Histoire Erotique

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Un séminaire bien chaud pour la petite Marianne

Marianne est stagiaire. Elle a aidé à la préparation d'un gros séminaire d'entreprise et maintenant elle est en charge des invités. Rousse, parfois timide et potelée, elle tombera malgré elle sous le charme d'un homme qui en impose.

Proposée le 22/01/2022 par goelan

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Thème: Femme soumise
Personnages: FHH
Lieu: Bureau, travail
Type: Roman


Les séminaires d'entreprise sont parfois source d'inspiration professionnelle, le moyen d'agrandir son réseau, mais aussi de rencontres opportunes ou au contraire, inopportunes, si on sait saisir le bon moment, ou au contraire être la proie d'esprits plus ouverts que la normal, peu scrupuleux des conventions ou encore aux envies sexuelles de certains prédateurs...

Marianne finissait les quelques mois la séparant de la fin de ses études avec un stage de plusieurs semaines en entreprise. Elle avait déniché de justesse un poste d'assistante dans une micro boîte d'évènementiels. 

Petite, un peu boulotte, avec des seins généreux, un visage ouvert et pétillant, Marianne avait donc aidé de son mieux pour mettre en place un séminaire de 4 jours sur les nouvelles technologies connectées. Elle n'y connaissait pas grand-chose, mais son rôle consistait surtout à gérer l'accueil et le bon fonctionnement du séminaire tout au long de ce mid-week.

Marianne, pour l'occasion c'était faite rousse carotte, sur n'importe qui d'autre, cela aurait pu passer pour absurde, mais on ne savait pourquoi, sur son visage brillant et jovial, toujours souriant, avec en plus ses lunettes rondes dorées à la mode, l'effet était plutôt sympathique. Si son boss avait été surpris, car elle était plutôt une brune banale avant, il n'en avait fait aucune remarque désobligeante mais avec sa nouvelle couleur, elle ne passait pas inaperçue.

Tout au long de la matinée du jour J, la demoiselle de 20 ans tout pile, accueillit donc les invités les uns après les autres, leur donnant le petit set prévu à set effet et répondant à leurs questions. Elle en vit du monde, plus de 300 personnes étaient attendues sur les 4 jours. Certains participaient à toutes les conférences, dormant et mangeant sur place, d'autres juste pour une demi-journée. Elle ne devait donc pas se tromper entre l'identité de l'invité et la référence dans son listing.

Des hommes comme des femmes allaient et venaient, des jeunes comme des plus vieux, et lorsqu'enfin, midi sonna, ou presque, il ne restait plus que 3 totes bag sur la table. Son boss discutait ça et là, gardant tout de même un oeil sur Marianne et la secondait lorsqu'il y avait afflux de monde. 

Enfin, elle pu souffler et à son tour, trotta dans l'assemblée pour écouter, discuter ou répondre à des questions en fonction de ses connaissances. A un moment donné, un homme proche de la cinquantaine, grand, costaud, type hypster, dont le masque coupait sa jolie barbe taillée, lui posa plusieurs questions. Il avait un certain charme malgré son âge, possédait de l'humour et à regarder son costume, ce n'était sûrement pas le nouvel employé du mois mais plutôt un de ces directeurs d'une grosse boîte. Marianne était à la fois sous le charme de l'homme qui ne la prenant pas de haut, pour une fois, lui expliquait des choses réellement intéressantes, et en même temps se sentait toute petite face à cette carrure. Et cerise sur le gâteau, il sentait bon. Un parfum haut de gamme, pour homme, pas ce truc vendu en tête de gondole dans les supermarchés.
L'homme lui parla à elle plutôt qu'aux autres membres des invités, il parla de l'événement, de ce qu'il attendait puis il lui posa une question, puis une autre et encore une autre. Au final, Marianne parla d'elle, se ses études, son cursus, ses goûts, sa vie et ne s'en rendit presque pas compte. 

Ceux qui déjeunèrent sur place, furent invités à se rendre dans la salle à manger, l'homme, dénommé Vincent, l'invita à sa table. Il n'y avait pas d'attribution de place et Marianne, invitée comme les autres, pouvait donc prendre chaise où elle le voulait. Durant tout le repas, il lui parla encore, rit de bon coeur, lança quelques blagues et la mis en valeur. Bien entendu il n'en oublia pas les autres convives et chacun pu apprécier l'homme, son bagout, son charisme et son talent oratoire. Marianne était sous le charme...

Puis vint alors les conférences, Marianne avait du boulot ailleurs et elle vaquait donc à ses occupations. Elle croisa Vincent néanmoins ici et là, comme une coïncidence ou un hasard fort troublant. Car oui, elle l'était troublée mais aussi fatiguée.  C'était son premier séminaire et il y avait 1001 petites choses qui s'ajoutaient tout le temps à son planning et Marianne avait hâte d'arriver au soir et d'aller se coucher une fois le dîner terminé. Après-tout, une fois les conférences passées, ceux qui logeaient là sur place n'étaient plus tenus de respecter les horaires des conférences, et donc elle-même avait quartier libre.

Il y eut un vide entre 18h et 19h, la plupart s'arrêtant dans leur chambre pour ranger leur valise, se reposer un peu et se préparer à la soirée qui s'annonçait assez festive. Généralement la bière coulait à flot, les pros discutaient boulot, d'autres jouaient à des jeux : billards, fléchettes, baby foot, etc. Cigarettes et vapoteuses tournaient à fond sur la terrasse ou dans les jardins attenant, certains tentaient leur chance en draguant plus ou moins ouvertement dont un certain Vincent...

La jeune rousse un peu grassouillette à l'accueil lui avait tapé dans l'oeil. Il aurait pu être son père mais il s'en fichait royalement. Coincée dans son pantalon noir et un pull plutôt moulant mettant ses formes en valeur, surtout sa poitrine, elle n'était pas dénuée de charme. Sa jeunesse, son inexpérience visible et une certaine naïveté des choses lui avaient beaucoup plus. Et de fils en aiguille, il s'était amusé à en apprendre plus sur elle et à mettre son charme en marche au plus haut de ses capacités.

Vincent était un charmeur, et pas des moindres, et généralement il arrivait souvent à ses fins. Il avait faim, faim de sexe. De plus, jouer avec cette fille l'amusait beaucoup. Il n'était pas là pour ça de prime abord, il devait même animer 2 conférences, mais s'il pouvait lier l'utile à l'agréable...

Avant le dîner, il y eut un joli apéro avec petits fours et beaucoup de boissons avec et sans alcool. Marianne, fatiguée voulu éviter la chose, mais elle rencontra le charmant barbu qui lui offrit un verre de vin blanc qu'elle ne pu refuser. Il parla encore un moment avec elle, la faisant rire et lui présenta même un autre verre. Il s'esquiva plusieurs fois avec excuse car on le demandait aussi. Marianne, reposa le second verre à moitié vide et prit un peu l'air au dehors.

Elle y trouva son boss en discussion lui aussi et après quelques palabres, il l'a félicita pour tout ce qu'elle avait déjà fait. Pour sa première expérience, elle assurait. Elle en fut fortement réjouie et grelottant un peu dans l'air frais du soir, retourna en salle. N'osant pas aborder les invités, elle resta planté là à regarder ses pieds lorsque Vincent la retrouva.

Elle eu comme un chaud au coeur, il était si charmant, un peu comme un Oncle sympa qui savait faire rire et en même temps attentionné. 

Comme au midi, il l'invita à sa table en compagnie de nouveaux invités. Mais elle fut un peu chagrin lorsqu'il s'occupa plus des autres que d'elle, comme au midi. Mais après-tout, c'était normal, elle faisait partie du staff, et entre pros qui parlaient de tellement de choses qui la dépassaient, autant rester à sa place.

Un peu vexée, elle n'attendait qu'une chose, la fin du repas pour aller se coucher. Elle se rendit compte alors que sa tête lui tournait, son verre avait été rempli de blanc puis de rouge. Qui l'avait servi ? Vincent s'intéressa alors à nouveau à elle, la complimentant pour son travail, sa réussite, son avenir tout tracé. La jeune fille en fut toute troublée et commença à rougir sous les compliments.

Un bon moment plus tard, une fois le repas terminé, Marianne ne pensait plus qu'à une chose, son lit. Mais Vincent l'invita à participer aux activités de groupe, elle tenta de s'y soustraire mais peine perdue. Après quelques défaites au fléchettes et au billard, elle s'en sorti plutôt bien au babyfoot. Vincent était souvent là auprès d'elle sans être trop proche. Le juste milieu pour se faire apprécier mais aussi se faire désirer.

Marianne avoua qu'elle passait une bonne soirée, mais vers 23h00 elle abdiqua et refusa une autre partie de jeu. Elle était sur les rotules et surtout elle avait trop bu.
Il faisait nuit noire dehors et Vincent se proposa pour l'accompagner aux chambres qui se trouvaient à l'autre bout du parc. Elle refusa puis finit par céder, surtout que le parcours n'était pas totalement éclairé et qu'elle avait un peu peur du noir.

En chemin, ils continuèrent à discuter et enfin, le duo arriva en vue des bâtiments. Marianne logeait à l'étage et Vincent l'y accompagna. Sur le palier arrivant à sa chambre Vincent l'arrêta, lui demandant si tout irait bien. Face à face, il la fixait dans les yeux de son regard de Don Juan. Marianne déglutit et lorsqu'il posa sa main sur sa joue, elle frissonna sans savoir comment se comporter ensuite. 

Dans le silence du couloir, il approcha sa bouche de la sienne et y déposa un léger baiser, Marianne frémit, un second surplanta le premier, et une langue s'insinua dans sa bouche. 

Vincent se colla à la jeune femme, sentant sa poitrine s'écraser contre lui. Il lui tenait la tête, la caressant tout en échangeant un baiser passionné avec elle.

Marianne était toute chose et se sentait fondre, elle n'avait jamais eu de baisers avec un homme pouvant être son père. Dans son état normal elle l'aurait sûrement repoussée, mais là, il sentait si bon, sa main était si chaude sur sa joue et il embrassait comme un Dieu. Pourtant, professionnellement parlant, elle aurait jamais dû venir ici avec lui et encore moins lui laisser l'opportunité de l'embrasser.

Le silence était total, personne ne reviendrait de la soirée avant un moment, Vincent avait donc la tranquillité pour lui. Il n'aurait pas forcément jouer sur sa victoire, la demoiselle semblait être sous sa coupe, mais on n'était jamais certain du résultat final. Et il était encore loin de la mettre au lit.

Lorsque les caresses se firent plus osées, les mains de Vincent caressant les épaules, les bras puis les hanches de Marianne, celle-ci se sentit gagner par une certaine fébrilité. L'assurance de l'homme la rendait toute petite devant lui, elle n'osait pas se refuser et au contraire, son corps en réclamait, même si son côté pro lui hurlait de le repousser et de s'enfermer dans sa chambre... toute seule !

