Histoire Erotique

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Quand le lion est à terre on ne manque pas de braves pour lui tirer la crinière.

Après de longues années de deuil je suis de nouveau amoureux... Un beau petit mec de 10 ans mon cadet, une bombe... Un vrai petit fauve!

Proposée le 1/10/2019 par Pakedublabla

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Couple, passion
Personnages: HH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


J'ai 34 ans déjà .. Je viens de passer presque 10 années en jachère, en errance, éperdument malheureux et toujours en deuil de mon amour pour toi Valentin (voir le récit « il m'a déboussolé » partie 1 et 2  pour comprendre)...

Plus rien ne m’intéressait, plus rien ni personne, ni les filles et encore moins les garçons ! J'aurais eu le coupable sentiment de te trahir, je vais encore tout les trimestres sur ta tombe en Alsace, changer les fleurs et pleurer comme un couillon en regardant dans le vide cette plaque de marbre noir qui dissimule … Bref, tu es là et moi aussi en quelque sorte, j'y suis avec toi !

Et c'est toi , j'en suis sûr, qui vient à mon secours... Quelque part depuis les limbes tu m'épaules, tu me prends par la main. En décembre un peu avant Noël je suis revenu dans ce cimetière et je t'ai promis de me sortir de l'enfer dans lequel je me suis enfermé tout seul, mais sans convictions. Juste une promesse pour continuer, pour avancer, pour tenir ! La pluie glaciale qui s'abattait sur mes larmes fût ta bénédiction...

L'automne pointe maintenant son nez avec son cortège de couleurs et cette palette de rouge et de pourpre que tu aimais tant et que je contemple maintenant depuis presque une décennie avec nostalgie, mais en cette année 2019, l'automne ressemble au printemps. Il faut que je te le dise, je suis tombé amoureux !

En début d'année je suis allé avec Claire visiter une expo dans une galerie, un photographe dont j'ignorais le nom avait invité les huiles locales à un vernissage, du coup, Claire qui avait reçu le carton me proposa de l'accompagner... Tu sais bien qu'elle me traîne toujours dans ses ballades ! Elle se sent responsable de moi ! Bref, j'ai beau lui dire que je n'ai plus quinze ans c'est toujours ma grande sœur ! Nous voilà donc à cette expo...

Les photos sont belles, elles t'auraient plu j'en suis sûr ! Des beaux paysages , des couchers de soleil flamboyants, des cascades figées, quelques noisettes sur un vieux mur de pierres sèches , là une vache vosgienne qui semble mâchouiller un chewing-gum imaginaire... Je suis en train de rêver quand un jeune mec m'aborde avec un grand sourire . - Ça vous plaît, me dit-il ?

Évidemment que ça me plaît, mais je m'enquière d'abord de mon interlocuteur : - C'est vous le photographe ? - Oui c'est moi ! Je m'appelle Maxime !

Ma foi, je ne m'attendais pas à tomber sur un « gamin » il a l'air d'être à peine sorti de l'adolescence ! Bon j'exagère ! Mais le fait qu'il ait l'air si jeune détone assez avec les œuvres plus matures qu'il présente. Et puis, il est tout petit ce qui accentue encore cette sensation ! Il est beau mais, il mesure 1m 65 à tout casser ! Mais putain il est beau ! Des belles boucles brunes comme un mioche vénitien , des grands yeux bleus , un petit nez mignon et de belles lèvres épaisses qui dissimulent rarement un fort joli sourire agrémenté de deux canines presque carnassières, le détail qui tue ! le tout planté dans un visage carré très viril et légèrement parcheminé d'une barbe naissante et bien entretenue. Pour ne rien gâcher (et tu sais que ça ne m'échappe pas) , il a sur le dos un petit tee-shirt ultra moulant qui laisse deviner une belle silhouette musclée, un jean déchiré comme si il venait de se battre avec la bête du Gévaudan et une paire de baskets un peu trop voyantes à mon goût, mais bon c'est la mode des « d'jeun' s ».

Je vous félicite vous avez du talent, j'en profite pour lui adresser mon plus charmant sourire, moi c'est Lucas, enchanté !...
Je vous laisse regarder il y a encore une salle, me répond t-il, mais rejoignez-moi après je serais heureux de vous offrir un verre !

