Plan cul à trois, inattendu et inespéré

Ma tendre épouse m'a avoué un jour que nos relations intimes gagneraient en intensité si elle pouvait me cocufier. J'ai dit oui. J'ai accepté le marché. Elle a bien voulu que je l'observe se faire peloter par un mec, le temps d'un slow, et nous avons ensuite fait l'amour comme des fous.

Proposée le 5/05/2025 par Sacha

Thème: Homme dominé
Personnages: FHH
Lieu: Inclassable
Type: Histoire vraie

Nathalie, ma chère et tendre épouse, avait en l'honnêteté de m'avouer, avant notre mariage qui fut célébré le jour même de son quarantième anniversaire, que sa vie sexuelle avant moi avait été quelque peu agitée, pour ne pas dire sulfureuse: nombreux partenaires, multipartenariat, un jour elle baisait avec un copain, le lendemain avec un autre, ça l'excitait, et même gang bang.

Bref, elle était portée sur le sexe, et il faut dire que ses beaux seins et sa chatte aux lèvres souvent gonflées, et qui mouillait bien, attiraient bien du monde. Mais ce qui l'excitait, c'était de changer souvent de partenaire.

Mais elle avait décidé de se ranger.

À vrai dire, ce passé m'excitait, vu qu'elle m'avoua que quand elle a avait le feu au cul, plus rien ne la retenait, et on s'éclatait bien au lit, tous les deux.

C'est seulement après le mariage, et je lui sais gré aussi de cette sincérité, qu'elle me confia sur l'oreiller que ses anciens démons la reprenaient. La monogamie, en fait, n'était pas trop son truc, il lui fallait changer de mec de temps en temps. Et nore relation ne pouvait durer, selon elle, qu'à condition qu'elle puisse puisse aussi se faire baiser par d'autres, quand bon lui semblerait.

Alors il nous a bien fallu imaginer un scénario.

Elle voulait sortir en boîte de nuit un soir, chauffer un mec et se le faire. Il faut dire que, plus candauliste que jaloux, je comprenais ses désirs, me promettant de tout faire pour les satisfaire, en mari aimant que j'étais.

C'était ma biche bien aimée, mais sa chatte avait besoin de plusieurs cerfs pour être comblée. Et ces aventures dont elle rêvait, si elles revenaient certes à me cocufier, ne manqueraient pas, d'après elle, de pimenter notre relation.

Tou cela bouleversait notre initimité, mais ne ferait que la renforcer. De telle sorte qu'en lui refusant la moindre aventure, tout en sachant son cul si attirant pour bien d'autres, c'est moi-même au fond que je punirais.

J'ai donc donné mon accord, qui au fond lui importait peu, mais en posant mes propres conditions: qu'elle se mette dans une tenue affriolante, petit chemisier blanc transparent et sans sous-tif, donc laissant ses seins bien en vue, et jupette assortie, sans rien en dessous, chatte à l'air.

Je jouais son jeu, loin de la dissuader de se donner à un autre, de se faire baiser en allant voir ailleurs. Vu que c'était dans mon intérêt.

Chose dite, chose faite.

Nous sommes allés en discothèque, assez tard le soir. C'était à environ 10 km de chez nous, en rase campagne. Elle n'a pas tardé à faire du gringiue à un mec plutôt pas mal. Il était convenu qu'après notre entrée dans les lieux nous ferions mine de ne pas nous connaître. Que je serais tout au plus spectateur, ou voyeur. Et elle se trouvait bien gentille de me laisser cette opportunité. "Ma chatte a aussi sa vie en dehors de toi," me disait-elle.

Je me suis donc assis dans un coin. Tandis qu'assise au bar, et écartant un peu les cuisses pour rendre plus visible et accessible sa toison pubiennne, elle faisait du gringue à un mec plutôt pas mal. Puis ils sont allés sur la piste de danse.

Je me disais alors quelle chance j'avais de connaître intimement cette salope.

La lumière était plus tamisée pendant les slows, mais on voyait bien qu'ils se faisaient des trucs. Il s'était vite rendu compte qu'elle ne portait ni soutien-gorge ni string. Sa chair à ellle s'offrait à lui. Ses mains flattaient la croupe de ma tendre et chère épouse, parfois s'égaraient jusqu'à sa chatte, et pour l'exciter ou le faire bander encore plus, elle avait défait les premiers boutons de son chemisier. Elle se donnait à lui, lui offrant ses seins, ses fesses, sa vulve déjà bien mouillée.

C'est alors que d'un clin d'ailleurs convenu entre nous, elle m'a fait comprendre que je pouvais m'éclipser, qu'elle allait baiser et jouir avec son danseur.

Une fois rentré chez moi, je veux dire chez nous, je l'ai attendue un certain temps, dans notre lit, le temps qu'elle se fasse mettre. Elle a fini par arriver, me dit que ce mec l'avait très bien sauté, me demanda si ça ne me dérangeait pas, vu l'heure tardive, qu'elle ne prenne pas de douche, même si sa mouille et le sperme d'un autre coulaient encore de ses lèvres. À l'embrasser sur la bouche, j'ai senti qu'elle avait tendrement sucé son chéri d'un soir .

Puis elle a bien voulu un cunni, et que je la baise à mon tour. Ça m'a superexcité, et on a bien joui tous les deux. Elle m'a même traité de cocu, très tendrement, au moment où elle a senti que j'allais moi aussi gicler en elle
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Commentaires de l'histoire :

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