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La naissance d’un fantasme (lingerie) Chapitre 4

Eléa me confie enfin ce secret que je connaissais déjà pour l’avoir observée. Sans lui avouer cette indiscrétion, je profite de mon avantage et la conduis au plaisir. Ma première nuit avec elle sera de la folie...

Proposée le 28/08/2019 par albanphoto

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Thème: Fétichisme
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Fantasme


Les yeux cernés, je retrouvais tout le monde pour le petit dej’, y compris mon petit amour qui tapotait sur la chaise se trouvant à côté d’elle pour m’indiquer ma place.
J’obtempérais et l’embrassais dans le cou, déclenchant un de ces fameux sourire et même un soupire proche de ceux entendus la veille.

Nous passâmes la journée épaules contre épaules, refusant de nous joindre aux autres pour jouer afin de préserver ces moments précieux.

Pour en finir avec cette attente insupportable, la soirée venue, je lui demandai de m’attendre quelques secondes. J’allai découper un petit bout de papier sur lequel j’écrivis « je te veux ce soir. Je ne veux plus attendre ».

De retour, je le lui glissai dans la main. Elle ne le lut pas de suite mais m’offrit un sourire prometteur.

Alors que nous étions en train de nous embrasser avec ma cousine et ma tante pour nous souhaiter une bonne nuit, je vis Eléa lire furtivement le papier puis le remettre dans sa poche.

Alors que je l’accompagnai à sa chambre, dans l’attente d’une proposition, elle gardait son épaule collée à moi, lascivement tout au long du couloir. Devant sa chambre pourtant, elle se hissa sur la pointe des pieds pour atteindre mes lèvres, m’offrit un tout premier baiser d’une incroyable chaleur, tourna les talons et s’enferma.
J’étais bien sûr ravi car ce baiser valait toutes les promesses du monde mais pourquoi en rester là ?
Après avoir hésité à frapper à sa porte, j’allai me coucher, à regret.

Environ une heure plus tard, alors que je somnolais en écoutant de la musique, j’entendis de petits coups à la porte.
En titubant, je sautai de mon lit afin de ne pas rater cette appel. Ouvrant la porte, je tombais face à ma belle, les larmes aux yeux et se jetant contre ma poitrine.
- Qu’est-ce qui t’arrive ma belle ?
- Rien…
- Ben voyons…
Elle se mit à rire un peu puis poussa un énorme soupir.
Sans lever la tête, elle me demanda.
- Tu veux toujours passer la nuit avec moi ?
- Tu connais un homme qui dirait non à une telle proposition ?
Elle rit franchement à mon observation
- Moi aussi je rêve de passer cette nuit avec toi mais avant, il faut que je te parle et je n’ose pas.
- Mhh Mhh ça a l’air très graaave dis-je pour détendre l’atmosphère.
Elle rit encore.
- Je t’adore… viens.

Elle m’entraina dans sa chambre pour la première fois. Je retrouvais la fenêtre entrouverte, le pc diffusant sa faible lumière, quelques-unes de ses fringues mais rien qui n’indiquait la pratique de ses fantasmes et désormais les miens. Sa chambre était celle d’une jeune fille sage.

Elle m’invita à m’allonger sur le lit et vint se coller à moi, de dos.
Appuyant encore ce contact, je sentis mon sexe durcir et, gêné, je crus bon de dire.
- Si tu restes comme ça encore longtemps, il va y avoir outrage.
- Hihihihi, tu es bien un homme tiens… Mais je te fais confiance.
Elle se détendit petit à petit et je relançais la conversation.
- Alors ma belle, tu avais quelque chose à me dire
Elle soupira à nouveau.
- Oui mais, ce n’est pas facile…
- …
- En fait, à la seconde où je t’ai vu, j’ai eu envie que tu sois le premier à entrer en moi. Et pas un jour passé près de toi ne m’a fait changer d’avis.
Elle était donc vierge… Je n’en revenais pas.
- Tu es drôle, charmeur et attentionné, je ne peux pas rêver mieux pour une première fois.

