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Ma Belle-Mère 01

Voici mon histoire avec plusieurs chapitres sur la découverte de la sexualité de ma belle-mère âgée de 75 ans !

Proposée le 17/01/2021 par François Xavier

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


La soumission de ma belle-mère

Semaine 1



Ma femme Andrée (divorcée et mère d’une fille, Dominique) et moi François Xavier, sommes mariés depuis plus de dix ans, sans enfants. Mes beaux-parents vivent sur le même palier que nous. Mes relations avec ma belle-mère, Chantal, étaient on ne peut plus glaciales, mais néanmoins polies.

Je ne pouvais rien lui reprocher que son aspect et sa nature à la fois hautains, arrogants et suffisants, qui veut dans une certaine mesure, si ce n’est dans une mesure certaine, chapeauter et dominer tout le monde autour d’elle. Elle n’intervient pas directement, mais arrive à amener sa fille là où elle veut par des insinuations et des remarques qu’elle se garde bien d’adresser en ma présence par crainte d’une réponse qui fuserait à son encontre.

Elle est d’une vanité à toute épreuve, du fait que dans sa jeunesse c’était une très belle femme qui attirait les hommes comme un aimant et elle ne s’en privait pas. Elle a eu maintes relations avec des amants plus ou moins attitrés, et son mari en avait connaissance, mais l’ascendant qu’elle avait sur lui faisait qu’il ne lui reprochait rien et lui fournissait la couverture nécessaire.

Mon beau-père meurt et ma femme, sa fille unique, nous quittent pour un long voyage afin de régler les problèmes de succession dans différents pays où il avait des intérêts. Je reste seul avec ma belle-mère en face. Cela faisait six mois que j’étais seul sans relations féminines, ne voulant pas tromper ma femme. Il faut préciser que ma belle-mère avait soixante-quinze ans, mais elle avait quand même de très beaux restes.



Dimanche



Un dimanche soir où j’étais chez ma belle-mère, alors que sa dame de compagnie l’avait quittée pour son congé hebdomadaire, je lui tiens un brin de causette, et, je ne sais comment, la conversation glissa sur des sujets plutôt intimes la concernant.

Elle commence par me raconter sa jeunesse et comment elle a connu mon beau-père qui était le premier homme dans sa vie, bien qu’elle ait vécu une relation amoureuse avec un jeune homme, mais qui s’était limitée à des correspondances sans même une seule sortie.

Son mari l’a donc déflorée, mais c’était un éjaculateur précoce qui la laissait toujours sur sa faim. Elle m’avoua que c’était la raison de son ascendant et sa domination sur lui. Un an après leur mariage naquit ma femme qui est leur unique enfant. Ce fut la fin de leurs relations sexuelles et le début de sa vie de conquérante des cœurs.

Devant cette effusion de souvenirs, je me sens mal à l’aise, mais je la laisse sur sa lancée pour essayer de la connaître un peu plus. Il faut dire qu’elle est assez prude à ce sujet et qu’elle ne laisse pas deviner ses sentiments et encore moins ses pensées. Je la laisse et là, elle commence à me relater les relations qu’elle a eues avec ses différents amants, certains plus jeunes qu’elle d’ailleurs.

Dès qu’un silence s’installe, je pose une question qui lui fait reprendre son flot de souvenirs. Il faut avouer que cette débauche que j’entends ne me laisse pas sans effets et je sens mon excitation monter, alors que je n’avais eu jusqu’à présent, aucune visée sexuelle à l’égard de ma belle-mère.

Je lui demande la raison pour laquelle elle a eu un tel nombre de relations et là, je ne suis pas du tout surpris de l’entendre dire que c’était pour le plaisir d’avoir tous ces hommes à sa merci et de les soumettre à ses quatre volontés. C’était d’abord une quête du plaisir qu’elle n’arrivait pas à ressentir, malgré toutes ces relations.

Je ne peux m’empêcher de lui demander si elle avait enfin trouvé ce plaisir qu’elle recherchait.

Elle me répond qu’elle a trouvé un plaisir mental dans le fait de soumettre à la fois mon beau-père et ses amants respectifs, de les mettre au pas et de les dominer. Mais sur le plan physique, si elle se trouvait excitée, elle n’avait jamais ressenti un orgasme tel qu’on le décrit.

La sentant prête à de plus amples confidences, je continue mon exploration intellectuelle, sachant que son excitation physique ne faisait que monter.

Je lui demande alors comment et où se passaient ses rencontres avec ses amants. En posant cette question, je m’attendais à ce qu’elle me sorte une réponse fusante me clouant le bec. Mais là, nouvelle surprise et de taille, elle poursuit ses confidences.