Il me plante là , sans plus de formalités et je vois ce petit cul sautiller jusqu'à l'invité suivant avec une impudence manifeste !

Bon, passons à la salle suivante ! J'entre et je retrouve Marie en pleine conversation avec une copine, elles gloussent à souhait devant une immense photo en noir et blanc d'un mec à croupie la tête inclinée sur des avants-bras tatoués et bien musclés, le tout entièrement à poils ! Je conçois aisément pourquoi elles ricanent, le mec en question est superbement bien foutu et une partie de la photo, au niveau du visage, est cernée d'un rectangle... Le visage ressort en couleur, un œil maquillé de noir laisse couler une grosse larme rouge... C'est pour le moins original !

Tu le reconnais me dit ma sœur ?
Euh... Non, c'est qui ?
Ben enfin ! Regardes !
Bah, non désolé, je ne le connais pas et puis d'ailleurs pourquoi est ce que je le connaîtrais ?
Mais t'es vraiment un grand nigaud de première toi ! C'est Max !
??? … C'est qui Max ?
T'es con ou quoi ? Me rétorque t-elle !! - C'est le mec à qui tu viens de parler, c'est le photographe !

Ouhlà... Maxime/ Max, ok je suis dans la lune ! Mais bon avec le maquillage et ce contraste couleur-noir-blanc, c'est pas évident ! Ok, ok j'ai mis quelques secondes à faire le lien entre ce petit mec mignon qui me parlait deux minutes plus tôt et cette photo titanesque, ce corps d'athlète imprimé en grand format... Donc en plus d'être photographe il pose aussi pour les autres pensais-je ! Purée me dis-je, si c'est lui il est méchamment bien balancé, y a rien à jeter ! Des abdominaux superbement dessinés, des hanches fines et étroites, des belles cuisses musclées et velues, des épaules larges et rondes un torse rasé et des beaux pectoraux imberbes... Bref, un coup à vous empêcher de dormir la nuit !

Du coup mon intérêt est piqué au vif, j'incite ma frangine et sa pote à se diriger vers le buffet ! Elles ont l'air médusées par tant de précipitation ! Du coup je me sens obligé d'ajouter un « - Je meurs de soif !! » pour accélérer le mouvement !

Eh merde ! Le beau brun est occupé à sa promo avec d'autres invités, je tente une approche de biais... Impossible ! Le maire du patelin se tape l'incruste et une journaleuse le talonne de près... Je me rabats finalement sur les toasts au saumon ! Après avoir bu un troisième verre de champagne dégueulasse, je finis par abandonner l'idée de lui parler, après tout son sourire, même ravageur, n'avait rien d'une invitation à une partie de jambes en l'air et de surcroît j'ai autant envie d'un plan cul que d'une quatrième coupes ! Je me dirige vers Claire et lui glisse à l'oreille – on rentre ?...

Ok, on rentre me dit-elle, le temps de faire la bise à ma copine et on y va !
D'accord, je prends mon manteau aux vestiaires et on se retrouve dehors, en plus il fait une chaleur à mourir dans cette salle !

Je souris niaisement à la serveuse qui me propose un autre verre – Non, merci, bonne soirée à vous ! Je tourne les talons et me dirige vers la sortie, je choppe mon manteau sur le portique et au moment où je m'apprête à l'enfiler je sens que quelqu'un m'aide pour passer la manche ... Je lance un machinal « merci » en pensant que c'est Claire qui m'a rattrapé... Que nenni ! C'est Maxime !

Encore merci de votre visite me lance t-il sans se départir de son sourire.
J'ai l'air un peu couillon, pardon, je croyais que c'était ma sœur... (Mais qu'est ce que je dit?)
Voici ma carte, si le cœur vous en dit, demain j'accroche les derniers portraits, je serais là dans la matinée, faute de vous avoir tenue compagnie ce soir, je vous offrirais un café avec plaisir.


Je reste un instant la bouche bée, le bristol entre les doigts, je me ressaisis et lui répond : - Oui, pourquoi pas demain vers 10h si ça vous convient ?
Pas de soucis je serais là, à demain alors ?!
Ok, à demain.