Les bouches se séparèrent, Vincent lui butina l'oreille droite, puis le cou. Des frissons parcoururent le corps de la jeune fille et elle glapit en sentant les doigts de l'homme sur sa peau. Il venait de passer sous son pull posant ses mains sur ses hanches. Elle se tenait à ses bras, les yeux mi-clos, dans l'atmosphère ténue du couloir à demi-éclairé. Faute de mouvement, l'entrée s'était éteinte et seule la veilleuse au-dessus d'eux les emplissait de sa lumière fade.

Le pull remonta doucement, Vincent s'appliquant à ne pas brusquer la stagiaire. Ses doigts rencontrèrent la dentelle du soutien-gorge et le sexe de l'homme grossit de plus belle dans son boxer. Marianne ne pouvait sûrement pas louper la bosse qui se collait à son ventre.

Elle laissa échapper un nouveau glapissement lorsque Vincent glissa ses mains plus haut encore, emprisonnant ses gros seins dans ses larges paumes. Tout en lui caressant sa poitrine à travers la dentelle, sentant les tétons pointer, il se remit à l'embrasser, faisant jouer sa langue dans la bouche de la jeune fille.

Vincent s'enhardit, le corps de Marianne lui faisait envie depuis le moment qu'il l'avait vu. Avec délicatesse, il remonta le pull encore plus haut jusqu'à le faire passer par la tête de la jeune fille. Elle se laissa faire, la bouche entre-ouverte, les lèvres humides, les yeux mi-clos. Il s'attaque alors à l'embrasser sur toute sa gorge de petits baisers ou de petites lichettes, explorant avec sa bouche ou sa langue la peau blanche de Marianne. Ses mains n'étaient pas en reste, il fit glisser les bretelles du soutien-gorge sur les côtés puis d'un geste quasi naturel et expert détacha le soutien-gorge dans son dos. La dentelle s'affaissa soudainement et sans attendre l'homme entreprit de libérer les gros seins et de les lécher.

Marianne suffoquait presque, jamais elle n'avait ressenti de telles sensations. Elle en oublia même l'endroit où elle se trouvait. Tout ce qui comptait pour le moment, c'était les caresses de l'homme sur sa peau, ses baisers, ses mains chaudes, son odeur, son assurance. Lorsqu'il lui la mit à moitié nue, elle sentit l'air frais et sa peau se couvrit de frissons. Mais son ventre lui restait aussi chaud que de la braise, et s'il n'y avait que son ventre ! Tout son corps bouillait et il n'en fallait pas beaucoup plus pour qu'elle perde pied. Marianne avait trop bu ou alors on lui avait fait boire trop d'alcool. De toutes manières le résultat était le même, elle était actuellement incapable de prendre une quelconque décision raisonnable. L'invité à ce séminaire profitait pleinement de ses services, caressant ses seins, les pelotant, les embrassant, tirant sur ses tétons tout en revenant à sa bouche. Sa poitrine avait toujours été un atout pour attirer les garçons, pas forcément toujours quand elle le voulait, certains ne voyant que cela et sa seule réponse étant pour eux un beau doigt d'honneur.

Mais là, elle s'abandonnait au Hypster beaucoup plus âgé qu'elle. Son coeur battait fort dans sa poitrine et sa respiration devint facilement audible. Lorsque celui-ci se mit à genoux devant la belle et lui baisa le ventre, dardant sa langue dans son nombril, elle lui empoigna les cheveux et se tendit comme un ressort.

Marianne ne comptait pas les minutes qui passaient. Depuis combien de temps son cavalier lui procurait autant de plaisir, et encore ce n'étaient que pures préliminaires. Lorsqu'enfin il s'attaqua à son pantalon, elle comprit réellement ses intentions. Il fallait être bête d'ailleurs pour ne pas comprendre. Mais pas ici quand même, en plein dans le couloir, et si quelqu'un entrait ? Surtout que les minutes s'égrènent et que certains fêtards finiraient bien par vouloir se coucher. Voir la petite stagiaire à moitié nue collée au mur du couloir se laissant faire aux envies d'un de leur congénères, que penseraient-ils ?

A moitié nue ? Plus maintenant. Son pantalon aux chevilles, sa culotte en dentelle aussi, elle s'agrippait pleinement au crâne de son tortionnaire. Mais pourquoi se laissait-elle faire ici ? Elle n'était pas vierge, elle avait eu plusieurs petits amis, et sa chambre n'était qu'à un mètre de là, elle pouvait voir sa porte à travers ses yeux clos. Mais à l'instant, elle tremblait en laissant échapper des petits gémissements. Le Hypster avait accéléré les choses, à peine son pantalon dégrafé qu'il l'avait tiré jusqu'au sol entraînant tout avec. Et sa bouche s'était aussitôt attaquée à sa vulve et pas qu'un peu. 

Marianne nue comme à son premier jour, car tout en la butinant, Vincent lui avait soulevé pied après l'autre et retiré tous ses vêtements, même ses petites ballerines, elle sentait la langue lui taquiner ses parties intimes. Jamais elle ne s'était ainsi offerte. C'était la porte assurée si quelqu'un arrivait et en même temps, malgré la peur qui lui dévorait le ventre, une excitation nouvelle et honteuse la traversait de la pointe de ses cheveux roux à ses ongles de pieds.

Elle lâcha de plus en plus de gémissements, se pliant presque en deux contre Vincent. Il savait y faire le bougre et de petits chocs électriques remontaient dans son ventre et sa colonne vertébrale lorsqu'il lui tuttait son petit bouton ou suçait son sexe gluant de mouille.

Soudain, il se releva et l'embrassa à pleine bouche. L'odeur et le goût de son sexe lui emplissant la bouche. Il la pelota, la caressa, se frotta à elle, poussant son chibre comprimé contre son ventre.

"Pas ici... " réussit-elle à geindre.

Elle fixait sa porte avec espoir, non pas ici, pas dans le couloir, c'était de plus en plus dangereux.

Mais l'hypster ouvrit sa braguette, sortit son sexe tendu et sans l'écouter, la releva contre le mur, empoigna ses cuisses, son gland frottant son intimité humide, et d'un long mouvement de bassin, il entra en elle.

Marianna gémit en s'agrippant à lui. Il attaqua tout de suite des aller et retour dans son vagin. Elle le sentait en elle et contre elle. Il était fort, musclé, autoritaire et sûr de lui. Et elle, petite stagiaire boulotte, se faisait maintenant baiser dans ce couloir mal éclairé, comme la première fille venue.

Ses cris de plaisir résonnèrent à chaque coup de butoir dans ses chairs. Et lui répétait, pas ici, pas ici, pas ici. Mais il n'en avait cure et continuait à la pourfendre jusqu'à ce qu'elle s'arque de plaisir traversée par la jouissance.

Il la reposa et la fit tourner sur elle-même. La poussant en avant, elle se tint contre le mur. Aussitôt, il replongea en elle et se remit à la baiser. Ses gros seins se balançaient en-dessous et Marianne, le souffle court, ses gémissements et cris difficilement cachés pas sa bouche close, elle fixait le couloir d'entrée avec une telle appréhension que le moindre coup de queue multipliait ses craintes et son plaisir.

Il lui agrippa les seins et les malaxa à souhait. Puis la prenant par les hanches, il accéléra le rythme. Le bruit de leur coït, la peau claquant sur la peau, le glissement du sexe dans le fluide intime de Marianne, l'odeur de sexe, tout cela fut comprimé dans ce petit bout de couloir visible du premier venu.

Ce qui devait arriver arriva. La porte d'entrée plus loin s'éclaira automatiquement à la venue d'un séminaire en quête de son lit. Marianne cria, aussitôt l'homme la releva mais resta en elle. Il la plaqua contre le mur, faisant écran de son corps.

Deux hommes entrèrent, discutant de belle voix. Marianne serra ses muscles de peur, emprisonnant la bite en elle qu'elle sentait toujours. Elle était sur la pointe des pieds, ses seins comprimés contre le mur. Il ne bougeait plus, elle non plus.

Par chance, le duo tournèrent à gauche, leur chambre n'étant pas dans le coin de celle de Marianne. Elle en pleura de soulagement. Tout à coup elle n'avait plus du tout envie de faire ça ici, cela devenait trop dangereux. Pourtant elle sentit en elle de petits coups de queue, l'autre ne pensait pas la même chose et malgré le danger omniprésent, il continuait à la baiser.

Elle supplia de nouveau, son souffle court, se mordant la lèvre pour ne pas crier.
La lumière à l'entrée s'alluma à nouveau. L'homme se figea à nouveau en elle.
Un autre homme entra, seul, il regardait le sol les ignorant tout au bout du couloir, d'ailleurs pourquoi regarderait-il par là ? Marianne priait intérieurement qu'il fille tout de suite, qu'il s'enferme dans sa chambre, qu'il les oublie et surtout qu'elle aussi puisse disparaître de là.

Mais l'homme avança vers eux. Elle ne pouvait détacher son regard de la forme qui avançait, pas après pas, vers le bout du couloir. Elle sentait le souffle de Vincent dans son cou, sa bite toujours tendue dans son vagin, ses mains qui lui tenaient les hanches. Ses mains chaudes sur sa peau. Si l'autre les voyait comme cela, elle ne saurait pas comment réagir. D'autant plus qu'elle était sur la pointe des pieds et que cela commençait à lui faire mal.

Finalement, à trois mètres d'eux, l'homme les ignorant totalement, se tourna vers une porte et chercha sa carte dans sa poche. Il la trouva, la passa devant le scanner puis par malchance, la fit tomber au sol.

Marianne ferma les yeux, qu'il parte, qu'il parte, qu'il parte. Elle gardait son souffle depuis combien de temps. Un bruit de porte, un raclement au sol, elle rouvrit un oeil, l'homme s'engouffrait dans sa chambre, les ignorant toujours.

"Ta clé, chuchota Vincent à l'oreille de Marianne

Ouf enfin, il s'est rendu compte que la situation était de plus en plus dangereuse.

"Pantalon, répondit Marianne dans un souffle toujours épinglée et plaquée contre le mur.

Elle le sentit se retirer, immédiatement elle se jeta sur ses affaires, farfouilla dans ses poches, montrant sa nudité à qui voulait la voir, ses gros seins ballotant sous elle. Enfin, elle la trouva et se précipita vers sa chambre.

Stressée, elle sursauta en entendant à nouveau des bruits à l'entrée du bâtiment et pas mal de voix en plus. Vu sa position, impossible de la louper. 

Vincent ramassa toutes les affaires de la demoiselle et se colla à son dos, faisant de sa carrure un écran protecteur aux possibles voyeurs. Elle sentit sa bite sur ses fesses nues, cela la troubla et l'énerva à la fois. 

La porte d'entrée en verre s'ouvrit, des rires et des discussions résonnèrent. Le bip de la clinche resta rouge. Marianne tremblait, elle repassa le badge dessus une fois, deux fois, trois fois, enfin il passa au vert. Elle tira la porte vers elle, mais Vincent la gênait derrière elle. 

