Histoire Erotique

Littérature adulte en ligne, histoires érotiques et récits coquins gratuits...

Docteur Balai-dans-le-cul 7 : Conclusion

Dans cet ultime épisode, le Docteur Balai-dans-le-Cul se lâche complètement et fait tout pour mériter le titre de Docteur Salope-de-service. Votre serviteur sera-t-il capable de soutenir les assauts de la belle ?

Proposée le 20/03/2020 par Korn

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: SM, bondage
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie


Le lendemain matin, je fus très heureux de constater que Valentine avait écouté mes consignes : robe à mi-cuisses, bas auto-collants, cuissardes et aucun sous-vêtement. Je la fis pencher sur le bureau et la doigtai négligemment tout en lui parlant.

- Ce soir, je te prends le cul, c'est compris ?

- Oui.

- Oui qui ?

- Oui, maître.

- Bien. Tu as été une bonne petite soumise, très obéissante. Tu mérites une récompense. Je t'écoute.

- Euh... je peux te demander ce que je veux ?

- Oui. Mais si je ne suis pas d'accord tu seras punie comme jamais.

- Alors je... j'aimerais un cunnilingus.

- Installe-toi.

C'était la première fois que je gouttais Valentine et je regrettai immédiatement de ne pas l'avoir fait plus tôt. Son jus avait un goût léger, un peu musqué et légèrement acidulé, un pur régal. Son bouton, gonflé de désir, était énorme, il roulait facilement sous la langue et se laissait aisément sucer. Avec trois doigts dans sa grotte et une bouche s'activant sur son clitoris, la doctoresse ne mit que quelques minutes à jouir en m'inondant la barbe. Une vraie fontaine de cyprine.

Je me redressai sans retirer mes doigts.

- C'était ton premier vrai cunni, non ?

- Oui... Et mon plus gros orgasme aussi.

Elle me fixa d'un regard de braise.

- J'ai tellement envie de toi, souffla-t-elle.

- Il faudra attendre ce soir, ma belle.

En vérité, j'avais aussi une envie monstrueuse d'elle. Je bandais tellement fort que j'en avais mal.

- S'il-te-plaît, supplia-t-elle. Tu peux me prendre maintenant et me sodomiser ce soir, non ?

- Ferme-la.

Je lui pris le menton.

- Je vais te faire un petit cadeau. Retourne-toi.

Je vis à son expression tout l'espoir qu'elle avait. L'espoir que je la prenne contre son bureau, comme si souvent. Elle s'installa prestement, tandis que je préparai mon attirail. Un peu de lubrifiant plus tard, j’introduisais un petit plug anal acheté pour l'occasion dans sa rondelle.

- Qu'est-ce que...

- Ta gueule. Si tu gardes bien sagement ça dans les fesses, ce soir je le remplace par ma bite. Relève-toi.

- C'est... pas très confortable.

- Tu vas t'habituer. Interdiction de l'enlever, mais tu as le droit de te masturber si ça t'excite trop. Pigé ?

- Oui maître.

- Bien. A plus tard, Valentine.

Nous étions mardi. Après le staff hebdomadaire, il fut temps de m'occuper de ma petite soumise. Je lui retirai sa robe, la laissant seulement avec ses bas et cuissardes. Je passais ma main entre ses fesses, fut satisfait de constater que le plug était toujours en place.

- Tu t'es touchée ?

- Oui maître.

- Combien de fois ?

- Deux, maître.

- Tu es une petite chienne en chaleur Valentine, tu le sais ?

- Oui maître.

- Tu as envie que je t'encule ?

- J'en meurs d'envie, maître.

- Va t'installer.

J'avais pris soin d'emmener mon sac à dos avec moi. J'en sortis ce que j'avais prévu et m'approchai du gros cul tendu de Valentine. Avant qu'elle n'ait eu le temps de comprendre, ses poignets étaient menottés dans son dos. Puis une boule en plastique rouge vint obstruer sa bouche.

- Voilà, fis-je. Là tu es parfaite.

Je pris une longue règle en plastique sur son bureau, elle tendit les fesses.

- Ça va être génial, hein Valentine ?

Elle fit « oui » de la tête, le premier coup de règle s'abattit sur elle. Une fois, deux fois, dix fois. Ses fesses étaient rouges, on voyait nettement la trace de l'instrument, je perdis le compte.

Puis soudain la règle se brisa net, griffa la peau fine de la doctoresse. Quelques gouttes de sang perlèrent, mais la belle n'en remua son postérieur qu'avec plus d'enthousiasme.

- C'est l'heure de la sodomie...

Elle acquiesça encore. J'enfilai un préservatif et retirai délicatement le plug anal. La rondelle de Valentine était béante et semblait terriblement accueillante. Je pressai mon membre à son entrée, forçai à peine le passage. En un rien de temps, je sentis la chaleur de sa vulve qui mouillait mes bourses. Je me reculai, revins à la charge, mes hanches claquèrent contre sa cul, mes couilles contre sa chatte, elle poussa un gémissement étouffé par la boule rouge.

J'accélérai progressivement le rythme, Valentine gémissait de plus en plus. C'était le paradis : le médecin qui m'avait fait chier pendant deux ans à contrôler tout ce que je voulais faire était quasiment nue, menottée, bâillonnée et prenant son pied à se faire limer les fesses.

