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La naissance d’un fantasme (lingerie) Chapitre 5

Eléa me confie sa virginité. dans un feu d'artifice d'amour et de vice, nous faisons enfin l'amour. Petit à petit, ses fantasmes deviennent les miens. Deviendrait-elle la femme de ma vie ?

Proposée le 28/08/2019 par albanphoto

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Thème: Fétichisme
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Histoire vraie


Il me fallut bien du temps pour sortir de mon sommeil. Sans trop savoir comment, j’étais retourné dans ma chambre pour me coucher. Je retrouvais avec surprise d’abord, l’adorable culotte de mon amour, à demi cachée par mon oreiller. Il me revint alors que je lui avais volé, avec son accord, en souvenir de cette nuit mémorable. Sans attendre, je la cachai dans un de mes tiroirs, à l’abri des regards familiaux.

Me rendant dans le salon, j’y retrouvais Eléa, fraîchement réveillée elle aussi et ma cousine qui demanda en souriant.

- Bon ben ce coup-ci, vous n’allez pas me dire que vous avez fait chambre à part ?
Nous partîmes dans un rire qui valait toute réponse et Eléa se pendit à mon cou pour m’embrasser sur les lèvres. Elle se tourna ensuite vers ma cousine et dit.
- C’est le meilleur coup du monde !
Fier comme un paon, je regardai ma cousine en lâchant.
- Ah, tu vois….
Elle répondit.
- C’est normal, c’est de famille figure-toi.
Et nous nous perdîmes dans un de ces fous rires que seuls les ados peuvent avoir.

Après le repas de midi, et comme c’était en quelque sorte la coutume, chacun allait s’allonger pour une pseudo-sieste, sur la grande pelouse de la maison.
Véritablement collé à ma chérie, je goûtais chacun des centimètres carrés de la peau qu’elle voulait bien m’offrir. Vêtue d’une jolie robe en tissus léger, je devinais ses jeunes formes au travers de l’étoffe et ses rondeurs me rappelaient celles avec lesquelles j’avais joué la nuit précédente. Plus libérée que les jours précédents, Eléa, allongée sur le ventre, relevait ses jambes, laissant glisser la robe le long de ses mollets, découvrant au soleil la moitié de ses cuisses fermes, rondes et bronzées.

Pas une seconde elle ne cherchait à protéger une partie de son corps qui aurait pu être dévoilée aux yeux de tous. Il était clair qu’elle était devenue plus femme depuis la veille. J’en étais ému et étais aussi le premier à en profiter. De temps à autre, je laissais courir ma main le long de sa cuisse, remontant par-dessus la robe jusqu’à la rondeur de sa fesse sur laquelle je restais quelques secondes avant de retirer ma main. Nous étions aux anges et le fait de pratiquer cette simple caresse devant tout le monde ajoutait à notre plaisir.

Passant plusieurs fois sur l’élastique de sa culotte, je finis par me pencher à son oreille pour lui demander.
- Au fait, tu ne m’as pas dit…
- Quoi ?
- Ce que tu portes aujourd’hui sous cette robe…
Elle devint toute rouge mais je vis dans cette réaction un mélange de gêne et d’excitation.
- Et toi, tu ne m’as pas dit
- Quoi ???
- Ce que tu en as fait….
Ses yeux pétillaient de pouvoir oser ce dialogue avec un complice.
- Hier soir, enfin… ce matin, rien, j’étais trop fatigué. Mais ce matin…
- Oui ?
Elle s’était tournée sur le côté et se collait discrètement contre moi pour se frotter.
- Ce matin, en me levant, j’ai retrouvé ton cadeau, sous mon oreiller. Je l’ais d’abord caressé car il me rappelait tes fesses et ton sexe. Puis, à force de le presser entre mes doigts, le parfum en est sorti et je l’ai porté à mes narines. Alors j’ai eu l’impression de te manger à nouveau. Comme le goût me manquait, je l’ai ensuite porté à ma langue. Ce fut divin et je regrette encore de ne pas avoir eu ta langue pour y déposer ce qui est sorti de mon sexe.

Eléa avait laissé tomber sa tête au creux de mon épaule pour m’écouter et aux petits tressautements discrets de son bassin, je me demandais si elle n’était pas en train de jouir.
Après quelques minutes, elle releva la tête, toute rouge et la peau recouverte d’une douce transpiration.
- Tu es un adorable diable !
- Tu n’as pas répondu….
- Si je te réponds, tu vas tenir le coup ?
Lui indiquant mon sexe tendu, d’un mouvement du menton…
- Tu crois que cela pourrait être pire que ça ?
- Tu paries que oui ?
- Oh ouiiiiii….
Elle jeta un petit coup d’œil par-dessus mon épaule afin de vérifier que nous n’avions pas attiré l’attention des autres qui nous accompagnaient pour la sieste, replongea sa tête contre moi et, me regardant bien fixement commença.

- Ce matin, en pensant à toi, j’ai mis un petit shorty mais pas n’importe lequel. Il est blanc, en dentelle devant mais transparent derrière. Tu adorerais… La ceinture est en dentelle mais le bas, ressemble plus à un slip, ainsi, il plonge délicatement entre mes cuisses pour recouvrir ma chatte.
Comme il est très tendu, on devine parfaitement la forme de mes lèvres et même, quelques poils ne se sauvent parfois pas la dentelle…
Je commençais à être sérieusement affolé pas ses paroles. Elle continua.
- J’adore l’enfiler car il est très doux et c’est comme la caresse de tes mains sur mes fesses et mon sexe. J’en ai bien profité ce matin, en pensant à toi, crois-moi… J’adore le moment où j’ouvre mon tiroir pour choisir une culotte pour la journée, je ne la choisis jamais au hasard et si je ne me retiens pas, cela se finit toujours de la même manière. Ces jours-là, tu t’en doutes, je ne peux pas garder sur moi celle que j’avais choisie initialement…
- Tu avais raison, je ne vais pas tenir…
- Attends, attends…. Ce shorty a une petite histoire car lorsque je l’ai vu dans la vitrine de la boutique, je l’ai tout de suite voulu. Le prenant sur un cintre, j’ai sauté dans une cabine d’essayage et l’ai enfilé. Mon excitation était telle que je me suis masturbée avec. A voir mon corps, jambes écartées, une main appuyée sur le miroir et l’autre dans la culotte, mon plaisir a été fulgurant et avant même d’être payé, il était déjà baptisé…

J’étais en feu, et continuant à frotter ma verge discrètement contre elle, je finis par éjaculer dans mon caleçon, retenant mes soupirs à grand peine.
- Bon et bien, il va me falloir une douche je crois…
- Je savais que je gagnerais…

L’embrassant tendrement, je me dirigeais vers ma chambre, les jambes coupées.
………………

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