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Les délices des cuisses d'Alice

Pendant deux ans, j'ai eu une magnifique maîtresse, Alice. Nous ne nous rencontrions qu'environ une fois par mois. Elle avait de magnifiques cuisses dont j'étais obsédé. Quand nous faisions l'amour, embrasser l'intérieur soyeux des cuisses d'Alice était divin...

Proposée le 23/03/2021 par Bruno Pouperque

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FH
Lieu: Inclassable
Type: Histoire vraie


Magnifiques elles étaient, les cuisses d’Alice. Elles le sont probablement encore toujours, je présume. Dans environ cinq mois, cela fera six ans que j’ai encore vu ces merveilleuses cuisses pour la toute dernière fois. Je sais à peine imaginer que depuis, les cuisses d’Alice aient perdu leur perfection.

Les délices des cuisses d'Alice Alice était une femme magnifique lorsque je l’ai connue, pendant deux ans. Elle avait des cuisses phénoménales. Et Alice elle-même était la plus magnifique femme que j’aie jamais connue. Pas seulement pour ce qui est de son corps, mais quant à son esprit et son cœur aussi. Je ne sais pas le répéter assez.

La première fois que j’ai vu les magnifiques cuisses d’Alice, c'était à l’occasion d’un de nos tout premiers rendez-vous, fin du mois de juin il y a maintenant sept ans et demi, quelques jours seulement après son trente-huitième anniversaire.

Je l’attendais dans le parking de l’abbaye de Maredsous. Là, nous ferions une promenade dans les bois environnants. S’il n’y avait pas trop de monde, nous pourrions nous arrêter de temps en temps et nous embrasser. Après, nous irions manger une tartine au fromage de Maredsous, ou boire une des bières de l’abbaye.

Alice est arrivée au parking avec sa Renault Laguna vert foncé. J’ai accouru. Quand j’étais près de la voiture, elle a ouvert la portière et a posé ses pieds sur le sol, ses jambes légèrement écartées. Comme elle portait une courte jupe en jean, j’ai pu admirer ses longues jambes droites. Pour la première fois, j’ai également pu me régaler de la vue de ses magnifiques cuisses.
Je n’ai pas pu voir sa petite culotte. Cela ne viendrait que par après, mais quand même pas beaucoup de temps après. Peut-être quinze jours? Je ne le sais plus exactement. Disons trois semaines, tout au plus.

Pour ce qui est de nos rendez-vous, nous ne nous voyions pas très souvent. Alice avait peur que quelqu’un apprenne que nous étions amants. Ce n’est pas qu’Alice ait eu honte d’être vue en ma compagnie. Seulement, personne de son entourage ne pouvait rien savoir de ce que nous avions ensemble.

Lorsque nous nous rencontrions, elle était extrêmement prudente. Elle permettait que je l’embrasse et aussi que je la caresse, même ses seins. Pourtant, s’il y avait quelqu’un dans les parages dans un rayon de cent mètres, je ne pouvais pas la toucher. Elle se comportait alors comme si elle me connaissait à peine.

Comme Alice craignait tellement que même le moindre détail qui nous concernait tous les deux voie la lumière du jour, notre affaire cuisait à petit feu. Aucun de nous deux ne s’en sentait heureux. De temps en temps, j’en parlais à Alice. Cela l’ennuyait que j’entame ce sujet et elle me faisait taire. Son argument principal était que j’avais su dès le premier jour comment cela se passerait si je m’engageais avec elle. Elle m’en avait clairement averti. Son mari travaillait au Ministère de l’Intérieur à Bruxelles. Il avait une fonction importante et gagnait beaucoup d’argent, beaucoup plus qu’elle-même ne gagnait comme prof de français. En aucun cas elle ne voulait déstabiliser son mariage, même si elle m’aimait.

Elle avait raison. C’était fondé, ce qu’elle disait. Je ne pouvais pas lui donner tort, mais je raffolais tellement d’Alice. Peut-être qu’elle aussi était folle de moi, bien qu’après tant d’années je n’en sois plus si sûr.