Je suis maintenant dehors, j'allume une cigarette que je fini par jeter après avoir tiré quelques bouffées, Claire agite déjà les clefs de sa voiture et me fait signe de monter... Elle me dépose sans oublier de me faire remarquer en roulant que « Max » ne l'a pas aidé à mettre son manteau ! - Ben oui et alors ? -Bah ! Rien mais toi t'y as eu droit me dit-elle en feignant à merveille la jalouse... Mais qu'est ce qu'elle insinue ?

Il me faudra toute la fin de la soirée pour passer à autre chose, je me couche enfin ! ... Le réveil se met à brailler ! J'ai l'impression d'avoir dormi 2 heures... Mais non il est déjà 8h !
Un bon café voilà ce qu'il me faut. J'avale la tasse en vitesse, je fonce sous la douche... Je m'habille, Je me refait un café ! Je me bave dessus, je farfouille dans la penderie pour trouver une autre chemise ! Allez c'est bon, j'y vais comme ça !

À 10h pétantes je suis devant la galerie, je me gare à l'arrache, je saute de la bagnole et me voilà prêt à mettre la main sur la poignée de l'entrée mais la porte s'ouvre... C'est Maxime, sourire de rigueur, petits crocs blancs vraiment charmants.

Bien dormi me dit-il ?
Je souris, oui bien sûr, et vous ? La soirée ne s'est pas terminée à point d'heure ?
Si, si j'ai quitté les lieux à minuit, un peu usant ces soirées, mais maintenant nous sommes tranquilles !
La rançon de la gloire ! Vous n'allez pas vous en plaindre, c'est bien d'avoir du succès !
Il sourit de plus belle et sa bouche s’entrouvre, fendue sur deux jolies fossettes il a vraiment des yeux sublimes d'un beau bleu clair.

Il me tient galamment la porte, que je franchis tandis que sa main accompagne mon dos avec une certaine application... Décidément il est bien prévenant ce petit mec ! Ou alors il tâte la marchandise ?

Je me retrouve dans la salle qui hier soir encore grouillait de monde, elle semble du coup bien plus grande et plus fraîche et surtout les photos que Maxime expose reprennent enfin tout l'espace. Il m'invite vers la partie droite de l'exposition pour me montrer les œuvres qu'il vient d'apporter et cette fois, plus de doute... Les portraits qu'il affiche le représentent bien.

Je le vois nu sous un sweet à capuche gris le corps et la tête basculé en arrière, la main droite enfoncée dans une poche qui étire son vêtement jusqu'à dissimuler ses parties intimes mais sans masquer totalement une aine griffée de veines saillantes, l'autre bras levé au ciel se referme sur un poing rageur.. Je vois les tatouages sur cet avant bras noueux comme le tronc d'un vieux chêne et le reste du tissu qu'il porte se relève comme un rideau de scène sur son torse et son ventre étirés... Il a beau ne pas être grand, c'est à n'en pas douter un sérieux sportif, je suis sous le charme.

Les autres photographies sont à l'avenant, tantôt vautré au sol dans un jeans, le torse nu appuyé sur un tabouret blanc un livre à la main, là une mine délicatement boudeuse, ici encore le corps posé contre un ponton au bord d'un lac une clope au bec, bref je m'interroge..

Vous êtes photographe, mais lorsque vous posez qui prend les photos ?
C'est le fruit d'une collaboration avec un autre artiste me répond t-il laconiquement
je n'insiste pas, la question semble le gêner... « En tout cas, elles sont réussies et le modèle est charmant », Je n'arrive pas à croire que ces mots viennent de sortir de ma bouche ! Mais c'est trop tard pour me rattraper aux branches... Il sourit à nouveau largement dans un « haha » forcé mais irrésistible, j'ai une furieuse envie de lui rouler une énorme pelle, là tout de suite !

Bien sûr je n'en ferais rien, c'est juste que... Il m'électrise ! Voilà c'est dit ! J'ai beau me raisonner, le fantasme l'emporte. Je suis en train de le draguer ouvertement alors même que j'ignore si mon attirance pour lui est partagée ! Pourtant une petite sensation de déjà vu me titille, je sais d'instinct que je ne le laisse pas indifférent. Sa manière de me regarder, ce sourire béat qu'il arbore, ses manières polies et trop attentionnées... etc ! Si ça se trouve il se pose les mêmes questions sur moi.

Nous finissons la visite des nouvelles œuvres et déjà plus d'une heure est passée et je n'ai toujours pas eu le café promis... J'ai bien envie de lui acheter une photo.