Les voix s'approchaient, avec un peu de chance, ils ne les avaient encore pas vues.  Elle bouscula Vincent et se glissa illico dans son antre protecteur. Même si elle le voulait, elle ne pouvait pas laisser cet abruti dehors, il avait toutes ses affaires en main et sa bite toujours tendue dépassait de sa fermeture éclair.

Elle tendit le bras pour l'attirer vers elle et la première chose qu'elle rencontra fut justement le sexe tendu. Elle le serra fort par vengeance et le reste du corps de Vincent disparu lui aussi dans la chambre, la porte claqua aussitôt dans son dos.

- Espèce de malade, murmura Marianne transite de peur et folle de rage

Pour toutes réponses le Hipster lui sourit, sa queue toujours tenue par la jeune fille complètement nue. Elle s'en rendit compte et la lâcha aussitôt.

- On aurait pu se faire prendre, chuchota-t-elle

A ce moment les voix des hommes furent de plus en plus audibles et le couple les entendit juste derrière la porte.

Marianne blêmit... à quelques secondes près...

Vincent mit un doigt sur ses lèvres et s'approcha de la jeune fille qui recula. Plaquée contre le mur, elle faisait à nouveau face à cet homme qui venait de la posséder dans le couloir de l'hôtel.

- Sto... voulu-t-elle dire.

Mais il posa sa bouche sur la sienne avant qu'elle ne finisse puis il la souleva et la porta délicatement jusqu'au lit. Puis il enleva ses habits montrant son corps musclé et entretenu à Marianne.

Celle-ci était partagée entre le foutre dehors toujours rongée par ce qui venait de se passer ou...

Trop tard pour agir, l'hipster apollon venait de grimper sur le lit et se positionna entre ses jambes, l'instant d'après il la pénétrait à nouveau.

- On aurait dû commencer pas... ça, gémit-elle le plus faiblement possible pour ne pas se faire entendre des autres résidents.

- Je ne pouvais pas attendre, depuis que je t'ai vu j'avais envie de toi

Ces mots charmèrent Marianne, jamais quelqu'un ne les avait prononcés. Elle attrapa le drap et le mordit pour ne pas crier, ce n'était pas le moment de faire comprendre à ses voisins que la stagiaire se faisait sauter par un des séminaires.

Heureusement le lit était neuf et de qualité, il ne grinça pas sous les coups de butoir. Marianne soufflait fort, elle grimaçait de plaisir et tout comme l'homme qui la pelotait tout en faisant aller et venir sa bite dans son ventre, elle se mit à le caresser aussi. 
Soudain, alors qu'elle allait jouir, il se retira et se recula. Puis il enfouit sa tête entre ses cuisses pour commencer à la lécher. 

Marianne gémit aussitôt et se mit en devoir de masser le crâne de Vincent de ses doigts. Non seulement il baisait comme un dieu mais sa langue savait trouver les zones érogènes et la jeune fille se tortillait de plaisir.

Il délogea son clitoris de son cocon et le suça avec passion. Pendant ce temps, ses doigts jouaient avec son sexe offert et humide de leur rapport et il n'eu aucun mal à la pénétrait de l'index et du majeur. Donc pendant que sa langue ou sa bouche goutait au jus de Marianne, sa main s'activa à lui donner encore du plaisir.

La stagiaire ne put s'empêcher de gémir de plus belle, serrant le drap dans sa bouche pour rester la plus discrète possible. Car à cette heure, tout bruit suspect pouvait être perçu des chambres adjacentes.

Vincent retira ses doigts et explora de sa bouche les plis et replis des lèvres intimes de la jeune fille, puis comme si cela était naturel, il glissa sa langue plus bas et titilla son petit trou tout en écartant ses fesses.

Marianne voguait dans un état second, tout son corps grimaçait de plaisir, jamais elle n'avait ressenti autant de jouissance en si peu de temps. Elle en oublia presque sa rancune de l'épisode dans le couloir mais aussi de sa situation présente. Elle ne se trouvait pas des plus jolies, plutôt boulotte en fait et cela la complexait. Elle avait déjà eu plusieurs petits amis néanmoins, et couché avec deux, mais jamais avec autant de plaisir. Comme quoi avec l'âge on avait de l'expérience.

Lorsque la langue du hipster commença à jouer sur son anus, elle le laissa faire. Son dernier petit ami en date était obsédé par la sodomie et elle avait fini par céder malgré ses réticences du début. Étrangement, il avait était super doux et prévenant et elle n'avait pas eu mal. D'un autre côté elle n'avait pas eu le temps d'y prendre du plaisir, car à peine la queue du gamin plongée entre ses fesses qu'il avait éjaculé de plaisir.

Elle n'avait pas recommencé l'expérience depuis, surtout qu'elle avait rompu avec son petit-ami entre-temps. Néanmoins elle savait donc par expérience que les hommes pouvaient aimer la sodomie, maintenant est-ce que Vincent lui le ferait ? Pour le moment elle se laissait faire, envahie par les sensations qu'elle ressentait sous l'expertise de cet homme.

Quelques minutes plus tard, le Hipster était revenu contre Marianne. Il l'embrassait passionnément, tout en la pelotant d'un main et de l'autre, il faisait aller et venir son index dans son vagin et son majeur entre ses fesses. A force d'humidifier sa rosette de salive, il avait réussi à y introduire un doigt et comme la jeune fille ne tiquait pas, il l' avait enfilé en entier.

Pris d'une subite inspiration, il changea de position et se mit en 69, Marianne se trouva alors devant son sexe tendu et sans plus attendre, gourmande elle l'attrapa et posa es lèvres dessus.

Elle feula presque en sentant à nouveau la langue de Vincent lui titiller son intimité, mais comment était-ce possible ? Jamais ses préliminaires n'avaient duré aussi longtemps. Que de plaisir, que de sensations. Elle se demanda si elle serait à la hauteur pour sa fellation. Attendait-il plus d'elle qu'elle ne pourrait lui donner ? Elle s'appliqua donc à lui titiller le mea du bout de sa langue puis de sucer son gland avant d'engloutir le sexe tendu dans sa bouche.

Visiblement cela lui faisait plaisir. Elle le branla doucement en continuant à explorer sa bite de sa langue. Marianne sentit à nouveau ses orifices être possédés. Mais par deux doigts de chaque maintenant. Elle écarta plus ses jambes pour mieux lui donner accès et gémit sous les allez/retour de plus en plus rapide devant et derrière. Sans compter la langue qui lui réchauffait le bouton, c'était plus qu'atroce.

Elle sentait la tige de chair palpitait sous ses caresses buccales, ah non, il n'allait pas éjaculer si vite, elle avait encore envie de lui. Elle cessa donc de le sucer pour s'attaquer à ses bourses, les masser, les malaxer et les lécher. 

Vincent se dégagea et positionna Marianne en levrette. Il se colla derrière elle et passa son gland à plusieurs reprises entre ses fesses et entre ses lèvres, cela irritait Marianne, qu'il l'a prenne et puis c'est tout. 

Elle tortilla du cul pour lui faire comprendre qu'elle était impatiente de se refaire baiser. Il n'en demanda pas tant et son gland choisit pour lui, s'arrêtant sur l'anus détrempé. Il poussa dessus et celui-ci l'accueillit ouvertement, déjà bien préparé par les doigts. 

Marianne tendit plus haut et plus loin ses fesses et fermant les yeux, elle se demanda si elle n'était pas allé trop loin en se donnant complètement à cet inconnu. Car en fait elle ne savait rien de lui à part son boulot. Était-il marié au fait ? Des enfants ? Une fille peut-être et de son âge ? Quelles idées saugrenues que de penser à cela pendant qu'elle sentait son cul s'ouvrir et son rectum se faire remplir par cette tige chaude et vivante.
Vincent écartait les jolies fesses dodues de Marianne, il admirait son sexe qui glissait doucement d'avant en arrière entre les globes crémeux et lisses. Marianne était son type de fille. Il n'aimait pas les nanas top model mais plutôt les femmes en chair avec de quoi toucher. Et si en plus elles étaient jeunes, mignonnes et surtout très ouvertes question sexe, alors là, c'était la jouissance assurée.

Il n'avait pas du tout pensé au départ que la jeune fille s'abandonnerait aussi vite à lui. Le séminaire durait plusieurs jours mais de là à ce que la première nuit il la possède de tout côté, cela promettait de joyeuses prochaines nuits.

Pour le moment il l'encula de toute sa longueur la faisant gémir. Il se pencha et agrippa ses gros seins qui se ballottaient en-dessous.  Quelle nana ! A plusieurs reprises il avait faillit jouir, il s'était donc employé à lui donner plus de plaisir qu'il n'en recevait afin de casser le rythme. Mais putain, là, sentir son petit trou si serré, il se demanda d'ailleurs si elle avait déjà été enculé tellement c'était étroit, et puis ses gros seins entre ses mains. Il lui tira les tétons, la pelota sans vergogne et lui lécha le cou. 

Marianne mordait toujours les draps, serrant ses poings. SI sa première expérience anale fut sans saveur, outre le fait d'avoir fait plaisir à son copain de l'époque, la manière de faire de Vincent, avec plus d'expertise, l'emplissait d'une chaleur douloureusement bonne. Bon, lorsque la bite c'était introduit en elle, elle avait serré les dents, c'était tout de même plus gros que les doigts fins de l'artiste du sexe, mais maintenant, il allait et venait dans ses entrailles avec une telle passion qu'elle en perdait ses moyens. Et lorsqu'il se redressa pour la sodomiser avec plus de vitesse, plus de violence et plus de force, l'entraînant en avant avec lui, son cul chauffa d'autant, le frottement en elle, l'excita et au dernier moment, lorsque le sperme tapissa son tectum, elle jouit en même temps que lui. Ils s'affalèrent ensemble sur le côté reprenant leur souffle chacun. Il n'avait toujours pas délogé d'où il était et Marianna sentait encore les derniers soubresauts de la bite vider les quelques gouttes de sperme en elle.

- Tu es si belle, murmura-t-il

- Et toi... mon dieu, je n'ai jamais rien senti de pareil, osa-t-elle lui répondre.

- Merci, dit-il avec sincérité.

Il se dégagea et la retournant, il l'embrassa tendrement. Puis ramenant draps et couvertures sur eux, il resta là pour dormir avec elle. Elle se lova entre ses bras et s'endormit presque aussitôt épuisée et heureuse.

***

Marianne fut réveillée alors que le soleil ne pointait pas encore son nez dehors. C'est alors qu'elle se rendit compte qu'elle n'avait pas tiré les rideaux et que n'importe qui au-dehors cette nuit aurait pu les voir du bâtiment d'en face ou même sur le chemin menant au sien. Mais la fatigue fit fuir cette pensée, tant pis de toutes manières.
Elle se retourna et vit que Vincent s'habillait.