Toutes ses objections étaient fondées, certes, mais je ne laissais pas ma magnifique amie tranquille. Sans cesse, j’insistais pour la voir plus souvent. Cela irritait Alice. Selon elle, je devais être réaliste et comprendre que certaines choses étaient tout à fait impossibles, et être content de ce qu’elle pouvait m’offrir.

J’ai essayé cela, même si ce n’était pas de mon plein gré. De temps à autre, je ne savais pas tenir mon rôle. Alors, j’essayais de la convaincre que nous pourrions nous voir plus souvent que ce qu’elle estimait possible et souhaitable.

Grâce à Internet, nous nous parlions tous les jours, des fois pendant plusieurs heures de suite. Sur le plan sentimental, nous nous rapprochions toujours plus l’un de l’autre. Mon amour pour Alice croissait tous les jours. Elle en était consciente, et j’avais l’impression qu’elle aussi m’aimait de plus en plus.

Ce qui a inspiré Alice à un moment donné, je ne le sais pas. Je veux rester positif et imaginer qu’alors elle m’aimait énormément. De toute façon, elle a tranché un nœud et pris une décision que je n’aurais jamais attendue d’elle. Elle m’a invité à venir la visiter chez elle à Beauraing. Son mari et ses deux filles n’y seraient pas. Ils partiraient à la côte belge pour passer une semaine à Nieuport avec les parents de son mari.

Avec cette invitation, Alice m’a coupé le souffle. Il était évident ce qui allait arriver quand nous nous rencontrions chez elle sans être gênés par personne. Et puis, elle m’a fait rire en me demandant si je ne souffrais pas d’une ‘vilaine maladie’. J’ai rassuré Alice en disant que j’étais en parfaite santé.

Un jeudi après-midi à la mi-juillet, nous avons couché pour la première fois ensemble chez elle à Beauraing. Inutile de dire que nous étions nerveux tous les deux. Nous n’avons pas fait l’amour dans le lit conjugal d’Alice et son mari, mais dans la chambre d’une de ses deux filles.
Nous nous sommes déshabillés nous-mêmes, chacun de son côté du lit. Personne ne le croira, mais à ce moment-là, je n’ai pas vu les belles cuisses d’Alice. J’étais trop gêné pour observer Alice pendant qu’elle se déshabillait.

Cette première fois, nos ébats amoureux furent intempestifs et maladroits, mais quand même passionnés et merveilleux. Il n’a pas duré longtemps avant que je vienne au plus profond de son vagin. Après, j’ai continué d’embrasser et de caresser la belle Alice partout sur son corps.

Mais les belles cuisses d’Alice, je les ai bien vues par après, et de tout près.

Après que nous avions fait l’amour une première fois, il a duré assez longtemps avant que je revoie Alice, environ six semaines. Tout cela a brusquement changé après ces grandes vacances. Alice a laissé tomber sa réserve et sa prudence. Peu après la rentrée de la nouvelle année scolaire à son école de la Divine Providence à Ciney, Alice m’a recontacté. Elle voulait absolument que nous nous revoyions le plus vite possible. Nous avons convenu de nous rencontrer à Dinant un samedi après-midi.

A ce moment-là, je n’avais pas de voiture. C’est pourquoi Alice est venue me chercher à la gare de Dinant. Dans sa voiture qui était garée dans le petit parking devant la gare, nous nous sommes embrassés et je l’ai caressée un peu. Elle m’a demandé ce que nous allions faire. En fait, je ne le savais pas vraiment. J’avais pensé aller boire quelque chose avec elle au Café Ardennais ou dans un autre café à Dinant, ou de lui proposer une promenade dans les bois sur les hauteurs de Poilvache.
C’est le choix que je voulais lui proposer, mais Alice ne m’a pas laissé le temps. De son sac, elle a sorti un tout petit bout de papier. Là, en caractères minuscules, elle avait noté trois adresses de maisons de passe dans les environs de Dinant où l’on pouvait louer une chambre pour quelques heures.
J’en étais ravi, mais aussi abasourdi.

