Histoire Erotique

Littérature adulte en ligne, histoires érotiques et récits coquins gratuits...

Allumeuse!

Je vous ai précédemment raconté comment ma femme et moi avons concrétisé le fantasme que nous avions de la partager. Je ne vous ai pas tout raconté. Ce qui suit est à la fois la genèse du projet et une description de notre état d’esprit et de nos gôuts.

Proposée le 17/12/2020 par Wiseguy55

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Il est à la fois très excitant et très effrayant de constater à quel point il est aisé pour une femme d’attirer les hommes. A quel point il est facile pour elle de se procurer un partenaire, qu’il soit amant régulier ou partenaire furtif si il lui en prend l’envie.

J’ai eu l’occasion à plusieurs reprises de voir des hommes faire les coqs et tenter de séduire ma femme alors même que je me trouvais dans la même pièce. Il suffit d’un rien, un regard en coin, une plaisanterie un peu grivoise suivi d’un rire faussement gêné de sa part pour que ces gars se sentent pousser des ailes. Il faut dire aussi qu’elle sait s’y prendre, très sexy sans jamais être vulgaire, elle a l’art de se mettre en valeur. Que ce soit par sa tenue ou simplement par ses attitudes, elle attire le regard, des hommes bien sûr mais aussi plus rarement de certaines femmes.

Je pense que le simple fait que nous soyons un peu mal assortis laisse croire à des mecs se prenant pour des « mâles alpha » qu’ils vont pouvoir se l’envoyer facilement. Et c’est vrai qu’au premier abord on semble mal assorti…Je suis de taille moyenne, de corpulence un peu plus que moyenne, je suis trapu et d’allure plutôt costaude. Une grande partie de mes cheveux a depuis de nombreuses années déserté mon crâne m’obligeant à couper très court ceux qui restent.

Elle par contre, malgré que les années avancent, reste vraiment très belle. De taille moyenne également elle est mince et élancée. Un visage fin malgré des pommettes légèrement saillantes, un joli nez racé qu’elle trouve trop long et une très belle bouche dont le dessin des lèvres est accentué par des commissures joliment marquées. Elle a de fins bras et de fines mains. Un buste tout menu parfaitement complété par des seins de la taille de deux petits pamplemousses et terminés par de petites aréoles légèrement plus sombres. Lorsqu’on descend un peu, on découvre une fine taille et un ventre entretenu et musclé que deux grossesses n’ont pas réussi à endommager. Des hanches relativement larges mais sans excès et de jolies fesses toutes rondes qui soulignent sa féminité. Elle a également de longues jambes fines et musclées. Si j’ajoute à cela qu’elle possède une crinière blonde et des grands yeux de couleur azur, vous comprendrez le trouble qu’elle peut susciter.

En résumé, nous deux c’est la Belle et la Bête. J’en suis conscient et je comprends de ce fait que des hommes tentent leur chance avec elle. Ça ne me dérange pas, ça a même un petit côté flatteur.
Maintenant que vous vous êtes fait une image mentale, j’espère, la plus fidèle possible, je vais vous dévoiler une partie de notre intimité.
Je suis sûr que vous commencez à comprendre quels sont nos goûts et nos fantasmes et en quoi consistent nos « jeux ».
Très vite une fois la frénésie des premiers mois passée durant lesquels nous n’existions que par l’autre, nous avons commencé à pimenter un peu notre quotidien. On était alors encore tout jeune mais déjà, elle comprenait le trouble que ses formes créaient chez les hommes. Et pour moi, voire des hommes de parfois deux fois son âge se dévisser le cou par ce qu’ils avaient vu « par accident » sa mini-jupe se relever un peu trop haut au détour d’une rue ou parce que un de ses sein avait filé presque tout seul hors de son maillot alors qu’elle sortait de la piscine du club ou nous étions en vacances, me procurait beaucoup plus de désire que de jalousie, allez comprendre…
Ma femme est consciente de sa beauté (malgré qu’elle prétende le contraire). Elle aime séduire et ne s’en prive pas.
Dans les premières années de notre relation, nous louions un petit appartement en ville. Nous avions terminé nos études depuis pas très longtemps et nos salaires ne permettaient pas de mener la grande vie. Néanmoins, nous sortions beaucoup avec une bande d’amis proches. Lors d’une de ces sorties, elle avait mis une petite robe noire très moulante et très courte complétée uniquement d’une paire de chaussure à talons. Vu que nous étions au printemps et qu’il faisait doux, elle n’avait pas mis de bas. Et à vrai dire pas de sous-vêtements non plus. L’ajustement de sa robe ne laissait que peu de doutes à ce sujet. Pour l’avoir vu faire plus tôt dans la journée, je savais qu’elle s’était entièrement rasé le sexe. Elle rayonnait au milieu de l’établissement. Les amis avec qui nous étions la connaissant bien et s’abstenaient de faire des remarques du moins en ma présence. Aux autres tables et au bar par contre, je me rendais bien compte que ma femme était au centre des conversations. A un moment elle s’est levée pour se rendre aux toilettes qui, assez bizarrement, se trouvaient à l’étage. Il lui fallait donc monter une volée d’escaliers après avoir traversé la moitié de la salle. Elle m’a jeté un regard de défis et a traversé la salle en se déhanchant de manière à capter l’attention du plus d’hommes possible. Elle a monté les escaliers en se cambrant si bien qu’une fois arrivée en haut des marches, au moins trois hommes avaient pu apercevoir sa vulve toute lisse. Personne ne l’a suivie…étrange !