Je me décide, mais comme pour noyer le poisson ou inconsciemment par « protection » mon choix se porte sur un paysage, alors même que je crève d'envie de prendre cet immense portrait que j'ai vu hier soir... En même temps je me demande où je pourrais bien l'installer et surtout c'est un peu trop cher pour mes petits moyens ! Il est ravi et tout de go me propose de déjeuner avec lui dans une petite brasserie juste à côté ! « - Vous êtes mon invité » ajoute t-il ! Eh bien hors de question que je refuse !

Je passe les détails de ce premier repas, il est assit en face de moi, je ne rate rien de son visage, de ses expressions, puis la conversation dérive sur ses portraits de nus, je comprends qu'il soit bien foutu, il passe son temps à courir les forêts et les lacs de la région pour faire ses clichés, et lorsque qu'il ne galope pas dans les bois il va à la piscine, il adore courir aussi à la fraîche le matin... j'apprends qu'il vie seul et enfin, qu'il a rompu il y a quelques mois. Il me file sa page facebook, me donne son adresse et son numéro perso . De mon côté je lui explique mon métier de prof d'histoire de l'art, ma passion pour le dessin et la sculpture et je finis par parler enfin de toi... Je m'en bats les couilles de savoir si il est gay ou non je suis lancé... Il m'écoute sans dire un mot mais son joli sourire à disparût et son émotion n'a rien de feinte, il partage ma peine de toute évidence...

Je le quitte à 14h30 la tête embrumée par les quelques verres qui ont égrainés le repas. Sans autre sentiment que celui du soulagement, il est le premier mec à qui je me confie depuis toutes ses années, je suis sans doute débile, si ça s'trouve il va me fuir, mais c'est fait...

Il passera plusieurs jours avant qu'il ne me contacte par Messenger, un coucou accompagné d'un smiley « bouche en coeur » … C'est drôle et curieux, je réponds bien sûr, et l'écran qui me protège me fait écrire des choses que je n'aurais sans doute jamais dites de vive voix.

Dis-moi Maxime, ça te tenterais de poser pour moi, pour une séance de dessin ?
Haha ! Sans problème, j'adore me mettre nu...

La date est fixée ça sera mardi soir, rendez-vous chez moi vers 21h... Il vient, il se dessape sans aucune gêne, il pose... Il sourit, on papote de tout et de rien pendant que je couche sur le papier avec un crayon à mine sèche quelques croquis rapides. Même pas un coup de gomme, ça sort tout seul il est agréable à regarder et à « croquer » je m'attarde sur des détails, une belle bite une belle paires de balloches pendantes parfaitement rasées, des fesses magnifiquement rebondies et musclées... Mais rien ne se passe d'autre que ce que je fantasme et dessine. La fin de la séance approche, je ne veux pas lui en imposer d'avantage, il se rhabille avec des gestes calculés, les chaussettes d'abord, qu'il prend son temps de mettre une jambe repliée contre son ventre laissant ainsi son sexe bien en évidence, évidemment je mate... Ce n'est pas parce que je m'impose un régime que je ne peux pas regarder le menu, pensais-je ! Il semble ne marquer aucun intérêt pour moi autre que celui des résultats de mon travail, ça l'enchante et le laisse admiratif. Nous nous quitteront ce soir là par une bise sur la joue laissant la main que je lui tendais dans le vide, une bise délicate et tout en douceur pas un simple smack à la va-vite.

Il n'a pas atteint sa voiture que je sens ma queue collée à mon caleçon, j'ai clairement bavé dedans pendant un moment, je fourre la main dans mon jeans, effectivement je suis trempé... Allez hop à la douche !

Les rendez-vous dessins-apéros-repas et pas forcément dans cet ordre, vont se succéder, d'abord espacés de quelques semaines, puis de manière plus régulière au fils des mois... La complicité, l'amitié naissante, font que nous parlons beaucoup et je sais qu'il fréquente des filles... Mais ses amours semblent tous voués à l’échec ! Il en parle sans passion comme s'il s'agissait d'inconnues, jamais un prénom, même pas une description... Je sais qu'il a 24 ans, il ne les fait pas ! Il faudra attendre encore ce jour de juillet dernier pour que j'en découvre bien d'avantage !