Nous avons pris une chambre dans une sorte de villa sur la grand-route entre le village de Houx et Yvoir, au pied de la falaise de Poilvache.
La patronne nous a conduits au premier étage et a indiqué une chambre avec vue sur la Meuse. Cette chambre était grande, avec deux fenêtres et plusieurs grands miroirs attachés aux murs. Peut-être les exploitants de la maison de passe pensaient-ils ainsi donner un coup de fouet à la passion des amants d’occasion. Pourtant, quant à moi, ces miroirs me semblaient indiscrets et me gênaient en quelque sorte. J’ai eu l’impression qu’Alice non plus n’était pas vraiment motivée pour voir nous deux réfléchis dans ces différents miroirs pendant que nous faisions l’amour tout nus.

Alice a soigneusement fermé les tentures et puis, nous nous sommes déshabillés l’un l’autre cette fois-ci, lentement et avec tendresse. J’ai eu un peu de difficulté pour dégrafer le soutien-gorge rouge d’Alice, comme j’étais nerveux, mais elle m’a aidé. Sa petite culotte, de la même couleur, l’enlever, cela ne m’a posé aucun problème.

Alice, cette magnifique femme, a paradé ensuite toute nue et pas du tout gênée dans la chambre. Elle est allée poser ses vêtements soigneusement pliés sur une chaise. Pour la toute première fois, j'ai pu admirer ma magnifique maîtresse dans la splendeur de sa nudité pendant qu’elle se promenait dans la chambre tête haute, consciente de sa beauté.

Je ne sais que le répéter: Alice était belle à crever, une femme magnifique... Ses petits seins durs aux tétons pointant vers le haut, son ventre plat, ses longues jambes, ses magnifiques cuisses, son petit cul appétissant, sa chatte si appétissante…

Dans cette chambre aux miroirs près de Houx, nous avons fait l’amour. Comme la première fois chez elle, cela n’a pas duré longtemps. Nous étions trop passionnés, même sans regarder nos corps nus entrelacés dans les miroirs.

Après l’amour j’ai continué d’embrasser et de caresser Alice comme je le faisais toujours, pendant que nous nous parlions. J’ai aussi embrassé ses pieds, ses mollets, ses genoux. Puis, au-dessus de ses genoux, je me suis mis à embrasser et à lécher l’intérieur de ses cuisses.

Pourquoi j’ai fait cela? Comme je raffolais d’Alice, je l’embrassais partout sur son corps. Mais poser mes lèvres à l’intérieur de ses cuisses, cela me plaisait quand même le plus. Sur le corps féminin, à mon expérience, il n’y a aucun endroit où la peau est plus lisse et plus tendre qu’à l’intérieur de ses cuisses. Bien sûr, je me base pour cela sur mes expériences avec Alice. Lécher et poser des bisous sur ses cuisses, c’était un vrai régal. Cela enivrait, vraiment. Et dans mon cas, cela me faisait bander à l’extrême. Pour moi, il n’existe pas de meilleur aphrodisiaque.

Dans cette villa au pied de Poilvache, après que nous avions fait l’amour, je me suis agenouillé à côté du lit. J’ai pris Alice par les hanches et je l’ai tournée sur le lit jusqu’à ce qu’elle soit couchée en oblique. Elle m’a laissé faire. Prudemment, j’ai écarté ses jambes. Comme elle sentait que j’aimais ça, elle les a écartées elle-même.
J’ai commencé de l’embrasser juste au-dessus de ses genoux et graduellement, je suis monté à l’intérieur de ses magnifiques cuisses. Elle a soupiré et gémi comme je posais mes lèvres toujours plus haut. Puis, ma bouche a atteint sa chatte.

Ce samedi après-midi près de Houx, sa chatte était toute mouillée. Elle sentait bon, c’était comme si elle avait une légère odeur d’iode comme on peut la sentir en bord de mer. Le liquide libidineux qui avait coulé de son vagin perlait dans ses poils pubiens. Je l’ai dégusté. Il avait un goût salin et m’a fait penser aux meilleures huîtres que j’avais jamais mangées. Cela avait été il y a longtemps, à Arcachon.

