Histoire Erotique

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C’est l’histoire d’un plan à trois entre étudiants…

Cette histoire vécue raconte une soirée entre l'étudiant que j'étais, mon ami de longue date et une magnifique toute jeune femme qui nous a offert son corps. Cette jeune femme sur laquelle j'avais craqué depuis plusieurs années et qui m'était toujours apparue comme inaccessible.

Proposée le 31/12/2020 par Wiseguy55

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Thème: Première fois
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Après vous avoir raconté une partie des aventures vécues avec ma femme, je vais vous entretenir d’une aventure qui s’est déroulée seulement deux semaines avant de rencontrer celle qui allait devenir la femme de ma vie. Cette aventure vécue avec mon meilleur ami et son ex-copine de l’époque a conditionné mon rapport à la sexualité.
C’est l’histoire toute bête d’un plan à trois entre étudiants…

On était des gamins. Juste assez vieux que pour se prendre pour des adultes. Du haut de mes 22 ans, j’étais l’ainé des trois. Eux, c’est-à-dire mon meilleur ami et elle son ex-copine de l’époque avaient respectivement 21 et 20 ans. A cet âge, les corps sont déjà bien formés, pas les esprits. A cet âge on papillonne à gauche à droite. On se met en couple, on s’accouple, on se sépare, on s’accouple à nouveau, on se sépare à nouveau.

Mon ami et moi nous connaissons depuis l’enfance, elle on l’a connue au collège. Nous avions à l’époque 17/18 ans. La première fois que je l’ai vue je suis immédiatement tombé sous son charme ravageur. Elle correspondait à tout ce que j’aime chez une fille. Assez petite, fine avec une taille très marquée mise en valeur par ses petites fesses toutes rondes, de longues jambes, une petite poitrine haute perchée sur un buste gracieux. Une peau naturellement mate et soyeuse. De longs cheveux châtain clair tombant en boucles naturelles sur ses frêles épaules, des yeux noisette rieurs, des lèvres charnues et des petites taches de rousseur se répartissant sur son nez et ses joues.

Tout le collège en était dingue tellement elle était belle, très belle, trop belle pour moi avec mon gabarit trapu et mon épaisse carcasse pourtant trop petite pour contenir toute la timidité qui me rongeait.

Elle avait bien sûr comme toutes les filles trop belles et un peu trop souriantes, une réputation de salope et de Marie-couche-toi-là. Elle était simplement consciente de sa beauté et était peut-être plus précoce que nous tous en matière de sexualité. Elle, elle aimait à répéter qu’elle avait une sexualité de mec. Elle avait sans doute raison.

A ma grande surprise, elle s’est vite rapprochée de moi. J’ai cru pendant quelques jours être dans un de ces films ou l’ado improbable arrive à séduire la cheerleader. Nous n’étions pas dans un film, les cheerleaders sont attirées par les quaterbacks, jamais par les linemen (c’est du foot US). Et ça n’a pas raté, au bout de seulement trois jours, elle m’a demandé de la brancher avec mon ami. J’étais trop bête et trop lâche pour lui dire de se débrouiller toute seule. Alors je les ai présentés.

Il était très réticent au début car il savait que j’avais craqué sur elle. Lui avec son physique de beau ténébreux charismatique pouvait séduire n’importe quelle fille. Alors quand une me plaisait, il s’abstenait de l’approcher. J’ai donc pris mon courage à deux mains et j’ai tenté ma chance avec elle. Elle m’a envoyé balader, gentiment, tendrement, mais elle m’a envoyé balader quand même. Comme c’était mort pour moi, il l’a approchée, séduite et baisée en quelques heures…

Ils sont restés environs trois ans ensemble, trois ans faits de hauts et de bas, de coup de canifs au contrat, de séparations, de réconciliation, jusqu’à la séparation définitive. Ils sont néanmoins restés proches.

