Histoire Erotique

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Les cheveux du désir

Alors qu’ils étaient confinés, Antoine et Iris se découvrent un fantasme insoupçonné. A coups de ciseaux et de tondeuse, les deux amants vont explorer de nouvelles sensations érotiques. Jusqu’où vont ils aller?

Proposée le 17/12/2020 par Athiste

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Il la regardait se déhancher sur la piste de danse empreint d’une admiration sans limite. C’était cette nuit qu’Antoine allait lui proposer. Allait-elle accepter ? L’angoisse le prit d’un coup. Et si elle refusait ? Il fallait qu’elle accepte de l’épouser, sinon il ne saurait pas comment vivre sans cette femme si extraordinaire à ses yeux. Ils sortirent de la boîte et il emmena Iris au rocher de la Vierge, il faisait bon et une douce brise venait faire onduler ses longs cheveux. Main dans la main ils avançaient le long du ponton sans qu’il la lâche une seconde des yeux, il l’admirait, la dévorait du regard avec passion. Arrivés face à la mer, Iris fit un tour sur elle-même, faisant tournoyer sa robe et caressa la joue de son amant. Puis il inspira profondément et posa un genou à terre. Il lui fit sa demande et Iris l’embrassa passionnément, le visage baigné de larmes, en guise de réponse. Il ne le savait pas encore mais elle allait bientôt faire naître en lui des désirs insoupçonnés.