Elle m’avoue que ces rencontres se passaient soit chez elle, en l’absence de son mari et de sa fille, soit dans des hôtels que ses amants choisissaient. Jamais elle n’a couché avec quelqu’un nue, mais elle portait toujours soit une combinaison soit une nuisette et jamais un de ces hommes ne l’a vue dans sa nudité intégrale.

Elle faisait de ses amants ce qu’elle voulait et comme elle le voulait. Elle n’avait eu que des relations vaginales. Pas de relations buccales ni anales ni aucune fantaisie et, dans toutes les circonstances, elle dominait la situation et leur faisait faire ce qu’elle voulait, en les humiliant parfois et se moquant d’eux d’autres fois. Elle poursuit en avouant que ces relations lui manquent et que la dernière datait depuis plus de dix ans. Je ressens dans sa voix comme un désir inassouvi.

À cette réponse, je sens que je prends un avantage certain sur elle. En me dévoilant des détails aussi intimes, je l’ai entraînée dans un processus qui n’avait pas de fin. Je peux lui demander n’importe quoi.

Je ne m’en prive pas, et lui demande qui étaient ses amants. La liste est longue : des amis à son mari, des amis à sa fille, et même le premier mari de celle-ci avec qui elle a eu une longue relation. Elle avait aussi jeté son dévolu sur deux de ses neveux qu’elle a initiés dans leurs premières relations sexuelles avec elle.

Arrivée à ce point, je sens qu’elle est à ma disposition et que je peux tout exiger d’elle. Ce que je ne tarde pas à faire.

Nous sommes au salon sur deux canapés en vis-à-vis. Elle porte une robe d’intérieur fermée par fermeture éclair sur le devant qui lui arrive au milieu des cuisses, mais sans soutif. Ses gros seins tombent nécessairement, mais elle a de belles jambes effilées et sans l’ombre d’un poil. Ses cheveux, comme toujours, sont très bien coiffés.

Il faut dire aussi qu’elle pratique deux heures de marche et de vélo de salon par jour, ce qui la maintient dans une excellente forme.

Mais avant de passer à autre chose, je lui demande quelles étaient les pratiques sexuelles auxquelles elle se livrait avec ses amants.

Elle m’avoua que la seule qu’elle acceptait était une pénétration vaginale, mais que de temps en temps et à titre tout à fait exceptionnel, et avec des amants choisis, elle acceptait de les masturber avec sa main tout en les embrassant sur la bouche.

• - Vous êtes donc vierge de la bouche et du cul??

• - Oui, personne ne m’a jamais introduit quoi que ce soit, même pas une langue dans ma bouche, me répondit-elle, gênée.

• - Quelles sont les caresses que vous leur donniez??

• - Des caresses manuelles sur leurs torses, leurs dos, mais pas plus.

• - Et quelles sont les caresses que vous autorisiez??

• - Une caresse sur les seins à travers ce que je portais, sur les jambes et les pieds, mais jamais le sexe ne devait être touché. C’était moi qui guidais leur sexe dans mon vagin.

• - Et dans quelle position le faisiez-vous??

• - Moi, étendue sur le dos, jambes écartées et jamais relevées pour qu’ils ne puissent pas voir mes fesses et mon anus. D’ailleurs c’est la seule position que je connaisse.

• - Est-ce que vous vous rasez la foufoune??

• - C’est quoi une foufoune??

• - Le sexe, en éclatant de rire.

• - Ah bon, je ne connais pas ces vulgarités. Jamais une lame n’a touché mes poils pubiens et je ne les ai jamais coupés.

Il faut noter que j’utilise un langage un peu cru alors que ses réponses n’utilisent aucun de ces mots «?vulgaires?» à son sens. Le vouvoiement est toujours de rigueur.

Une minute passe dans un silence total et elle se lève en me disant vouloir aller aux toilettes. Je l’entends pisser, je crois qu’elle n’avait pas totalement fermé la porte en espérant quelque chose puis j’entends le bruit du bidet.

Elle rentre dans le salon et s’apprête à se rasseoir.

• - Reste debout (je passais au tutoiement avec un ton autoritaire).

• - Quoi??

Elle cria, surprise par le ton et le tutoiement.

• - Reste debout et viens vers moi.

Elle s’approche en silence, hésitante, ne sachant quoi faire ni quoi dire.

Brusquement, je fais descendre la fermeture éclair de sa robe d’intérieur jusqu’au bout. Je continue en écartant les pans de la robe et la tire vers le bas, et la voilà nue devant moi, à l’exception de sa culotte de grand-mère.