Moi de mon côté j’étais parvenu à séduire quelques filles par ci par là mais rien de satisfaisant, ni moralement, ni physiquement. J’avais après le collège intégré une école d’ingénieur qui manquait cruellement de présence féminine. Les stages en entreprises étaient encore pires, là où mes potes d’écoles de commerces faisaient des stages dans des bureaux pleins de jolies filles, mes stages à moi se déroulaient dans des baraques de chantiers, bottines de sécurité aux pieds et casque sur la tête. Alors vous imaginez ma joie quand elle m’a téléphoné pour m’inviter à venir manger chez elle un soir. Mon ami était lui aussi invité mais qu’importe.

Arrive ce fameux soir, elle nous reçoit dans son nouvel appartement que ses parents, riches expatriés, lui louent à prix d’or. Quand elle nous ouvre la porte, elle est ravissante et je retombe sous son charme. Elle est habillée assez sagement d’un chemisier blanc boutonné juste ce qu’il faut pour mettre sa poitrine en valeur sans la dévoiler, d’une jupe en tartan dans les tons gris s’arrêtant à mi-cuisse et de bas noirs. On voit qu’elle s’est maquillée et coiffée avec soin. Elle a dû passer des heures pour avoir cet aspect faussement négligé. Et puis elle sent terriblement bon, un parfum capiteux qui, ajouté à tout le reste, joue sur ma libido. Putain, elle risque d’être compliquée cette soirée !

Le début de soirée se déroule normalement, un apéro et ensuite on passe à table, je pense qu’elle nous avait fait des lasagnes mais je n’en suis plus très sûr. On parle alors de nos amours respectifs. Mon ami raconte comment il enchaîne les coups d’un soir dans son école de commerce, elle raconte comment dans sa fac de médecine, il lui suffit de claquer des doigts à chaque fois qu’elle a envie de se faire sauter. Je leur raconte comment les femmes que je vois tous les jours dans mes stages me font des sourires aguicheurs dans leur lingerie, bien placardées sur des posters entre des plans A3 punaisés aux cloisons de baraquements de chantier.

- Tu fais des plans à 3 !
- Mais non pas à 3, A-3, c’est un format de papier idiote !

Mon ami surenchérit :

- Qui a déjà fait un plan à 3 ?
- No comment ! Nous fait-elle d’un sourire narquois.

La discussion est maintenant réellement lancée et sans qu’il n’y paraisse, une excitation sexuelle s’empare de moi, de nous. On rigole de moins en moins et nos confidences se font de plus en plus précises sur ce qu’on voudrait réaliser comme fantasme. Elle est assise à ma droite, sa chaise s’est peu à peu rapprochée de la mienne au fil du repas. Elle est si près de moi que je peux sentir son odeur et même la chaleur de sa peau. Mon ami nous regarde d’un air amusé. Il a compris ce qu’il se passait. Sous je ne sais plus quel prétexte, elle vient toucher ma poitrine. Je suis tétanisé et n’ose bouger. Elle me fait un baiser dans le cou qui, bien que furtif, me semble durer une éternité. Elle se retire d’un bond et éclate de rire.

- Bougez pas les garçons, j’apporte le dessert.

Elle disparaît dans la cuisine. J’en profite pour interroger mon ami :

- C’était quoi ça ?
- Devine gros malin !
- Oui mais bon, en face de toi c’est gênant.
- Maaaaais, on s’en fout, laisse toi faire. Sois cool une fois dans ta vie. T’es tellement coincé que c’est pour ça qu’il ne t’arrive jamais rien.

Merde, il a tellement raison. Je suis encore dans mes pensées quand je la vois revenir dans le séjour entièrement nue.

- Le dessert est servi !

Je me souviens encore parfaitement de sa manière de faire rouler ses jolies hanches en se dirigeant vers moi. Je me souviens de ses seins qui bougeaient légèrement à chaque pas, de ses tétons bruns foncés durcis, de sa fine taille, de son ventre plat et musclé, de ses suisses fuselées. Je me souviens de la sensualité qu’elle dégageait, de cette impression de force de caractère qui contrastait avec son physique gracile. Tout en elle n’était qu’érotisme.

