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Salope de belle-fille. 6

On est jamais au bout de ses surprises. Jade est une mytho mais maintenant je sais de qui elle tient. Le jour des noces, la mère et la fille font tout pour chevaucher ma bite. Vous me connaissez... Toujours prêt à rendre service. Une soirée exténuante...

Proposée le 3/01/2020 par mlkjhg39

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Thème: Nympho, vicieuse
Personnages: FH
Lieu: Parking
Type: Fantasme


Chapitre 6 : Jour de mariage. Obligé de niquer la mariée et sa mère.

-Qu’est ce qui t’arrives ? Qu’est –ce que tu as à remuer comme ça ?
Je fais semblant de n’avoir rien entendu et me rendors dans les bras de Morphée, fier du devoir accompli.

C’est le grand jour. Je suis honteux de ce que j’ai fait cette nuit. Je suis un vrai salaud envers mon fils.
Jade est ravissante en robe blanche, elle est divinement belle. Le blanc, couleur de pureté et de chasteté ???!!!
Je félicite ses parents d’avoir une si belle fille. S’ils savaient la salope qu’ils ont engendrée!!!
On en est au repas de mariage entrecoupé de quelques danses. Je m’occupe de la belle-mère, Sylvie. La lumière sur la piste de danse est tamisée, mais à la troisième danse que je fais avec elle, il se passe quelque chose d’irréel. Elle me susurre à l’oreille :

-Patrick, j’ai trop envie de vous. Je vous ai surpris l’autre soir dans le couloir. Je sais que ma fille est une vraie salope, mais moi aussi. Si vous ne voulez-pas que je fasse un scandale, baisez-moi !

Putain !!! Telle fille, telle mère ! Il faut dire que malgré son âge, elle est drôlement bien fichue, la daronne. Et un coup de queue vite fait, ça ne se refuse pas.
La seule façon de retrouver un peu d’intimité, c’est la bagnole. Un petit tour sur le parking, la banquette arrière, pas très confortable mais on n’est pas là pour dormir.
Pas le temps de longs préparatifs, je retrousse sa longue robe, ne prends même pas le temps de lui retirer sa culotte pour lui dévorer la chatte d’une bouche gourmande. C’est pas très confortable pour elle, un pied sur le dossier conducteur, l’autre sur celui de la banquette arrière, ma bouche fait merveille entre ses cuisses écartées et c’est parti pour l’emmener au septième ciel ! Mes mains doivent souvent redresser son bassin qui ne cesse de glisser mais je laisse mes doigts s’égarer vers son petit anus et comme par accident, je le pénètre d’une phalange hardie…Oups ! Oh pardon madame !
Aussi chaude que sa fille ! Elle pousse déjà un cri rauque, faisant saillir sa croupe et étanche ma soif d’une cyprine abondante. Heureusement que ça ne tache pas trop ! Son corps ondule comme un serpent, s’ouvrant ainsi d’avantage à mes caresses.
Je continue de préparer le chemin, (les ?). J’alèse, elle est comme folle et jouit encore. C’est une vraie fontaine, cette poufiasse ! Elle ne sait plus où elle en est, je fais sortir Popaul qui commence à remuer dans les brancards à l’étroit dans mon pantalon, ma queue se glisse dans cet antre à l’humidité tropicale et je la baise gaillardement.

-Oh Patrick ! Que vous êtes gros ! Quelle queue vous avez !!!
Mon pouce accompagne le pistonnage dans son petit trou. Comme je n’ai pas toute la nuit, un léger dérapage contrôlé et mon gland s’égard contre sa pastille. Je pousse, pour faciliter l’intromission, elle écarte les fesses de ses mains et la tête de mon nœud disparait dans ce boyau étroit. Elle ne proteste même pas. Doucement, il progresse encore et encore jusqu’à ce qu’elle soit embrochée jusqu’à la garde de mes couilles.
- je suis une femme chaude mais tu es un des rares à être passé par là. Oh putain que t’es gros ! Mes aïeux ce que je déguste !

