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Loïc (2/2) L'Initiation

Suite et fin de l'initiation d'un petit puceau rondouillard, qui par timidité ne connut le plaisir du sexe qu'à l'âge de 21 ans. Plaisirs nocturnes et jouissances au programme de cette leçon très particuliere.

Proposée le 14/10/2019 par artaban

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Thème: Première fois
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Tandis qu’il tenait mon sexe bien serré dans sa main, je passai la mienne dans mon dos pour tenter d’attraper ce fichu robinet et couper l’arrivée de l’eau. A force de me tripoter intensément, ce garçon pourtant vierge, allait finir par venir à bout de ma résistance et avoir raison de moi. Ce n’était pas tolérable ! Je ne savais pas ce qui me désarçonnait le plus, regarder ce corps d’à peine plus de vingt ans, nu sous la douche avec moi, ou savoir qu’il était encore vierge à 21 ans.

- Maintenant, lui dis-je, si tu le veux bien, nous allons passer aux choses plus sérieuses, à la découverte de ton plaisir.

- Oui, me répondit-il d’une voix encore mal assurée, on y va !

Nous sortîmes nus comme des vers de sous la douche et je commençai à essuyer son corps lascif et enrobé, débutant comme toujours par le dos et les épaules, descendant progressivement vers les attributs du plaisir. Quand il se retourna face à moi, nos deux pénis étaient encore bien raides et ne semblaient toujours pas vouloir baisser la tête. Tout le temps que dura l’essuyage, ils s’entrechoquaient amicalement, comme autant de duellistes se livrant un combat sans merci, lui, entrant dans le jeu, avançant un peu le bassin, se prêtant de bonne grâce à ce petit divertissement. Les glands se frottaient doucement, passant l’un en dessous de l’autre, reliés par ce mince filet de bave qui trahissait notre excitation mutuelle. Il comprenait vite le sens des petits jeux intimes, souriant et riant d’un plaisir nouveau, d’un plaisir libéré de toute entrave. Enfin, il osa se saisir des deux à la fois, les serrant l’un contre l’autre, écrasant les glands ensemble, sublime sensation partagée d’un seul et même geste pour deux.

- Alors, tu vois ? Lui dis-je, tu commences à t’enhardir un peu, c’est bien.

- C’est agréable, me répondit-il, c’est plus le fait de pouvoir le faire, que les sensations que ça procure.

- Pour les sensations, ne t’inquiète pas, on va voir ça là-haut. Tu verras, c’est pareil, les gestes viennent d’eux-mêmes. En attendant, serre-les plus fort l’un contre l’autre.

Loïc s’exécuta, saisit entre ses doigts nos deux verges durcies au comble de leur tension, et pressa si fortement, que les glands se gonflèrent encore et encore un peu plus, s’octroyant un surcroit de volume qui n’avait rien d’illusoire ou de trompe-l’œil. Des perles huileuses et cristallines suintèrent de leurs orifices comme les larmes de l’œil d’un cyclope, lubrifiants ces deux champignons qu’une taille homogène aurait pu faire paraître pour frères. Nous mêlâmes nos sécrétions intimes, comme l’on fait avec les jus des cépages pour composer des grands vins. Il y avait quelque chose d’œnologique dans cette pratique enivrante.

- Maintenant des vas-et-viens ! Frotte-les en les serrant toujours très fort !

Après quelques mouvements, nous gémissions si fort, qu’il était temps d’arrêter ces petits jeux certainement pas innocents. Loïc s’enroula autour de la taille la première serviette qu’il trouva, bien trop petite pour lui, tant et si bien qu’elle dévoilait derrière la fente majestueuse de ses fesses tout juste velues. Quand nous montâmes l’escalier, lui devant, moi plus bas, j’avais sous les yeux ce sillon magnétique et magnifique qui m’éblouissait la vue.

