queue dans une autre bouche que la mienne, murmura-t-elle.

J’acquiesçais puis posais une main dans ses cheveux pour l’encourager à poursuivre. Alessia ne résista pas et reprit sa fellation lente, profonde et humide. Elle était magnifique et terriblement excitante :

- Si ça peut te rassurer, tu es bien meilleure que Christiane, lâchais-je sans réfléchir.
- Tu as de la chance que je t’aime et que ce soit ton anniversaire, rétorqua Alessia.

Un sourire trahit son état d’esprit et je me redressais pour venir l’embrasser :

- Je rêve ou tu rigoles ? lui demandais-je avant qu’elle ne me repousse sur le canapé.
- Tu rêves ! Je suis vraiment énervée… dit-elle avant de reprendre sa fellation, plus intensément.
- Ah ! Tu es sacrément entreprenante pour quelqu’un d’énervé ! confiais-je en entendant sa glotte se faire presser. Tu ne serais pas un peu excitée par le fait qu’une autre femme ait fait une fellation à ton homme ? ajoutais-je avec une pointe de malice.
- Qu’est-ce que tu en dis des bêtises, dit-elle. Lèche-moi et tais-toi !

Elle se releva et s’allongea sur moi à l’envers, en m’offrant son intimité luisante qui témoignait de son excitation. J’enserrais son corps, posais mes mains sur ses fesses écartées et m’attaquais à ton intimité avec envie. Ma langue taquinait son clitoris gonflé et mon regard lorgnait la plateforme métallique qui masquait son œillet. J’adorais combler son sexe parfait, sentir les tressaillements de son corps et entendre son souffle se raccourcir. Dans le cas d’un soixante-neuf, j’adorais aussi sentir sa bouche et ses mains accélérer la cadence. La tension monta et nous repoussâmes tous deux nos limites dans un esprit de compétition et de concupiscence. Au bord de l’orgasme, Alessia stoppa tout et se releva. Je la rattrapais immédiatement, l’allongeais sur le canapé, me positionnais entre ses cuisses et la pénétrais intensément : « Ah ! ». Je contemplais ses grimaces, son regard intense et son corps quasiment nu : « C’est toi que j’aime Alessia, personne d’autre ». Ses doigts s’enfoncèrent dans mon dos et mes fesses, ses complaintes s’amplifièrent et mon bassin l’accompagna dans son orgasme.

Je réduisais la cadence pour ne pas jouir. Mon sexe se retira du sien, mes lèvres vinrent suçoter ses tétons durs puis son ventre. Je me retrouvais rapidement entre ses cuisses, à lécher son intimité brulante et trempée : « Tu es délicieuse ». Sa main se posa sur ma tête et elle saisit son portable pour prendre quelques clichés de moi, de nous. Je me redressais et elle me tendit l’appareil. Je pris des photographies aériennes d’elle, de son corps nu qui récupérait, de mes doigts caressant ses lèvres vaginales luisantes ou masturbant mon sexe droit au-dessus de son bas ventre. Son pied se posa sur mon torse et me poussa en arrière. Assis à l’autre extrémité du canapé, j’immortalisais ma copine dans toute sa splendeur et sa sensualité. Elle se masturba puis releva son bassin afin que l’objectif capture son plug. Elle se retourna ensuite et se positionna à quatre pattes sur l’assise, creusant son dos, écartant une fesse. J’étais subjugué par le spectacle.

Son visage se colla au canapé tandis que son fessier culminait devant moi. Elle ne bougeait plus, attendait que j’entre en piste. Je caressais ses mollets sous ses bas puis remontais ses cuisses et allongeais mon pouce dans la fente de son vagin. Je malaxais son clitoris, prenais une photo. Je refermais ensuite mes doigts sur la plateforme métallique de son plug et le retirais doucement. Un bruit de succion s’échappa, accompagné d’un gémissement. Une fois de plus, je prenais une photo puis mettais le portable et le plug de côté. Je me penchais en avant puis, sans passer par quatre chemins, enfonçais ma langue dans son anus pour l’hydrater de bave. Son sphincter se contracta une fois, puis s’accoutuma à mes caresses buccales. Je reculais, reprenais mon téléphone et capturais mon pouce qui se posait sur son œillet, avant de s’y enfoncer. Alessia gémit de plaisir, m’encouragea à continuer : « Tu aimes mon amour ? ». Elle souffla : « Oui, j’ai envie de ton sexe ». Je retirais délicatement mon doigt, ouvrais le tube de lubrifiant et étalais le liquide sur son anus et sur mon sexe. Je me redressais, mettais le téléphone en mode « Caméra » et posais mon gland sur son orifice.