Nous sommes maintenant le 9 juillet, les grandes vacances commencent bientôt pour moi, plus que quelques jours et j'aurais oublié la fac, les collègues et les étudiants... Comme tous les ans la Réunion m'attend, ces plages qui sans toi me semblent moins attrayantes ! Ses petits restos où je vais en « pèlerinage » choisissant la table où nous étions installés, les lagons où l'ont se baignait... Je pense à tout, mais pas à Max, je pense à toi surtout, j'ai oublié Max, son corps de rêve, sa bonne bouille de mâle juvénile, tout ça semble s'estomper dans la chaleur étouffante des journées caniculaires... Ça fait trois semaines que je n'ai pas de nouvelle de lui puisqu'il est parti dans le Sud voir sa famille. Mais vers 18h mon portable sonne... Je suis encore sur la route !

Salut Lucas, c'est Max ! Comment tu vas ?
Oh un revenant ! Oui je vais bien et toi ?
Je suis arrivé hier, tu es libre ce soir ?
Euh.. Oui, je n'ai rien de prévu !
Je peux passer vers quelle heure ?
Le temps que je rentre, que je me prenne une douche et que je prépare un petit casse-croûte, viens vers 20h on mangera sur la terrasse !
Ok je serais là, bises à tout à l'heure !

J'accélère ! la maison est un champs de ruine, j'ai pas fait le ménage depuis 3 jours, y a des fringues qui traînent partout, des dossiers pas rangés, des copies, des dessins ! Bref c'est le souk  jusque sur la terrasse et la tondeuse qui dort au milieu de la pelouse...

J'arrive, je range à la haut médiévale ! La vaisselle de la veille dans la machine.. Hop hop ! Un coup d'éponge par-ci par-là, un coup d'aspirateur... je fonce à la douche, j'en ressors illico je saute dans un short, je me mets à la cuisine... Salade verte, une quiche ça va pas traîner !

Il arrive comme prévu à 20h, nous passons à l'apéro, il me raconte en détail son séjour en famille, on se marre un peu sur les manies de son père et l'obsession de sa mère, je surenchéris avec mes parents qui ne sont guère moins étranges et nous buvons comme des trous ! Les rhums s'enchaînent à tel point que nous finissons la bouteille... Il sort un joint déjà préparé, je tire quelques taffes mais ce genre de truc ne me fait jamais du bien, effectivement après 10 minutes je commence à dire n'importe quoi, il est écroulé de rire ! La chaleur me fait suer comme une vache malgré la soirée qui s'avance. Je décide, je ne sais trop pourquoi, de retourner à la douche ! L'eau fraîche ne me réveille pas pour autant, je sors de là dans le plus simple appareil, il me voit depuis la terrasse son regard lève un sourcil sombre et sa bouche se fend d'un énorme sourire, ses deux canines de petit vampire bien en évidence... « - Putain mais où j'ai mis mon short ?? » ! Il se marre de plus belle et me répond « - Restes donc à poils c'est bien plus beau »...

Je me sens quand même un peu couillon la bite à l'air, et je lui fait comprendre que ça me gêne, je n'ai pas le temps d'en dire d'avantage que je le vois à son tour enlever ses fringues... Heureusement que je n'ai aucun voisins dans les environs ! Mais le fait est que maintenant qu'il est nu lui aussi je n'ai guère envie de faire ma mijaurée ! Allez une autre bouteille de rhum ! Deux verres plus tard je suis plus que chaud, j'ai un peu de mal à tenir mon équilibre et le pétard n'a pas arrangé les choses, j'ai la sensation de parler sans m'arrêter et de rire à tout bout de champs pour un rien... Bref, je suis stone !

La nuit s'installe enfin et la fraîcheur arrive, il était temps ! Quelques étoiles scintillent il ne fait pas encore nuit noire mais je commence à avoir du mal à le voir dans la pénombre, j'installe quelques bougies, il m'aide à débarrasser la table, je vois son petit cul danser à chaque pas et faut bien avouer que ça ne me laisse pas de marbre... Ça commence même à se remarquer vraiment !

Ben alors mon « lulu » qu'est ce qui te met dans cet état ?
Toi, banane ! (rire débile)
Mmm, je vois et je peux faire quelque chose pour te soulager ?
À toi de voir, je ne suis plus en mesure d'opérer la moindre résistance !