Au cours des mois suivants, les deux amants s'adonnaient aux joies du plaisir à deux sans retenue. Ils s’étaient confinés ensemble dans une petite maison qu’ils avaient louée récemment et dans laquelle ils laissaient libre court à leurs envies, leurs désirs et leur plaisir. Un soir, alors qu’Iris sortait de la douche, elle se regarda dans le grand miroir de la salle de bain et trouva ses cheveux étonnamment longs et abîmés aux pointes. Se rappelant que les coiffeurs étaient fermés jusqu’à nouvel ordre, la seule façon d’y remédier était qu’elle s’en occupe elle-même ou du moins avec un peu d’aide.
Elle appela alors son fiancé pour qu’il vienne la voir dans la salle de bain. Il ne tarda pas à la rejoindre, le regard empreint de désir devant sa femme entièrement nue.
- « Tu ne trouves pas que mes cheveux sont abîmés en ce moment ?
- Attends fais voir ?
Elle se retourna et proposa ses longs cheveux sous ses yeux qui hésitait entre admirer ses courbes gracieuses et répondre sereinement à sa question.
- Heu oui un peu c’est vrai mais uniquement les extrémités ce n’est pas grand-chose. Pourquoi ? Ça te dérange ? Dit-il avec un brin d’hésitation.
- Oui je déteste avoir des fourches, et puis ils sont difficiles à démêler…
- Je peux t’aider à les brosser si tu veux.
Elle acquiesça et il prit alors la brosse sur la petite étagère de la salle de bain et commença à brosser les cheveux de sa douce. Lui aimait bien ses longs cheveux et espérait secrètement qu'elle ne les couperait pas de sitôt… Ils encadraient divinement bien le visage d’Iris, ses yeux noisette et sa chevelure tombait gracieusement sur ses épaules, le long de son dos venant s’arrêter juste au-dessus des fesses. Un magnifique spectacle qu’Antoine n’abandonnerait pour rien au monde. Ce qui le rendait fou par-dessus tout, c'était le moment où elle enlevait l’élastique qui retenait ses cheveux en une queue de cheval et les laissait retomber en cascade dévoilant au passage sa nuque dont la couleur contrastait à merveille avec le châtain de sa crinière.
- Ça va mon chat ? Tu as l’air tout pensif. S’inquiéta-t-elle
- Oui oui pardon je crois que je suis juste un peu fatigué.
Une semaine passa sans que les deux amoureux n’en reparlent.
Mais un soir, alors qu’Antoine avait le nez plongé dans son livre, Iris vint se tenir devant lui une paire de ciseaux de coiffeur dans sa main droite. En effet elle s’était procuré sans en dire mot le matériel nécessaire pour qu’il lui coupe les cheveux.
- Chéri, cette fois ci tu ne te défiles pas, je veux que tu me coupes les cheveux.
Il leva le nez et décontenancé, il lui fallut quelques secondes avant de comprendre ce qui était en train de lui arriver. Il sentait une boule naître dans son ventre comme un sentiment étrange de peur et d’excitation.
- Tu veux que quoi ?
- Que tu me coupes les pointes, ça ne sera que quelques centimètres, promis.
- Ah j’ai eu peur j’ai cru que tu voulais tout couper… En plus d’où tu sors ces ciseaux ?
- Ça n'a pas d’importance, viens avec moi.
Elle l'entraîna alors dans la salle de bain, le matériel avait déjà été préparé et un tabouret était placé devant le miroir sur lequel une cape noire toute neuve était posée. À côté du miroir, il y avait une panoplie digne d’un vrai salon de coiffure : ciseaux droits, ciseaux sculpteurs, peigne, vaporisateur, pinces à cheveux et même une tondeuse. Ce dernier outil fit frissonner Antoine qui s’exclama :
- Pourquoi avoir acheté une tondeuse ?
- On verra ça plus tard, tu ne veux pas arrêter de poser autant de questions plutôt ? Lui lança-t-elle avec un air de défi.
- D’accord, j’ai bien compris que c’était toi qui commandais aujourd’hui de toute façon.
Il lui passa alors la cape sur les épaules bien qu’il ne fut pas très confiant. Ce n'était pas la première fois qu’Iris se montrait directive comme cela, mais à ce moment précis il était très impressionné et se demandait bien jusqu’où elle irait.
Il commença par humidifier et démêler son épaisse chevelure châtain en éprouvant beaucoup de plaisir.
- Bon pour l’instant tu coupes juste 5 cm. Lui indiqua-t-elle.
- Tu es sûre ?
- Arrête de poser des questions et vas-y.
