Histoire Erotique

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Les chiens ne font pas des chats. 3

Pas contente du refus de son oncle, Rose trouve en Henry,le père de Patrick, un nouveau partenaire. Avec un peu de ruse, elle arrive à ses fins et se fait dépuceler.

Proposée le 8/04/2020 par mlkjhg39

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Thème: Première fois
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Le père de son oncle Patrick prend la relève.

Le lendemain matin, ils se retrouvent tous au petit-déjeuner.

Suite.
- Ma chérie, rejoins-nous ce soir dans notre chambre, nous avons des décisions à prendre.
Arrivée au soir, Rose attend avec impatience l’instant et rejoint la chambre de sa tante et de son mari, Patrick, uniquement vêtue de son tee-shirt, et gratte à la porte.
- Entre Rose.
Elle pousse la porte, ils l’attendent entièrement nus, se tenant par la main.
- Rose, ce soir tu vas encore apprendre à faire plaisir à un homme et recevoir de lui ses caresses et autres plaisirs. Viens à coté de nous.
Aux anges, Rose prend le bord de son tee-shirt à deux mains et le fait passer par-dessus sa tête pour se retrouver elle aussi complètement nue. Excitée comme une puce, elle avance la main pour saisir la grosse limace de son oncle. Sa tante l’encourage :

- Bon courage, ma fille, réveille la bête!
A peine Rose sert entre ses doigts la verge flasque qu’elle commence à s’allonger et grossir.
En quelques instants, la « bête » passe par différentes étapes, de plus en plus enflée et raide.
Elle masturbe le sexe qui redevient vite le bâton triomphant de la veille.
Pendant toute la nuit, ses « professeurs » l’instruisent des choses et pratiques de l’amour mais elle est frustrée car malgré ses suppliques, son oncle ne veut pas la déflorer. Avant de regagner sa chambre, ils lui disent qu’elle va passer les vacances de Pâques qui commencent à la fin de la semaine chez Henri, le père de Patrick, pour lui laisser le temps de réfléchir à son avenir sans la tentation si proche.
Elle ferme les paupières en signe d’acceptation. Mais avant son départ, Emilie emmène sa nièce chez le gynéco et lui fait prescrire ses premières pilules. Vu les ardeurs de Rose, elle préfère éviter le pire… On n’est jamais trop prudent.

Trois jours plus tard, Rose arrive chez son « grand-père ». Il vit seul mais a eu une vie très mouvementée. (Henri sert de modèle à …). Les jours se passent, les nuits aussi peuplées de rêves érotiques.
Mais cette nuit, Henri est seul au salon, se rappelant ses aventures. Les savantes caresses de ses maitresses entre autre. A cette évocation, sa verge gonfle.
D’habitude, il se soulage rapidement mais depuis que Rose est là, il n’ose plus le faire. Il est bien calé dans son fauteuil, il n’y tient plus et extrait son sexe pour se masturber et décharge dans un mouchoir en papier avant de s’assoupir.
On dit que la vie est un éternel recommencement. Rose n’arrive pas à dormir, elle décide d’aller à la cuisine pour boire un verre d’eau, pour cela, il faut traverser le salon. Elle voit bien Henri dans le fauteuil qui a l’air assoupi. Elle entre en silence mais s’arrête vite, estomaquée devant le spectacle. De la braguette jaillit un véritable colosse endormi.
Elle a déjà surpris des conversations de son oncle parlant de la réputation sulfureuse de son père. Tel père, tel fils ? !
Elle s’approche à pas de loup, comme hypnotisée, ne pouvant se retenir de promener son index sur la protubérance, complètement désinhibée.

- Le pauvre, murmure-t-elle, il doit s’être sevré depuis que je suis là ! Si j’osais, il a l’air de dormir profondément.
Un sourire béat éclaire le visage du dormeur qui doit faire un rêve érotique après s’être soulagé.
Dévoyée par ses expériences récentes, complètement désinhibée, elle ne peut plus se retenir et saisit à pleine main la verge d’Henri, ses doigts courent sur le sexe, tournent autour du gland. Son « grand-père » se remet à bander. Son rêve est si réaliste qu’il a l’impression de vivre l’événement. La force de l’esprit est stupéfiante ! Rose n’en revient pas. Si la verge d’Henri est aussi épaisse que celle de son fils, elle est beaucoup plus longue !
Le songe devient si réel qu’il tire Henri des bras de Morphée. Il plisse les yeux et voit cette main fine qui s’active sur son nœud. Il met un long moment avant de réaliser que cette main appartient à Rose, comprenant ce qu’elle fabrique. Quelle Horreur !

- Bon Dieu ! Qu’est ce que tu fais ?
Il se redresse brusquement et saisit la main de Rose pour interrompre la masturbation. Elle réalise soudain qu’elle y est allée un peu fort et tente de s’enfuir mais il ne desserre pas sa poigne.
Pendant un moment, un statuquo s’installe. Mais bizarrement, Henri ne la force pas à retirer sa main. Rose tente le tout pour le tout et reprend les allers-retours sur ce pic de granit, assumant ses pulsions.