Alice était divine cet après-midi-là. Pendant que mes lèvres remontaient ses magnifiques cuisses, elle me caressait les cheveux. Je me sentais tellement heureux...
Lorsque j’avais atteint sa belle chatte, je l’ai intensément embrassée, puis, de mes doigts j’ai prudemment écarté ses lèvres génitales. J’ai vu combien magnifique était l’entrée de son vagin, tout rose, et j’ai senti rayonner la chaleur accueillante qui s’en dégageait. Aussi ai-je vu comment un filet blanchâtre du sperme que j’avais giclé en elle était refoulé du plus profond de sa vulve.

Que j’écarte les lèvres de sa chatte de mes doigts et que j’examine son vagin de si près, cela ne semblait pas vraiment plaire à Alice. Spontanément, elle y a réagi. Elle m’a demandé si j’étais en train de la ‘taxer’ et si j’avais fait la même chose avec toutes les femmes avec qui j’avais couché au passé. Ce que j’avais fait, dit-elle, la faisait penser à un marchand de bétail qui sur la place du marché aux bestiaux examinait une vache.

Ce qu’elle disait m’a fait mal. Comme si elle voulait suggérer que je la considérais inférieure à moi… Je ne comprenais pas pourquoi elle me reprochait ce que j’avais fait, purement par mon amour pour elle. Je l’aimais, je l’aimais même à la folie. Dans cet amour, je trouvais normal que j’apprenne à la connaître complètement, aussi bien son corps magnifique que son esprit si riche, sa culture et son intelligence.
Elle avait probablement une autre idée. Trouvait-elle un manque de respect pour elle que, de mes doigts, j’aie écarté ses lèvres pour mieux voir sa chatte et l’entrée de son vagin? Probablement.

Après, elle n’a plus donné aucun commentaire sur l’incident. J’en étais soulagé et, de toute façon, ce qui était arrivé m’a servi de leçon. J’ai pris la ferme décision qu’à l’avenir j’éviterais de vexer Alice. Elle n’était pas seulement intelligente et sensible, mais également susceptible. Au cas où je voudrais explorer son corps ou essayer quelque chose de nouveau en lui faisant l’amour, je demanderais d’abord son idée, sinon son autorisation.

Au cours des mois suivants, nous nous sommes rencontrés environ une fois tous les mois. Cela n’arrivait plus chez elle à Beauraing. Ç’aurait vraiment été trop risqué, et nous ne voulions pas tenter le sort. C’est pourquoi nous louions des chambres pour quelques heures dans plusieurs motels, petits hôtels et maisons de passe de la région.

Au cours de ces premiers mois après que nous avions fait l’amour dans cette villa, je n’ai plus osé mettre ma tête entre les cuisses d’Alice et les lécher ou les embrasser. Je n’ai même plus risqué de mettre mes doigts à sa chatte, ne fût-ce que pour la caresser. C’est elle qui a pris l’habitude de prendre ma bite raide dans sa main et de la glisser dans son vagin lorsqu’elle voulait que je commence mon va-et-vient en elle. J’en ai conclu que c’était la façon dont elle préférait que nos amours se fassent.

Pourtant, ma conclusion était erronée.
Pendant les vacances scolaires, Alice a passé une semaine dans une villa que son mari avait louée à Carnoux-en-Provence. Lui-même ne pouvait pas y venir à cause de ses obligations professionnelles. Ainsi, Alice m’a invité à venir passer quelques jours avec elle. J’y suis allé trois jours.
Derrière la villa il y avait un oliveraie. Il n’y avait pas de voisins proches, et de la route qui passait devant la maison, personne ne pouvait nous voir. Cette oliveraie était notre “Jardin d’Eden”. Nous y courions nus la moitié du temps et nous faisions l’amour sans arrêt.

Là, à Carnoux-en-Provence, Alice m’a demandé pour la première fois elle-même que j’embrasse l’intérieur de ses cuisses. A chaque fois que nous faisions l’amour, c’est arrivé. Une fois même Alice avait grimpé dans un olivier et en pendait comme un singe, exposant son beau cul et ses magnifiques cuisses… Il va sans dire que j’ai profité de l’occasion pour gâter ses cuisses et sa belle foune. Elle a adoré mon traitement.

