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Le mâle dominant se tape sa cousine et ses parents adoptifs. 3

Moi Léna, je dois partager la pine de mon cousin avec sa grosse veine sur le dessus avec Audrey, ma mère adoptive. On a la chance qu'en plus, ce soit un étalon inépuisable qui arrive à contenter deux femmes en chaleur. Avec lui, quand on croit que c'est fini, ça repart au quart de tour, sabre au clair.

Proposée le 9/06/2021 par mlkjhg39

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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Ma mère adoptive et moi obtempérons à sa demande, ça fait une impression bizarre quand même d’être à coté de sa « mère » en attendant toutes les deux avec impatience de se faire sauter l’une par son neveu, l’autre par son cousin. Il se présente devant nous le sabre au clair et nous ordonne :
-Espèces de salopes ! Il n’y en a pas une pour rattraper l’autre… Faites moi jouir uniquement avec vos bouches !
Nous nous battons presque pour saisir entre nos lèvres cet énorme sucre d’orge. Audrey est plus gourmande que moi pour sucer la friandise que lui offre Claude. Le tableau qu’ils m’offrent n’est pas donné à tout le monde de le voir. Le contraste est saisissant entre elle, une grande femme bien en chair avec des formes à damner un saint et Claude, assez chétif entre les bras de ma tante.
J’essaie de passer entre ses jambes pour m’occuper de ses boules bien pendantes pendant que « maman » s’escrime sur sa dague de chair. Nous échangeons régulièrement de place et je retrouve toujours avec plaisir la sensation extraordinaire des premiers instants où j’ai découverts l’incroyable fermeté de ce pal hors normes.
Il ricane et nous lance :
– Vous aimez ma grosse queue, hein salopes !

Le mâle dominant se tape sa cousine et ses parents adoptifs. 3 Je ne l’écoute même pas tellement je me donne à fond pour essayer de l’amener à la jouissance, les joues déformées par son soc, mon gosier meurtri quand son gland glisse trop loin et m’amène aux portes de l’écœurement. Pierre ne manque rien, filmant en gros plan.
Claude met ses mains derrière ma nuque et commence un va et vient d’enfer dans ma bouche, bien au delà de ce qu’elle peut absorber, j’ai les yeux révulsés, prête à vomir et ma gorge va éclater sous les coups de reins qui redoublent.
Il se retire de mon piège buccal pour reprendre un peu le contrôle mais Audrey ne peut pas résister et s'empresse d'aspirer l'extrémité cramoisie de la verge frémissante attendant l'instant fatidique de la déferlante spermatique qui ne va pas tarder. Goulûment elle prend entre ses lèvres uniquement le gland congestionné puis le pousse au fond de sa gorge, n’essayant même pas d’absorber la totalité de l’impressionnante queue extrêmement gonflée dans sa bouche.
Avec une avidité gourmande, elle suce l'énorme pal de chair dont l’extrémité vient frapper sa glotte, la forçant à déglutir. Elle referme ses doigts sur les couilles velues et gonflées de Claude et les presse délicatement pour l’amener à l’extase finale.
Malgré les efforts désespérés qu'il a fourni pour reculer l’instant de l'éjaculation sur le point de jaillir, Claude ne peut plus résister à la science de ma mère adoptive. Il agrippe sa chevelure pour retirer cette bouche trop experte de sa lance et s’immobilise.
-Attention les filles, je vais juter !

Il se saisit de sa teub et se masturbe violement, nous sommes toutes les deux comme deux jeunes enfants émerveillées devant le Père Noël à attendre nos cadeaux, la bouche ouverte.
Le souffle de Claude s’accélère, deux gros jets de semence jaillissent de sa verge, s’envolent et arrosent les cheveux et le dos de « maman » dans un grognement digne d’un fauve. Il se tourne vers moi et deux autres jets tout aussi puissants mais moins bien fournis inondent mon visage.
Je me précipite pour gober son sexe et avaler ce qu’il offre encore généreusement en serrant l’étreinte de mes lèvres sur sa verge. Je nettoie ensuite soigneusement avec ma langue son monstre qui ne dégonfle pratiquement pas. Je le caresse encore un peu et me relève avec le sourire aux lèvres, assez fière de moi du devoir accompli.