- Tu pars grogna-t-elle à moitié endormie

- Nous voir sortir ensemble n'est pas la meilleure idée du monde

Marianne grimaça, alors elle n'était qu'un coup d'un soir ? D'un autre côté, elle s'attendait à quoi.

Néanmoins l'homme se pencha et vint l'embrasser.

- Hier, c'était divin

- Hier ? J'ai l'impression que c'était il y a quelques minutes...

Il lui caressa la joue, passa sa main sous la couette et trouva un de ses seins qu'il caressa.

- Il reste encore plusieurs nuits...

Marianne sourit et en même temps une boule se forma dans son ventre. Elle ne devait pas recommencer, cette histoire n'avait pas de sens ni d'avenir.

- N'oublie pas de mettre ton réveil, lui susurra-t-il en se relevant

Elle ne répondit pas, se retournant, des larmes brillantes dans ses yeux. Elle entendit Vincent quitter sa chambre si discrètement qu'elle eut presque rêvé. Seule, une angoisse l'empoigne. Elle venait de faire une énorme bêtise et espérait de tout son cœur que personne ne l'avait appris, encore moins son chef. Puis elle se rendormit aussitôt.
Son téléphone sonna brouillement et cela la réveilla en sursaut. Marianne chercha après et constata qu'il était déjà 8h00 du matin. Le soleil entrait par sa fenêtre sans rideau tiré et la réchauffa aussitôt.

- Oui, grogna-t elle en répondant automatiquement

- C'est moi, répondit son chef, j'ai besoin de toi, tu es prête ?

- Dés... désolé, j'ai oublié de mettre mon réveil.

- Endormie tard ?

Marianne paniqua, oui en effet

- On peut dire ça

- Normal, pas mal d'activités hier soir, j'espère que tu t'es bien amusé

Cela aussi on pouvait le dire, personne ici n'avait pu passer de meilleurs moment qu'elle

- Je n'ai pas à me plaindre

- Tu peux être là quand ?

- Je... le temps de prendre une douche et de manger

- Hum.. On se dit 9h00 alors ? 

- Désolée

- C'est moi, j'aurai du te prévenir avant de tes horaires de la journée

- Merci

Elle raccrocha puis se leva pour se diriger ensuite vers sa salle de bain. Elle avait la tête dans le cul et avait oublié ses affaires de change. Elle revint donc dans sa chambre pour farfouiller dans sa valise. Elle ne remarqua pas l'homme à sa fenêtre directement en face d'elle qui ne perdit rien du spectacle. Il la mata donc sans vergogne tout le temps qu'elle se balada d'un bout à l'autre de sa chambre, toute nue, à la recherche de ses affaires. Au moins elle avait fait un heureux ce matin. L'homme n'avait même pas pensé à la prendre en photo, mais la bosse dans son pantalon laissait ouvertement penser que le spectacle lui avait bien plu. Il ne verrait plus du tout la stagiaire de la même manière. Il se promit même de l'épier dès qu'il le pourrait, au cas où... Il fila sous sa douche aussi et se branla aux souvenirs de ce qu'il venait de voir. Marié mais frustrée, il regardait souvent du porno en se masturbant en douce, mais jamais il n'avait osé aborder une autre femme de peur des conséquences pour son couple. 

Marianne avec sa petite robe unie retrouva son boss vers les neuf heures un peu plus fraîche et le ventre plein, de nourriture bien sûr ! Elle avait eu peur que quelqu'un l'aborde avec un sourire en coin, ou une petite pique sur ce qui c'était passée la nuit, mais en fait, la plupart des séminaristes étaient tout aussi fatigués qu'elle. Beaucoup avaient bu la veille au soir ou fumé dehors en bavardant boulot ou autre. Donc personne ne semblait l'avoir prise sur le fait, tant mieux.

La matinée se passa sans soucis. Marianne repéra quelques regards appuyés du beau Hipster sur elle et elle tenta de ne pas rougir en réponse. Son ventre se serra lorsqu'au midi il lui frôla la main dans la foule en se rendant au restaurant du séminaire. Il lui donna à cette occasion un petit mot de main à main. Elle tremblait de peur de penser qu'on aurait pu les voir. Elle se rendit aux toilettes pour le lire. Son ventre chauffa aux quelques mots qu'elle lu "je n'arrête pas de penser à toi". Sous entendu "j'ai envie de toi". Mais ça, il ne l'avais pas noté. Cela troubla d'autant plus la jeune fille pendant le déjeuner, surtout que le salligot c'était assuré d'être à sa table. Il attirait toujours autant l'attention que la veille et Marianne surpris même une quinquagénaire le fixait avec envie. Elle eut alors une pointe de jalousie et détesta cette séminariste sur le champ. D'un autre côté, c'était elle qu'il avait choisi. A moins qu'il jouait sur plusieurs tableaux ? 

Tout à coup elle n'eut plus faim. Elle s'excusa, se leva prétextant du travail et ne revint pas à table. C'était folie que d'attendre quelque chose de cet homme, encore plus d'avoir fait l'amour avec lui. Il devait en charmer plus d'une et avait profité de ce séminaire pour baiser à tout va avec plusieurs conquêtes, jeunes comme... de son âge !

Qu'elle avait été bête de croire qu'elle l'intéressait uniquement. Et même dans ce cas, d'ici quelques jours il partirait de sa vie lui laissant un vide complet à la place. Car jusqu'alors, aucun des garçons qu'elle avait connu n'arrivait à sa cheville autant en charme, prévention et sexuellement. 

- Cela ne va pas ? Demanda une voix dans son dos quelques minutes plus tard

Elle se retourna vivement et trouva une excuse bidon de fatigue et mal de ventre mensuel à son chef inquiet qui venait s'enquérir de sa santé.

- Aïe, pas marrant, tu veux un peu de repos ?

- Oui... oui... Je vais, me mettre au calme jusqu'à la reprise.

- Pas de soucis, au fait, tu fais un super boulot !

- Merci, répondit-elle avec sincérité

Son boss reparti manger et Marianne préoccupée déambula d'une pièce à l'autre et d'un couloir à l'autre jusqu'à un petit salon vide. Excellent, elle alla piocher un coca zéro dans un petit frigo transparent en libre service et se jeta dans un fauteuil en cuir soufflant toute sa souffrance morale.

Ses exploits de la nuit dernière la taraudaient. Elle était tombée sous le charme de cet homme plus vieux qu'elle. Normalement, elle aurait accepté de faire l'amour avec lui. Mais entre la fatigue de la veille, le stress de la première journée et l'alcool, elle s'était laissée aller comme la première des... traînées ? Oui, non. Le mot était un peu fort, plutôt fille facile quoi. Merde, si cela se savait, elle aurait des ennuis. Et visiblement le bel homme avait encore quelques idées pour passer les prochaines nuits ensemble. Elle devait lui dire, non stop, c'était une erreur, une erreur ? Oui, non en fait, elle avait adoré, oui adoré faire l'amour avec lui, mais ils ne devaient pas recommencer. Elle triturait sa canette sans trop la boire. Elle devait être ferme et refuser toutes nouvelles approches du don juan, encore plus si celui-ci batifolait à qui mieux mieux avec des femmes plus mûres. 

 Perdue dans ses pensées, elle ne le vit pas arriver justement.

- Alors c'est ici que tu te caches ?

Surprise, elle faillit en lâcher sa canette.

- Je ne... me cache pas !

- Ce n'est pas l'effet que tu montres.

- Je...

Elle se leva et s'approcha de lui, pas trop non plus. Il était si beau, il respirait la masculinité à plein poumons.

- Oui ? Dit-il avec son sourire éclatant

Elle regarda autour d'elle puis dans le couloir menant au petit salon.

- Ecoute, ce n'est pas que je n'ai pas aimé, mais... 

- Mais ?

- Il ne faut plus recommencer

- Hum...

- Je suis sérieuse, dit-elle en jouant toujours avec sa canette évitant son regard

Il s'approcha et lui pris les mains dans les siennes, elle tenta de se dégager mais sans force

- Je suis plus vieux que toi, tu fais partie du staff, et tu es jalouse des femmes qui me regardent

- Non, s'exclama-t-elle devenant rouge pivoine, ce n'est pas... Si enfin... Oui voilà, tu pourrais être mon père et dans quelques jours, on ne se verra même plus et...
Elle ne savait plus parler, son ventre se contracta, ses jambes devenaient lourdes et son coeur bataillait dans sa poitrine, ses seins lui faisaient mal.

- Ce n'est pas difficile d'imaginer ce que tu penses, surtout pour moi. 

- Justement, sors avec des femmes de ton âge, il y en a plus d'une dans l'assemblée qui serait ravie de finir avec toi ce soir.

- Jalouse donc

Marianne rougit à nouveau

- Oui, non, je n'ai aucun droit sur toi et inversement, tu dois comprendre, je bosse là et si on apprend que toi et moi... 

- Il me semble que la nuit tu fais ce que tu veux, non ?

- Là n'est pas le problème, enfin si, cela n'a aucun sens. Je n'ai pas l'habitude de faire ça.

- Faire quoi ?

- Enfin, tu sais... 

Elle regarda à nouveau dans le couloir derrière Vincent.

- Coucher comme ça avec presque un inconnu !

- Ah.

- Oui ah ! Je ne sais rien de toi ou presque, tu entres dans ma vie et tu partiras aussi vite que tu es arrivé. Je ne veux pas, je ne peux pas recommencer.

- Tu n'as pas aimé ?

- Cela n'a rien à voir, et oui, je... Elle rougit. Oui bon, tu es terrible au lit, j'avoue.

- Donc pourquoi s'arrêter là ?

- Tu ne veux pas comprendre.

Pour toutes réponses, il déposa sa canette sur la table basse et lui caressa la joue.

- Non, pas ça ! Gémit-elle.

Il se pencha et embrassa ses lèvres, se recula et tomba dans le fauteuil.

- Arrêtes !

- Arrêter quoi ?

Il alla jusqu'à la porte et la referma puis revint vers elle. Il se mit à genoux devant Marianne, l'attira à lui, écarta ses jambes et se colla à elle.

- S'il te plait, non, murmura-t-elle mollement.

Il l'embrassa à nouveau poussant sa langue sur ses lèvres, la bouche s'ouvrit et il l'embrassa.

Pendant ce baiser, il remonta sa jupe, caressa ses cuisses et sortit son sexe de son pantalon.

- Tu... n'oserais pas... Grimaça-t-elle en se rendant compte de ce qu'il faisait mais incapable de le repousser

- Oser quoi ?

- Tu le sais bien

Il frotta son sexe sur la culotte déjà humide de Marianne, puis il poussa le tissu sur le côté, releva les jambes de la jeune fille et poussa son gland entre ses lèvres déjà gluantes de mouille.

- Si quelqu'un entre, réussit-elle à murmurer

- On sera dans la merde

Et il poussa sa verge turgescente dans l'intimité de la stagiaire.