Il y avait de plus en plus de monde dans le bar et on commençait à être serré. Il n’en fallait pas plus pour que des gars se mettent à la coller plus que nécessaire prétextant le besoin de passer. Plusieurs hommes se sont collés à elle au cours de cette soirée. Certains furtivement, certains plus longuement laissant traîner leurs mains tantôt sur une épaule, tantôt sur sa taille. J’en ai même surpris un, un peu bourré tenter de l’embrasser dans le cou. Elle l’a repoussé et quand il est revenu à la charge comme le gros lourdaud qu’il était, il a vu à ma tête que c’était une très mauvaise idée et a continué son chemin. Un autre a eu nettement plus de chance, au moment de passer devant elle il lui a glissé quelque chose à l’oreille. Je ne sais pas ce qu’il lui a dit ni ce qu’elle a répondu mais elle lui a fait un petit mouvement de tête et son petit sourire aguicheur qui semble dire « chiche ». Il est venu ensuite se placer derrière elle, très près mais sans la toucher. Elle cherchait mon approbation du regard. Elle l’a obtenu plus rapidement qu’elle ne l’aurais cru.
À cet instant elle se recule d’un pas et vient coller ses fesses contre le gars. Je peux voire l’excitation dans son regard. Elle ondule légèrement des hanches. Le type derrière elle tout en restant au contact prend un air détaché et détourne la tête. Les yeux de ma femme s’illuminent, ses lèvres s’entrouvrent, elle rougit, je vois ses seins pointer à travers le fin textile noire de sa robe... Et en un coup, la tension retombe aussi rapidement qu’elle était montée quelques minutes seulement auparavant. Le gars s’éloigne. On ne le reverra plus. Je pense que aucun des amis avec qui nous avons passé la soirée ne s’est rendu compte de quoi que ce soit. Passé une certaine heure, les vapeurs d’alcool filtrent la perception des choses.

Ce soir-là en rentrant dans la voiture je lui demande de m’expliquer ce qui vient de se passer sous mes yeux.

- J’ai croisé ce gars en revenant des toilettes. Il m’a simplement dit « joli petit cul ! » et bizarrement ça m’a fait plaisir, ensuite quand on s’est recroisé il m’a demandé si il pouvait toucher. Je ne sais pas pourquoi mais ça m’a excité et je lui ai dit « peut-être » c’est là qu’il s’est placé derrière moi et que je t’ai interrogé du regard. Quand je me suis reculée, il a compris que j’étais d’accord et j’ai senti sa main d’abord sur l’arrière de mes cuisses puis de plus en plus haut jusqu’à mes fesses. Un de ses doigt s’est insinué furtivement entre elles mais n’est pas allé jusqu’à mon sexe.
- Ça t’a fait de l’effet?
- Tiens regarde.

Elle se penche vers la droite et lève sa jambe gauche comme pour m’inviter à lui toucher le sexe. Elle est trempée, mes doigts glissent dans les sécrétions s’écoulant de son vagin. J’ai des difficultés à me concentrer sur la route et je ne peux m’empêcher d’essayer de voir le mieux possible son entrejambe. Ma main s’y aventure, elle lève encore un peu plus sa jambe. J’explore toute la zone de son périnée que je connais pourtant si bien mais, qui pour l’occasion, me paraît être si différent. Cette zone qui il y a quelques heures encore me semblait être entièrement réservée, presque comme m’appartenant et qui me paraissait si facile d’accès à toute personne sachant s’y prendre.