A partir de notre séjour en France, je pouvais embrasser ses cuisses et sa chatte autant et aussi longtemps que le cœur m’en disait à chacune de nos rencontres. Alice n’avait plus rien contre non plus que je regarde l’entrée rose de son petit tunnel d’amour. Même aimait-elle que j’y mette deux ou trois doigts pour que j’en masse les parois. Parfois, cela la faisait même venir.

Nous continuions de nous rencontrer environ une fois par mois. A chaque fois, je vivais intensément le même rituel avec Alice. Sans qu’elle me le demande, elle attendait que je la stimule de cette façon. Me le demander, elle ne le faisait jamais. Je présume qu’elle était trop fière pour ça.

Malheureusement, mon bonheur avec Alice n’a pas duré. Après deux ans, elle et moi avons fait l’amour pour la dernière fois le premier jour de juin. A ce moment-là, je n’avais aucune idée que ce serait la dernière fois. Moins de trois semaines après, elle a brusquement mis fin à notre relation. Elle m’a expliqué sa décision: selon elle, je mettais trop de pression sur elle. Elle trouvait que j’étais trop obsessif dans mon amour pour elle. Parfois, elle avait l’impression que je l’empêchais de respirer, et qu’elle était en train de se noyer.

C’est l’explication qu’elle m’a donnée. Pensait-elle ce qu’elle m’a dit, ou ne fut-ce qu’une excuse? Je n’en ai pas d’idée. Ce que je sais pour sûr, c’est qu’elle avait assez de moi et qu’elle a pris un autre amant. C’est elle-même qui me l’a dit, et aussi que c’était un de ses collègues à l’école de la Divine Providence, un prof de religion.

Malgré tout, nous sommes restés en contact sur Internet, du moins pour quelques mois. Après qu’elle avait rompu avec moi, Alice m’a fait savoir que sa relation avec le professeur de religion n’avait pas duré très longtemps. Les fois qu’ils avaient couché ensemble se comptaient sur les doigts d’une main, selon elle.
Des gens de son entourage m’ont dit tout le contraire. Certains prétendent même qu’Alice et son amant se voient toujours, en cachette… Mais qu’est-ce qui est vrai ? Pendant cette période, après notre rupture, beaucoup de racontars et des on-dit ont fait le tour sur nous deux derrière notre dos… Peut-être, comme Alice est si éblouissante, des bruits sur ma belle ex-amie continuent de circuler?

Notre relation d’amour a duré deux années. Pour moi, ce furent les deux années les plus heureuses de ma vie quand cette magnifique déesse a bien voulu m’aimer. De toute apparence, ce ne fut pas le cas pour elle, bien que je l’aie cru à cause de tout ce qu’elle m’a dit et écrit.

Son nouvel amant était plus jeune que moi et habitait à Villers-sur-Lesse, tout près de Beauraing, donc il était toujours disponible quand elle avait envie de faire l’amour. Je souhaite à Alice, malgré mon mal d’amour, qu’elle soit heureuse avec cet homme.

Seulement, je me demande régulièrement si elle oserait lui dire qu’elle aime qu’il embrasse l’intérieur de ses magnifiques cuisses et sa petite chatte si voluptueuse. Et, évidemment, je me demande aussi si cet homme le fait comme elle aimerait qu’il le fasse. Mais tout cela, je ne le saurai jamais. C’est incroyable, mais mon ancienne maîtresse m’a tout à fait rayé de sa vie. Elle ne veut même plus échanger le moindre mot avec moi. Pour elle, je n’existe plus. Incompréhensible, après une relation d’amour si intense qui a duré deux ans. C’est vraiment dommage!

Mais qui que soit l’amant actuel d’Alice, et combien elle aimerait que j’enterre notre passé commun, les souvenirs de mon temps avec cette magnifique femme continuent de me hanter.
Chaque soir, avant que je m’endorme, je vois son beau visage intelligent dans mon esprit. Et je sens mes lèvres passer sur ses magnifiques cuisses lisses et douces comme la soie.

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