- Ça va Papy ? Tu veux que je continue ? Je vois bien que tu apprécies.
- Euh ! Bien sûr qu’un homme apprécie de se faire branler par une jolie fille. Mais quand c’est de la famille, il y a comme un problème ! Tu sais ce que veut dire relations incestueuses ?
Mais malgré ses dires, il garde sa main serrée sur celle qui le caresse et continue ses attouchements.
-Tu dates, Papy. Tu sais ce que veut dire la libération des mœurs ? Et si tu savais ce que ta sainte de petite-nièce a déjà fait !
- Rose, tu as de drôle de principe! Enfin, il faut dire que ton oncle est loin de te montrer l’exemple. Henri se demande ce qu’elle a voulu insinuer et devrait la repousser. Ses principes s’entrechoquent avec ses désirs, il n’a pas envie qu’elle cesse. Comme tout homme, il a fantasmé un jour sur la plastique de Rose mais entre les fantasmes et la vraie vie…
Sa morale cède à sa libido devant l’initiative de Rose en se disant qu’elle est majeure et pleinement conscience de ses actes.

- Quand j’ai vu ton formidable engin, Je n’ai pu me retenir de le caresser et on dirait que t’aimes-ça, hein papy?!
Il capitule enfin et s’abandonne aux caresses.
- Fais comme tu veux, mais ce n’est pas bien morale, tout ça ! Grommèle-t-il.
Rose s’agenouille entre les cuisses de son grand-père et déboutonne le pantalon pour libérer complètement l’engin.
- Waouh ! T’es vraiment monté gros ! Encore plus que Ton…. !

Sa paume glisse le long de cette hampe sans fin, fait glisser le prépuce sur la tige pour décalotter le gland. Henri enlève sa main encore sur celle de Rose et la pose dans sa chevelure pour attirer ses lèvres sans plus aucun arrière pensé.
Rose reprend la douce manipulation de ce rostre. Comment papy, malgré son âge, peut-il faire bander à mort un tel monstre ? Ses lèvres chaudes se referment sur le gland, elle a bien retenu les leçons avec son oncle et fait très attention de ne pas blesser la « bête » avec ses dents. Elle peut en prendre en bouche encore moins qu’avec celle de son oncle. Sacré Papy !
Henri résiste autant qu’il peut mais près quelques succions, pétrissage de ses boules et autres friandises, la jouissance envahie son bas ventre. Il ne peut plus résister à la montée du plaisir et s’épanche dans la bouche de Rose.
Rose est surprise par la rapidité de l’orgasme de son grand-père. Le sperme est plus âcre et beaucoup moins abondant que celui de son oncle, mais elle le déglutit quand même avec plaisir.

- Oh Excuse-moi ma petite chérie mais je n’ai pas pu me retenir.
- Ne t’excuse-pas, c’est moi qui le voulais. Le rassure Rose en s’essuyant la bouche d’un revers de main. Excuse-moi de t’avoir surpris en plein rêve érotique et d’en avoir profité. Tu m’en veux ?
- C’est moi qui m’en veux de ne pas t’avoir repoussé. J’ai honte.
- Non Papy ! T’as pas à avoir honte et je voudrais même te donner encore plus, si tu vois ce que je veux dire…

Comme un rituel, chaque soir, Rose, ne portant comme seul vêtement un tee-shirt chaque fois plus court, retrouve son grand-père qui attend ce moment avec impatience, extrayant le sexe déjà raide de désir.
Pour la première fois, Henry a glissé la main entre les cuisses de Rose pour rechercher sa vulve bombée. La main de Rose s’active avec plus de ferveur sur le pénis, heureuse du geste de son grand-père dont les doigts explorent sa fente, décapuchonnant son clitoris. Pour le remercier, elle lui fait une fellation, s’essayant même à une gorge-profonde, mais sans succès sur un tel pal.

- Tu as eu un bon professeur, Rose, tu suces comme une déesse, qui t’as appris ?
- C’est … Elle a manqué se trahir, comment avouer à son grand-père que c’est sa propre tante qui lui a donné des cours avec la bite de son mari ?! Euh… Mon petit ami.
Elle est sauvée par le gong car ses caresses ont amené Henry à la jouissance. D’ailleurs, elle-même vient de couler sur la main calleuse d’Henry qui est fier d’avoir procuré un orgasme à sa petite-nièce.
Elle avale la dose avant de se blottir dans ses bras.

- Merci Papy !
- Et moi, que devrais-je dire ? C’est à moi de te remercier de donner du plaisir à un vieil homme.
Je n’ose pas te demander de réaliser mon fantasme, faire une dernière fois l’amour…
-Pourquoi une dernière fois Papy, tu as la tige encore verte et vigoureuse. Lui répond-t-elle en souriant - Au point où nous en sommes.

Mais cette fois, il va falloir donner accès à sa chatte à la première bite de sa vie, et elle réalise soudain qu’elle n’a pas choisit un modèle Small. Il l’a mené dans sa chambre et étendu sur le lit, les pieds touchant le sol, il a placé un coussin sous le dos pour cambrer son corps de liane pour qu’elle lui offre sa croupe. Il frotte son engin énorme sur la fente d’où suinte une mouille abondante. Son gland se présente à l’entrée du vagin et s’y engouffre avec une facilité déconcertante sous un hurlement de Rose.
Surpris de la réaction, Henry se retire et constate que sa verge est tachée de sang.

-Putain ! Mais t’étais vierge ! Qu’est-ce que j’ai fais… C’est pas vrai ! Oh pardon Rose, je ne voulais pas !
-Je t’ai menti, Papy… Mais j’en avais tant envie. Tonton n’a n’a jamais voul…
-Quoi ?! Qu’est ce que tu racontes ?

A suivre…

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