J’entre un puis deux doigts dans son vagin, les ressort, caresse son clitoris, replonge dans son vagin, ressort encore, j’introduis le majeur dans son vagin et la première phalange de mon index dans son anus qui, contre toute attente, s’ouvre quasi sans résistance. J’introduis maintenant tout mon index dans son cul tout en gardant mon majeur dans son sexe et commence de légers va et viens. Elle est complètement penchée sur son siège, son visage collé à la vitre de la portière. Elle râle de plaisir. Elle est au bord de l’orgasme. De mon côté j’ai une érection terrible. Je suis à l’étroit dans mon jean. Il faut que je me calme, ça devient dangereux de rouler dans de telles conditions. Je retire ma main et elle se rassied sur son siège. A peine a-t ‘elle reprit sa place qu’elle plonge sa main sur la bosse de mon pantalon et commence à me caresser à travers la toile. Il faut vraiment qu’on se calme, nous ne sommes plus qu’à cinq minutes de l’appartement.

On monte les escaliers à toutes vitesses. Dans le séjour me retrouver derrière elle. Je passe alors mon bras gauche dans le creux de son coude, passe ensuite la main derrière son dos et lui attrape le coude droit. Cette position force sa cambrure et j’en profite pour coller mon pubis à ses reins en lui soulevant la robe et le mettant cul nu. Elle est complètement à ma merci. Elle le sait et je sais que ça décuple son excitation. De ma main libre je lui fouille alors le décolleté et lui palpe ses petits seins tout pointus. Ils m’ont nargué toute la soirée. Ils vont être mis à contribution. Ses tétons se durcissent encore un peu plus, je les agace et les pinces doucement.

- Et alors espèce de petite allumeuse! Tu es contente de toi?

- Ose me dire que ça ne t’a pas plu! Personne ne te fait bander autant que moi!

Elle a raison, sur tous les points mais je ne vais pas lui dire, ça lui ferait trop plaisir. Au lieu de cela, je lâche ses seins, je me déboutonne et sort ma queue de mon pantalon. Je la libère de sa prise mais c’est pour lui attraper les cheveux au niveau de la nuque et la pencher sur la table de salle à manger ou je la maintiens fermement. De l’autre main, je lui écarte un peu ses fesses et la pénètre d’un coup. Elle est tellement mouillée que je me retrouve sans effort tout au fond de son sexe. Elle est toujours plaquée sur la table, jambe tendue cul offert à se faire prendre durement et elle prend un plaisir impudique, sans retenue. Elle me demande de la baiser plus fort, creusant ses reins.

- Met moi un doigt dans le cul!

De mon index planté dans son anus, je sens mon sexe aller et venir dans son vagin à travers la fine paroi. On va jouir ensemble, ça ne va pas tarder.

- Baise-moi encore, continue.

J’arrive à me retenir encore quelques très courtes minutes le temps de l’entendre jouir et de sentir les contractions de son vagin. Je me répands en elle, longuement. Je m’agrippe à ses hanches. C’est sans doute un des orgasme les plus intenses que j’ai vécu jusqu’à présent. Alors qu’elle reprend son souffle toujours affalée sur la table, je regarde mon sperme s’écouler de son vagin le long de sa cuisse. Dans un dernier geste obscène je le frotte avec mes doigts et lui étale sur les fesses à l’endroit même où elle s’était fait caresser plus tôt dans la soirée par cet inconnu.

C’est une évidence : ma femme est une allumeuse et si je la pousse juste un tout petit peu, elle peut devenir vraie garce.

Quelques années plus tard, nous approchions tout doucement de la trentaine d’année (moi un peu plus qu’elle), alors que nous étions en vacance dans le Landes, nous passions l’après-midi sur une plage naturiste comme il y en a beaucoup dans la région. L’ambiance est plus familiale qu’axée « adults only ». La plage est très vaste et nos voisins de serviette les plus proches sont derrière nous à environ une dizaine de mètres. Il s’agit d’un couple de milieu de quarantaine, lui de type sportif, châtain foncé, tempes grisonnantes. Elle est assez petite, cheveux sombres coupés courts, peau mate et petites rondeurs adorables. Ils sont accompagnés de leurs deux ados qui ne tardent pas à quitter les lieux pour aller retrouver des potes à la plage surveillée.

Ce couple est suffisamment près pour qu’on se voie distinctement et suffisamment loin pour que, si on parle à voix basse, ils ne puissent pas entendre notre conversation.