Il prit alors une première mèche de cheveux entre ses doigts et de son autre il vint les placer entre les deux lames des ciseaux et comme en cherchant un signe d'approbation il trouva le regard de sa belle dans le miroir puis referma les ciseaux dans un grand crissement. Une épaisse mèche tomba au sol, laissant Antoine le souffle court.
Malgré son cœur battant la chamade et sa difficulté à avoir une vision claire, il continua son travail à mesure que les cheveux tombaient en cascade tout autour d’Iris qui ne perdait pas une miette du spectacle. Elle aussi sentait une excitation sournoise monter en elle, et ne comprenait pas vraiment ce qui lui arrivait. Une fois qu’il eut fini de couper la longueur abîmée de sa compagne, il posa vite les ciseaux pour essayer de reprendre ses esprits.
- Passe-moi le miroir s’il te plait.
Il s'exécuta et Iris inspecta sa chevelure fraîchement coupée puis elle s’exclama :
- Bon, c’est bien ce que je craignais, ce n’est pas assez droit à mon goût, donc coupe encore 5 cm mais cette fois avec la tondeuse.
- Mais tu m’avais dit que tu ne ferais pas plus court ! D’accord ce n’est pas très droit mais ce n’est pas la peine de recouper autant…
- S’il te plait promis je ne te demanderais pas de les couper plus court, à moins que ce soit à ta demande.
Sa dernière remarque troubla Antoine, pourquoi voudrait-il qu’elle les coupe ? Qu’avait-elle en tête ?
Pendant ce même moment Iris prenait un malin plaisir à regarder les réactions de son homme bien que son but ne soit pas de le traumatiser. Elle se leva alors et l’embrassa tendrement pour le rassurer.
- J’ai confiance en toi mon amour, je sais que tu ne feras pas n’importe quoi avec mes cheveux.
Puis elle saisit la tondeuse flambant neuve sur le meuble et lui mis entre ses mains.
- À toi de jouer, murmura -t-elle
Son trouble ne fit que s’accentuer lorsqu’il démarra la machine. Il remit les cheveux de sa femme en ordre à l’aide du peigne puis vint trancher net au milieu du dos la chevelure. Une bande de quelques centimètres rejoignit le sol, accompagnée du fameux bruit de la tondeuse changeant de régime sous l’effet de la coupe. Il était impressionné de voir à quel point la tondeuse était efficace et ce sentiment de puissance devenait grisant. Il respirait fort à présent mais il s’appliqua tout de même à faire une ligne bien droite et nette pour ne pas s’attirer à nouveau les foudres de sa compagne.
Il sentait son sexe se raidir dans son caleçon. En même temps, Iris sentit sa culotte devenir humide et une douce chaleur envahir son bas-ventre. Elle dû lutter pour ne pas fermer les yeux. Mais que lui arrivait-elle ? Pourquoi tant d’émotions ? Autant de questions qui se bousculaient dans sa tête et qui restaient sans réponse. Alors, elle préféra s’abandonner à l'excitation que lui procurait son amant. Ce bruit de tondeuse, elle en avait secrètement rêvé depuis une semaine. Elle dévorait son amant du regard et fut presque déçue quand le bourdonnement de la machine s'arrêta.
A présent, Iris contemplait le travail d’Antoine, ses pupilles dilatées, haletante et ses joues roses ne laissait aucun doute sur l’état dans lequel elle était. D’ailleurs, la bosse qui se formait dans le pantalon d’Antoine non plus.
- Je… J’ai... fini. Bégaya-t-il.
Iris se leva, se regarda d’un coup d'œil dans le miroir mais ce n’était plus ses cheveux qui l’intéressait à présent. Elle fixa Antoine dans les yeux et lui dit :
- Je veux que tu me rases le pubis avec cette tondeuse.
Antoine n’en croyait pas ses oreilles, il avait sa compagne nue devant lui offerte, humide de plaisir dans cette salle de bain et après s’être occupé de ses cheveux elle voulait maintenant qu’il s’occupe de ses poils ?
- Tu ressens toi aussi cette excitation n'est-ce pas ? Elle plaça sa main contre son jean pour sentir son membre dur. Il dut se retenir pour ne pas lâcher un râle de plaisir.
A ces mots il l’embrassa passionnément tout en continuant de se frotter contre la main d’Iris.
De son autre main toucha le clitoris d’Iris et senti la toison soyeuse qu’elle avait.
- Effectivement ça mérite un bon coup de tondeuse tout ça. Il retrouva un peu d’assurance pour se lancer dans sa nouvelle tâche.

