Histoire Erotique

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Rencontre au parc

Iléana se promène, célibataire et frustrée depuis plusieurs mois, mais caresse l'espoir de se faire de nouveau prendre, en ce jour chaud du mois de mars, par un homme attentionné. Un regard échangé dans la rue, un fantasme... Timide, elle est loin d'imaginer jusqu'où elle-même est prête à aller aujourd'hui.

Proposée le 24/07/2019 par Créatif21

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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Fantasme


Trois mois sans le moindre contact physique avec un homme, sans même recevoir la moindre proposition... En ce mois de mars, qui voit le beau temps reprendre le dessus et les couples sortir main dans la main, main sur les hanches, ou main sur les fesses, cette abstinence forcée commence à peser à Ileana. C’est ce qu’elle se dit en déambulant dans les rues de sa ville, en cette fin d’après-midi.

Bien que ronde, elle a plusieurs atouts. De taille moyenne, elle a de beaux yeux verts, des jambes galbées et un sourire charmeur, sans parler de sa poitrine généreuse. Des seins lourds, qu’elle sait mettre en valeur avec un décolleté plongeant…vertigineux même, en cette chaude journée. Son pendentif tombe pile au milieu, encadré par un soutien-gorge rouge bordeaux qu’on devine aisément. Elle se sent plus belle et bien mieux dans sa peau, depuis qu’elle a perdu tout ce poids depuis un an, à force d’aller à la piscine et de courir tous les jours. C’est avant tout pour elle qu’elle l’a fait, car elle sait bien, pour avoir vécu quelques déconvenues et remarques désobligeantes, que les hommes en demandent encore plus, qu’ils veulent avoir du sexe avec des femmes au physique d’actrices pornos, même si eux-mêmes se demandent rarement s’ils ont les « compétences » requises. Sous ses airs charmeurs, Ileana cache une certaine timidité et un certain pessimisme à propos des relations humaines, ce qui l’empêche de faire le premier pas et lui fait rapidement tourner les talons quand il s’agit de s’engager en amour. Mais pour ce qui est du reste…Ileana aime séduire, et être abordée, même si ses dernières nuits de sexe ne lui ont pas laissé que de bons souvenirs. En particulier ce goujat, qui l’a prise cinq minutes à peine, avant de jouir sur son ventre sans jamais parvenir, ni même chercher, à la faire grimper aux rideaux. Un beau gosse pourtant…en apparence.
C’est dans le plaisir solitaire qu’Ileana se réfugie depuis. Ce matin, d’ailleurs elle s’est livrée avec succès à un de ses fantasmes favoris : la bibliothèque. Mais c’est une autre histoire…Pourquoi la bibliothèque ? Parce que ce qui la nourrit, faute de sexe, c’est la lecture. Aujourd’hui, ne travaillant pas, elle a décidé de finir l’après-midi dans son parc favori, qu’elle espère peu fréquenté car il a plu abondamment la veille, et tout doit être mouillé – comme ce matin...

En chemin, elle contemple donc tous ces couples, se demandant quelles relations tous ces gens entretiennent. Sex friends ? Amours d’une vie ? Relations naissantes ou finissantes ? Perdue dans ses pensées, elle met du temps avant de se rendre compte qu’un regard est posé sur elle. C’est seulement en arrivant presque à la hauteur d’un homme sur le point de la croiser qu’elle réalise que celui-ci la dévisage – si on peut utiliser ce mot vu la partie de son anatomie qu’il contemple. Loin de détourner le regard une fois pris la main dans le sac, il continue de regarder les seins d’Ileana, puis lui plante son regard dans le sien en lui souriant avec une assurance déroutante, sans vulgarité, mais avec douceur et franchement. Elle fait mine de ne pas réagir, mais sourit intérieurement. Et décide de l’effleurer de la main « sans faire exprès » pour le rendre dingue…
« En voilà un qui ne manque pas de cran, surtout vu son physique ! » se dit-elle, non sans une certaine condescendance. « D’accord, rien de rédhibitoire, mais on ne peut pas dire que ce soit un Apollon ! S’il est aussi performant que sa musculature le laisse penser…bof ! Mais bon, cela dit, il fait avouer qu’il est mignon, son sourire… »

