Histoire Erotique

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Et si... Je venais te faire une surprise...? (Intégrale)

Cela fait un moment que cette envie me trotte dans la tête, peut-être qu'il serait temps que je pense à la mettre en pratique, non ? Mais, serais-je capable d'aller jusqu'au bout alors que je sais que cela le rendra totalement dingue ? Oui, sans hésiter ! (sourire sadique)

Proposée le 7/07/2019 par Taryn

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: Parking
Type: Fantasme


Une sonnerie retentit… Ce doit être le réveil de mon portable. Je laisse échapper un profond soupire, j’ai encore envie de dormir pensais-je tout en l’attrapant afin de le couper.

Euh… Question… Pourquoi y a-t-il une alarme ce matin ? Ai-je quelque chose à faire, aujourd’hui ? Et là, ça fait tilte… Mes yeux s’ouvrent en grand. Mais quelle idiote !!!

Comment ai-je pu l’oublier ??? Et je le sens, ce sourire sadique qui s’affiche lentement sur mon visage. Eh oui… C’est le grand jour. Celui que je prévois depuis plusieurs jours, déjà.

Instinctivement, je me mords la lèvre à la seule pensée de ce qui va se passer tout à l’heure. Je suis totalement surexcitée, mais je sais bien qu’il me faut me calmer afin de pouvoir me préparer.

J’inspire par le nez et expire par la bouche avant de me lever et sortir tranquillement du lit en faisant mine de contrôler mon impatience.

Après tout, qui sait s’il n’est pas en train de m’observer via la caméra de surveillance. Il vaudrait mieux qu’il ne se doute de rien. Évitons d’avoir une attitude trop louche qui pourrait lui mettre la puce à l’oreille et faire tomber mon projet à l’eau.

Debout à côté du lit, j’adopte une démarche détendue jusqu’à l’entrée de la chambre avant de me précipiter vers la salle de bain.

“Bah quoi ? (baisse la tête) Il ne peut plus me voir, maintenant. (petite bouille) J’y peux rien si en réalité, je ne sais pas dominer mes émotions. (petite bouille triste)”

Et zut! J’ai oublié de prendre ma serviette ! Bon, je retourne dans la chambre avec la même précipitation puis dans celle-ci, la plus détendue possible, j’attrape cette maudite serviette qui n’est même pas fichue de me suivre ou de rester à sa place. Non mais… “Oui, oui, c’est de sa faute à elle, pas à moi ! Eh non, je ne souris pas.”

Je fonce de nouveau vers la salle de bain. “J’y suis arrivée !!!” M’exclamais-je dans mes pensées tout en levant les bras vers le haut telle une championne venant de gagner un tournoi. Et me voici qui rigole toute seule.

Heureusement que personne ne me voit, on me prendrait certainement pour une folle. Je me ferais presque peur si je n’avais pas eu à me côtoyer depuis toutes ces années. (soupire blasé)

(se racle la gorge)

“Soyons sérieux...” Je me penche dans la cabine afin de mettre l’eau à couler. J’aime qu’elle soit chaude, pas vous ? (clin d’oeil)

En attendant qu’elle chauffe, j’en profite pour redresser mes cheveux au-dessus de ma tête dans un chignon pour éviter de les mouiller étant donné que je les avais lavés la veille dans l’intention de me permettre de les faire sécher à l’air libre durant la nuit et de les lisser ce matin.

Vérifiant la température de l’eau que je trouve parfaite, je me dis qu’il serait temps que je me déshabille et que j’y file avant qu’il n’y en ait plus.

Ouais, eh bien, pour cela, faudrait-il déjà qu’il y ait quelque chose à enlever. (soupire)

“Eh! On ne se moque pas. Ce genre de chose arrive à tout le monde. C’est comme quand je cherche mes lunettes pendant un moment avant de me rendre compte qu’elles sont sur mon nez.” (baisse la tête, dépitée) Bon d’accord, je suis un cas désespéré, mais cela n’a-t-il pas un côté mignon, parfois ? (regard plein d’espoir)

Me voici enfin, sous cette petite cascade qui ruisselle sur mon corps. Hummm… Un pur bonheur. Cela m’est toujours aussi agréable, relaxant. Ca fait du bien... Mais, pas le temps de trop en profiter non plus, je dois me préparer.

C’est parti pour un soin du visage tandis que je me rase de manière à être aussi lisse et douce que possible. Je sais qu’il aime ça. (sourire coquin)

Petite vérification. Je n’ai oublié aucune zone. Je peux donc rincer.