Il se saisit sans hésiter de la tondeuse sans sabot et l’installa de nouveau sur le tabouret toujours avec sa cape les jambes grandes ouvertes dévoilant son mont de venus et ses petites lèvres humides de plaisir. Mais elle avait beaucoup trop chaud alors elle défit le scratch de la cape de coiffeur et la laissa tomber à côté des cheveux coupés sur le sol.
Antoine se mit à la hauteur de son entre-jambe, il la trouvait encore plus belle de ce point de vue. Il croisa son regard qui le suppliait d’en finir avec ses poils.

La tondeuse démarra, et il posa la lame argentée sur le haut du pubis d’Iris. Les vibrations se propagèrent dans tout son corps, elle était aux anges et poussa un petit cri de plaisir. Il se mit à tondre sa toison en traçant une première bande révelant la peau nue de son sexe. C’était le moment le plus érotique qu’ils n’avaient jamais connu. Jamais autant nos deux amants n’avaient partagé un tel plaisir.

Poussé par l'excitation de sa compagne, il continua à tondre petit à petit, minutieusement en faisant glisser la machine sur la peau en veillant à lui faire ressentir chaque vibrations. Elle ne tarda pas à jouir, ce qui fit monter l’excitation d’Antoine d’un cran. N’y tenant plus, il acheva son travail, éteignit la tondeuse et commença à embrasser l’intérieur des cuisses de sa compagne. Remontant toujours plus haut, il rencontra le sexe humide d’Iris, et commença par aspirer son clitoris gonflé de désir. Dans sa tête, tout se bousculait mais ce qu’il voulait par-dessus tout c’était la faire jouir encore et encore.

?Il glissa un doigt dans son vagin tout en faisant des allers-retours de plus en plus rapides. Elle passa sa main dans ses cheveux le forçant à accentuer sa pression contre son sexe. Puis l’orgasme la submergea. Elle cria, s’accrocha comme elle put au rebord de l’évier derrière elle tandis que son amoureux continuait encore et encore de la doigter.
Enfin remise de son orgasme, Iris se mit à genou devant son amant, d’un coup elle lui retira son pantalon ainsi que son caleçon dévoilant alors son sexe dressé vers elle. Elle commença d’abord par lui masser ses testicules, tout en léchant son gland langoureusement. Puis elle s’appliqua à le sucer, le voyant fermer les yeux pour profiter de ce moment exquis. Il empoigna ses cheveux maintenant raccourcis pour qu’elle enfonce plus profondément sa queue dans sa bouche. Et puis son imagination vagabonda, il imaginait qu’il la tondait, qu’il passait la tondeuse sur sa tête pour révéler sa nuque nue en faisant tomber de grandes mèches de cheveux autour d’elle. Cette image l’enflamma et ne tenant plus, il jouit abondamment dans sa bouche alors qu’elle le dévorait du regard.