On se met à parler ma femme et moi du couple derrière nous. Je suis placé en travers par rapport à elle si bien qu’en tournant simplement la tête je peux les voire distinctement. Ma femme elle fait face à la mer et leur tourne le dos.
- Il est pas mal le mec derrière nous.
- Il te plaît ?
- Quand même oui !
- Vu la manière dont il te regarde discrètement, toi aussi tu lui plais.
- Tu veux que je lui en montre plus ?
- A toi de voire, tu choisis.
La Showgirl se réveille ! Que le spectacle commence ! D’abord couchée sur le ventre elle écarte ses pieds jusqu’à ce que son petit abricot tout lisse fasse son apparition. Le gars ne s’y attendait pas, il manque de discrétion. Comme elle ne voit pas son spectateur privilégié, je lui commente ses réactions.
Les jambes toujours légèrement écartées elle se cambre et frotte un peu de sable sur sa fesse de manière telle qu’elle laisse apparaître son anus. Le gars derrière elle se couche sur le ventre. Il ne veut probablement pas que sa femme s’aperçoive de son érection. Pas question qu’il en loupe une miette. Il a compris notre petit jeux et on échange un hochement de tête complice lui et moi. Sa jolie petite femme à lui dort profondément sous son parasol.
Dans la demi-heure qui a suivi, le gars a eu droit à un show privé de qualité. Ma femme se tortillait sur sa serviette, changeant constamment de position : sur le dos, sur le côté, sur le ventre,…en prenant bien soin à chaque fois de lui montrer soit ses fesse, soit ses seins mais toujours son sexe. Elle s’est par exemple retrouvée sur le dos, en appuis sur ses coudes, genoux légèrement pliés et pieds écartés posés au sol, ou alors couchée sur le côté, en chien de fusil laissant voir sa fente. Il s’était entretemps assis et avait commencé à se masturber discrètement. Je sais qu’elle mouillait abondamment de se montrer ainsi impudique. Vu la distance qui nous séparait de nos voisins, je ne pense pas qu’il s’en soit rendu compte. C’est quand ma femme s’est mise à quatre pattes, fouillant dans son sac en exposant ses fesses, sa vulve et son anus que la femme du gars s’est réveillée. En voyant son mari se branler en matant ma femme, elle s’est mise à crier sur lui, lui ordonnant d’aller se calmer dans l’océan.
Le gars est passé devant nous tout penaud avec une érection impressionnante qui a fait dire à ma femme :
- La vache !!! Tu as vu comment il est bâti ?
Le gars a très vite débandé dans l’eau froide de l’océan. Il m’a fait un petit sourire gêné en revenant à sa serviette et lui et sa femme son très vite partis. Je parie qu’il a passé une mauvaise soirée !
Une fois rentré dans le petit studio de location ma femme va rapidement dans sa douche. L’endroit est exigu, inconfortable et assez peu propice à des ébats. Malgré que cette séance m’ait bien chauffé, je patiente et attend mon tour pour la douche. Quand je ressors de la douche, ma femme est assise toute nue sur le bord du canapé-lit, une serviette enroulée autour de ses longs cheveux en train de s’enduire de lotion après solaire. Comme elle est mignonne comme ça, toute nue et toute dorée, comme elle sent bon. Quand je la voie comme ça, ça me fait toujours le même effet : j’ai envie de la câliner tendrement ET de la défoncer. En général, c’est elle qui choisit en fonction de son humeur. Elle n’a pas pris la peine de tirer les stores ni même de fermer la baie vitrée derrière elle. Lorsqu’elle m’aperçoit, elle tend la main vers moi pour que je me rapproche. Quand je suis face à elle, elle baisse mon short et me prend directement dans sa bouche. Pas de préliminaires, pas de petits bisous, elle a choisi l’option n°2, elle veut se faire défoncer.
Je lui enlève sa serviette des cheveux, lui fait glisser derrière la nuque et m’en sert comme de rennes pour lui enfoncer ma queue au fond de la gorge. Je me sers de sa bouche comme d’un trou, donnant des coups de reins en maintenant sa tête avec la serviette. Je relache ma prise, la bascule sur le dos et lui ouvre les cuisses. Son petit sexe encore fermé mais déjà brillant sent terriblement bon, un mélange de savon, de lotion après solaire et de phéromones sexuelles. Je lui embrasse et lui mordille l’intérieur des cuisses, je la renifle littéralement. Je vais à l’entrée de son vagin récolter quelques gouttes pour les appliquer sur son clitoris et lui rendre la caresse la plus agréable possible. Je lui suce maintenant son petit bouton tout en lui passant mon doigt sur la vulve qui s’est considérablement détendue sans même l’avoir stimulée. Elle mouille abondamment, j’introduis deux doigts dans son vagin tout en continuant à lui lécher le clitoris. Je l’entends respirer fortement, je lève les yeux et la vois se pincer les tétons. Elle balance son bassin d’avant en arrière. A ce moment, je sais qu’elle a des fantasmes pleins la tête. On continue un moment cette caresse qu’elle adore puis :
- Arrête ou je vais jouir ! Pas maintenant ! Pas déjà ! Je veux que tu me prennes !
- Qui ça ? Moi ou le mec de la plage ?
- LES DEUX !!!!!!! …Oh merde, désolée, c’est venu comme ça…
Pour toute réponse je lui dis d’un ton autoritaire :
- Met toi à quatre pattes !
Suivi une fois qu’elle s’est exécutée d’un :
- C’est sa grosse bite qui t’a mise dans cet état ?
- C’est vrai oui, mais c’est surtout le fait de m’être comportée comme une salope.
- Alors sois une salope !
Je me place derrière elle et, au lieu de la pénétrer, je m’empare de la bouteille de lotion après solaire qui traînait sur le lit et lui entre dans le vagin. Il s’agit d’une petite bouteille en aluminium cylindrique terminée par un bouchon de plastic arrondi dont la taille n’excède pas celle d’une grosse bite (quelle bande d’obsédés ces designers !).
Je fais effectuer à notre jouet improvisé quelques va et viens.
- Cambre toi plus que je puisse bien te la mettre.
Elle s’exécute et enfonce sa tête dans l’oreiller. La voilà le cul tourné vers une baie vitrée grande ouverte, un objet dans la chatte en train de gémir. Il n’y a pas de bâtiment en vis-à-vis, seulement un petit parc pas très fréquenté à cette heure. Il n’empêche que cet exhibitionnisme renforce l’excitation. Je lui retire la bouteille et pénètre son sexe du coup détendu par l’objet avec ma queue durcie à l’extrême. Je poursuis ce petit jeu d’alternance en tentant de lui donner l’illusion qu’elle se fait prendre par deux mecs. Elle comprend et joue le jeux.
- Je suis votre salope, baisez moi !
J’ai retiré la bouteille et la pilonne de toutes mes forces, mes couilles viennent lui taper les fesses. Je me retire enfin, lui introduit une ultime fois la bouteille et lui jouis sur l’anus et le sexe. Le sperme s’écoule sur son petit trou et sa vulve autour de la bouteille encore figée en elle. A cet instant elle jouit à son tour et on s’écroule sur le lit.
- J’aime quand tu me domines, quand tu me souilles. J’aimerais que tu jouisses plus souvent sur moi.
- Sur ton cul comme maintenant ?
- Mon cul, mes seins, mon ventre, ou tu veux mais pas mon visage.
- Mais dis-moi, tu t’es mise à fantasmer sur un deuxième homme ? Tu voudrais essayer ?
- Peut-être un jour mais là, je ne suis pas prête. Pour l’instant j’aimerais que ça reste un fantasme.
C’est comme ça qu’est née l’idée qui mettra encore un peu de temps à se concrétiser. Mais cette histoire-là vous la connaissez déjà.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Fermer définitivement L'activation des cookies et de javascript est nécessaire à son bon fonctionnement. Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d'éviter au maximum les abus inhérents à la notation des récits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d'une fois la même histoire érotique.
Les notes attribuées à la volée pour un même auteur (qu'elles soient bonnes ou mauvaises) seront modérées.