Ma position dans l’escalier, me permettait en montant d’admirer ses fesses encore humides. Quand il levait une jambe, je les voyais se frotter mollement mais complaisamment l’une contre l’autre, ondulant et se déformant comme de la gélatine, mais sans excès, dansant presque à hauteur de mon nez. Bientôt je pourrais jouer de tout mon saoul avec ! Il était encore suffisamment jeune pour que la peau soit bien tendue, et son embonpoint devenait un atout callipyge si bandant, tant elles étaient jolies et bien dodues. Imaginez deux beaux ballons, bien ronds, bien en chair qui se levaient et s’abaissaient à tour de rôle. Quand j’étais à Houston pour mes études, je me souviens que mes amis texans appelaient ceux des filles qui leur ressemblaient, des bubble-butts, des « culs-bulles », ce qui voulait tout dire. Malgré ses cuisses plantureuses, je voyais par derrière une très belle paire de couilles généreuse qui pendouillait entre ses jambes, telle un gros battant de cloche. Quand je disais que le meilleur moment, c’était quand on montait l’escalier ! Je ne croyais pas si bien dire ! Ces deux grosses billes oblongues, poilues et joufflues, s’entrechoquaient avec douceur, se mouvaient dans leur petit sac de cuir bruni aux stries épaisses, traversé en sa moitié de la petite cicatrice caractéristiques des garçons et recouvert des quelques poils épars, bien noirs et bien épais de la jeunesse. J’avais tellement envie de les attraper, de les tenir dans ma main, de les malaxer avec douceur dans ma bouche, que j’en salivais de bonheur et frémissait d’impatience. Moi je le suivais complètement nu, sans pudeur, quand lui avait encore besoin d’un semblant de dissimulation. Devant ce spectacle si érotique, je ne parvenais à débander, et à cet instant même, j’étais certain qu’un ou deux allers-retours auraient suffi à me faire craquer. Je me demandai dans quelle mesure ce garçon ne s’était pas pris au jeu, et faisait de cette montée des marches, un divertissement délibéré et hypocrite rien que pour moi. Il apprenait vite l’animal !

J’avais tout préparé dans la chambre, pour que ce moment resta pour lui un bon souvenir, à défaut d’être inoubliable, même si je pensais que de bien meilleurs l’attendraient encore dans sa vie, du moins je le lui souhaitais sincèrement. Les draps étaient parfumés, il y avait la petite musique zen aux bruits d’eau, de l’huile d’amandes douces pour son petit jouet, pour moi, je ne demandais rien. Mon plaisir, je le plaçais dans mon ambition de le mener avec succès jusqu’à l’orgasme, son premier véritable orgasme extérieur. C’était ça mon pied ! Il n’y avait rien de plus beau que le bonheur de voir jouir un garçon pour la première fois.

- Tu vas garder ta serviette tout le temps ? Lui demandais-je quand nous fûmes arrivés.

Il se décida enfin à la poser sur une chaise. Le voilà de nouveau à poil et gêné. C’est ce qui me plaisait dans les petits puceaux sur le tard, ils considéraient toujours comme un handicap (tout comme leurs détracteurs qui se moquaient d’eux), le fait de n’avoir jamais expérimenté la Chose, alors qu’au contraire, c’était d’autant plus un instant sublime, qu’il s’était fait attendre plus longtemps. Face à moi, il était encore bien dressé, sabre au clair, le gland bien décalotté, prêt à lancer une charge, ou plutôt une décharge qui resterait dans les anales !

Je m’approchais de lui. Il se tenait debout sans bouger, son corps de petit gros si délicieux, rebondi et replet, sa peau jeune et satinée, tout cela à portée de mes mains ! Comme j’aurais voulu encore avoir son âge pour qu’il se sentît plus à l’aise, ou peut-être pour que nous envisagions un bout de chemin ensemble, pourquoi pas une vie ? Mais voilà, j’en avais un peu moins du double. Cela aurait été inconvenant.

Mes bras enlacèrent sa taille, se calant entre deux bourrelets, déposant de-ci, de-là, des petits baisers tendres sur cette peau velouté, ses épaules, son cou, des petits bisous sur les lèvres, sans que cette folle de langue ne vienne tout gâcher. Je frottai mes lèvres contre les siennes, les attrapant, tandis que bien malgré nous, nos pénis semblaient faire de même en menant une vie indépendante de notre volonté, quelque part tout en bas.