Épuisé, les deux amoureux se firent couler un bain et Antoine qui n’avait pas perdu de vue son objectif prit un rasoir, son blaireau et un savon à raser pour peaufiner le pubis d’Iris. L’eau était chaude et détendit instantanément la belle qui s'installa, laissant son amoureux s’occuper de la raser. Délicatement il déposa une couche de mousse parfaitement blanche sur son mont de vénus et l'étala avec ses doigts sur ses lèvres. Une fois que sa petite chatte fut recouverte de mousse, il passa une première fois le rasoir, révélant une peau blanche et parfaitement lisse. Il caressa cet endroit pour vérifier la précision du rasage, ce qui fit frissonner de plaisir Iris qui découvrait pour la première fois son sexe rasé. Lui aussi adorait la sensation et continua de tout raser sans laisser aucun poil. Son travail achevé, il contempla Iris. Jamais il n’avait ressenti pareil désir pour elle, que lui arrivait-il ? De son côté, elle n’avait jamais été autant excitée, ses orgasmes avaient été décuplés. Elle était comblée.
La jeune femme était tout à fait satisfaite des services de son homme, ses cheveux coupés n’étaient pas trop courts et avaient retrouvé de leur splendeur.


Le lendemain Antoine vint rejoindre Iris dans la salle de bain.
- Que penses- tu d’un carré court au menton ma chérie ? Je t’avoue que je me sens l'âme d’un coiffeur et tant que j’ai encore la main avec la tondeuse ce serait bête de ne pas en profiter non ? En même temps il montrait la longueur avec ses deux mains de part et d’autre du visage de la jeune femme.
Iris prise au dépourvu en fut profondément troublée et lui répondit :
- Pour quelqu’un qui voulait à tout prix que je garde mes cheveux longs ça ne fait pas un peu court ?
- Il se pourrait que j’ai changé d’avis depuis hier ma chère, mais ne me cherche pas trop sinon tu finis rasée à blanc.
- Haha tu n’en serais jamais capable ! T’es trop gentil pour me faire ça mon chéri.
- Tu veux parier ? Il fixa longuement Iris et son regard ne laissait aucun doute sur sa motivation de passer aux choses sérieuses.
- Prépare-toi, dans 10 min je m’occupe de toi. Dit-il sèchement.
Elle défit son chignon, non sans une certaine appréhension, qui tomba en cascade, et laissa tomber son peignoir au sol, dévoilant son corps entièrement nu. Elle refusait de croire qu’il pourrait vraiment faire cela, elle ne voulait pas, elle tenait trop à ses cheveux. Une peur irrépressible montait en elle, pour essayer de faire passer cela elle commença à se caresser le clitoris et sa chatte devint trempée en quelques secondes.
Antoine était déjà revenu et la voyant se masturber seule, il ne put s'empêcher de la doigter furtivement juste assez pour l’exciter davantage mais la laissa frustrée. C’était lui le maître de la situation maintenant. Il disposa ensuite la tondeuse, les ciseaux, les peignes et même un rasoir de sureté avec une paire de lames sur le meuble de la salle de bain. Il la fit s’asseoir sans aucune délicatesse sur une chaise au milieu de la pièce, toujours devant ce grand miroir où elle ne pourrait qu’exprimer sa détresse et contempler passivement ce qui lui arriverait.
Il profita une dernière fois de ses longs cheveux en les caressant et les démêlant. Puis il prit le peigne et les ciseaux, arrêta le peigne au niveau de son menton et commença à couper. Iris, le souffle court, vit une mèche de 25 cm tomber au sol. Antoine la ramassa et lui présenta sous ses yeux écarquillés.
- Tu ne m’en croyais pas capable ? C’est ça de vouloir jouer avec moi. Voilà ce qui arrive aux femmes de ton genre qui prennent du plaisir à se faire couper les cheveux.
- Non ! Arrête ça ! Elle se mit à se débattre mais il avait tout prévu.
En un instant il menotta sa fiancée à la chaise. Elle ne pouvait plus bouger, elle était à sa merci.
- Tu fais moins la maline maintenant que je suis le seul à pouvoir décider de ton sort ?
- Qu’est-ce que tu vas me faire ?
- Te rendre encore plus belle et désirable que tu ne l’as jamais été.
Il poursuivit ce qu’il avait commencé et coupa net sa chevelure juste au niveau du menton. Cette fois-ci il n'eut pas besoin de s’y reprendre à deux fois, la coupe était nette, révélant la nuque d’Iris plus sensuelle que jamais. Elle, par contre, était partagée entre plaisir et désespoir. Elle regardait avec émotion ses cheveux tomber en cascade autour d’elle tristement mais en même temps se sentait beaucoup plus légère au fur et à mesure que les ciseaux cliquettaient autour de ses oreilles. Une fois la coupe achevée, le sol de la salle de bain était recouvert de cheveux entremêlés. Iris pensant en avoir fini tenta de se libérer mais Antoine l’en empêcha :
- Je n’ai pas terminé, loin de là.
Le sang d’Iris se glaça mais elle ne pouvait que se soumettre aux désirs de son homme. Il prit la tondeuse et la démarra.
- Tu ne vas pas me tondre quand même ? Tu ne vas pas me faire ça ?
- Fais-moi confiance je sais que tu en rêves secrètement.
Elle acquiesça subtilement et vit le grand sourire qu’il avait sur son visage. Il tirait un plaisir intense à la voir dans cette position.
Il posa alors la tondeuse sur sa nuque et commença à tondre lentement le carré qu’il venait de réaliser. Les mèches qui tombaient étaient moins longues mais l’excitation ne faisait qu'augmenter, Iris laissa échapper un gémissement de plaisir sur les premiers passages de tondeuse.
- Laisse-toi aller ma belle, je veux que tu jouisses.
Alors sur ces paroles il lui prit sa tête et la plaqua lentement vers son ventre, mis ses cheveux vers l’avant et se mit à tondre une large bande en plein milieu de son front. Les deux amants ne purent retenir leur plaisir, ils étaient ailleurs, transportés par la sensation grisante de cette tondeuse qui ne laissait que quelques millimètres de cheveux sur son passage. Antoine passait d’une main puissante la tondeuse sur la tête de sa compagne tandis qu’il la maintenait en place. Son sexe était raide de plaisir et la culotte d’Iris tellement inondée de désir, qu’elle se mit à se toucher intensément. Elle était en transe et les vibrations de la machine la rendait folle, elles descendaient dans sa nuque puis dans son dos pour alimenter le feu ardent au creux de son ventre. Les mèches de cheveux tombaient toujours plus nombreuses sur sa peau, dévoilant la peau se sa tête totalement nue.
- Oh oui mon amour continue je t’en prie fais-moi jouir ! Lui lança-t-elle.
Et alors qu’il coupa net la dernière mèche sur le front de sa belle, elle jouit si fort qu’elle éjacula même sur le miroir et Antoine ravi, après avoir posé la tondeuse, massa
généreusement ses seins pour renforcer encore plus l’orgasme. Au moment des derniers soubresauts de plaisir il lui caressa ses cheveux tondus à moins d’un millimètre et en suivant elle se retourna pour mettre la verge raide de son amant dans sa bouche.
- À ton tour de te laisser aller
Il ne lui fallut que quelques secondes pour qu’elle le fasse gicler dans sa bouche. Les deux amoureux ne s’étaient pas laché du regard et ils sentaient qu’à partir de ce moment plus rien ne serait jamais pareil entre eux. S’en suivit une longue douche pour débarasser la jeune femme des cheuveux qui avaient collé à sa peau. Elle rayonnait de bonheur et la sensation de l’eau chaude ruisselant sur son corps débarrassé de toute pilosité était extraordinaire.
Une fois secs, ils se mirent de nouveau devant le miroir. Étrangement elle se sentait belle et heureuse d’avoir pu accomplir ce fantasme qu’elle ne s’était jamais avouée. Elle n'arrêtait pas de passer ses mains sur son crâne tondu et sur son pubis parfaitement lisse tellement elle aimait cela.
- Merci pour la coupe monsieur, lui dit-elle sur un ton enjoué, la prochaine fois c’est ton tour sous la tondeuse !
- Doucement on verra ça plus tard, ce n’est pas moi qui ait eu une envie soudaine de me faire couper les cheveux je te rappelle.
- Oui c’est vrai mais je suis un peu jalouse maintenant que je n’en ai plus...
Sans répliquer il l’embrassa et l’échange en resta là.
Il fallut un confinement pour faire naître une nouvelle complicité entre Iris et Antoine et ce jour-là restera gravé dans leurs mémoires. Mais la jeune femme n’avait pas l’air d’être à court d’idées et semblait vouloir explorer les nouvelles possibilités qui s’offraient à elle.

©Athiste
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Commentaires de l'histoire :

Wiseguy55
Histoire vraiment très originale et très bien construite. On sort complètement des schémas qu’on trouve habituellement dans les autres récits. Merci
Posté le 20/12/2020


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