Commentaires de l'histoire :

Carolina
J'ai beaucoup aimé, très excitant!
Posté le 8/07/2021

didier
Bonsoir et merci pour ce texte fort bien écrit qui m'a énormément excité ! Normal pour le candauliste que je suis depuis plus de 50 ans alors que je ne connaissais même pas ce mot ni cette manière de vivre ce fantasme ; il me faudra attendre mes 22 ans pour connaître un copine qui m'aimait et me le montra de fort belle manière en couchant (régulièrement) avec d'autres gars ! Que j'aimais jouer les cocus ! Même si j'avais eu d'autres expériences du genre mais de façon furtive avec d'autres maitresses et même avec ma femme....
Posté le 30/01/2021

Wiseguy55
Merci pour vos commentaires que je prend comme des encouragements. Je vais mettre un peu de temps à rédiger la suite. J’essayerai de rendre le récit plus fluide car à la relecture, je me suis rendu compte qu’un lecteur pouvait s’y perdre par manque de chronologie. À bientôt
Posté le 21/12/2020

Blueberry89
Bravo, j’ai beaucoup aimé cette tranche de votre histoire. Sincèrement.
Posté le 20/12/2020

Forrest Gump
Merci de partager vos aventures, elles sont très excitantes.
Posté le 20/12/2020


Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email


Histoires érotiques choisies :
Léa la secrétaire allumeuse.
Campus: L'allumeuse qui joue avec le feu
Julie 2 - Ma meilleure amie est une salope - L'allumeuse