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Docteur Balai-dans-le-cul 6 : désinhibition

Le temps passe et le Docteur Balai-dans-le-cul s'en donne à cœur joie. Mais votre serviteur commence à se lasser et souhaite pousser un peu plus loin sa soumission. Quoi de mieux que de la faire venir travailler sans culotte ?

Proposée le 20/03/2020 par Korn

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Thème: Femme soumise
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie


Les deux semaines suivantes s'écoulèrent normalement. Je profitai du corps de Valentine sept fois en tout : quatre fois de son vagin dégoulinant, trois autres de sa bouche. Je la frappais, sur les fesses et les seins, l'insultais, couvrais de foutre son visage, sa poitrine ou son cul. Parfois, je restais simplement assis sur une chaise à la regarder se faire jouir pour moi, les joues ou les miches encore dégoulinants de jus. De temps en temps, je lui ordonnais de sucer son mari, de le faire gicler sur elle. C'était un amour de petite soumise, mais je commençais à me lasser... Il était temps de monter encore d'un cran.

Le vendredi soir, je débarquai dans son bureau. Valentine me suça comme je le lui ordonnai, entièrement nue, reçu avec plaisir mon sperme sur le visage et se finit assise sur son bureau, jambes écartées pour que je profite du spectacle.

- Ne te rhabille pas.

- Tu as encore des idées ? demanda-t-elle.

Non, juste des consignes. Mais ma soumise doit les écouter à genou et à poil.

- Elle s'exécuta.

- Tu vas aller faire du shopping demain. Lundi tu viens travailler en robe et bas auto-collants. Je veux que ça soit décolleté et à mi-cuisses. Ni plus court, ni plus long, pigé ?

- Tout ce que tu voudras.

- Parfait. Et après ça, tu suceras ton mari et le finira sur ton visage. Je veux une photo avant samedi minuit.

- A tes ordres.

- Bien. A lundi, Val'.

- A lundi, maître.

Le jour venu (et oui, je reçus la photo), je me ruai dès le matin dans le bureau de Valentine. Elle portait une très jolie robe avec des motifs floraux et un décolleté en V, accompagnée de cuissardes noires.

Je me plaçai derrière elle, la pris par les hanches pour la coller à moi. Elle ne portait pas de soutien-gorge, je la pelotai tout en remontant un peu sa robe pour passer une main dans son string pour la doigter.

- Tu aimes alors ?

- C'est très joli. Et toi tu es toute mouillée.

- C'est parce que ça m'excite de me dire que mon maître n'a rien à faire pour me baiser.

- C'est vrai que j'ai très envie de te la mettre...

Je retirai son string à Valentine, elle se pencha un peu en sachant ce qui l'attendait. Je la pénétrai sans attendre, fit quelques allers-retours dans son abricot juteux et me retirai sous son regard interrogateur.

- C'était juste pour le plaisir. C'est ce soir que je m'occupe vraiment de toi.

Je ramassai son string et le fourrai dans la poche de ma blouse.

- Oh, et je garde ça en attendant. Pour toi, c'est chatte à l'air toute la journée.

Ce fut au repas de midi que les choses prirent une tournure amusante. Nous avions l'habitude avec l'équipe de rééducation de manger dans la salle d'ergothérapie, où la grande table centrale pouvait tous nous accueillir. Lorsque j'arrivais avec mon tupperware tout juste sorti du micro-ondes, ils étaient en grande discussion.

- … très agréable pour les yeux aujourd'hui, disait Patrick, notre doyen.

- C'est vrai que c'est un gros changement, ajoutait Maria.

- Vous parlez de quoi ? demandai-je en m'asseyant.

- De notre chère docteure en médecine physique et de réadaptation, m'informa Patrick.

- Ah ça... C'est vrai que depuis quelques temps je la trouve moins chiante.

- Elle se fait sauter, renchérit Diane en levant la tête de ses pâtes en sauce.

- Non ? fit Maria. Tu crois ?

- C'est sûr. Et pas par son mari, hein.

- Et qu'est-ce qui te fait dire ça ? m'enquis-je.

- Bah déjà, à son âge tu changes pas comme ça d'un coup. Et ensuite...

