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Docteur Balai-dans-le-cul 1 - L'impulsion

Le début d'une nouvelle histoire, bien plus tardive que les précédentes. Où comment Valentine, surnommée "Docteur Balai-dans-le-cul" par son équipe, finit par se laisser convaincre de lâcher un peu prise.

Proposée le 3/01/2020 par Korn

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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Roman


Je m'appelle Ludovic. Vous avez déjà eu l'occasion de suivre mes adultérines aventures de jeunesse. Je vous propose à présent de découvrir une aventure beaucoup plus tardive.

Au moment des faits, j'ai 33 ans, marié et papa de deux petits garçons. Kinésithérapeute, j'ai laissé tomber l'activité libérale et suis retourné travailler en centre de rééducation au sein d'une petite équipe de 4 kinés, 2 ergothérapeutes, 1 psychomotricienne et 1 prof d'APA. Depuis 2 ans, ma douce et moi-même avons décidé de ne plus nous restreindre à la monogamie et nous autoriser à aller voir ailleurs lorsque l'envie nous prend. Cela n'a pas été simple au début, mais après quelques escapades les choses se sont normalisées et nous le vivons à présent très bien.

On dit souvent que dans le milieu médical, on ne parle que de cul. De mon expérience, ce n'est pas particulièrement vrai, cela dépend beaucoup des équipes. En l'occurrence, celle-ci était plutôt jeune et décomplexée, alors les blagues potaches et discussions orientées sous la ceinture étaient légion. Particulièrement quand Diane, une petite ergo toute mignonne avec ses bouclettes brunes et ses grands yeux verts, était de la partie.

Et puis il y avait notre médecin. Valentine D., 36 ans, mariée, une fille. Un bon mètre 70, l'ossature très large mais la taille relativement fine pour sa morphologie, la poitrine énorme et un gros cul pas franchement rond, mais loin d'être plat pour autant. Elle n'était pas moche, mais loin d'être jolie, avec un visage ovale qui semblait tout juste sorti de l'adolescence, de petits yeux marrons et un minuscule nez pointu toujours froncé, le tout encadré par de très longs cheveux décolorés qui lui descendaient jusqu'au creux des reins.

Diane l'avait surnommée « docteur balai-dans-le-cul », appellation rapidement adoptée par toute l'équipe et abrégée « DBC ». Non seulement Valentine rougissait à la moindre allusion sexuelle et ne saisissait presque aucun double-sens, mais elle était de plus hautaine, arrogante et obsédée par l'idée de contrôler les faits et gestes de toute l'équipe. Bien plus qu'il n'en faut pour se mettre un service à dos, en somme.

Ce jour-là, le staff hebdomadaire s'était éternisé, la faute à plusieurs impondérables, et je me retrouvais seul avec Valentine, à traiter du dernier patient restant. Ou plus exactement, à me faire reprocher ma prise en charge.

- Tu aurais pas dû faire enlever le lève-personne de sa chambre, me disait DBC.

- Déjà, j'ai rien fait enlever du tout, c'est pas mon taff. Et ensuite Diane et moi on a bossé les transferts, il se débrouille très bien. On va pas continuer à le trimballer avec ce machin alors qu'il peut passer au fauteuil tout seul, si ?

- C'est pas à toi d'en décider.

- Non, mais après tu peux choisir de nous faire confiance en te disant qu'on connaît notre boulot ou tu peux décider de devoir tout valider et te retrouver à six heures du soir à toujours pas avoir fini ton staff... C'est toi qui voit.

Les cinq minutes suivantes s'écoulèrent en argumentation stérile. Finalement, à 18h12 nous parvînmes à clore la journée de travail, presque 2 heures après la fin de mon service...

- Eh ben, lançai-je, grâce à toi je vais pas avoir le temps d'aller voir ma maîtresse.

DBC vira à l'écarlate, bredouilla quelque chose en baissant les yeux.

- Ça va, je déconne Valentine... Faut que tu te décoinces un peu.

- C'est bon, je sais ce que vous pensez tous de moi.

Je me renversai sur ma chaise.

- C'est à dire ?

- Que je suis une pisse-froid...

- Ouais. Enfin on pense surtout que t'es une control-freak et que ça te ferait pas de mal de te laisser un peu aller.

- Mais encore ?

- J'en sais rien, c'pas à moi de te le dire. Mais à force de toujours tout vouloir contrôler, tu donnes l'impression de pas savoir vivre ni t'amuser.

- C'est faux.

- Honnêtement, je m'en branle. C'est ta vie et j'en ai rien à secouer, mais c'est l'image que tu renvoies à l'équipe. Comment tu veux qu'on écoute quelqu'un qui cherche à nous dire tout le temps comment on doit bosser et ne s'intègre pas une seconde en partageant nos délires ?

- Et je fais ça comment ?

- J'en sais rien, c'est pas mon problème. Trouve un moyen de lâcher du lest et de te laisser aller.

- Et je fais ça comment ? insista-t-elle.

- Si j'étais taquin, je te dirais que t'as besoin de te faire attacher et d'obéir aux ordres d'un mec.

