Histoire Erotique

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Premier week-end...

Première partie d'un week-end qui s'annonce riche en émotions et en sensations. La liberté n'a pas de prix quand on décide de la saisir et de jouir de cette opportunité...

Proposée le 9/01/2022 par Marcialus

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme


Ah ! Encore une belle semaine de boulot de terminer. Je remballe mes affaires, range mon bureau et hop je décolle. Ce week-end s’annonce particulier et je l’aborde avec beaucoup de fébrilité. Ce week-end, je le passe avec une personne importante pour moi. Cela fait quelques temps qu’on se connait, mais ces derniers mois notre mode de communication a délibérément changé de ton et c’est avéré plus… coquin. Nous ne sommes pas rentrés dans des détails crus mais ça tournait légèrement autour du pot sans se jeter franchement dans la gueule du loup.

On ne savait pas où tout ça nous mènerait. Ce qui est sûr, c’est que nous avions tous les deux peur que ça dérape. Nous avons chacun notre vie de famille, et se permettre ce genre d’écart peut engager des choses irréversibles. Et puis, on s’est dit qu’on avait qu’une vie. Si on fait attention à nous et si on se respecte toujours autant à l’avenir qu’on la fait depuis qu’on se connait, ça le fera.

Mais, cette fébrilité, je la dois au fait que je suis comme un dingue. J’ai l’impression d’avoir de nouveau quinze ans. Et surtout, je ne veux pas la décevoir. Elle est tellement belle, tellement géniale que je ne veux rien gâcher. Je tiens beaucoup à elle.

Sur la route entre mon bureau et chez elle, c’est l’effervescence dans ma tête et dans mes tripes. Il n’y en a pas un pour arrêter l’autre. Et le cœur ,lui, a complètement jeté l’éponge. Pas la peine de compter sur lui pour rappeler tout le monde à la raison. Dernier stop avant de tourner à droite. J’espère qu’elle ressent la même chose. Déjà, elle n’est pas cas contact ou positive au covid donc pas d’excuse à l’horizon, et elle ne m’a pas dit que finalement, elle avait piscine tout le week-end. Ouf !

J’entends les pneus crisser sur le gravier qui mène jusqu’à sa porte d’entrée. Je stoppe la voiture. Descends. Mon cœur fait la musique du tamtam. Je frappe. Elle ouvre la porte. Je la trouve magnifique. Je prends son bagage, le mets dans le coffre. Elle monte en voiture. Je regagne ma place et hop, nous voici sur la route d’Amnéville où nous allons passer deux jours.

Personne n’ose dire un mot pendant le premier quart d’heure. Sans doute parce que personne ne réalise ce qui se passe précisément. Sommes-nous réellement dans cette voiture ? Tous les deux ? En train d’enfreindre l’interdit ? De nous autoriser cet écart ? Bon ! Balayons toutes les idées négatives. Nous sommes deux adultes consentants. On se plait. On est attiré l’un par l’autre. Passons notre week-end comme bon nous semble et prenons du plaisir.

J’esquisse un sourire en coin. Elle le remarque, et j’observe dans le coin de l’œil qu’elle me renvoie son sourire en coin. Je décide de prendre sa main et de la tenir fermement en accompagnant ce geste par un baiser dans la nuque. Elle tourne la tête aussitôt vers moi et nous nous embrassons. J’en oublie complètement que je suis en train de conduire et que je dois plutôt prêter mon attention sur la route. Je me ressaisis immédiatement. Ça aura au moins eu le mérite de « briser la glace » et de commencer à communiquer verbalement.

On discute de choses et d’autres. On ne peut s’empêcher de sourire béatement. Je relâche sa main et vais la poser délicatement sur sa cuisse gauche que je caresse à travers son jean. C’est elle qui vient me glisser un baiser dans la nuque. J’avais mis du parfum « Sauvage » à cet endroit, j’espère qu’elle y sera sensible. En tous cas, j’ai une décharge de frissons qui m’envahis. Je n’ai qu’une envie. Elle. Je la veux. Tout de suite. Maintenant. Alors, je remonte ma main, saisis le bouton de son jean, l’ouvre, descends la braguette. Je commence à glisser ma main mais c’est très étroit. Elle descend d’elle-même un peu son pantalon. Wow, elle veut que j’y aille ? Mais carrément, je suis d’accord. Je pars à la découverte de son intimité, du bout des doigts, dans l’obscurité entrecoupée par la lumière des lampadaires au rythme de la vitesse de la voiture qui n’est pas aussi rapide que nos intentions. Elle est déjà bien humide et elle est hyper agréable. Mes doigts se font une joie de palper cet endroit. Oups, l’un d’eux a fait irruption à l’intérieur. Je l’entends gémir. « Arrête-toi me dit-elle ». Alors j’enlève ma main. « Mais non, arrête la voiture et va plus loin ». Ok. Y a une aire d’autoroute dans deux minutes. Va falloir patienter un peu…

Je m’engage sur cette aire d’autoroute et vais me garer au plus loin. En même temps, il n’y a pas grand monde. Tant mieux. Je ne suis pas exhibitionniste. Elle enlève son jean, sa culotte, je passe à l’arrière, elle me rejoint et me monte dessus. Je me débraille et m’insère en elle comme si c’était une évidence. Sans résistance, en douceur. Et quelle sensation ! Mes doigts ne s’étaient pas trompés. Ils savaient bien qu’autre chose y serait super bien. Elle monte et descend sur moi tout en m’embrassant à pleine bouche. Je la sens frissonner de tout son corps. Sa tête se pose dans le creux de mon épaule. Nous reprenons notre souffle. Le week-end commence très bien.