Le fauteuil grinça sous les coups de bassin, Marianne s'agrippait à Vincent, fixant le couloir avec la crainte horrible que la porte ne s'ouvre à n'importe quel moment. En même temps le plaisir montait crescendo en elle. Elle gémit, retenant son souffle, elle haletait et accompagnait les mouvements de bassin du hipster par les siens.

- Vite ! Glapit-elle entre deux râles

La jouissance se mêla à la peur et elle s'arqua rapidement. Elle sentit, quelques mouvements après, l'explosion de la semence du séminaire en elle.

- Personne n'est entré, murmura-t-il à son oreille 

- Tu es horribles !

Marianne et Vincent se séparèrent à intervalle. Elle alla rapidement se nettoyer dans des toilettes calmes et lui retrouva le groupe des séminaires. Personne ne les avait vu, encore heureux mais Marianne était encore plus affligée par ce qu'elle venait de faire, non de refaire et en pleine journée en plus.

Le reste de la journée passa très lentement pour Marianne. Elle avait l'impression que tout le monde savait et dès qu'on lui parlait, elle avait le rose aux joues et le sourire forcé. Non, personne ne savait, personne. Mais pourquoi se sentiment de culpabilité la tenaillait autant ? Parce que ce qu'elle faisait était mal ! Pas dans les conventions, interdit dans le règlement, bref, c'était une contrevenante à tous les points. Elle baisait sans vergogne avec un des séminaristes. Et si cela se savait, non seulement elle serait mise à la porte, mais la réputation de la boite en prendrait un coup. Il y aurait peut-être même un procès, la presse en parlerait, c'était certain. Et elle avait à nouveau écarté les cuisses, et il l'avait à nouveau fait jouir, à quelques mètres à peine du reste de l'assemblée. 

Et en plus il l'a provoquait. Une fois il la fixait d'une manière tellement évidente qu'elle en avait des frissons dans le dos, une autre fois il répondait aux avances de la rousse plantureuse qui l'avait astiquotait à table. Elle ne devait pas être jalouse, mais qu'à voir les minauderies qu'elle déployait pour lui plaire, elle avait envie de lui jeter quelque chose à la figure.

Bien entendu, elle n'en fit rien et tenta de passer le plus clair de son temps loin de lui. Mais plus les minutes passaient, plus la soirée approchait et la nuit pas conséquent, avec tout ce que Vincent espérait d'elle. Et elle n'était pas certaine du tout de le refouler.
18h00, fin de la journée. Temps de repos de 2h00 avant le début du dîner. Certains sérieux travailleraient encore ensemble, établiraient des rendez-vous, prendraient des contrats, mais d'autres s'étaient déjà tournés vers le bar ou se faufilaient déjà dehors pour prendre un peu de repos dans leur chambre.

- Retrouves moi à la salle de sport, murmura Vincent à Marianne le temps d'une conversation rapide et anodine.

La jeune fille sourit à un autre séminaire, celui-là même qui l'avait vu toute nue le matin même et dont les yeux pétillaient en détaillant ses formes sous sa robe, sans savoir que l'homme qui venait de le précéder avait déjà fait l'amour à Marianne. Autant dire qu'il faisait pale figure dans son rôle de voyeur.

Il osa lui poser tout de même quelques questions et savoura la jovialité et la voie suave de Marianne. Petite et grassouillette, ses gros seins tendant le tissu de sa robe, ses cheveux roux poil de carotte, elle n'était pas l'archétype de la séductrice, mais lui avait en tête la fille nue dans la chambre d'en face. Rien qu'à y penser il bafouilla, sentit un début d'érection puis la quitta avant de faire un impair. Que ne donnerait-il pas pour être aussi beau parleur que certains.

Enfin libérée du flot des invités, Marianne échangea encore avec son boss et enfin pu décider de ce qu'elle allait faire. Salle de sport ou s'enfermer dans sa chambre, voire même rester ici avec le plus grand nombre pour éviter de "le" rejoindre ?

Et puis de toutes manières, elle n'avait pas de maillot de bain. Certes, l'hôtesse des lieux avait bien indiqué que tout était fourni, on pouvait trouver maillot, tongs et serviettes dans la salle de sport, alors... Pourquoi n'y allait-elle pas ? Parce qu'elle le savait, une fois dans les mains de Vincent, il ferait ce qu'il voudrait d'elle, encore plus s'il y avait du monde pas loin. Il semblait aimer le danger, cela devait lui procurer une excitation intense, mais pas elle.

Elle décida d'y renoncer. Non, non et non, cela suffisait. Un peu de repose dans sa chambre, une petite sieste, un dîner rapide et hop au dodo. Mais pour arriver aux dortoirs, il fallait passer devant la salle de sport, sa piscine, son sauna, hammam et tout l'aménagement pour s'éclater et se donner du tonus. Elle resta plantée devant la double porte vitrée sans le vouloir. Était-il dedans ? L'attendait-il ? Si elle n'entrait pas qu'allait-il faire ?

Toutes ses pensées étaient focalisées sur Vincent et le rouge lui monta à nouveau aux joues. Son rythme cardiaque augmenta, ses mains devinrent moites et son bras de tendit. Elle poussa la porte et se retrouva dans le couloir menant aux activités sportives...

Comme par magie Vincent arriva sur elle. Il était en short de bain et se pavanait dans ce corps d'Appolon. Même ses poils blancs naissant sur sa poitrine lui donnait du charme. 

- Tu es venue, super, change toi, il y a ... des maillots de bain, là, enfin tu dois le savoir
Marianne regarda la salle, autour d'elle, il y avait déjà des gens dans la piscine derrière une grande baie vitrée, ils pouvaient les voir.

- Soyons clairs, je ne viens pas pour... assouvir tes pulsions 

Vincent lui fit un grand sourire puis monta sur un rameur et fit jouer ses muscles dans des mouvements coordonnés. Marianne soupira, hésita puis alla trouver de quoi s'habiller. 

En tenue une pièce bleue claire, elle avait l'impression que ses seins allaient sortir tout seul. Plus de maillot de bain à sa taille, elle avait du en prendre un plus petit. Il l'a comprimait et elle était mal à l'aise car ses autres formes aussi étaient en valeur. Elle n'aimait pas son ventre un peu rond et ses fesses rebondies, pourtant cela plaisaient à certaines hommes semblerait-il. 

Si quelques regards voyeurs et appréciateurs l'avaient parcourus des pieds à la tête lorsqu'elle était entrée dans la piscine, maintenant qu'elle barbottait avec d'autres convives, dont des femmes, cela discutait plutôt bon train de tout et de rien, sauf du boulot, tant mieux. Vincent ne l'avait pas rejoint, travaillant toujours sa musculature. Mais il la regardait à travers la baie vitrée donnant sur l'eau, plein d'idées torrides en tête. Cette gamine avait vraiment tout pour plaire, et l'idée de cacher les maillots de bain à sa taille valait le détour.

Marianne était frustrée. Vincent l'avait invité ici et lui l'ignorait complètement. Alors elle décida de se venger. Elle sortit de l'eau, son une pièce lui collant à la peau, ses formes bien trop visibles, surtout qu'avec l'eau, le tissu semblait être transparent et on pouvait discerner facilement ses auréoles brunes et ses gros seins. 
Un petit régime serait bénéfique pour la demoiselle, mais malgré ses tentatives, elle n'avait jamais eu le courage de le tenir à fond. Elle s'était faite une raison. Elle était une bonne vivante, avec de jolies formes, loin des gabarits de pinup qui se pavanaient sur les plages le beau temps venu.

Elle revint dans la salle des appareils, passa devant Vincent lui tourna autour en tortillant du cul. Immédiatement il eu une érection, mais elle ne le vit pas. 

Puis elle se dirigea vers le sauna. Deux couloirs plus loin, une porte coupe-feu passée, elle entra dans la zone de repos puis dans le sauna. L'air était chaud et sec. La température lui brûla presque les poumons et sécha sa peau. Elle posa sa serviette sur le banc en bois et s'assit dessus. 

Peu de temps après Vincent arriva et vue la bosse sur son boxer de bain, il était clair que son petit jeu avait fait son effet.

- Tu sais que tu es désirable ?

Marianne rougit, ses tétons pointèrent sous le maillot lui collant à la peau.

- Flatteur, répondit-elle tout bas

Il vint s'asseoir à côté d'elle.

- Tu as vu ça, montrant sa bosse, c'est de ta faute

- Si tu ne sais pas te tenir en place, je n'y suis pour rien, et puis, il te suffit de répondre aux avances de Mme prout prout !

- Mme Prout prout ? Demanda-t-il interloqué

- Tu sais la pauvre qui n'arrête pas te se languir de toi à table.

- Ah, elle...

- Oui elle.Tu te la fais aussi elle ?

Elle regretta aussitôt ses paroles. Vincent la fixa d'un air pas très content. 
- Et si c'était le cas ?

Piquée au vif et soudainement jalouse, Marianne se leva.

- Attends ! Dit-il en la retenant du bras. Et non, je ne la baise pas.

- Goujat !

Il se leva à son tour et la poussa sur le banc en avant, puis il se mit à la fesser.

- Aïe, aïe, aïe, gémit-elle en se débattant, ça va pas, j'ai mal !

- Ca, c'est pour dire des conneries sur moi, Melle la petite jalouse

- Arrêtes, aïe, non, je ne suis pas jalouse...

Les claques sur son derrière pleuvaient, quasi en levrette, la tête dans sa serviette, Marianne subissait la colère de Vincent. En fait il n'était pas plus en colère que cela, cette situation l'excitait plus qu'autre chose. Il avait juste profité de la situation.
Soudain il s'arrêta. Elle sentit qui lui tirait le maillot de côté au niveau de son entre-jambe.

- Non, pas ici, il y a trop de monde.

- Tu vas tater de mon baton pour dire autant de bêtise sur moi ! 

- Vincent, je t'en pris, n'importe qui peut venir, mais ahhh, tu fais quoi, ahhh

Vincent venait de cracher dans sa main et englua de salive son sexe. Il le pointa ensuite entre les fesses dodues de Marianne qu'il écarta de ses deux mains. Puis il poussa sur son anus.

- Je vais t'enculer petite ingrate, cela t'apprendra à me croire capable de courir plusieurs femmes en même temps.

- Je regrette, je regrette, c'est trop serré, je ne suis pas prête et on peut venir, ahhh.

Après plusieurs tentatives et beaucoup de salive, le membre de Vincent écarta les chairs de la stagiaire et envahi pour la seconde fois en si peu de temps le cul offert. Celle-ci le cul bien haut ne s'était pas pour autant retirée de la bataille. Vaincue plutôt, sentant une chaleur se diffuser dans son ventre, elle attendait la suite, mais avec une certaine crainte.

- Putain t'es vachement serrée, j'adore ça !

- Espèce de brute, feula Marianne, ne traine pas si quelqu'un vient...