A l’aide de ma fleur sur laquelle je dépose une noisette de gel douche, je pars en exploration de mon anatomie de façon à en nettoyer la moindre parcelle, en commençant par ma nuque... Mon cou…

Pour descendre sur ma poitrine, mes seins que je sens fermes sous la caresse de ma main libre, mes tétons durs qui pointent et que je n’hésite pas à pincer au passage. (petit gémissement entre douleur et plaisir)

Poursuivre sur mon ventre, tant bien que mal, mon dos. Le long de mes jambes qui me paraissent tellement douces de même pour mon intimité sur lequel je m’attarde particulièrement.

Mes doigts qui s’amusent à l’effleurer. L’index et l’annulaire qui délicatement, écartent mes grandes lèvres permettant ainsi à mon majeur de venir titiller mon petit bourgeon et s’insinuer doucement dans mon antre du plaisir. Hummm… (de nouveau un gémissement de plaisir)

Je ferme les yeux. Pour savourer ce moment…

Je pense à lui, à cet homme qui me hante jour et nuit depuis le premier jour de notre rencontre et dont le manque se fait terriblement sentir.

Bon sang, mon besoin de lui devient irréprimable. Cette nécessité de le sentir près de moi, contre moi. Qu’il prenne possession de mon être, que je ne peux contenir et qu’il me faut assouvir pour le bien de ma santé mentale.

Je ne peux me passer de lui. Il est ma drogue… Il m’est vital...

Alors que je me remémore tous nos souvenirs intimes durant lesquels il me faisait sienne, mon doigt, lui, effectuait des va-et-vient qu’il alternait avec de doux égards pour mon bourgeon de plaisir.

Un deuxième vient le rejoindre, puis un troisième. Je l’imagine, lui, me pénétrant de toute sa longueur et largeur me remplissant entièrement faisant ainsi, taire ce supplice qui me ronge de l’intérieur depuis si longtemps que cela me semble une éternité.

Je sais que ce n’est pas réel, que cela ne comblera en rien ce que j’éprouve. Mais je suis incapable de m’arrêter. Je dois aller jusqu’au bout, il le faut.

Je… La sens qui monte… Elle approche… Ma respiration... Qui… Se fait... Plus, difficile… Mon esprit... Qui… M’abandonne…

Tandis qu’elle me frappe de plein fouet. Atteignant l’ultime jouissance, la seule chose que je sois encore capable de faire. C’est de murmurer son nom, le sien...

-Raphael……

...

J’entreprends de finir calmement le reste de ma toilette afin de m’aider à reprendre mes esprits ainsi qu’un rythme de respiration normal.

L’eau est devenue froide depuis, mais ce n’est pas grave car je me dis que cela ne pourra que me faire du bien, non ? (Sourire)

Ayant terminée de me laver, je coupe le mitigeur et attrape ma serviette toute chaude que j’enroule autour de moi avant de sortir de la cabine. Me voici toute propre, toute lisse et toute douce. À caresser et bien plus, si affinité. (Clin d’oeil et sourire coquin)

Maintenant, direction la chambre. Je m’assoie au bord du lit et allume mon lisseur. Pendant que celui-ci chauffe, je détache mon chignon qui laisse retomber ma longue chevelure brune sur mes épaules et poursuivre le long de mon dos.

Je la sépare ensuite en deux, attache le haut pour commencer à lisser le bas, ainsi de suite jusqu’à ce que toute y soit passée.

Je saisis ma brosse et retourne à la salle d’eau. “Oui, je sais, j’en fais pas mal des allers retours entre ces deux pièces.”(Petite bouille)

Devant le miroir, après m’être assurée qu’il n’y avait pas à repasser un coup de fer. À l’aide de mes accessoires capillaire, je ramène mes cheveux au dessus de la tête en une belle queue de cheval assez haute que j’attache de mon élastique.

La coiffure faite, j’enchaîne alors avec le maquillage.

En premier, j’applique une petite crème hydratante suivie par une fine couche de fond teint léger. J’accentue mon regard à l’aide d’un crayon noir et finis par un rouge à lèvres bordeau, le “975 Divine wine mat”.

Tirant sur la poignée du tiroir du meuble, le temps d’une petite réflexion, j’opte finalement pour mes boucles d’oreilles argentées ornées de petites plumes rouges. Et en parfum, “Le rose absolu” de Secrets d’essences.

Le côté beauté étant terminé, je passe maintenant à l’habillement. Et je l’avoue, j’ignore totalement quoi porter. Il y a tellement de facteurs à prendre en compte.

“J’ai trouvé !!!” Criais-je tout en fonçant vers l’armoire encastrée et ouvrant les portes de celle-ci afin d’avoir accès au contenu. “C’est bon, je l’ai !!!”