- Alors maman, Il est top hein ?
- Oui, il m’a fait un bien de malade, tu es doué mon neveu mais j’avoue que tu m’impressionnes de plus en plus, j’ai jamais connu à part toi un engin comme ça, ça ne doit pas être facile à encaisser par toutes ses conquêtes !
Humble, Claude lui rétorque :
-J’ai essuyé quelques refus mais toutes celles qui ont persévérées ne s’en sont pas plaintes !
-J’espère qu’on a réussi à calmer tes ardeurs, ironise Audrey en se relevant elle aussi en palpant doucement le membre qui a repris des dimensions moins pharaoniques. Tu fais un peu moins le fier maintenant, ça va nous permettre de récupérer un peu!
Claude s’empresse de lui répondre sentant des fourmillements dans sa verge que « maman » ne veut pas lâcher et triture inconsciemment :
-Tu rêves Audrey, il ne faudra qu’un instant et tu pourras encore l’utiliser pour tes désirs les plus fous !
Avec un plaisir pervers et fier de montrer sa virilité de jeune coq, Claude empoigne la main de sa tante sur son membre et entreprend de se branler lentement sous son regard admiratif.
Elle fixe avec émotion le bas-ventre de Claude qui fait aller et venir sa main emprisonnée le long du membre, décalottant largement son gland qui gonfle à nouveau comme une baudruche.

- Tu as bien failli m’étouffer avec ton manche de pioche et je n’en reviens pas de la quantité incroyable de sperme que tu craches. Pire que Peter NORTH. Ce n’est pas un sexe, c’est une véritable lance à incendie que ta as entre les jambes !
Stimulé par les encouragements verbaux et manuels de « maman », Claude avec un regard rempli de tendresse retrouve en un rien de temps toute sa force virile.
-Tu es magnifique mon étalon!
Son regard ne peut plus se détacher de la colonne fièrement dressée au bas du ventre de Claude, stupéfaite de la rapidité avec laquelle il a rebandé après ses éjaculations récentes.
-Tu bandes comme un bouc ! On ne dirait pas que toute la famille t’a déjà vidé les couilles deux fois. Tu as encore des réserves ?
-Ne t’inquiètes pas Audrey, je fournirai les prochaines commandes ! Allez les filles, à quatre pattes et au trop !

Nous nous empressons de lui obéir, il commence par moi et place son engin contre les lèvres humides de mon temple et tire sur mes hanches. Son mandrin entre en terre connue et avance lentement dans mon vagin. Malgré cela, j’ai toujours l’impression que son monstre pénètre irrémédiablement dans ma gaine de chair pour la déchirer. Son braquemard dilate mon conduit et n’arrête sa progression que quand il bute contre le col de mon utérus, il donne plusieurs coups de boutoir pour me faire crier.
-Vas-y doucement cousin, putain ! Tu veux m’éclater le conduit ou quoi? Je lui hurle en grimaçant.

Mais il veut prouver qu’il est le mâle dominant et me défonce à mort en violents coups de reins qui me font hurler de douleur avant qu’il ne réalise et devienne un peu plus civilisé. Peu à peu la douleur s’estompe et devient enfin du plaisir et j’apprécie à sa juste valeur le pieu qui me fait gémir.
Sa poutre entre et ressort de ma chatte à vive allure comme un métronome, je couine et râle comme une truie qu’on égorge à chaque enfoncement de son gourdin
-Arrrggghhh… Aaaahhh… Ooouuuiii ! Je la sens bien là, oui !!!

Je ronronne comme une chatte, suffoquant de bonheur et je sens la pression monter en moi, je me raidis et râle sous ses assauts et hurle ma jouissance quand je sens mes muscles se contracter autour de sa bite et que je me vide comme une fontaine.
-Oui oui oooouuuuiiii ! Aaaaaahhhh ! Surtout ne t'arrête pas! Continue de me baiser! Je me viiiiide ! Saleté de gosse, ta cousine jouit sur ta grosse bite ! Ohhh… Je suis si sensible que je ne peux plus supporter ton pieu!

A suivre…

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Commentaires de l'histoire :

mum
Comme il le dit dans son texte, on voit bien la grosse veine gonflée en train de nourrir cette verge pour la faire bander encore plus.
Posté le 10/06/2021


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