Vincent ne se fit pas prier et commença à la sodomiser. Il dégagea ses seins et tout en lui prenant le cul, il les pelota à pleine mains.

Mais forcément ce qui devait arriver arriva. Quelqu'un entra dans la zone de spa et se dirigea immédiatement vers leur porte. Pourtant du côté extérieur on ne pouvait rien voir de ce qui s'y passait avec la buée, mais Marianne vit clairement la forme arriver et poser sa main sur la poignée de la porte.

Elle cria.

Vincent tourna la tête et sa queue toujours au fond du rectum de la stagiaire de pouvait rien faire pour empêcher la porte de s'ouvrir.

La porte en verre fumée grinça sur se gonds et laissa place au voyeur de service qui en resta bouche bée. Il avait suivit Marianne dehors et c'était glissé à sa suite dans la piscine. Il l'avait maté plus qu'un peu dans son maillot de bain trop petit et après un certain temps d'attente, c'était dit bonnement qu'il pourrait continuer à la profiter de la vue de plus près. Il lui avait fallu un bon moment d'effort pour se décider et il était enfin là.

Contrairement à Vincent, il n'était ni musclé ni beau gosse. Un homme, un mari et un père de famille sans prétention avec un boulot sans prétention et d'ailleurs il n'avait plus aucune prétention sur sa vie.

Mais il se figea à la vue de la scène. Il faut avouer qu'il ne s'était pas imaginer à voir Marianne à moitié à poil se faire prendre dans le sauna de l'établissement par un autre séminariste.

Ce fut le cri de surprise et d'horreur de la jeune fille qui firent sursauter les deux hommes. Elle tentait de se relever pour cacher sa poitrine, mais avec l'autre toujours en elle, ce fut compliqué.

Pour une fois le pauvre homme prit une décision, la seule peut-être qu'il assuma pleinement. Il s'avança vers le couple à moins de deux mètres de lui et sortit sa bite de son caleçon de bain. Contrairement à Vincent qui possédait un sexe standard, mais il savait s'en servir et bien en plus, Gérard possédait un membre hors norme, aussi épaisse que longue.

- Je me.. permets de me joindre à vous... Si vous ne voulez pas que tout le monde... sache que... vous batifoler ensemble ?

L'homme tremblait tout de même, jamais il n'avait ou n'aurait osé faire ou dire cela. Mais à cet instant, voir le visage décomposé de la stagiaire, celui fermé de l'autre derrière elle, c'était d'un comique. Il se savait supérieur juste à ce moment, à la seconde près, il devait en profiter. Ensuite les deux pourraient reprendre leur esprit ou lui partir comme un lâche qu'il était d'habitude.

- Ce n'est pas ce que vous pensez, grogna Vincent en voulant se dégager.

- Non, non restez au chaud, je vous en pris, lorsqu'il y en a pour un, il y en a pour deux !

Le coeur de Gérard battait à tout rompre, il devait être aussi rouge que Marianne, mais elle de honte surtout.

- S'il vous plait... Gémit justement la jeune fille complètement décomposée.

Elle tenait toujours sa serviette à moitié sur sa poitrine. Elle fixait avec horreur la queue qui s'approchait d'elle. Dans quelle merde s'était-elle fourrée. 

- On n'a pas le choix, grogna Vincent dans son dos avec colère.

- Laisse moi un peu voir ça, grimaça l'autre en tirant sur la serviette. 

Il évita les regards de Marianne et Vincent, il devait se montrer sur de lui. Sa main se posa sur le tissu spongieux et il tira vers lui.

Peu à peu Marianne laissa se découvrir. Elle eu un frisson lorsque les doigts de l'autre se posèrent sur sa poitrine.

- Hum...

- S'il vous plait, tenta-t-elle encore, les yeux brillants à la limite de pleurer

Pour toute réponse, il posa sa main sur sa tête et poussa son membre vers son visage. Jamais il n'aurait espéré autant. Jamais il n'avait trompé sa femme, aussi horrible était-elle devenue avec lui les années passant, mais là, il ne pouvait résister à la tentation. D'un côté il se sentait coupable de l'autre, il voyait bien que la jeune fille n'était pas comme les autres. Après tout, elle se donnait déjà à un de ses camarades de séminaire, alors un de plus ou un de moins...

Un coup de bassin envoya Marianne vers l'avant. Etrangement excité par la situation, Vincent venait de replonger sa queue dans le cul qu'il avait fini par quitter. Son gland glissa en elle moins facilement, mais le reste de sa bite suivit la pointe de flèche faite de chair.

Avec le stress, il la sentit encore plus serrée. La situation ne devait pas être valorisante pour la jeune fille, ils s'étaient fait prendre et maintenant il fallait assumer. En fait, lui ne s'en faisait pas plus que cela maintenant, tant que cela restait sexuel, il n'y aurait aucune conséquence pour la suite du séminaire. De plus, la petite gamine gagnerait en expérience, même si cela lui faisait un peu mal au coeur. Il s'attachait un peu à Marianne et l'arrivée impromptue d'un troisième larron dans leur relation remettait aussi les choses à plats. Que du sexe et rien que du sexe...

Dans une situation inverse, lui-même n'aurait-il pas profité autant ?

Le gros sexe au gland violacé se posa sur les lèvres de la jeune fille. Impuissante, elle finit par ouvrit la bouche à contre-coeur. Au même moment, elle sentit son cul être investi à nouveau, elle en ouvrit les lèvres de surprise et le mouvement de Vincent en elle la poussa vers la bite tendu qui se logea dans sa bouche aussi naturellement que possible.

Elle ouvrit de grands yeux larmoyants le nouveau venu emplissant sa cavité buccale le plus loin possible, et il était gros le bougre.

Puis soudain, comme si la chose était des plus naturelle, d'un accord tacite entre mâle pendant que le premier l'enculait, l'autre pris possession de sa bouche. Au milieu la jeune fille n'avait plus mot à dire, d'ailleurs vu sa bouche pleine et la bite qui coulissait entre ses lèvres, sa tête tenue à deux mains, elle en était incapable.

Gérard évitait tout de même le regard de Vincent, oui il aurait pu les laisser tranquille, oui il aurait pu s'excuser et oublier, fermer sa gueule comme trop souvent. Mais avec des années de frustrations autant à son travail que dans sa vie familiale, pouvoir faire ce qu'il faisait le mettait hors d'atteinte du monde extérieur.

Ce matin même il avait été témoin d'un spectacle surprenant, voir Marianne toute nue dans sa chambre depuis la fenêtre de la sienne et ce soir, sa queue luisait de la salive de la stagiaire. Il se mit à la caresser et à la peloter aussi, osant de plus en plus s'approprier ce corps si jeune et si appétissant.

- On échange ? Tenta-t-il soudainement à l'adresse de Vincent.

Marianne ouvrit de grands yeux affolés. Elle pensait qu'une fois la petite gâterie terminée, l'autre la laisserait en paix. 

Vincent fut un peu contrarié, néanmoins il retira son sexe tendue du fondement de Marianne et descendit du banc.

- Attends, faudrait peut-être la déshabiller, ça serait plus commode lança Gérard de plus en plus sûr de lui, c'était si grisant après tout

- Non, glapit Marianne qui avait peur de voir débouler encore une autre personne.

Mais deux paires de main eurent tôt fait de la mettre toute nue. Elle se rendit compte alors de la différence de taille entre les deux sexe. Si Vincent avait un corps d'Appolon, son sexe était de taille classique, enfin par rapport aux deux expériences qu'elle avait déjà eu. Par contre l'autre, il était hors-norme. Elle l'avait déjà sentie dans sa bouche alors rien qu'à penser le sentir en elle...

- On va faire autrement, annonça Vincent. Ne crains rien ma jolie, tu vas aimer autant qu'avec moi seule.

Il demanda à Gérard de s'asseoir sur le banc. Puis soulevant la stagiaire dont les gros seins tressautait au moins mouvement, il l'amena au-dessus de l'autre. 

- Encule-là, ordonna Vincent, je l'ai déjà préparé, moi je le prendrais par devant

- Il est trop gros, il ne rentrera pas, gémit la jeune fille

Pourquoi ne se sauvait-elle pas ? Elle ne le savait pas elle-même. Si la venue de Gérard l'avait effrayé, un sentiment bizarre l'avait envahie. Etre aux mains de ses deux hommes, à la fois impuissante et désirable la troublait étrangement.

Des mains la positionnèrent et profitèrent pour explorer ses formes. Elle fut placée au-dessus de Gérard et senti son pieu glisser sur ses fesses, rater le coche, puis se repositionner à l'entrée de son petit trou. Sur la pointe des pieds, se tenant aux épaules de son amant précédente, elle sentit le gland énorme pousser contre son anus.

- J'ai mal, s'écria-t-elle, il est trop gros, j'y arriverai pas... 

Cette nouvelle situation excitait Vincent en fin de compte. A genoux, il se calla entre les cuisse de Marianne et sans attendre que l'autre lui fouille le cul, il se planta en elle d'un coup. Il fut surpris de trouver son vagin bouillant et gluant de mouille. Ainsi la petite stagiaire était plus excitée dedans qu'en apparence. Il lui sourit et commença à la baiser

- Ta chatte est en feu, lui murmura-t-il en déposant un baiser sur sa bouche

- Enfoiré, gémit la jeune fille secouée par les coups de butoirs de Vincent.

Pourtant elle s'accrochait toujours à lui tenant d'échapper à l'écartèlement de son anus. 
Gérard tenait sa queue d'une main solide et poussait en elle son membre gros et épais.

- Elle est serrée, de plaignit-il

Vincent releva les cuisses de Marianne d'une part pour mieux la pénétrer mais aussi pour aider son nouveau complice à la pénétrer. 

- Ahhh, cria la jeune fille.

La gravité aidant et poussé par Vincent vers le bas, elle fut empalé par Gérard, son anus venait de céder et le gros gland s'était enfoncé en elle d'un bon morceau de chair dure.

- Tu es trop bonne, jura Gérard, putain lorsque je t'ai vu à poil ce matin dans ta chambre, je n'aurai jamais cru t'enculer ce soir

Marianne s'affola, elle avait oublié de refermer les rideau et l'autre l'avait vu.

- Tais-toi ! Ordonna Vincent agacé. 

Ainsi l'autre était un pervers vicelard

- Trop gros gémit encore la jeune fille grimaçant, se tenant sur la pointe des pieds, sentant ses chairs se dilater contre son gré, un énorme boudin l'envahissant petit à petit sous la pression.

Ses plaintes furent coupées par la bouche de Vincent qui s'employa à batailler avec sa langue.

Par chance personne d'autre ne vint les déranger. 

Les expériences anales de Marianne s'était toujours bien passé, enfin pour le peu qu'elle en avait reçu dans le cul, mais elle se souviendrait longtemps de la taille de Gérard. Pourtant, petit à petit, millimètre après millimètre, les coups de butoirs de Vincent aidant aussi, le sexe hors-norme du séminariste empli son cul quasiment de toute sa longueur.