L’homme passé, elle se retourne, ne pouvant s’empêcher de nourrir quelque espoir… elle s’en doutait, il est maintenant carrément en train de mater son cul, bien souligné par la robe vert émeraude qu’Ileana porte aujourd’hui. Mais il ne fait pas demi-tour pour autant…L’espoir se mue peu à peu en regret.
« Espèce de dégonflé ! » soupire Iléana. « Une occasion qui s’envole peut-être. Enfin, une demi-occasion » rectifie-t-elle en se disant avoir échappé sans doute à un « mauvais plan ». Arrivée au parc, quasiment désert comme prévu, elle retrouve son banc favori, ravie de le voir presque sec, s’y assoit et entame son bouquin. Mais peu à peu elle est rattrapée par ses pensées, et songe de plus en plus à cet inconnu croisé dans la rue. « Un peu gracile, mais un certain charme, il faut avouer, quand même ! » Et, les heures passant, elle ne peut s’empêcher de penser à lui, la caressant. A lui, en train de goûter son intimité, à lui enfin haletant au-dessus d’elle, la pénétrant de toute sa puissance. Alors que le soleil donne ses dernières lueurs, Iléana regarde autour d’elle et, ne voyant plus personne, soulève sa robe et commence à caresser sa chatte, devenue toute humide au fur et à mesure que son imagination divaguait. De plus en plus excitée, elle finit par écarter sa culotte puis son sexe d’une main, et par se branler frénétiquement le clitoris de l’autre, sa bouche mi-close, son souffle s’accélérant…

Soudain, des pas. Accélérés. Iléana a à peine le temps de quitter son entre-jambes et de remettre correctement sa robe, en faisant mine de se plonger dans son livre, que surgit un jogger.
Elle n’en revient pas. C’est lui. Il se rapproche. Pas si mal, en tenue de sport…
Cette fois, elle ne sera pas passive. Elle n’aura pas eu le temps de se faire jouir seule, qu’à cela ne tienne : elle va déléguer. Elle lève le regard, fixe les yeux de l’homme qui ralentit alors, manifestement décontenancé de retrouver cette inconnue à laquelle il a aussi pensé, de son côté. Iléana, pour enfoncer le clou, baisse le regard et, arborant un sourire qui ne souffre d’aucune ambigüité, le porte à hauteur de son bas-ventre.
Des sourires…mais l’homme passe, sans se retourner cette fois. « C’est désespérant ! Nullissime… » se dit Iléana, se replongeant dans son livre. Troublée, elle renonce rapidement à essayer de se concentrer, range son livre et s’apprête à partir. De toute façon il va bientôt faire nuit, il commence à faire frais, et seuls les lampadaires permettent d’y voir quelque-chose.
Quand soudain une main lui caresse l’épaule...
Figée, Iléana ne se retourne pas, car elle sait que c’est lui. Elle sent son souffle sur sa nuque, puis un baiser langoureux dans le cou la fait chavirer. Elle saisit la main inconnue, et la pose sur son sein droit qui commence alors à se faire caresser…la paume en suit le galbe, puis s’aventure dans le décolleté, avant de venir de manière inattendue effleurer le téton, qui pointe déjà sous l’emprise du désir. L’autre main s’est aventurée dans le dos, et avec une dextérité surprenante, ouvre la fermeture éclair située à l’arrière de la robe, puis sans crier gare, dégrafe le soutien-gorge. La première main se fait de plus en plus hardie, empaume délicatement le sein désormais nu, alors qu’un pouce humecté titille ce téton qui n’y tient plus. Iléana en gémit de plaisir, son sexe appelant à l’aide…Elle prend le temps de savourer ce désir, quand une autre envie subite l’envahit…une envie de rendre ce plaisir, de rendre cette excitation si inattendue et si délicieuse…