Je suis contente car contrairement à ce que je croyais, il m’a fallu moins de temps pour me décider sur ce que j’allais mettre. Cette tenue c’était la plus appropriée, quand on y réfléchit bien. Elle convient parfaitement à mes projets.

Je l’enfile immédiatement. Euh... Question... Devrais-je rajouter quelque chose par dessus ? Comment ? Pour pouvoir m’aider, il faudrait déjà que tu saches quelle est cette tenue que j’ai actuellement sur moi ?

Mmmm… Oui, je comprends… Je vais donc me débrouiller toute seule car si je te le dis, cela ne gâcherait-il pas un peu la surprise ? (Sourire taquin)

Je chausse à présent mes sandales à hauts talons noires. Et termine par passer ma veste semblable à un trench noir que je ferme grâce à la ceinture que je noue sur le côté.

Me voilà fin prête!!!

Ah oui, mais non. N’oublions pas les accessoires nécessaires pour la réalisation de ce délicieux projet qui me tient tant à coeur. (Sourire sadique) Un sac en main, j’y dépose tout ce dont j’ai besoin.

Dernier contrôle avant le départ. J’ai bien mon sac à main avec les clés de la voiture, mon sac d’accessoires, mon portable. Je crois que c’est tout.

Je regarde l’heure, 10 heures 52. 20 minutes de trajet…  Niquel. Je file. Et à moi, le plaisir !

Je m’apprête à descendre les marches lorsqu’un son provenant de mon portable m’annonce que j’ai reçu un message. Je le consulte donc et un sourire naît instantanément sur mon visage. C’est “lui”, l’homme qui envahit sans cesse mes pensées.

[ Bonjour mon ange, j’espère que tu as bien dormi.]

Aïe… Maintenant, je suis partagée entre le fait de lui répondre ou pas… Mince… Bah, je verrai ça dans la voiture.

Je dévale alors les escaliers tout en réfléchissant à ce que je pourrais bien lui répondre et quitte la maison en veillant à bien fermer la porte d’entrée derrière moi.

Mes pas jusqu’à mon véhicule se font rapides, pressants. “Oui, Oui, OUI!!! Je le suis! Tu ne comprends pas pourquoi ? T’en fais pas, tu vas vite le découvrir. (Clin d’oeil et sourire coquin)”

Durant le trajet jusqu’à ma destination, je me mets en condition avec ma playlist “BDSM”. Je chante lorsque je connais les paroles et euh… Bah quand je les connais pas… Eh bien… J’improvise ? (Rire)

Je me trémousse sur mon siège en rythme avec la musique ce qui doit compenser un peu, non ? Bon, d’accord, je l’admets, je dois être complètement ridicule, mais n’est-ce pas quelque peu mignon ? Adorable ? (Petite bouille et regard plein d’espoir)

Avant d’atteindre l’arrivée, je fais un arrêt à un endroit, je ne dirais pas où, pour parer à une certaine éventualité puis poursuis mon chemin.

11 heures 22, me voici sur le parking situé juste en face de la base, dans laquelle il travaille aujourd’hui et à quelques mètres à peine de l’entrée de celle-ci.

Pour éviter de me faire remarquer, je me gare entre deux voitures, ce qui me permet d’être à l’abris des regards curieux. (Sourire)

Je prends quelques minutes afin d’achever le reste des préparatifs qu’évidemment, je ne vais pas détailler maintenant. (Sourire sadique)

Pendant que je fignole un autre son de mon portable résonne pour m’annoncer la réception d’un autre message.

Oye… J’ai complétement oublié de répondre tout à l’heure! Quelle tête en l’air !!!

Je le consulte.

[ Pas de réponse et je ne te vois nulle part, tout va bien, mon ange ? Que fais tu ?]

Je me mords la lèvre.

-Si seulement tu le savais… Dis-je à voix haute avec un grand sourire digne d’une véritable conspiratrice. 11 heures 30, je crois que je peux enfin commencer. Je suis désolée, amour,  mais tu risques de me haïr.

[ Raphael, je ne vais vraiment pas bien, là, je déprime un peu... Est-ce que tu pourrais m’accorder quelques minutes, j’ai besoin de t’entendre et de te voir vite fait en cam, tu veux bien…? ]

En attendant la réponse, un petit stress à la fois perturbant et excitant s’empare de moi. Je dois admettre que je me sens un peu moins sûre de moi, là, tout de suite.

-Respire, tout ira bien, ça va bien se passer. me répétais-je en espérant que cela me calmerait.

De nouveau un message.