Heureusement Vincent exacerbait ses sens en la pilonnant depuis un moment. Il la tenait par les cuisses et prenait son pied à aller et venir dans son vagin clapotant de mouille. 
Elle commença à sentir des mouvements entre ses fesses. Petits et brefs au début, le temps que son anus s'habitue à la taille de la bite, Gérard se mit à envoyer son bassin de plus en plus haut, faisant sauter la jeune fille sur son pieu. 

Après ses premières récriminations, Marianne troqua ces jérémiades pour des grognements, gémissements et maintenant elle se retenait de crier, avalant son souffle, fermant la bouche, fermant les yeux, secouées de partout. N'en pouvant plus, finalement elle s'arqua entre les deux hommes. Les deux queues la limaient sans plus aucune résistance. Si au début la sodomie fut difficile, entre la sueur et la mouille qui lui coulait entre les fesses, le membre épais se faufilait sans peine au grand plaisir de son propriétaire.

Gérard en profitait aussi pour la caresser de toutes part, glissant ses mains sur ses hanches, son dos offert, ses seins devant, passant même ses doigts par devant pour lui frotter son petit bouton, sentant plus bas la bite de Vincent fourrageant son vagin à grands coups.

Vincent se retira soudainement se relevant, les genoux horriblement rouge, entre la vapeur et le carrelage dur comme pierre, il n'en pouvait plus. 

Marianne fut relevée et Gérard invité à s'allonger sur la banquette, presque de manière automatique, la jeune fille se plaça sur lui et si derrière le membre hors-norme avait eu du mal à passer, devant il glissa plus facilement en elle. Mais elle ne pu tout de même s'empêcher de laisser échapper un "c'est gros". Vincent se positionna sur elle et fut assez surpris lorsque son sexe fut absorbé sans difficulté dans le fondement de la stagiaire. Il faut dire que l'endroit avait bien était élargi.
Le trio ne fit plus du tout attention à une possible venue de quelqu'un d'autre, trop absorbé soit à baiser, soit à se faire baiser.

Vincent finit par quitter son anus pour prendre sa bouche, enfin sentant le désir monter à grands pas, il préféra se retirer et juta contre le mur juste à côté.

Il se rajusta avec un peu de honte, car les choses ne s'était terminée comme il le voulait et après coup, Marianne en avait prit un peu beaucoup pour son grade. Mais elle ne semblait pas trop leur en vouloir. Affalée sur Gérard, elle gémissait doucement pendant que l'autre se déhanchait en elle.

- Je sors en premier, pour éviter de...

Sans un autre mot, il quitta la pièce les laissant seuls.

- Ahhh tu es à moi gémit l'autre. Enfin, tout à moi.

Il redressa Marianne qui pantelante, se laissa faire. Il se mit à genoux devant elle, les jambes bien écartée et la plaça sur le bord du banc. 

Il choisi son vagin et collant sa bouche à celle de la jeune fille, il l'embrassa violemment tout en la baisant encore et encore. Il s'enivrait d'elle, suçait ses seins, tirait sur ses tétons, un coup de bite trop rapide le délogea du vagin, tant pis, il pris sa bite en main et la glissa plus bas. La stagiaire gémit. Il l'encula à grands coups, regardant sa bite glisser du bout du gland jusqu'à la limite de ses couilles. Il changea ainsi d'orifice plusieurs fois de suite, tenant sa bite à deux doigts, glissant quelques coups ici, puis plus bas puis plus haut.

Enfin, presque à bout, il se releva, poussa sa queue par surprise dans la bouche de Marianne et la tenant d'une main ferme, il se vida dans sa gorge.

- Putain, c'était trop bien ! 

Plus tard, le service de nettoyage furent dégouté de trouver dans la sauna un vomi sur le sol, ils maudirent les invités qui ne savaient pas se tenir et buvaient de trop.

Marianne n'avait jamais avalé de sperme, les gros jets du membre épais planté au fond de sa gorge et l'odeur de ses propres sécrétions ensuite l'avait obligé à recraché tout le contenu avalé par surprise, et le reste de son estomac en prime.

***

Marianna avait loupé le dîner et s'était enfermée dans sa chambre. Son corps lui faisait mal partout, sans compter que dans sa tête, c'était un vrai déluge d'émotions contradictoires. Cela allait de la honte à la haine, du remord à la colère, du dégoût à l'horreur. Et parmi tous ces points négatifs, les souvenirs du sauna tournaient en boucle dans son esprit. Elle imaginait 1001 scénarios où tout cela ne s'était pas passé ainsi et d'autres encore où elle n'avait pas aimé. Son corps n'avait jamais été autan traversé de sensation et de jouissance, et c'était cela qui la rongeait le plus. S'être ainsi donné sans résistance...

Roulée en boule sous ses draps, après une douche longue et bouillante, elle se maudissait d'être venue à la rencontre de Vincent, de l'avoir aguiché, d'avoir accepté de faire l'amour là avec lui et ensuite... 

Quelle honte ! Jamais elle n'aurait pensé qu'un jour elle ferait cela avec deux hommes, et vieux par dessus le marché. Enfin l'autre étant tout de même plus jeune que Vincent. Et sa bite, merde ! Si le hipster l'avait fait grimpé au rideau avec ses techniques, l'autre équivalait en technique sérieusement au niveau de ses petits amis à peine mature. Par contre les sensations qu'elle avait ressenti avec son sexe ! Si au début elle avait eu mal, surtout derrière, elle était certaine qu'il l'avait déchiré et son anus la faisait souffrir, elle s'était demandée comment personne n'avait entendu leur coït tellement elle s'était mise à crier.

Comment voulait-elle qu'on la prenne au sérieux après ça ? Bien entendu qu'ils reviendraient tenter leur chance, tu parles ! Super ce séminaire, j'adore le programme surtout celui de nuit !

Elle n'était pas prévue à ce putain de planning. Elle craignait que maintenant plus rien ne les retiendrait pour venir toquer à sa porte.

Non, non et non ! Plus jamais...

Elle eu du mal à s'endormir et en pleine nuit elle eu même faim. Heureusement elle avait quelques sucreries dans sa valise prévus pour le train. Elle mangea ainsi dans le noir les rideaux bien fermés en repensant encore aux jours à venir, un vrai enfer l'attendait, mais comment s'en dépêtrer ? 

Elle se sentait sale et fut tentée de reprendre une douche mais à cette heure cela s'entendrait. Elle fila néanmoins aux toilettes et grimaça de douleur, ils lui avaient bien bousillé le cul. En se lavant elle l'avait touché. Il était boursoufflé et cela la piquait. Bande de bourrins sans cervelle. Qu'ils aillent tous les deux se faire enculer. Et l'autre en plus qui avait éjaculé dans sa bouche !

Elle ne l'avait pas vu venir. Jamais elle n'avait accepté ça de quiconque, boire du sperme c'était dégueu. Elle avait vomi aussitôt et l'autre c'était barré aussitôt les couilles bien vides, quel salopart !

***

Fait exprès ou coïncidence, malgré ses frayeurs et ses craintes, Marianne ne se fit pas interpelé par les deux rustres au petit matin. Elle était venue tôt et la salle à manger était presque vide. On lui parla de manière normale, de boulot surtout, du reste du planning et cela lui changea les idées. Son boss arriva et ils firent un topo rapide. Il s'enquit de sa santé, son absence la veille l'avait iniquité. Que lui répondre ? Désolé je me suis tapé 2 mecs au saune hier soir et j'avais besoin de ruminer seule dans mon coin ? Non, elle prétexta toujours ses maux de ventres, qui, dans un sens n'étais pas faux, surtout derrière.

Pourtant vers 10 heures, pendant a pause du premier colloque, Gérard vint la trouver à la fois penaud et contrarié.

- Désolé pour hier soir lança-t-il tout à trac, je ne sais pas pourquoi je me suis comporté comme...ça... je...

Marianne ne s'était pas attendu à ça.

- Je ne sais pas, la chaleur, l'excitation, lorsque je vous ai vu... Ajout a-t-il se tordant les mains.

En fait il avait passé la moitié de la nuit à se culpabiliser. Entre le fait d'avoir eu, après coup, la sensation d'avoir abusé de la jeune fille mais aussi en rapport avec sa femme. Comme si tout le monde savait ce qu'il avait fait, sa femme la première. C'était con, mais il était comme ça.

- Chut, souffla-t-elle entre ses dents 

"Ferme ta grande gueule pensa-t-elle surtout. Mais crier cela avec les gens qui passaient autour d'eux, c'était impossible.

- Ah oui... Désolé... Dans mon couple rien ne va et cela faisait si longtemps que je...
Il n'avait tenu aucun compte de la remarque de Marianne qui voulait pour rien au monde que cela s'ébruite. En plus le petit homme commençait à l'énerver. Pour qui ou quoi se prenait-il ? 

- Mais j'en ai rien à faire de ta vie, grogna-t-elle en épiant les autres séminaristes, j'avais rien demandé moi

- Pourtant tu... avec...

- Je fais ce que je veux de ma vie, et ce que tu as fais, ce que vous avez fait c'est... 

Sa colère montait mais elle était frustrée de ne pouvoir s'épancher plus que cela. Elle rougie tout de même lorsque Gérard lui lança un regarde gourmand.

- Je pensais que tu étais ce genre de fille qui...

La gifle vola aussitôt, enfin dans sa tête. Elle devint livide, serra les poings et eu un regard si méchant que Gérard recula. Par chance, ce fut un moment où ils furent seuls tous les deux.

- Je ne suis pas une fille facile, grogna-t-elle à son intention d'un ton rageur le plus bas possible. Ne t'avise plus de me toucher !

Elle le planta là et alla défouler sa colère, les yeux larmoyants, sur un tas de papier qui ne lui avait rien fait. Il l'avait prise pour quoi ? Une putain qui écartait ses cuisses à qui le voulait ? Qu'ils aillent tous se faire foutre...

Elle eu du mal à tenir son rôle. Elle voyait dans chaque homme présent un potentiel voyeur, sadique ou pervers sexuel. Tous des menteurs qui ne pensaient qu'avec leur queue. Elle avait été trop conne pour croire que le beau hipster était différent. 
Que dalle, il n'avait rien fait pour l'aider, au contraire, il s'était accoquiné avec l'autre goujat pour la baiser de bon coeur.

Peu de temps après le dîner, histoire de faire présence et bonne figure, elle s'excusa et prit le chemin pour se rendre à sa chambre. 

Alors qu'elle allait tourner à un angle d'un bâtiment, elle entendit la voix de la drôlesse qui faisait du gring à Vincent. 

"... je crois que je me suis tordue la cheville, vous pourriez-vous m'aider à rentrer dans ma chambre ? 