Ça ne tombe pas dans l'oreille d'un sourd, il s'avance et plus câlin que les anges du mal il m'enfourche, assis sur moi il passe ses bras autour de mon cou et s'approche avec une infinie lenteur, je bande, cette fois-ci pour de vrai ! Rien à voir avec la demi-molle de tout à l'heure, je sens sa bite contre mon ventre, dure comme une peine de prison, raide comme la justice ! Il m'embrasse enfin ! Sa langue est sucrée au rhum vanille, un délice, elle tourne et retourne lentement autour de la mienne, puis ses lèvres aspirent ma lèvre inférieure qu'il suçote comme un bonbon! Ses bras se referment et m'étreignent alors que mes mains lui choppent les fesses... Des petites fesses minuscules et un peu velues ! Elles tiennent dans mes paumes comme les seins d'une fille ! Sa queue commence à perler, je sens ce gel gluant me couler sur le ventre et lubrifier largement la zone de frottement, il semble bien plus membré que je ne l'imaginais au départ, une belle teub cambrée avec une belle tige bien régulière, mais ça je ne le verrais que dans un instant... Il me lèche le cou à présent ! Me mange le lobe de l'oreille je sens ses petites canines le mordiller ! Sa barbe me ratisse le creux de l'épaule, je frisonne de plaisir ! Je continue de pétrir ses petites miches, j'explore les muscles de son dos, sa peau est douce et parfumée à la noix de coco ! Ben voyons, il sait que j'adore la noix de coco le fumier ! Ma bite est tendue comme une corde à linge, elle est là à baver de plaisir à l'entrée de son anus... Je la prends et la présente à son rectum par des petits mouvements circulaires, pas besoin de lubrifiant je mouille tellement que je pourrais lui fourrer directement...

Il finit par glisser lentement de mes cuisses, pose les deux pieds au sol et s'agenouille à même le béton de la terrasse encore chaud, il m'empoigne les jambes et les passe sur ses épaules, me saisit à la taille et relève mon bassin pour amener mon cul à sa bouche... Sa langue farfouille à présent mon œil de bronze, il navigue avec fougue de mes couilles à mon trou en négligeant ma bite qui portant semble crier famine ! Putain on m'a jamais sucer le cul comme ça, j'en râle de plaisir ! Il s'arrête et sans la moindre précipitation le voilà qu'il fait glisser sa langue sur le coté de mes burnes et remonte, remonte encore, embrasse ma tige, en chopant délicatement mon gland entre deux doigts... Il lèche chaque centimètre de ma hampe, j'ai l'impression que mon gland va exploser !

Et puis enfin il titille mon frein en prenant ma queue à pleine main, seul mon gland est à la merci de ses crocs, même pas peur !!! Il s'évertue à me faire languir, il joue avec ma teub comme un chat qui joue avec une souris ! J'en peux plus ! Je pense : « Suce-moi bordel ! » Mais oui un peu de patience !!... Le voilà qui ouvre la bouche et enfourne mon gland, putain que c'est bon ! Mes doigts fouillent ses tifs, grattent sa barbe, je sens ma bite disparaître dans sa bouche brûlante, parfois il lève le regard vers moi et même dans la nuit qui s'avance et la pâle lueur des bougies, je vois luire ses petites canines proéminentes sur ma queue trempée de sa salive...Il me suce comme un forcené sans arriver à la gorge profonde, je suis déjà au bord du précipice à quelques secondes de l'éjaculation, je le freine sans autre choix que de le tirer par les boucles !

-Arrête je vais jouir, fait une pose ! Pitié !