Loïc me regardait droit dans les yeux, comme hypnotisé, et enfin il osa ce qu’il était venu chercher. Le plat de sa main parcourait ma poitrine, fouillant dans la toison qui la couvrait, la caressant avec dextérité et concupiscence, avec gourmandise oserais-je dire. Je le laissai faire, le laissai découvrir tactilement le corps d’un homme, la poitrine d’un homme, puis le ventre d’un homme, mes poils pubiens. Il semblait libéré du fardeau de son embonpoint et de son apparence, car nous étions seuls, et je me foutais bien de ça, en fait non, j’y étais sensible, voire pressé à mon tour de le dévorer, mais pour l’heure, c’était son moment de découverte et d’exploration, Christophe Colomb dans le Nouveau Monde, Marco Polo en Chine, l’expédition Marchand ouvrant une nouvelle route vers Fachoda ! La prise de cette dernière, elle, fut saisissante : Loïc attrapa mon sexe, toujours en me regardant dans les yeux, un regard aux anges qui semblait me dire « merci de me libérer ».

Maladroitement, il me masturba, un peu trop rapidement sans doute, sa main glissant sur mon gland sans le recalotter, parfois brutalement et même bruyamment, comme l’on boit trop goulument quand on crève de soif dans le désert. Je pris sur moi, et tant que le geste fût supportable, je le laissai faire, même si je ressentais un peu d’échauffement malgré les abondantes sécrétions qu’il avait fait surgir en montant l’escalier. Pour me ménager diplomatiquement une petite pause, je lui lançai :

- Veux-tu me sucer ?

- Oh oui ! Me répondit-il

- Eh bien vas-y ! Mais fais attention avec les dents ! Tout le secret d’une fellation réussie réside dans le travail de tes lèvres et de ta langue et de ne pas blesser accidentellement.

Loïc s’agenouilla sur le lit face à moi, et enfourna goulument mon gland dans sa grande bouche. Visiblement, il avait compris le message. Sans être extraordinaire, j’avoue qu’il ne se débrouillait pas trop mal l’animal, l’avalant le plus profondément possible ! Je lui prodiguai quelques conseils sur les zones à léchouiller, le dessus du gland, le frein et le méat, conseils qu’il mit immédiatement en pratique, voulant bien faire, récitant sa leçon bien assimilée. Je dois avouer qu’il était bon élève et méritait ses bons points ! C’était si agréable que je devais faire des efforts malgré tout pour ne pas perdre le contrôle. Pendant qu’il s’activait à sa besogne, mes mains voyageaient dans ses cheveux, lui tenant la tête pour accompagner son mouvement. Je le caressais, descendant parfois en me penchant jusqu’au creux de ses fesses.

Quand je sentis que je ne pouvais plus tenir :

- A mon tour maintenant, lui lançai-je, allonge-toi !

Loïc s’étala sur le dos, son petit pieu luisant dressé comme un totem vers le ciel, en attendant d’atteindre le Septième. J’avais enfin pour moi et moi seul, ce petit corps grassouillet de chérubin. Avec douceur, je soulevai et écartai ses cuisses potelées pour me placer à genoux juste entre les deux, puis je les reposai par-dessus les miennes. De cette manière, j’étais plus près de son corps et de ses parties génitales. Mes mains ne cessaient de caresser ses larges cuisses, allant et venant, les pouces écartés jusqu’à sa taille. Avec ce mouvement, les extrémités de mes doigts accrochaient le bas de son sexe, l’entraînant en arrière avant qu’il ne revienne en place de lui-même, comme le gros ressort de Zébulon. Ainsi lui baptisai-je le sexe. Zébulon ! Ça lui collait à merveille !