Toujours assis sur ma chaise, elle vient se placer face à moi, se penche et m’embrasse. Sa bouche contre la mienne, nos langues se touchent à peine. Sans rien dire, elle s’éloigne un peu, augmente le volume de la musique qui jusqu’alors tournait en sourdine et commence à danser devant nous. Et quand je dis danser, je devrais dire nous allumer. Elle se tortille au son de la musique, passe ses mains sur ses seins devenus tout durs et le quelques poils de son pubis. Elle se cambre et nous présente ses fesses. Elle se place devant nous, nous tourne le dos, écarte un peu les pieds et se penche en avant aussi loin que la gravité le lui permet. Elle creuse ses reins au maximum, ses jolies petites fesses toutes rondes et musclées s’écartent et nous offrent le spectacle de son sexe lisse au niveau de ses lèvres et de son petit cul tout rose. Elle va ensuite s’asseoir au bord du sofa, écarte grand ses jambes et commence à se caresser le clitoris, d’abord avec ses doigts, puis avec le cordon spiralé de son combiné de téléphone qu’elle fait glisser dans un mouvement lent de va et viens. Je n’en peux plus d’excitation. Elle revient vers moi et me tend la main :

- On danse ?

Je me retrouve dans ses bras, au milieu de son salon, moi encore entièrement habillé, elle nue qui continue ses mouvements sensuels mais en se collant à moi. Elle s’accroupi et ouvre les boutons de mon jeans, baisse mon pantalon et mon boxer, prend mon sexe en main et le porte à sa bouche. Cela faisait des années que je rêvais de voir ses lèvres charnues entourer ma queue. Et là nous y sommes, des petites fossettes se marquant dans ses joues creusées. Toujours accroupie, elle cambre ses reins. De ma position debout, j’ai une vue plongeante sur les globes de ses fesses. Tout à mon plaisir, j’en ai presque oublié la présence de mon ami. Ce n’est qu’au moment où il s’est levé pour nous rejoindre que j’en ai pris conscience.

- Alors, c’est bon ? Elle suce bien hein !

C’est là que je me suis aperçu qu’il avait déjà retiré ses vêtements. Il bandait dur. Je savais qu’il était mieux équipé que moi au repos vu qu’on partageait les mêmes vestiaires après l’entrainement de foot trois fois par semaine, mais là, le voire en érection était assez impressionnant. Tout en restant accroupie, elle se retourne vers lui et le prend en bouche. Elle tient ma queue encore dans une main et ne s’arrête pas de me stimuler. Il lui attrape les cheveux et, tout en la maintenant, lui enfonce d’un coup sa bite au fond de la gorge. Je l’entends hoqueter et je sens sa main se serrer autour de ma bite si fort que s’en est douloureux. Elle s’accoutume malgré tout, elle s’agite sur sa queue puis sur la mienne faisant des grands mouvements de tête. Au bout de quelques instants, elle se lève, et sans un mot nous prend par la main et nous fait nous installer dans son canapé. Elle se place à genoux devant le canapé entre les jambes grande ouverte de mon ami et recommence à le sucer. Je me déshabille à mon tour et me place alors derrière elle, je lui caresse les fesses. Sa peau est d’une douceur infinie, je glisse mon doigt entre ses fesses et ses lèvres. Sa vulve est mouillée mais encore bien fermée. Maladroitement je lui introduis mon majeur sans trop de précautions. Elle se raidit, se retourne vers moi et me dit :

- Commence plus doucement, c’est pas super agréable comme ça ! Touche-moi d’abord le clito.

Je m’exécute et peu à peu, je la sens s’assouplir. Elle pousse des petits gémissements étouffés par la bite de mon ami à nouveau bien enfoncée dans sa bouche. J’ai terriblement envie de la goûter. Je m’allonge au sol, sur le dos, la tête entre ses cuisses. Je passe mes mains au-dessus de ses hanches et imprime un mouvement lui faisant descendre son sexe au-dessus de mon visage. J’ai ses deux fesses en main et ma langue sur son clitoris. Ses mouvements de bassin sont de plus en plus fort, les gémissements aussi, les siens, ceux de mon ami et même les miens. On reste comme ça un long moment, jusqu’à ce qu’elle se dégage puis se retournant et me regardant me dit :

- Je veux que tu me prennes ! J’ai des capotes dans le tiroir de la table basse derrière toi.