Comblé par ces louanges, et très étonné par la découverte de sa virginité, je croyais comprendre ce qui la bloquait. Elle continua.
- Je suis comme toutes les filles d’aujourd’hui tu sais. Si je n’ai jamais couché avec un garçon, je sais pas mal de choses sur la sexualité et internet m’a largement informé.
- Oui, et alors ?
- Alors, c’est compliqué pour moi.
- Ah oui ???
- Oui…
- Qu’est-ce qui est compliqué ???
Prenant un grand bol d’air, elle lâcha.
- Je suis… spéciale.
- Spéciale ???... Ça tombe bien, moi aussi…
- Non, arrête de rigoler mon beau, je ne sais pas comment m’en sortir.
- Ok. Tu m’en dis plus ?
Visiblement en confiance et ses défenses à terre, elle se lança.
- J’ai découvert la sexualité assez jeune. A l’époque, je dormais dans la même chambre que ma demi-sœur et je la voyais parfois se masturber. Sans comprendre ce qu’elle faisait, je n’en ressentais pas moins une excitation grandissante au fil de mes jours d’observation et rapidement, je compris qu’en serrant les jambes, le plaisir pouvait monter en moi aussi. Il fallut peu de temps pour que je comprenne ensuite combien ma main pouvait faire mieux.
- Mhhhh... Et moi qui croyais que j’allais découvrir quelques choses de terrible…
Elle rit de mon cœur
- C’est juste terrible pour moi car…
- Car quoi ?
- …
- Quoi ma belle ?
- A cette période, le plaisir était toujours associé à ma culotte car j’en portais une pour dormir lorsque j’étais jeune.
- Et alors ?
- Alors… aujourd’hui, je ne peux pas atteindre le moindre plaisir sans cet artifice.
- C’est-à-dire ?
- C’est-à-dire que sans un peu de lingerie sur mon corps, je ne ressens rien. Je crois que je suis fétichiste…
- C’est tout ?
Elle se retourna vers moi
- Tu n’es pas choqué ?
- Certainement pas. Tout d’abord je t’aime et rien que pour cela tu aurais pu m’annoncer bien pire. Ensuite, ce petit travers et des plus délicieux, surtout si j’en juge par ce que tu laissais sécher sur la corde à linge.
Elle rit encore, comme rassurée et confiante.
- Mais parfois tu sais, j’ai presque honte de ce que je fais
En moi-même je repensais à certaines scènes et il est vrai qu’elle avait intérêt à les garder secrètes.
- Tu auras honte même avec moi ?
- Non, justement, je pense que j’ai suffisamment confiance pour me livrer complètement mais pour cela, je dois te demander de ne jamais me trahir, je ne le supporterai pas.
- Il n’en n’est pas question ma belle. Et même, je saurai t’arrêter si je trouve que cela va trop loin. Ok ?
- OK. Merci mon chéri.

Elle m’embrassa pour la seconde fois et nous restâmes collés l’un à l’autre près d’une heure, goûtant enfin notre amour libéré, glissant dans un demi-sommeil.

Après ce temps délicieux, elle commença par poser sa main sur ma cuisse et me caressa délicatement pour m’éveiller. Constatant que je revenais à moi, elle étendit sa caresse et glissa doucement de ma cuisse au haut de ma fesse.

D’une main calme, je défis ma ceinture, fis sauter mes chaussures et mes chaussettes puis retirai mon pantalon.

Reprenant cette caresse, elle insista plus précisément sur mes fesses non sans venir passer ses doigts indiscrets sous la cuisse de mon boxer. Décidément, même ma lingerie l’inspirait…
- Si tu me veux, il va falloir que tu me le retire mon amour. Dis-je au moment où elle passait sur mon boxer.
- Je n’ose pas… Chuchota-t-elle
- Tu devras pourtant car je ne le ferai pas et je suis certain que tu feras cela très bien.

Après un petit temps d’hésitation, elle me repoussa sur le dos puis, comme répondant à un défi, elle posa sa main sur la bosse que formait ma verge coincé sous le coton. Y prenant visiblement beaucoup de plaisir, elle fit glisser sa paume le long de mon membre plusieurs fois tout en poussant de jolis soupirs. J’accompagnais cette pression en tendant mon bassin vers le haut, écrasant ma verge contre sa paume, c’était un délice. Me penchant à son oreille, je lui déclarais :
- Je veux ta langue à ce même endroit…
Elle se redressa
- Je ne l’ai jamais fait mon chéri…
- Tu m’as choisi non ?

D’un geste de la tête, elle acquiesça et après quelques allers-retours supplémentaires de sa main, se pencha pour déposer un baiser sur ma verge encore enfermée.
Alors que je l’imaginais reculer après cette première rencontre, au contraire, elle resta en place et continua à parcourir toute la longueur de mon sexe en appuyant ses adorables lèvres.
Ces va-et-vient étaient très prometteurs et je voyais très clairement monter son désir aux mouvements de son bassin cherchant à se frotter sur ma cuisse.
Reprenant un peu d’empire sur moi-même, je repensais à son plaisir et fis glisser ma main sous l’un de ses seins. Me souvenant des pratiques qu’elle m’avait indiquées sans même le savoir, je commençai à lui pincer légèrement le téton au travers de son soutien-gorge.
Sans lever la bouche de mon sexe qu’elle ne semblait plus vouloir quitter, elle se mit à gémir et je devinai qu’elle était désormais passé de la jeune fille bien élevée que je fréquentais à la salope gourmande que j’espionnais.
J’en était très fier…