Elle se retourne alors sur son banc et sans prévenir, sa bouche, parvenue à hauteur des hanches de l’inconnu, embrasse à travers le jogging une protubérance déjà prometteuse…L’homme, surpris, pousse à son tour un petit gémissement de désir, et regarde de haut cette bombe qu’il ne pensait pas si entreprenante quelques heures plus tôt. Elle ne manque pas de lui renvoyer un regard provocant, caressant ses boules à travers le pantalon, et contemplant le résultat. Mais elle n’a plus envie de jouer. Maintenant c’est sa main à elle qui montre son habileté. En un instant, l’inconnu se retrouve avec le jogging sur les chevilles, le caleçon baissé, sa bite au chaud dans un divin étui humide. Il ne peut contenir un cri rauque. Iléana s’empare de ce signal pour s’amuser à sortir de sa bouche cette queue, longue et fine comme elle les aime, à la contempler, à lécher son gland, puis à engloutir de nouveau le tout pour voir le résultat…elle adore sentir cette bite palpiter en elle, elle est terriblement excitée en voyant par intermittences dans la pénombre l’homme en train de tantôt fermer les yeux, se délecter, ou regarder le spectacle qui s’offre à lui, de sa queue en train de disparaître puis de réapparaître, toute luisante. Elle aime la sortir de sa bouche, la branler frénétiquement jusqu’à risquer de faire jouir son partenaire, avant de gober ses couilles bien épilées et d’’engloutir de nouveau ce cylindre. Le parc est silencieux, et on n’entend que ce gémissement et ce bruit de succion…
Mais le joggeur, presque sur le point de jouir déjà, finit par retirer sa queue de cette bouche pourtant si délicieuse, pour venir face à Iléana…il l’assoit et l’adosse au banc, lui prend fermement le sein gauche d’une main, et la cuisse droite de l’autre. La deuxième main remonte progressivement la robe, invitant la douce à écarter les cuisses...L’homme prend dans sa bouche le deuxième sein, libéré à son tour, tirant sur le téton jusqu’à faire crier son amante. Celle-ci lui prend le visage des deux mains, et le rapproche du sien. « Bouffe-moi la chatte… » lui chuchote-t-elle.

Mais l’homme ne l’entend pas de cette oreille…il s’affaire encore un peu sur ce sein, remonte la robe et l’enlève, et se met à embrasser le ventre généreux d’Iléana tout en lui caressant l’intérieur des cuisses…Sans jamais s’y arrêter, la main effleure volontairement la culotte désormais trempée de la belle, qui se languit de cette lenteur calculée. Elle ne tient plus…
Puis Iléana, de nouveau assise, se retrouve subitement saisie par les hanches, et tirée en avant par son amant, qui est à genoux devant ses cuisses écartées…Les yeux fermés, elle sent qu’une main écarte sa culotte…pendant plusieurs secondes, une bouche vient lécher l’intérieur de ses cuisses, passant savamment d’une jambe à l’autre. Puis plus rien.
« Oh, putain, bouffe-moi la chatte... » supplie-t-elle…
A peine ces mots prononcés, elle sent cette queue s’engouffrer en elle, lui arrachant un cri de plaisir. Sans plus attendre, les va-et-vient, rapides au début, se font plus amples, lents et profonds. L’homme prend Iléana de toute sa longueur, ne tardant pas à faire jouir sa partenaire qui ne s’attendait pas à autant de vigueur et de fermeté de la part de cet homme en apparence si doux. Un orgasme puissant, qui se répercute longuement dans tout son corps…A peine a-t-elle repris ses esprits, ressentant les derniers spasmes de jouissance, qu’elle se retrouve à genoux sur le banc, offerte…la langue de son inconnu reprend, par derrière et par-dessous, le chemin de ses cuisses, ouvertes comme jamais. Elle tressaille en sentant un aller et retour humide sur sa chatte à peine remise de ces pétillements, mais ce n’est pas la destination que son partenaire a choisie. Quelle n’est pas sa surprise en sentant cette langue lui lécher goulûment et longuement ses fesses rebondies, avant de s’introduire d’un seul coup dans son petit trou du cul…Cette sensation nouvelle la fait basculer, elle qui n’a jamais osé considérer cette partie de son corps comme moyen de plaisir. « Mais que me fais-tu là ? », gémit-elle pendant que son amant, alternativement, introduit sa langue dans son cul et lui lèche cet orifice jusqu’alors tabou pour elle.
Oui.