Je plonge dans le tiroir. Une boite de 12 ! Elle a des projets ! Je me débats un peu avec l’emballage, enfile une capote et me place à genoux derrière elle. Elle s’est cambrée et m’offre ses fesses que j’attrape à pleine mains, elle suce mon ami de plus en plus rapidement. Je crois qu’il est au bord de l’explosion. Moi je la pénètre de plus en plus fort. Depuis des années je fantasmais sur ses fesses et maintenant je suis agrippé à ses hanches et ses fesses s’écrasent sur mon pubis à chaque coup de rein. L’excitation est à son comble, je ne veux pas jouir, pas déjà. Je me retire. Mon ami enfile lui aussi une capote et prend ma place. Elle gémit de plus belle. Je me place à mon tour face à son visage. Elle me prend immédiatement en bouche. Je sens les coups de boutoirs à travers son corps. En un coup, elle s’arrête, relève la tête et me regarde avec des grands yeux effrayés ! Et s’adressant à mon ami :
- Doucement ! Doucement ! Doucement ! Aaaaaah !!!

Pas de doutes, mon ami la sodomise sans l’avoir prévenue. Deux secondes de flottement, tout le monde reste immobile et ensuite le ballet reprend. Elle gémit de plus en plus fort, je lui enfonce ma bite dans la bouche aussi loin que possible. J’entends claquer les couilles de mon ami sur les fesses de notre hôtesse. Il lui pilonne son petit trou sans la moindre retenue. Elle est une petite poupée si frêle maintenant soumise aux plaisirs de ses deux invités. L’érotisme de tout à l’heure s’est mué en bestialité. Tout en continuant à me sucer, elle passe une main entre ses jambes pour se caresser le clitoris. On prend tous les trois un plaisir fou ainsi imbriqués en elle. Mais elle en veut plus. Elle grimpe sur moi toujours assis dans le canapé et se met à califourchon. Elle prend mon sexe entre ses doigts et le guide dans son vagin. Elle creuse ses reins, place ses mains sur ses fesses, les écartes et dit « reviens » à mon ami qui s’enfonce d’un coup dans son cul. Quelle sensation étrange, son vagin qui me semblait si ouvert il y a à peine deux secondes semble s’être rétrécit, les parois écrasées par la présence d’une grosse bite dans son cul.

J’ai ses seins à hauteur de visage, je les embrasses et les suces un à un. Je caresse toutes les parties accessibles de son corps si parfait que je n’arrive pas à savoir quelle zone je préfère. A ce moment j’aimerais avoir dix mains. L’odeur, la chaleur et la douceur de sa peau m’enivrent. J’aime ses bras posés sur mes épaules, ses mains dans mes cheveux, son souffle court sortant de sa bouche venant envahir l’air que j’inspire, les mouvements de ses hanches provoqués par nos poussées respectives. J’aime son regard rempli d’excitation et j’aime qu’elle m’embrasse d’un baiser beaucoup plus profond maintenant.
Elle se crispe et jouit, très bruyamment, très violemment. Son buste et ses hanches se tordent. Elle me mord l’épaule. Elle nous expulse de son corps endolorit et s’affale dans le canapé. Je me place entre ses jambes ouvertes, à genoux au-dessus de son ventre. Mon ami est debout à côté du canapé à hauteur de son visage.

- Jouissez sur moi, allez-y c’est cadeau !

Il ne faudra que quelques secondes pour que nous jouissions sur elle, moi le premier sur son ventre et ses seins ensuite mon ami sur son visage d’ange et ses taches de rousseur. Même souillée de nos spermes elle est magnifique.

Après avoir repris nos esprits et avoir échangé quelques gentillesses, je suis rentré chez moi sans savoir que je ne la reverrais pas avant plusieurs années.

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