Dieu qu’il me semblait dur et excité avec cette grosse veine bleue qui le longeait ! Son gland était aussi gros et épais que le mien, et même s’il semblait un peu plus court sous la faible lumière de la lampe d’ambiance, cela ne voulait pas dire qu’il était plus petit, non, simplement son embonpoint en masquait une partie. Les doigts de ma main gauche pénétrèrent dans la petite forêt noire, y trouvant matière à s’amuser, non seulement avec ses poils abondants et revêches qui partaient dans tous les sens, mais aussi avec ce petit bourrelet pubien qu’ils camouflaient. A ses réactions et ses petits sursauts chaque fois que j’effleurais son pénis, il aurait fallu être niais, pour ne pas comprendre qu’il n’avait pas l’habitude d’être manipulé. Cela ne semblait pas trop le déranger, bien au contraire : ses deux gros testicules qui pendouillaient bien ostensiblement dessous, allaient et venaient, gigotaient tous seuls dans leur petite aumônière de peau sombre, si sensible. Tout vient à point à qui sait attendre, et leur tour viendrait aussi.

Tandis que je jouais toujours avec ses poils, mon autre main suivit la piste dessinée par la cicatrice des mâles, et s’enfonça tout doucement, mais avec une grande impudeur entre ses fesses, pour atteindre enfin ce petit anus mystérieux et encore humide de la douche que nous avions prise. Dire que personne ne l’avait plus visité depuis son enfance et les thermomètres ou les suppos qu’on y enfonçait ! Qu’il devait trouver le temps long durant toute cette solitude contrainte ! Qu’il était loin le plaisir quand on lui enfonçait délicatement quelque chose par cet orifice ! Quand je parvins à le toucher de mon doigt lui aussi humide, je surpris ses testicules en plein délit de fuite, tentant de se dissimuler dans ce corps adipeux, mais j’eus le temps de les saisir délicatement comme pour les retenir, les faisant rouler avec douceur dans ma main.

Je me penchai sur le problème et les enfournai tout de go dans ma bouche, les faisant rouler précautionneusement sous ma langue, les engluant de salive pour qu’ils glissent encore plus facilement. Sa bourse se détendit sous l’effet de la chaleur buccale, rendant les petits œufs encore plus sensibles. Loïc lâcha de nouveau des petits râles de plaisir, le signal que j’attendais. Je sentis s’échauffer sous mes mains, la peau douce et veloutée de son corps tout entier. La pression montait. Elles glissaient maintenant sur sa petite bedaine, caressant et malaxant ses bourrelets souples et malléables à l’envie, comme une pâte à pain onctueuse et délicieuses que l’on pétrit. Moi qui avais déjà pas mal vécu, je découvrais tout l’érotisme qui sommeillait dans ce petit gros, fouillant de mon doigt son petit cratère ombilical, ne pouvant résister au désir de saisir à pleine poignée ses deux petits seins de mâle en forme de poire, qui reposaient sur le bas de sa poitrine. Sous le frottement de mes pouces, les deux tétons érectiles durcissaient, durcissaient, prenant encore du volume, plus qu’il n’en fallait. Quand ils le furent assez, j’alternai les petits pincements et le sussotage entre mes lèvres. Il adorait, moi aussi, le beurre, l’argent du beurre, la crémière et le cul du crémier en même temps !

Plus je malaxais ce corps, plus il me semblait que je passais un examen de Boulangerie, pétrissant et repétrissant cette pâte épaisse et abondante, gluante sans coller, douce et chaude, satinée au touché. Je ne savais plus où donner de la tête. En fait si ! Je me penchai un petit peu en avant, et ma bouche enfourna ce gros gland qui n’avait pas encore été servi.

- Ahhh ! C’est trop fort ! C’est trop fort, hurla-t-il ! Tandis que ma langue voyageait sur son gland lisse et huileux, plaqué contre mon palais.

En le léchant, j’en sentis toute la délicatesse et la perfection, et chaque mordillement, chaque léchouille, le faisait se cabrer sur le lit. Il se soulevait avec une étonnante souplesse, son popotin quittant le contact du matelas. Je calais avec prudence mes dents derrière la couronne, juste pour le bloquer, tandis que ma langue se déplaçait sans titre de transport de la station « méat » à la station « frein ». Dans le même temps, mon index investissait la place forte par la poterne, la petite porte dérobée de derrière, fouillait dans cette petite part d’intime secret qu’il recélait encore, dont il découvrait les infinis plaisirs exotiques et inconnus, le petit chemin boueux de derrière, qu’on a tous enfoui au plus profond de nos désirs secrets les plus inavouables et honteux. C’était chaud et si doux dedans. Lui se contorsionnait de plaisir. Je perçus même quelques larmes qui commençaient à s’écouler de ses yeux. Il pleurait un peu Loïc et ce n’était pas de la tristesse.