Il s'exécute et fourre de plus belle son nez sous mes couilles et sa langue dans mon cul, je n'ose plus bouger je me tortille pourtant jusqu'à en faire craquer la chaise, il s'acharne de plus belle sur mon auréole, putain ce mec est une bête fauve ! Un lion qui grogne et rugit à l'entrée de mon ventre, sa langue se fourre dans mon anus avec une délectation bestiale... Il s'apaise enfin après quelques instants ses coups de langue deviennent plus doux, caressant.. Je suis au paradis ! Je réclame sa queue, s'il a la bonté de me l'offrir je ne demande pas mieux que de lui rendre la pareille... Il se relève doucement et c'est la lune à présent qui m'éclaire ce phare dressé, une belle queue, que dis-je, une œuvre d'art, elle n'est pas monstrueuse mais proportionnellement il est aussi bien membré que moi une bite universelle, le genre de truc qui peux entrer dans tout …
Je la gobe d'abord doucement je lèche avec gourmandise la liqueur qui s'en échappe toujours et pendant que ma langue en cherche la moindre goutte, mes mains continuent de farfouiller son superbe petit cul, j'y glisse un doigt puis de ma main droite je lui masse doucement les couilles... J'aspire de plus en plus et fini par avaler cette queue superbe jusqu'à ce que mon nez se colle à son pubis...Même pas un petit étranglement ! Elle glisse avec une facilité déconcertante... Il me touche, me caresse le dos, me pétrit les épaules et plus il s'affaisse sur ses jambes pour se cambrer de plaisir plus je dois me plier en deux pour atteindre la naissance de sa verge... La position n'est pas des plus confortable. Je l'attrape par les fesses et je le hisse sur la table ! Il est léger comme une plume..

Il se marre et je le force à s'allonger doucement... Je pompe sa queue et je me lance à l'assaut de son petit cul ! Mmm quel pied j'ai l'impression de sucer une fille ! Son cul est aussi doux que les lèvres d'une chatte, je mouille copieusement l'entrée de l'enfer, je récure le chemin des dames ! Puis enfin je présente ma bite aux abords... Il me regarde et me demande « avec ou sans » ? Je sais que je suis clean, mais lui ? Il me le jure. Et puis merde ! J'y vais je prends ma queue de la main droite je tâtonne quelques secondes et j'avance un petit coup de rein... Mon gland disparaît dans son trou et y glisse sans forcé. Il est détendu et ne semble pas grimacer le moins du monde, pire même voilà qu'il me gueule dessus !

- -Vas-y bordel ! tape au fond putain !  Déchire-moi !!

Il n'en faut pas plus pour me filer un coup de fouet ! Je m'enfonce en lui totalement ! Il geint se cambre, me choppe l'avant bras et sert tellement fort que ces doigts marquent mon bras à faire mal, je pistonne comme un train à vapeur, j'entends un verre tomber et se briser, il gémit de plus belle et sa queue tape sur son ventre pour marquer la cadence comme une baguette sur un tambour... Je sens mes couilles claquées sur son cul dans le même rythme ! Je ne vais pas tenir longtemps...

Ma main libre s'incruste dans ses abdos, je m'appuie à souhait, mon front n'est plus qu'une cascade qui goutte sur sa queue, je lâche prise en quelques va-et-vient supplémentaires et je l'insémine ! Le jet puissant et long qui sort de ma queue m'arrache un cri, bordel, tout le patelin va savoir que je baise !
Un gros frisson me parcours l'échine je tremble de partout..

Il desserre mon bras et laisse tomber sa main sur le coté de la table dons un énorme soupir, la table, quant à elle, n'est plus vraiment à son point d'attache d'origine, nous avons déplacé l'ensemble au bout de la terrasse, quelques centimètres de plus et on se retrouvaient dans la pelouse ! Ma bite se détend lentement en lui elle en sort finalement dégoulinante ! Il se penche et me la choppe et en quelques coups de langue la voilà comme neuve. Je l'aide à se relever. Il est plus essoufflé que moi !

Oh la vache tu rigoles pas toi , me lance t-il !
J'avais un peu oublié à quel point c'est bon...
t'es prêt pour un deuxième round mon « lulu » ?
Accorde moi un verre de rhum et la clope rituel et je suis à toi..
J'espère que tu n'es pas uniquement actif ?...
Euh... ? Disons que tu peux tenter ta chance lui dis-je avec le sourire !

Nous décidons de rentrer nous mettre à l'abri de la fraîcheur, la maison est entièrement dans le noir, je le prends par la main et le guide dans la pénombre jusqu'à ma chambre. Le petit lion va me massacrer !

Fin de la première partie.

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Commentaires de l'histoire :

pyros88
j'ai adoré, c'est pas chiant à lire, et très excitant, vivement la suite !
Posté le 25/10/2019

Anonyme
Trop trop bien décrit! Bravo! J'en mouille encore.... Continue, tu es très doué. De la plume et du reste aussi ( enkor e enkor)
Posté le 10/10/2019

H.Girard
Hâte de lire la suite...
Posté le 5/10/2019


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