Elle rougit et veut dire quelque chose, mais aucun bruit ne sort de sa gorge. Elle essaye de reculer, mais j’ai déjà plaqué mes mains sur ses fesses et la tiens fermement.

• - Mais que faites-vous??

• - Je fais ce qui me plaît et qui va te plaire.

• - Mais je suis votre belle-mère.

• - Ah bon ? Cela ne t’a pas empêché de t’envoyer ton gendre et tes neveux, espèce de pute!

Elle tressaille et tremble en s’entendant traiter de pute. Elle veut reculer, mais ne peut pas bouger tellement je la tiens fort.

• - Que voulez-vous de moi??

• - Rien que du bien. Tu vas finalement connaître ce que tu n’as jamais connu dans ta vie. Mets-toi à genoux devant moi.

Elle le fait.

• - Maintenant tu vas mettre ta tête sur mes genoux.

• - Et après??

Elle pose cette question en tremblant.

• - Tu verras.

Je me déchausse, pousse mon pied au niveau de sa chatte et commence à la caresser à travers sa culotte.

• - Arrêtez, qu’est-ce que vous faites??

• - Je fais ce que je veux, et tu n’as plus le droit de parler que si je t’adresse la parole. Pas même lever ton petit doigt…

• - Qui êtes-vous pour me dicter ces conditions?? rétorque Chantal, furieuse.

• - Je suis celui qui va te mater et t’amener au septième ciel.

• - Je ne veux rien de vous. Je veux que vous sortiez tout de suite.

• - Je fais ce que je veux et je sors quand cela me plaira. Je suis ici chez moi.

À ce moment, je la tiens par les cheveux et la remonte pour l’étendre sur mes genoux. Je baisse sa culotte pour dévoiler ses fesses que je voyais pour la première fois. Et là, je ne sais ce qui m’a pris, je plaque une main sur sa chatte couverte de très, très longs poils que je n’avais pas encore vus. Avec l’autre main, je commence à la fesser légèrement. Elle crie, mais en même temps, je sens sa chatte qui commence à mouiller. Je continue la fessée en montant crescendo, mais en faisant attention à la montée de son désir que je sens croître en elle.

Au moment où je la sens toute proche de l’orgasme, je m’arrête de la fesser et j’éloigne mes mains de son corps.

• - Pourquoi tu t’es arrêté??

Finalement Chantal me tutoyait d’une petite voix.

• - Ce n’est pas encore le moment, et qui t’a permis de parler??

Elle lève son petit doigt comme une petite écolière et sur un geste de moi :

• - Est-ce que je peux retourner aux toilettes??

• - Mais tu viens d’en sortir

• - J’ai besoin d’y aller

• - OK, vas-y.

Elle se relève, mais avant qu’elle ne fasse un seul pas, je lui baisse sa culotte totalement et lui lève un pied après l’autre pour l’en débarrasser complètement. La voilà toute nue devant moi.

Je dois vous la décrire un peu, 1,75 m pour 60 kg, ses fesses sont bien fermes, ses seins tombent du fait de l’âge et de sa lourde poitrine que j’estime à du 100D. Elle a des jambes élancées, sans rides et la voir toute nue devant moi m’excite au plus haut point. Sa poitrine est assez grande par rapport à son corps, ce qui n’est pas pour me gêner. De dos, elle paraît être une femme d’une quarantaine d’années.

Je la tiens toujours aux fesses et je regarde de près sa chatte couverte de poils blancs, longs d’une dizaine de centimètres, c’était la première fois que je voyais ça.

Elle est rouge comme une pivoine.

• - Vous êtes la première personne à me voir ainsi.

• - Tu vas t’y habituer.

Elle se lève et je lui emboîte le pas. Quand elle rentre aux toilettes, je m’y glisse aussi pour ne pas lui laisser l’occasion de fermer la porte derrière elle.

• - Mais laissez-moi seule.

• - Tu ne le seras plus jamais.

Pressée comme elle était, elle ne peut que s’asseoir et essaye de se cacher. Avec mon pied, je lui écarte les cuisses et regarde. Je suis curieux de voir comment ça allait se passer avec des poils aussi longs. Effectivement, cela valait la peine de regarder, ses poils sont tout trempés par sa pisse et quand elle finit, elle se dirige vers le bidet pour faire sa toilette intime. Je regarde sans rien dire pour ne pas la bousculer et la rendre encore plus nerveuse. Une fois sa toilette terminée, elle s’essuie et se dirige vers le salon.