Elle s'avança sur la table avec un petit air de conspiratrice.

- Y a deux semaines, quand elle m'a fait la bise, elle avait une haleine de sperme.

- Non ?

- Si ! Et la dernière fois, elle avait un truc gluant dans les cheveux... Et c'était pas de l'eau gélifiée si tu vois ce que je veux dire.

- Tu veux dire qu'elle a un amant ici ? s'insurgea Maria.

- Oui m'dame.

Patrick partit dans une envolée poétique sur la liberté des mœurs, lyrisme que je serais bien en peine de vous retranscrire ici.

- C'est pas possible, contrai-je. On parle de DBC quand même.

Diane me tendit la main, paume levée au ciel.

- Tu paries ?

- Ce que tu veux, c'est pas comme si on pouvait vérifier.

- Fastoche mon con. Si elle a pas de culotte, c'est qu'elle se tape un mec ici.

- Ou qu'elle fantasme à l'idée d'avoir la chatte à l'air. Et toi, t'as déjà vérifié sinon tu dirais pas ça.

- C'pas ma faute si elle écarte les jambes quand elle est assise sur le plan Bobath.

- Je retire le pari, tu triches.

- Dégonflé.

- Mauvaise joueuse.

Elle me tira la langue en forçant exagérément le trait, tout le monde éclata de rire. Quant à moi, je ne savais pas trop ce que je devais en penser. D'un côté, il était excitant de penser que tout le monde cherchait l'amant de Valentine. Mais de l'autre côté, la situation devenait encore plus risquée... Et par conséquent excitante ! Un véritable cercle vicieux en somme.

Le soir venu, j'attendis tout de même que tout le monde soit parti pour aller retrouver la doctoresse. Elle m'attendait sagement, le regard brillant d'excitation.

- Alors, cette journée avec la chatte à l'air ?

- Très agréable comme sensation. J'ai mouillé comme une malade toute la journée.

- Soulage-toi alors.

- Je peux vraiment ?

- Si je te le dis.

Elle devait être vraiment excitée, car elle ne mit pas deux minutes à jouir. Puis ce fut à mon tour de m'amuser, je la retournai contre son bureau pour la prendre comme un sauvage. Une pluie de coups s'abattit sur son gros cul, un torrent d'insultes l'assaillit. J'avais été en chaleur toute la journée, je ne parvins pas me retenir plus d'une minute avant de décharger dans la raie de ses fesses. Un jet puissant fusa jusqu'à ses cheveux, le reste recouvrit sa petite rondelle et remplit la travée, coula sur mon membre, mes bourses et sa vulve.

- J'ai bien envie de t'enculer petite pute, crachai-je.

- Euh... C'est... C'est un peu...

J'appuyai ma queue lubrifiée par sa cyprine et mon sperme sur son petit trou. La chair s'écarta, le gland s'enfonça doucement dans la caverne aux merveilles.

- Regarde, avec tout ce lubrifiant naturel ça rentre tout seul.

- Ça fait un peu mal, fais doucement.

- Pas d'objections à la prendre dans le cul, donc ?

- Il faut un début à tout.

Je m'enfonçai doucement, lentement. Mais après quelques va-et-vient, il me fallut me rendre à l'évidence : je n'avais plus la fougue de mes 20 ans et je ramollissais petit à petit dans l'anus de Valentine. Je me retirai en lui assénant une violente claque sur le postérieur.

- Ça suffit pour aujourd'hui. Même tenue demain, et t'as intérêt à ce que je n'ai pas de string à t'enlever.

Et je sortis en la laissant comme ça, penchée contre son bureau, cul rougit par les coups et dégoulinant de foutre encore tendu.

Vers minuit, je reçus un MMS de Valentine. Il contenait un message : « Finalement ça passe bien. » ainsi qu'une photo de son anus dégorgeant un liquide blanchâtre.

« Tu as apprécié ? » fut ma réponse.

« Assez pour me languir d'essayer avec la grosse bite de mon maître. » fut sa conclusion.

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Commentaires de l'histoire :

Mekron
J'ai beaucoup apprécié. Histoire sympathique et croustillante à souhait ! Merci.
Posté le 20/10/2020


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