- Mais t'es malade ?!

- Et pourquoi pas ? Ça te ferait pas de mal d'être celle qui obéit pour une fois...

Elle vira de nouveau à l'écarlate et bafouilla en baissant les yeux. Une attitude décidément récurrente dès que le sexe devenait sujet de discussion.

- On... on n'est pas comme ça avec... avec mon mari.

- Ben trouve un mec juste pour ça, qu'est-ce que tu veux que je te dise ?

- Un mec comment ?

- Un mec qui peut te regarder dans les yeux et dire « mets-toi à genoux et suce-moi » par exemple.

- Je... je ne sais pas si j'aimerais faire ça...

- Faut essayer....

Il y eut quelques secondes de flottement. Dans son regard, je voyais des émotions contradictoires se mélanger. Mes paroles l'avaient ébranlée, une partie d'elle s'accrochait à la volonté de tout contrôler, l'autre avait envie de se laisser aller à essayer la soumission. Une partie tenait à la fidélité envers son mari, l'autre fantasmait à l'idée de sucer la queue d'un autre homme.

Pris d'une soudaine inspiration, je me levai, contournai son bureau pour venir me poster près d'elle.

- Mets-toi à genoux et suce-moi, ordonnai-je.

C'était l'instant de vérité. Elle allait m'envoyer chier ou plier.

- Je... C'est pas une bonne idée.

- J'ai dit : à genoux et suce, répétai-je en détachant chaque mot.

Valentine glissa de sa chaise. A ce moment, je savais que quoi qu'elle dise ensuite, j'avais déjà gagné la partie. Elle fixait mon entrejambe qui grossissait déjà avec un mélange d'appréhension et d'envie.

- On est mariés, ce n'est pas bien.

- C'est juste un entraînement au lâcher prise, personne n'aura besoin de le savoir.

Elle tira des deux mains sur mon pantalon d'hôpital et mon boxer, libéra mon sexe.

- Ce n'est pas bien, répéta-t-elle a demi-voix.

- Mets-la dans ta bouche, dis-je en appuyant sur sa nuque.

Valentine n'opposa aucune résistance, elle ouvrit grand les mâchoires et goba mon engin. Je posai une main sur sa tête pour lui imprimer le rythme que je souhaitais, lent et voluptueux. En quatre allers-retours, j'avais fini de bander dans sa bouche et me retrouvai totalement aux commandes. Chaque fois qu'elle s'arrêtait à mi-course, je la forçais à aller plus loin. Chaque fois qu'elle faisait mine de reprendre son souffle ou de se retirer, j'avançais le bassin pour l'obliger à poursuivre sa fellation. Mais elle ne se rebiffa jamais vraiment.

- Voilà, la complimentai-je, ça c'est une bonne suceuse soumise. Tu vois, c'était pas compliqué.

Elle hocha la tête pour approuver.

Quelques minutes plus tard, j'éjaculai dans sa bouche et elle me fit le plaisir d'avaler jusqu'à la dernière goutte sans rechigner. Je remontai mon pantalon et retournai m'asseoir, tandis qu'elle grimaçai.

- On n'aurait jamais dû faire ça, souffla-t-elle.

- Bien sûr que si. Ça t'a fait du bien de te laisser aller, non ?

Elle acquiesça sans grande conviction.

- Qu'est-ce que je vais dire à mon mari et toi à ta femme ?

- Absolument rien. Tu vas rentrer chez toi et embrasser ton mari avec la même bouche qui a sucé la queue d'un autre homme et but son sperme. Demain, tu te lèveras en constatant que la seule chose qui a changé, c'est toi.

- Parce que maintenant je suis une femme infidèle ?

- Non, parce que maintenant tu es une femme qui peut lâcher prise.

Je rassemblai mes affaires, me levai pour partir.

- Prends un peu de temps pour réfléchir puis envoie-moi un sms pour me dire ce que tu as pensé de l'expérience et si tu veux recommencer.

- Recommencer ?

- Pourquoi pas ? Je viendrai te voir chaque fois que j'aurai envie de me faire sucer et tu me suceras sans poser de question. En bonne soumise qui sait se laisser aller.

- Juste des fellations ?

- Sauf si tu veux plus.

- Non...

- Bref, je te laisse y réfléchir. Tu me diras ta réponse.

Je rentrai chez moi, racontai toute l'histoire à ma femme. Elle rit, bien contente de mon coup. Elle ajouta « à propos de soumission, ça fait un moment que tu m'as pas attachée » avec un sourire coquin, puis après notre affaire elle m'embrassa et me souhaita bonne nuit. Le lendemain matin, j'avais un sms, arrivé en plein milieu de la nuit :

« Bonsoir Ludovic. J'ai bien réfléchi à ton projet, je pense que nous pouvons le mettre en place. Bien cordialement, V. »

Je souris. Il y avait encore beaucoup de travail sur le lâcher prise.

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Commentaires de l'histoire :

mimi6487
installation du contexte.... assez peu érotique...... mais écris correctement donne envie de découvrir la suite .... d’où un beau 8 en note
Posté le 15/01/2021


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