De longues minutes durant, je le torturais ainsi, lui convulsant sur le lit, et moi savourant le doux plaisir de le soumettre à la Question tel Torquemada durant l’Inquisition :

- Avoue ! Avoue que tu aimes ! Avoue, Avoue que tu es un sodomite indélicat !

De temps en temps, nous faisions relâche, pour ne pas qu’il exulte trop tôt. Alors, à genoux sur le lit, je m’approchai de sa tête et lui tendait mon pénis bien dur, bien rouge, qu’il engloutissait toujours aussi goulument, suçant maladroitement le gland le débarrassant de tous les fluides essentiels dont il se couvrait pendant la séance.

Puis je le plaçai sur le ventre, écartant ses grosses fesses et léchant à mon tour ce petit trou tout ridé, véritable entonnoir à plaisirs. Lui voulu faire de même, alors je me présentai idéalement au-dessus de sa bouche, et sa langue gourmande venait faire le reste. Je demandais grâce ! C’était trop bon de se faire labourer l’anus par ce petit puceau débridé, shooté au sexe !

Je retournai ensuite au labeur, pour retravailler au corps ce petit rondouillard, avec lequel je n’en avais pas encore terminé. Quand je me lassai enfin de l’amuse-bouche, je pris le petit flacon de verre qui contenait l’huile d’amande douce, et j’en vidai goutte à goutte le contenu sur l’extrémité de son palis bien droit. J’en fis d’abord tomber quelques-unes bien visqueuses et parfumées sur son méat, que j’étalai sur toute l’extrémité de son gland avec le bout de mon index, effleurant à peine la petite fente sensible et délicate. Le faible contact de ce doigt sur la muqueuse, exacerba son plaisir, concentrant toutes les sensations sur quelques millimètres-carrés.

De quelques gouttes, nous passâmes ensuite à un filet qui recouvrit joyeusement l’intégralité du gland, que je commençai à masser du bout des doigts, insistant sur le dessus, la partie la plus sensible du casque. Son pénis se redressait, donnait des secousses violentes comme s’il allait éjaculer, simple réflexe. Il geignait, serrait les poings, la tête en arrière, les yeux presque révulsés, me suppliant d’arrêter, prêt à déposer les armes tout en me demandant de continuer. Les veines de son sexe se gorgeaient de sang, je les sentis tellement durcir sous ma main !

Tant pis s’il éclatait, je saisis son pénis dans ma main droite abondamment enduite d’huile, tandis que mon autre index s’enfonça dans son petit anus qui se resserrait sur lui à la manière d’une inoffensive guillotine. Je commençai une lente masturbation, dont le lent mouvement de descente durait bien quelques secondes, tout en pénétrant mon index au même rythme. Quand j’amorçais le mouvement inverse, l’index faisait de même et ressortait. Loïc n’en pouvait plus, il pleurait de jouissance à chaudes larmes en criant :

- N’arrête pas ! N’arrête pas ! Et pleurait encore et encore.

Les bruits qu’il émettait ne ressemblait à rien, peut-être à ceux de quelqu’un qui n’arrivait plus à respirer. Quand mon doigt ressortait, j’en profitais pour reverser un peu d’huile sur le gland, puis je recommençai le mouvement, accélérant de temps en temps, ralentissant quand il le fallait.

Me disant qu’il serait trop bête de ne pas en profiter aussi, je me plaçai à califourchon au-dessus de lui, pour que mon sexe soit juste au-dessus de son visage, et que tous deux nous puissions jouir de ce moment. Loïc comprit tout de suite la manœuvre, et dans un mouvement coordonné et rythmé, mon doigt s’enfonçait, ma main glissait, et sa bouche me léchait goulument tantôt le sexe, tantôt les couilles !