C’est une nouvelle envie qui germe peu à peu en elle, lorsque, comme en réponse à cette pulsion inédite, elle sent un doigt humide prendre la place de cette langue dans son cul…elle se retourne pour regarder cet homme, qui la surprend de plus en plus…il l’observe en retour, l’interrogeant du regard dans la pénombre qui désormais les entoure. Elle lui répond d’un hochement de tête ; poursuivant ce dialogue entre corps, le majeur du joggeur commence à se frayer un chemin dans le cul de la belle, l’élargissant patiemment, malgré quelques petites crispations dues à la peur de l’inconnu. Iléana sent de mieux en mieux ce doigt en elle, et trouve cela de plus en plus délicieux, quand l’annulaire vient se glisser simultanément, au moment où elle s’y attend le moins, dans sa chatte. « Oh putain ! » ne peut-elle s’empêcher de crier, au moment où les doigts de cette main la pénètrent doublement…elle manque de tressaillir quand cet homme joue à faire se toucher ces deux doigts à travers la fine paroi séparant sa chatte de son cul…quelle sensation incroyable… Puis elle sent l’homme retirer son annulaire de son sexe, retirer peu à peu son majeur de son cul, et commencer à positionner son gland humecté de salive en lieu et place de son majeur.
Elle va se faire enculer. Par un inconnu.

Mais elle veut que ce soit lui, c’est à lui qu’elle veut faire ce cadeau, car personne ne l’a jamais baisée de la sorte, avec autant d’attention et d’envie de la faire jouir. Sa décision est prise.
Celle de l’homme aussi, manifestement. Son gland est déjà entré avec douceur dans ce cul si généreux, et maintenant il accompagne sa hampe avec sa main, tenant et caressant de l’autre la croupe offerte, comme pour rassurer sa compagne. Iléana crache dans sa main, la passe sous ses cuisses, et recouvre ce manche de salive, caressant au passage son inconnu à l’endroit le plus sensible, comme pour l’encourager à l’investir entièrement. Lentement, peu à peu mais fermement, tout le cul d’Iléana se retrouve rempli, ses fesses finissant par buter contre les couilles de son amant. Son inconnu joue à retirer presque entièrement sa queue, lentement, avant de la lui enfoncer de nouveau avec puissance jusqu’à la garde… Elle est surprise en constatant combien les douleurs du début ont laissé la place à une sensation inédite pour elle. Une sensation de plénitude, qu’elle accompagne en se glissant un, puis deux doigts dans la chatte. En se pénétrant ainsi, elle sent ce sexe durci et sûr de lui à travers la paroi, elle pourrait presque le caresser de l’intérieur, se dit-elle…
Plus rien ne compte pour les deux amants, qui ne se rendent pas compte que leurs cris se sont fait de plus en plus forts, et que la nuit est presque tombée. Ils n’aperçoivent pas non plus la voiturette des services municipaux qui s’est introduite dans le parc pour procéder à l’évacuation, avant de s’arrêter à quelques dizaines de mètres d’eux, comme par respect. Une silhouette en est sortie ; elle est restée en retrait. Mais elle non plus, ils ne l’ont pas aperçue.

La sensation de ce tunnel si étroit enveloppant sa queue finit par se faire trop douce pour cet homme, qui au bout de quelques minutes de ce plaisir extrême n’y tient plus et finit par dire « Je vais jouir… » en commençant à se retirer pour pouvoir éjaculer. Mais la belle dirige alors son visage vers celui de son partenaire, et lui plante ses yeux mi-clos dans les siens. Elle lui agrippe les hanches par derrière pour les rapprocher de nouveau de son bassin, avec fermeté, empêchant l’homme de quitter cet étui…elle sent alors ce sexe rentrer de nouveau d’un seul coup, tressaillir, perdre le contrôle pour la première fois, et se déverser en elle en plusieurs jets saccadés qui la font hurler de plaisir, par-dessus les cris rauques de l’homme, surpris par cette femme si imprévisible.
Son splendide cul libéré, et dégoulinant de sperme, Iléana se lève, enlace son partenaire et l’embrasse passionnément sur la bouche. La belle et l’inconnu tournent alors la tête, voyant une lumière vive sur le côté. La silhouette d’un gardien approche…il a tout vu.
A suivre...

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