• - Non, on va dans ta chambre

Il faut dire que je n’y étais jamais entré et je suis curieux de voir son antre. Sa chambre reflète son caractère, plutôt austère et bien ordonnée. Elle est là debout, ne sachant quoi faire.

Je la pousse vers le lit et la fais s’étendre sur le dos, les jambes complètement écartées, et je m’étends à ses côtés.

• - Tu veux jouir, salope??

• - Je veux bien, mais comment?? répondit-elle d’une voix timide et chevrotante.

• - Tu te laisses faire sans commentaires et sans tabou. Et surtout, tu acceptes tout.

Je mets ma main sur sa chatte pour vérifier son état, elle est toute sèche après sa toilette intime.

Je me lève et cherche de quoi lui bander les yeux. J’ouvre son armoire et en tire un foulard. Je lui bande les yeux fermement. Elle ne bouge pas et n’essaye même pas de s’esquiver sans chercher à faire une remarque quelconque. Elle est en attente.

Je me rallonge à son côté et commence à la caresser sur tout le corps avec le bout de mes doigts. Elle a la chair de poule et commence à gémir. Je ne touche ni ses seins ni son sexe, mais mes mains virevoltent sur tout son corps, des cheveux jusqu’aux orteils. Ses gémissements augmentent et quand je sens qu’elle approche d’un degré supérieur de plaisir, je m’arrête un moment. À chaque arrêt, elle s’énerve, mais ne parle pas. Une fois calmée un peu, je reprends. Je la sens toute tendue vers le plaisir.

Je reprends et ainsi de suite pendant un bon moment, les intervalles de montée du plaisir devenant de plus en plus rapprochés et longs, j’ai su que l’apothéose est proche. Son sexe ruisselle de mouille et ses poils sont trempés, tout cela sans lui avoir touché le sexe.

Je décide qu’il est temps de finaliser. Je commence par lui téter les seins, ses tétons sont érigés et font bien deux centimètres de longueur, alors que ses larges aréoles sont toutes crispées. Je lui caresse la chatte et lui polis les poils tout en les tirant un tout petit peu. Ses cris de plaisir deviennent plus rauques et plus forts. Je change alors, mes mains s’occupant de ses seins et ma bouche lui léchant le sexe.

Elle ramène ses mains instinctivement pour écarter les lèvres de son sexe et me permettre un meilleur accès. Pour la première fois, je vois son clitoris aussi grand et érigé que ses tétons, comme une petite bite. Je me concentre à le sucer et le lécher exclusivement. Elle commence à trembler et son corps se soulève de toutes parts.

• - AAAAHHHH ! C’est bon, continuez…

Ses cris de bonheur continuent de plus belle et de plus en plus haut, et elle saute carrément du lit. Cela dure un bon moment, finalement elle m’écarte de son corps et essaye de reprendre son souffle.

J’étais là à la regarder reprendre pied et se calmer.

• - Qu’est que vous m’avez fait, c’était bon. Je n’ai jamais senti ça et je n’ai jamais joui alors que là, vous m’avez amené à un plaisir sublime que je ne connaissais pas. C’est la première fois.

• - Je t’avais dit que je te ferais jouir.

• - Vous m’en avez fait faire des choses pour la première fois…

• - Et encore, tu n’es pas au bout. Il y aura plein de premières fois.

• - Personne ne m’a jamais léché le sexe, c’est très bon.

Elle enlève le bandeau de ses yeux et me regarde les yeux humides et j’ai vu dans son regard qu’elle était complètement matée et attendait la suite.

• - Je te souhaite une bonne nuit et à demain.

• - Ne me quittez pas, restez à côté de moi…

• - Ce n’est pas comme tu veux, je fais ce qui me plaît et quand il me plaît.

• - Bonne nuit, chéri (pour la première fois, elle sortait un mot doux à mon égard).

• - Bonne nuit.

Je sors de chez elle et rentre chez moi tout excité avec une trique du diable, mais je ne veux pas brusquer les choses. Je pense à ce je vais pouvoir faire faire à ma belle-mère.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
Super histoire donne envie
Posté le 17/05/2021

Micfou53
Bien écrit, bien contextualisé. J'apprécie qu'il 'y ait pas de commentaires dégradant sur les stigmates de l'âge sur le corps. J'attends la suite avec impatience ! Suspense !va-t-elle se raser la foufoune elle-même, va-t-elle aller en institut ou François-Xavier va-t-il s'en charger ?
Posté le 19/01/2021

Pongodu21
Très érotique cette belle histoire. Merci à l'auteur
Posté le 18/01/2021


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