Un compliment, ça ne fait pas de mal. Je la pistonne comme un post-ado pressé. Elle va garder un souvenir inoubliable de ce moment, bon mais douloureux, elle risque de marcher en crabe le reste de la soirée. Je me sens à l’étroit dans ce petit conduit, sa main s’égare entre ses cuisses pour caresser sa chatte et elle ne tarde pas à jouir encore avec ma queue dans son cul. Encore plus vicieuse que sa fille ! J’accélère mes poussées de plus en plus fortes, de plus en plus vite et finis par cracher mon plaisir dans le cul de la belle Sylvie qui lance un cri dans la nuit, heureusement que le parking est désert !!!
C’était bon et peut-être un peu rapide mais il faut savoir s’adapter. Pour qu’elle ne tache pas sa robe, je lui retire complètement sa petite culotte pour m’en servir comme sopalin, j’en profite aussi après avoir récupérer ce que j’ai pu de son petit trou à me dégraisser le tuyau sous son regard plein de gratitude. Nous remettons un peu d’ordre dans nos tenues de fête et regagnons la salle des fêtes. La petite culotte finissant dans la poubelle de la cuisine. Elle finira la nuit les fesses à l’air.
Je reste en retrait, laissant Jade à mon fils mais je vois bien qu’elle me jette des œillades meurtrières. Se doute-elle de quelque chose ? J’espère qu’elle va se calmer maintenant qu’elle a juré fidélité à Damien. Elle est resplendissante, mais dans les cinq minutes qui suivent, elle arrive à me coincer et j’ai droit à une vraie scène de ménage.

-Espèce de salaud vicelard ! Je suis sûre que tu viens de baiser ma mère ! J’ai bien vu son manège et remarqué votre absence tout à l’heure.
-Euh Jade… C’est ton mariage et c’est Damien qui devrait être dans tes pensées et non moi.
-Arrête !!! Ah ta renommée n’est pas usurpée. Dès qu’un cul se présente, il faut que tu y trempes ta queue !
- Mais Jade, tu ne voudrais quand même pas tromper Damien le jour de ton mariage ?
-C’est moi que ça regarde ! Invite-moi à danser.

Nous voilà sur la piste, sous le sourire complice des invités devant cette scène touchante du beau-père et sa bru qui virevoltent. Les flashs crépitent et même mon fils y va de ses photos. Mais ça n’empêche-pas Jade de frotter son ventre contre le mien pour voir si elle arrive à me chauffer. J’ai une vue plongeante sur un décolleté vertigineux. Mais elle réattaque :
- Vous étiez ou ?
-Dans le parking.
-J’ai trop envie de ta queue. Oh Patrick, il faut que tu me baises…
-Mais… Je ne peux pas ! Pas aujourd’hui dans ta robe de mariée !
-Si ou je fais un scandale. Attends que je te fasse signe.
Une demi-heure plus tard, virevoltant d’un groupe à l’autre, elle vient près de moi, en pleine conversation avec de parfaits inconnus du coté de sa famille.
-Dans dix minutes dans le local du fond !
Que faire d’autre que de lui obéir ? À peine j’ai franchi la porte qu’elle donne un tour de clé.
-Prends-moi à la hussarde, vite !

Je retrousse sa robe, sort ma verge prête à la saillie et la soulève comme une plume pour la coller contre le mur. Elle me regarde, heureuse quand je la pénètre. Que ce passe-t-il dans sa tête ? Pourquoi veut-elle se taper un homme à la quarantaine passée, qui plus est, le père de son mari ?
Pourtant, elle se donne totalement à moi, le soir de ses noces ! Je sens ses cuisses qui s’ouvrent toutes grandes, un soupir s’exhalant de ses lèvres que ma langue goûte. Son bassin ondule sous mes poussées, sa main presse ma tête contre la sienne. La voilà partie dans un tourbillon qui s’achève dans une plainte orgasmique… La voila qui explose, son sexe remplit de spasmes autour de ma queue épaisse, mes mains enserrent ses reins et je la matraque de coups de bite jusqu’à ce que nous explosions dans un plaisir partagé et violent.
Longtemps je reste en elle, je la sens contracter ses muscles vaginaux qui pressurent ma lance qui ne veut décidément plus débander.
On se rend présentable et regagnons l’un après l’autre la salle où la piste de danse est quasiment pleine. Notre aparté n’a pas l’air d’avoir été remarquée.
Ma femme me demande quand même :

-Mais qu’est-ce que tu fais ? C’est la deuxième fois de la soirée que tu disparais ?
Que lui répondre ?
-J’ai eu un coup de barre et je suis allé prendre le frais sur le parking, je me suis même assoupi tout à l’heure dans la voiture. (J’espère que vous ne me trahirez-pas, hein ?)

A suivre.

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