Il ramassa le flacon d’huile et s’enduisit le doigt pour partir lui aussi en exploration intérieure, n’hésitant pas un seul instant pour me pénétrer à son tour de son gros index, faisant enfin sauter ses derniers tabous et le dernier verrou !

Au bout de quelques minutes de ce traitement, il était prêt à expulser sa semence. Pourtant, il se mit à quatre pattes, et me dit simplement :

- Vas-y ! En m’offrant les fesses bien écartées, cet anus plus ouvert que la Porte des Etoiles, dont la virginité ne serait bientôt plus qu’un lointain souvenir.

- Tu es sûr ?

- Oui, enfonce-le-moi !

J’approchai mon gland de cet orifice tout glissant, que je n’eus aucun mal à pénétrer, tellement la route était glissante. Lui criait de plaisir.

- Ahhhhhh ! C’est bon !!! Gémissait-il, encore, plus profond !

J’étais déjà au maximum.

- Tape-moi sur les fesses ! S’il te plaît ! Tape-moi sur les fesses !

D’un coup sec, je giflais ses deux fesses moelleuses qui réagissait comme de la gélatine, ondulant en petites vagues. A chaque coup de boutoir, une fessée partait, lui gémissait et moi, eh bien moi je finis par jouir dans ce garçon.

Quand plus rien ne sortit, à mon tour faisant fis de ma dignité, je me mis à quatre pattes, ce que je ne faisais jamais d’ordinaire, lui présentant ma croupe, et m’offrit grand ouvert à ce garçon qui trouva l’entrée sans hésitation. Son gros pénis me pénétra lentement pour ne pas me faire mal pour une fois. A peine eût-il franchi la porte, qu’au bout de deux allers-retours, il se vida dans un cri de puceau qui jetait sa gourme aux oubliettes.

Quand il eut fini, je le reconduisis chez lui dans la banlieue d'Amiens, tout aussi discrètement qu’il était venu. Je n’eus qu’un maigre merci pour le service et le plaisir rendus.

Dans sa grande ingratitude pour ce moment, il me tourna le dos du jour au lendemain, et changea complètement de comportement pour courir d’autres garçons de son âge. Plus jamais il ne daigna me revoir, ni même m’envoyer un petit texto. Plus jamais il ne revint travailler chez nous. Zébulon faisait maintenant le bonheur des autres.

Un jour pourtant, je le croisai au détour d’un rond-point en ville, tout au plus daigna-t-il me lancer un petit sourire, et même me faire un petit signe de la main, bien fier au volant de sa petite auto rouge.

Je découvris sur Facebook qu’il figurait au nombre des premiers mariages gays de la région, et semblait aujourd’hui heureux avec son mari et leur petit chien. Grand bien lui fasse ! Mon seul contentement, car il en faut un, c’est qu’au moins lui semblait avoir trouvé l’équilibre d’une petite vie familiale qu’il avait longtemps refoulée.

Quinze ans après, je découvris une photo du petit rondouillet qui avait doublé de volume et s'était couvert de piercing. Il y avait au moins une justice ! Oui je sais, ce n’est ni glorieux, ni un noble sentiment, mais l’ingratitude et l’oubli non plus.

Même les plus beaux sourires cachent des dents !

Merci pour ce moment en quelque sorte !

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Commentaires de l'histoire :

Ratagnasse
Et pourquoi ne pas terminer une histoire au moment le plus chaud, terminer l'histoire juste après le rebondissement le plus allèchant, le plus excitant. Laisser à l'imagination du lecteur, le soin de conclure ? Celà dit le récit est très agréable à lire, riches en détails, il alimente tous mes phantasmes. Belle écriture monsieur " Artaban "
Posté le 29/04/2023

Ratagnasse
Et pourquoi ne pas terminer une histoire au moment le plus chaud, terminer l'histoire juste après le rebondissement le plus allèchant, le plus excitant. Laisser à l'imagination du lecteur, le soin de conclure ? Celà dit le récit est très agréable à lire, riches en détails, il alimente tous mes phantasmes. Belle écriture monsieur " Artaban "
Posté le 29/04/2023


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