Nous approchons de l’Hôtel Saint Eloy où nous allons prendre nos quartiers pour ces deux prochaines nuits. Nous partons nous restaurer et discutons pendant le repas. Je veux la connaître davantage. Au risque de me trouver chiant, je vais l’assaillir de questions mais je veux vraiment savoir qui elle est au fond.

Le repas terminé, direction notre chambre au deuxième étage. Je prends une courte douche, enfile un peignoir de bain et vais m’asseoir sur le lit. Elle emboite le pas. Sortie de la salle de bain, elle se dirige vers moi. Je m’assois au bord du lit, lui saisis le bras et la tire pour la rapprocher. Elle écarte légèrement son peignoir pour venir à califourchon. Nous nous regardons dans les yeux. Je ne peux empêcher ma bouche de partir à l’assaut de la sienne. Je me lève en la portant jusqu’à la plaquer contre le mur. Ses jambes se posent sur le sol. Mes mains glissent sous son peignoir et viennent lui caresser les fesses. Une de ses mains me caresse le torse. Je reprends notre baiser. Sa langue est douce. Ma bouche part à la découverte de son corps. Ma main va ouvrir la voix. Je lui embrasse le menton, le cou, puis pars à la conquête de sa poitrine. D’abord ma main, pour un souvenir sensoriel digital. Le bout des doigts, évaluer la hauteur, la largeur, les tétons, leur douceur, leur rigidité, puis les prendre à pleine main pour les graver à jamais dans le creux de main. Ensuite la bouche, pour un souvenir gustatif, la douceur de la peau, le nez, pour humer ton odeur corporelle, que j’adore. Le nombril, défaire le nœud du peignoir et le laisser glisser de chaque côté de ton bassin. La lumière des lampes de chevet luit sur ton corps. Tu es magnifique. L’entre jambe, l’aine droite, l’aine gauche, le dessus de ton sexe, promener ma langue autour de sa zone érogène par excellence comme pour jouer avec tes nerfs avant de littéralement plonger dessus. Tu lèves légèrement une jambe pour me faciliter l’exercice. Le déguster, le titiller, pendant qu’un doigt, puis un deuxième vienne faire la fête avec plus de facilité que dans la voiture. Bizarrement, tu es moins pressée que tout à l’heure, Tu dois aimer que je te déguste ainsi. Je te sens faire des mouvements, je t’entends gémir, ma langue et mes doigts semblent faire l’effet escompté. Tes doigts s’enfoncent dans ma tignasse et serrent mes cheveux. Prendrais-tu du plaisir ? Lâche-toi, tu ‘as rien à craindre. On est entre nous.

Je te retourne, fais glisser ton peignoir le long de ton dos, il s’écrase au sol et je le pousse sur le côté d’un vulgaire coup de pied. Je t’embrasse dans la nuque, le long de la colonne vertébrale, je descends jusqu’à tes fesses que je contourne négligemment. Je pose ma bouche derrière ton genou droit pour remonter jusqu’à la base de ta fesse droite. Même traitement pour le côté gauche. Je pose ma main sur le bas de ton dos pour t’inviter à te cambrer pour te déguster à nouveau par derrière en reprenant un va et viens avec mes doigts.

Je remonte, défais mon peignoir, et je commence à substituer mes doigts par mon sexe. Comme dans la voiture, il trouve tout seul son chemin et se débrouille comme un grand. De simples coups de rein dans un premier temps avant de les enchaîner plus rapidement. Tu es prise en sandwich entre le mur et moi. Le contact de tes fesses dans mon entre jambe m’excite terriblement. Je saisis tes seins à pleine main et continuer de te pénétrer.

Tu m’arrêtes, te retourne et me projette contre le lit. Tu me montes dessus. Tu prends le contrôle. Tu y vas à ton rythme. Tu te plaques contre moi et j’avoue que je ne déteste pas sentir tes seins contre mon torse. Wow, quelles sensations de ouf. Il ne faudra pas longtemps pour que nous partions tous les deux côtoyer les étoiles. Tous deux essoufflés, iI
va nous falloir un petit moment pour récupérer. Nous ne sommes que vendredi soir. Que nous réserve la suite du week-end ?

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
Merci beaucoup! Je vous réserve des surprises... du moins, je l'espère...
Posté le 11/01/2022

Exorium
Que nous réserve la suite? On s'en doute un peu. Mais on a tout de même envie de le savoir. Votre récit prend bien son temps. C'est savoureux. Et très évocateur.
Posté le 10/01/2022


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