L'horloge murale indiquait un peu moins de dix minutes de sodomie furieuse lorsque je sentis que je ne tiendrais pas plus longtemps. Je me retirai, ôtai le préservatif et ordonnai à Valentine de s'agenouiller devant moi. Tout ce que j'avais retenu d'excitation durant la journée jaillit brusquement de mon mat, éclaboussa l'acier du bureau, inonda la doctoresse. Une véritable douche de sperme concentrée sur son visage et ses seins.

Je sortis mon téléphone, immortalisai la scène sans que Valentine ne le sache, les yeux recouverts de mon jus.

- Tu veux jouir ?

Elle acquiesça. Je défis les menottes, elle comprit le message et fit courir ses doigts sur son clitoris. D'autres photos furent prises.

Valentine se masturba comme une démente pendant vingt bonnes minutes, dressée sur les genoux, une main sur son bouton, trois doigts dans son vagin. Lorsqu'elle jouit, sa cyprine gicla sur le sol. Je lui essuyai un peu les yeux tandis qu'elle reprenait son souffle et retirai la boule de sa bouche.

- Tu es sale, commentai-je debout devant elle.

- Et tu bandes.

- Tu as eu quatre orgasmes aujourd'hui, tu n'en as jamais assez ?

- Non...

- Tu mérites vraiment le titre de salope. Tu as passé la journée avec la chatte à l'air et un plug dans le cul, tu viens de te faire sodomiser, tu t'es touchée 3 fois, tu es couverte de sperme... Et t'en redemandes ?

- Grâce à toi, je suis la plus grosse salope de la clinique. Une chienne en chaleur, un sac à foutre.

- Un vide-couilles de compétition.

- Une bonne grosse pute en résumé.

Je jetai un œil à l'horloge. Il était 19h passées.

- Il se fait tard Val'...

- Alors baise-moi vite fait, et on rentre chacun à la maison.

- Hum... D'accord. Une chienne pareille, on la saute.

- Vas-y, branle-toi avec ma chatte !

C'est exactement ce que je fis. Je la pris à même le sol, les fesses dans sa cyprine. Pendant 15 minutes, je l'entrepris comme un dément, jusqu'à ce qu'elle demande grâce.

- Tu as déjà branlé un mec avec tes énormes miches ? demandai-je, le souffle court.

- Euh non...

- Il y a un début à tout.

Je grimpai sur son ventre, calai ma queue entre ses seins, pris ses mains pour lui faire refermer sa poitrine sur ma virilité. Cela faisait des années que je ne m'étais pas adonné à cette pratique que j'adore pourtant et il me fallut encore 15 bonnes minutes pour venir, 15 minutes de pure extase entre les gros seins très doux et enkystés de sperme de Valentine.

Je me déversai sur la gorge de la doctoresse, mon jus blanc et épais coulant jusqu'à ses cheveux. Et cette merveilleuse partie de jambes en l'air fut enfin terminée.

- Je vais devoir aller prendre une douche, commenta Valentine.

- Je crois aussi.

- J'espère ne croiser personne... A demain.

- A demain chère soumise.

Mais le lendemain, une surprise m'attendait. Valentine me fit venir dans son bureau à la première heure. Elle semblait très mal.

- Qu'est-ce qu'il y a ? demandai-je.

- Il y a que mon mari a vu les traces sur mes fesses. Je lui ai dit que j'étais tombée dans les escaliers, mais ça plus le fait que je rentre tard de plus en plus souvent, il se doute de quelque chose et ne me fait plus confiance.

- Donc on arrête tout.

- Donc on arrête tout, conclut-elle.

- Bien. Ce fut très agréable et je suis content que tu aies pu te lâcher et découvrir ta sexualité.

- Oui... Merci pour tout.

- Mais de rien. Moi aussi j'y ai pris grand plaisir. A plus tard, docteur D.

- A plus tard, Ludovic.

En sortant du bureau de Valentine, j'effaçai les photos prises la veille.

Bien que nous fassions de notre mieux, la situation dérapa encore quelques fois. Peu, mais suffisamment pour faire culpabiliser Valentine à chaque fois. Finalement, elle donna sa démission 6 mois après la fin de notre petite aventure.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Fermer définitivement L'activation des cookies et de javascript est nécessaire à son bon fonctionnement. Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d'éviter au maximum les abus inhérents à la notation des récits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d'une fois la même histoire érotique.
Les notes attribuées à la volée pour un même auteur (qu'elles soient bonnes ou mauvaises) seront modérées.

Commentaires de l'histoire :

Anonyme
Très intéressant mais un peu mélangeant aussi
Posté le 4/08/2020

Anonyme
¨Merci pour cette histoire très excitante
Posté le 27/03/2020


Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email


Histoires érotiques choisies :
Docteur Balai-dans-le-cul 6 : désinhibition
Docteur Balai-dans-le-cul 5 : Négociation
Docteur Balai-dans-le-Cul 4 : Révélation
Docteur Balai-dans-le-cul 3 - Fessées
Docteur Balai-dans-le-cul 2 : Compréhension