- Tu as le droit de me retirer mon boxer mais tu devras le faire uniquement avec tes dents.
La tête toujours penchée sur ma bite, elle poussa un petit grognement de satisfaction et commença à attraper la ceinture de mon sous vêtement avec ses dents pour le faire descendre. Cela ne fut pas simple et plusieurs fois, celui-ci lui échappa des lèvres. Je l’encourageais…
- Si tu y arrives je te ferai la même chose…

La promesse la galvanisa et tirant du plus fort qu’elle pouvait, elle libéra ma verge qui lui bondit au nez. Je sentis très distinctement ses narines s’emplir de l’odeur de celle-ci et à nouveau, elle gémit et se contorsionna. Puis après avoir descendu mon boxer jusque au bout de mes jambes, elle remonta et vint directement embrasser ma bite avec cette fougue à laquelle j’étais désormais habitué.

La laissant me lécher de haut en bas, ce qu’elle faisait avec un véritable talent, je m’attaquais à sa chemise blanche, à son soutien-gorge puis à sa jupe.
Elle était toute à moi, chaude, appétissant et excitée, vêtue seulement de son sublime slip blanc échancré. Me plaçant dans la position de 69 mais sur le côté, je la laissais presser sa langue sur mon anatomie tandis que plus bas, je commençais une caresse experte de sa chatte au travers du tissu de sa lingerie déjà chaude.

Reprenant les gestes que je l’avais vue faire, et au travers de son slip, je laissais glisser mes doigts de sa fente, déjà bien entrouverte, à son clitoris qui lui, dépassant de ses lèvres sous l’excitation, formant une petite bosse plus haut sous le slip. Afin de briser la monotonie de cette caresse, je passais parfois la totalité de ma main sous sa culotte, à la hauteur de son mont de venus et jouai avec ses petits poils.

J’apprenais ainsi à « user » de son corps et de son sexe en écoutant ses râles et j’observais les fois où, plus atteinte, elle abandonnait sa caresse buccale afin de râler.
- Tu aimes ma chérie ?
- Oohhh ouiii, j’adore, ne t’arrête pas mon amour…

J’attendais avec impatience de voir son jus délicieux passer au travers de sa culotte et cela arriva d’un coup. Elle se mit à se tordre en râlant plus fort et en quelques secondes, le gousset du pauvre slip fut inondé et parcouru d’une grande tache plus sombre. Elle prit ma main et la pressa contre le tissu froissé.
Ce faisant, elle le fit entrer dans sa chatte, en partie poussé sous ma main, et jouit sur la mienne, écrasée entre ses cuisses. Je sentais la chaleur d’une partie de ses lèvres et sa liqueur couler au creux de mes doigts…

Nous restâmes encore de longues minutes au calme, à apprécier ce moment.
Pour la première fois, je lui avais donné du plaisir et j’en étais comblé.
Calmée, elle avait repris distraitement les caresses de sa main sur mon sexe, laissant retomber ses pulsions cardiaques.

- Tu veux que je m’occupe de toi aussi mon chéri ?
- J’en meurs d’envie…
- Mais je ne l’ai jamais fait hein, alors tu me diras ?
- Je sais que ce sera parfait…

Elle attendit un petit temps, puis se pencha sur le côté pour retrouver mon sexe avec sa bouche. Reprenant les parcours de sa langue, elle se déplaçait de plus en plus haut jusqu’à atteindre mon gland. Comme pour elle, mes râles indiquaient la teneur du plaisir et bientôt, elle ne quitta plus le bout de ma verge et commença même à le faire entrer dans sa bouche.
La chaleur de l’intérieur de ses joues sur cette partie de mon corps fut une révélation et, sans y prêter garde, je me saisissais de sa tête pour forcer l’introduction plus profondément.

Docilement, elle continuait à faire glisser ma bite dans la moiteur de sa gorge alors que je grognais. L’idée lui vint ensuite de remuer la langue sur mon méat et ce fut à mon tour de me tordre de plaisir, ce qu’elle ne manqua pas de remarquer. Elle se livra désormais à cet acte par saccade, attisant mon plaisir puis le laissant se calmer. D’une main, elle s’enhardie à caresser mes couilles et je compris combien étaient fortes ses dispositions pour les choses érotiques.

Sentant mon plaisir monter, rapidement, je lâchai sa tête afin de lui laisser le choix de se sauver ou pas au moment de mon éjaculation.
Elle n’en fit rien et lorsque mon sperme jaillit en de longues saccades, elle enfonça elle-même ma bite au plus profonde de sa gorge, déglutissant mes giclées chaudes avec gourmandise. A nouveau son bassin se mit à faire des bons et, ensemble, nous partîmes vers le plaisir.

Cette fois-ci, c’est la fatigue qui nous emporta et nous plongeâmes dans un sommeil léger et agréable. De temps à autre, un de nous deux s’éveillait, caressait l’autre tendrement puis se rendormait.
……………

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