Marianne passa la tête à l'angle du mur et distingua sans problème la femme encore très jolie, bien plus qu'elle, collée à Vincent pour se tenir, un de ses pieds relevé comme si il lui faisait mal. Comme si ou pas d'ailleurs ? Vincent lui souriait mais maintenant qu'elle le connaissait, son sourire avait l'air un peu forcé, mais l'autre le collait suffisamment pour ne pas le lâcher. Son invitation à venir dans sa chambre était explicite pour la stagiaire, en gros et plus si affinité. Et après ce qui c'était passé dans le sauna, celui-ci allait sûrement se rabattre sur une autre proie plus de son âge.

Oui Marianne aurait pu le laisser vivre sa vie, oui elle n'était redevable de rien à ce goujat qui n'avait rien fait pour empêcher Gérard de profiter d'elle, oui elle aurait pu reculer et laisser à cette garde le soin de batifoler avec le hiptser. Mais en quelques enjambées, elle arriva sur le couple et organisa une séance impromptue de premiers secours pour la belle en détresse.

Elle crut voir un soulagement dans le regard de Vincent et surtout de la colère dans celui de la femme.

- Vous ne pouvez pas rester comme cela, j'appelle tout de suite mon chef, il va vous prendre en charge avec le propriétaire des lieux, on ne peut pas vous laisser comme ça et...

Malgré le revirement de la femme qui "n'avait plus aussi mal", qui "pouvait rentrer finalement", que "ce n'était pas nécessaire de faire déplacer du monde" le tout sur un ton à la fois agacé, autoritaire et visiblement haineux.

Sauf que Marianne avait appelé et que les premiers secours allaient arriver. La belle était furibonde et si elle ne s'accrochait encore qu'un peu à sa comédie, elle serait partie au pas pressé vers sa chambre. La stagiaire venait de se faire une nouvelle ennemie.
Quelques minutes plus tard, le boss de Marianne et le responsable des lieux arrivaient avec une trousse de secours. Finaude, la jeune fille les laissa là, plantant la pulpeuse quinquagénaire furibonde qui la foudroyait du regard. Quelques temps plus tard, Vincent la quitta malgré ses demandes de rester avec elle, après tout, elle se trouvait entre de bonnes mains. Certains qu'à partir de maintenant leur relation ne serait plus du tout la même, ou au contraire, elle tenterait le tout pour le tout d'ici la fin du séminaire.
Elle ne savait pourquoi, elle attendit Vincent dans un coin sombre un bout de chemin plus loin. Lorsqu'il passa à sa hauteur, elle hésita à l'appeler ou à montrer sa présence. Mais avant qu'il ne soit trop loin elle appela doucement

"Vincent

Il s'arrêta, se retourna et chercha dans les ombres. La jeune fille surveilla le chemin de part et d'autres et alla à sa rencontre, il lui sourit

"Merci, dit-il

"Je n'ai pas fait cela pour toi, maugréa-t-elle

"Ah bon ? Et pour quoi alors

"Je ne l'aime pas, et puis ce n'est pas ton genre

"Jalouse ?

Marianne rougit comme une pivoine

"Moi ? Et pourquoi donc ? Jalouse d'un goujat doublé d'un pervers ? Autant chercher le prince charmant dans un fumier... Après ton attitude, tu ne le méritais pas
Elle avait craché tout son texte sans reprendre son souffle fixant son regard dans celui de son ex amant

"Tu penses vraiment que j'aurai accepté ses avances ?

Tout à coup Marianne se rendit compte qu'elle n'avait pas eu besoin d'interagir, Vincent lui avait déjà dit, il n'était pas intéressé par l'autre femme.

"Je... Peut-être que oui... Après-tout, je ne te connais pas vraiment...

Elle regretta aussitôt ses paroles. Vincent s'approcha d'elle l'air menaçant

"Je crois que la demoiselle a besoin d'une petite punition. Je te l'ai déjà dit, je ne cours pas deux lièvres en même temps

"Hein ? Une punition ? Attends... Tu n'espères quand même pas...  Oh, non, non ne t'approche pas !

Elle ouvrit de grands yeux lorsqu'il lui prit la tête entre ses deux mains et posa ses lèvres sur les siennes. Elle accepta le baiser puis le repoussa, rouge et confuse.

"Vincent... Ce n'est plus possible... Il faut arrêter ça... 

Le hipster lui caressa la joue, Marianne sentait sa main chaude sur sa peau et elle en eu des frissons.

"Arrêter quoi ? Demanda-t-il doucement

Il écarta les pans de sa vestes et sans vergogne commença à la peloter, là sur le chemin, à la vue possible de tous. Les tétons de Marianne durcirent aussitôt, mais la jeune fille rassembla ses forces et le repoussa doucement.

"Arrêter ça... Il faut toujours que tu le fasse dangereusement. Je n'ai pas encore encaisser la dernière fois. Un peu plus et tout le campus aurait été au courant. Ce matin, il m'a croisé, il a tenté de s'excuser pour finir par me dire qu'il pensait que j'étais une de ces filles... faciles ! J'ai failli lui en mettre une devant tout le monde. Vincent, je ne suis pas ça, pas moi. Tu ne penses qu'à toi, ton plaisir, qu'à fantasmer, que si c'est dangereux c'est mieux. 

Vincent la fixa profondément sans bouger, sans dire un mot. Les yeux de Marianne brillèrent.

"Tu devrais parler moins fort, on pourrait t'entendre.

La réponse de Vincent surprit tellement la jeune fille qu'elle en resta bouche bée. Il aurait pu s'excuser, être désolé, lui faire comprendre qu'il n'avait pas pu prendre sa défense ou qu'il avait eu peut lui aussi des conséquences lorsque Gérard s'était invité à leur partie de jambe en elle. Mais non, il lui disait simplement de baisser le volume !
"Tu ne vaut pas mieux que l'autre, pleura-t-elle presque

Elle fut encore plus surprise lorsqu'il l'a pris dans ses bras. Elle se débattit puis en fin de compte se laissa aller et se mit à pleurer à chauds de larme.

***

Marianne la tête dans l'oreiller le mordait à pleine dents en se retenant de gémir trop fort. Ses seins étaient emprisonnés par deux belles mains et avec une tendresse et une douceur inattendue, Vincent la pistonnait par de petits coups de bassin.
Elle qui s'était jurée de ne plus tomber dans les bras du charmant hipster...Mais après le câlin inattendue et réparateur, ce fut elle qui lui avait donné ses lèvres. Mais hors de question de faire ça dehors, en plus il faisait froid. Avec discrétion, ils s'étaient faufilé jusque dans sa chambre, fermé les rideaux au cas où, et s'était jeté l'un vers l'autre.
Marianne fut par contre assez claire, par touche à derrière, elle avait encore mal du passage de l'autre brute. 

A moitié nus, ils s'étaient jetés sur le lit, elle s'emparant de son sexe pour le gober et lui léchant le sien avec ferveur. De fil en aiguille, elle s'était mise à disposition et ne lui en voulu plus du tout lorsque le plaisir monta en elle au fur et à mesure qu'elle sentait son sexe la pourfendre. Jamais il ne s'était excusé de sa conduite dans la sauna, jamais il ne lui avait promis quoi que se soit, jamais il n'avait évoqué un avenir après le séminaire, mais pour le moment la jeune fille ne voulait qu'une chose, profiter et encore profiter.
Pour éviter de juter trop vite, l'homme qui aurait pu être son père, se retira, la retourna et commença à la caresser puis l'embrasse de partout. Il se remit à lui dévorer le sexe, jouant avec ses doigts magiques tout autant que sa bouche ou sa langue. Marianne sentait qu'elle ne retrouverait jamais un partenaire pareil, mais elle mit cette idée de côté car pour le moment, elle agrippait les draps de ses mains tout en laissant échapper un cris silencieux la bouche grande ouverte.

Lorsqu'il planta deux doigts en elle et tira sur son clito entre son pouce et l'index de son autre main, elle crut défaillir. Il lui branla son bouton nu ou lui aspirait entre les lèvres. Son autre main allait et venait et il y ajouta un troisième doigt qui glissa avec les deux autres sans grande difficulté tellement elle était excitée.

Marianne lui avait interdit son petit trou, prenant sur lui, Vincent l'ignora tout au long de leur coït. Regrettant tout de même de ne pas insister là, juste un petit peu...
Pour finir, elle se jeta sur lui, s'empalant puis sautant comme une folle se mordant la lèvre pour éviter de faire trop de bruit. Il se jeta sur ses seins, les embrassant, les tirant, les léchant, suçant ses tétons, puis elle se pencha et ils échangèrent un long baiser passionné. Elle eu un nouvel orgasme long et puissant. Il ne fallut que quelques coups de bite en elle pour que le séminariste explose de plaisir à son tour.
Epuisés, ils s'écroulèrent l'un à côté de l'autre.

De longues minutes passèrent dans un silence ponctué de respirations qui se calmèrent.

- Marianne

- Chut, ne dit rien, je sais

Vincent ne dit plus rien alors. D'un commun accord ils avaient chacun compris qu'il n'y aurait pas de suite, pas de possible vie commune à distance, pas de je t'aime, pas de rendez-vous galant, pas de câlins au petit déjeuner, pas de fleurs à la saint-valentin, rien que des souvenirs et du plaisir partagé. Leur trop grande différence d'âge mettait un point final à leur relation. Marianne avait toute la vie devant elle, Vincent l'avait déjà bien brulé. Oui certains couples y arrivaient, mais lui ne voulait pas lui imposer cela et elle ne voulait pas le voir vieillir sous ses yeux.

Ils restèrent là à fixer le plafond, il la caressait du bout des doigts la faisant frissonner. Elle attrapa la couette et ils s'endormirent ainsi. Un peu avant l'aube, il lui refit l'amour tendrement et assez rapidement. Et sans attendre que le jour se lève, il pris ses affaires et quitta le lit chaud et douillet.

C'était l'avant dernière nuit du séminaire, Marianne était finalement heureuse et tant pis maintenant si quelqu'un savait, c'était son choix, c'était sa vie et elle affronterait les regards si cette nuit ses cris et ses gémissements avaient dépassés les décibels acceptables pour ses voisins. Ils se demanderaient juste quel chanceux avait bien pu prendre son pied avec le fausse rousse. Le lendemain, dodo, rien d'autre. Elle était sur les genoux et n'en pouvait plus.

En tout cas Marianne retiendrait des bons souvenirs de ce premier séminaire, tant au niveau professionnel qu'au niveau personnel. Cela lui ouvrit aussi d'autres perspectives sexuelles. Il n'était pas forcément nécessaire d'être en couple et d'avoir une relation forcément durable pour se faire plaisir. Et après-coup, malgré l'intervention un peu impromptue de Gérard, cela la titilla plus tard de refaire cela en groupe, mais ceci est une autre histoire.

***

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
Comme l'aurait monsieur Nougaro , c'est du lourd . Très belle écriture un joli style pour une belle histoire . Merci
Posté le 18/04/2022

Anonyme
Super excitant!
Posté le 25/01/2022


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