Lentement, je pressais son sphincter qui ne tarda pas à me laisser passer : « Oui ! ». Un râle simultané s’échappa de nos bouches. Je sentais les muscles de la belle brune tenter de se raidir autour de mon sexe qui s’enfonçait irrémédiablement en elle. Alessia écarta un peu les cuisses et caressa son clitoris : « Tu as mal ? ». Elle répondit par la négative et recula un peu plus son bassin vers le mien. Le lubrifiant était vraiment une bonne idée. J’entamais de lents allers retours en caressant les fesses et le dos de ma bien aimée. La vue était sublime, la sensation, inégalable. Au moment où nos corps se touchèrent, mes muscles se contractèrent et l’orgasme me saisit par surprise. J’agrippais le porte-jarretelles de l’italienne et éjaculais puissamment en elle sans bouger ni pouvoir me retenir. En parallèle, Alessia avait accéléré la cadence de ses caresses et les sensations de mon plaisir la firent jouir à son tour. Jouir et mouiller, abondamment. Je sentais sa cyprine couler sur mes jambes et le canapé. Son corps tressautait et ses complaintes s’accumulaient pudiquement. J’étais ravi qu’on partage le même bonheur ensemble : « On dirait que tu aimes bien me sodomiser ». Je restais profondément ancré en elle : « Je trouvais qu’on manquait de lubrifiant… et on dirait que tu aimes bien toi aussi ».

Nous échangeâmes un rire, reprîmes nos esprits un instant. Alessia me demanda ensuite le portable et le posa contre l’accoudoir face à elle. Elle non plus ne voulait pas s’arrêter là ! Nous échangeâmes un regard complice dans l’écran du téléphone, elle au premier plan et moi au second. J’agrippais ses hanches et nos bassins se remirent en marche progressivement. Tous les lubrifiants et toute notre préparation nous permirent d’accélérer la cadence sans provoquer de douleur. Echaudée par la caméra, elle n’hésitait pas à m’encourager, m’en demander plus. Elle se redressa légèrement sur ses coudes tandis que je m’accroupissais au-dessus de son postérieur pour la prendre plus sauvagement. Au bout de quelques minutes, elle m’invita à m’allonger derrière elle. Sans me retirer, je m’exécutais et elle me suivait avec une bonne coordination. Une fois sur le dos, Alessia s’appuya avec ses mains sur mon torse et dicta la cadence en s’empalant sur moi. Face à la caméra, les cuisses écartées, je l’imaginais contempler mon mât aller et venir dans son anus.

Elle gémissait longuement et taquinait son clitoris. J’étreignais ses hanches pour la supporter et remontais mon bassin de temps à autre, par réflexe ou par envie : « Continue… fais-moi jouir Daniel ». Nos bassins se synchronisèrent et s’entrechoquèrent plus rapidement. Ayant déjà jouit, le second orgasme mettait un peu plus de temps à venir et je commençais à m’inquiéter pour le bien de ma copine : « Ne t’arrête pas ». Mon sexe pilonnait son anus et Alessia fut la première à jouir. Je la suivais de prêt et finissais une nouvelle fois en elle dans un opéra de cris. Fébrile, l’italienne fit quelques mouvements lents puis se retira et s’allongea sur moi, haletante : « Joyeux anniversaire mon amour ».

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Pongodu21
Très excitant ce joyeux anniversaire. Merci à l'auteur.
Posté le 16/05/2022


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