[ Evidemment mon ange,  je t’appelle immédiatement. ]

Pourquoi je ressens de la culpabilité, tout à coup ? Après tout, ce n’est pas totalement faux étant donné qu’il me manque terriblement et que cela me ferait réellement du bien de pouvoir entendre sa voix et de le voir. Même si cela n’était pas le but premier de ma présence ici et non plus de cette demande.

Il m’appelle via l’application whatsApp. Je prends une profonde inspiration avant de l’accepter. Puis cale mon portable sur le support voiture collé au milieu du pare-brise pour avoir les mains libres et lui permettre d’avoir une meilleure vue d’ensemble.

- Que se passe t-il, mon ange ? Rien de grave ? Me demande t-il d’une voix attentionnée dans laquelle je peux tout de même percevoir un soupçon d‘inquiétude sans doute lié à mon dernier message.

Prenant une toute petite voix et adoptant ma bouille, mode “fille triste qui a besoin d’un câlin”, je lui réponds.

-Non, ne t’en fais pas, il n’y a rien de grave. C’est juste que ton absence commence à devenir de plus en plus difficile à supporter et que contrairement à toi qui peut me voir quand tu le souhaites, je ne peux pas, moi. Tu me manques et j’avais vraiment besoin de t’entendre et de te voir. Même si ce n’est que par cam. Je suis désolée de te déranger alors que tu travailles. Tu m’en veux ?

-Non, je ne t’en veux pas, mais tu m’as fais peur. Me dit-il avec tendresse tout en m’offrant un clin d’oeil.

Un sourire apparaît sur mon visage. Un sourire amoureux, comblé qui peu à peu se transforme. Mon expression devient alors différente. Mon état d’esprit est maintenant en mode “joueuse, provocatrice”. (Sourire coquin)

-Ah oui ? Je suis vraiment, mais alors vraiment désolée de t’avoir fais peur. Que pourrais-je bien faire pour que tu me pardonnes ?

Tout en le questionnant, je tire très lentement sur la ceinture nouée autour de ma taille, pour ensuite l’entrouvrir tout en gardant la même allur. Je garde les yeux fixés sur l’écran pour observer le moindre de ses réactions.

Me voici offerte à sa vue. Moi, vêtue d’une simple combinaison résille à fines bretelles noire de mailles à taille unique facilitant ainsi diverses pratiques sexuelles sans avoir à la retirer, mon collier de soumise ornant mon cou découvert, ma laisse accrochée à celui-ci dont j’apporte la poignée à ma bouche que je serre de mes dents, des pinces à seins réglables en métal accrochées à mes tétons pointant reliées par une chaînette.

Je fixe l’écran.

-Alors ? Que puis-je bien faire pour que... Tu m’accordes… Ton pardon ? (Sourire avant de se mordre la lèvre)

...

Finalement non, je colle mon index contre ma bouche dans un “chut” muet, le coupant avant même qu’il n’ait le temps de prononcer le moindre mot.

-Non, ne dis rien. Je sais. Ce que je peux bien faire pour que tu acceptes de me pardonner. (Sourire séducteur)

Faisant tout juste sortir le bout de ma langue de sorte à toucher la base de mon doigt, je le fais remonter lentement le long de celui-ci. Arrivée au bout, j’en fais le tour de l’extrémité avant de l’enserrer de mes lèvres.

Avançant petit à petit la tête pour le prendre entièrement en bouche, je ne le quitte pas du regard. Je veux observer chacune de ses réactions.

Je le retire pour le faire glisser le long de mon cou, de mon décolleté en passant par dessus la chaînette reliant mes deux tétons pointant dans sa direction.

Lorsque j’arrive au niveau de mon ventre, mes jambes s’écartent, offrant ainsi, mon intimité à sa vue. Un soupire de plaisir s’échappe de moi au moment où il s’insère doucement à l’intérieur de moi.

Je le regarde à présent avec une sérieuse et grande envie de me faire posséder. Mes yeux, mon corps, le supplient.

De lents va et vient, je rajoute un doigt puis deux que j'apporte à ma bouche pour en lécher la preuve de mon excitation.

-Mon corps ne réagit qu’à toi, Raphael. Tu en veux ? Lui demandé-je d’un sourire provocateur. Ah non, c’est vrai, tu ne peux pas. T’es au boulot et pas avec moi. Toutes mes excuses. (Sourire sadique) Quel dommage… Sais-tu à quel point je peux être mouillée et prête à te recevoir ?

-Putain, t’es qu’une salope !!! S’exclame t-il alors que je ne peux m’empêcher de rire. Regardes l’état dans lequel je suis maintenant alors que je vais bientôt devoir aller manger.  Me dit-il tout en inclinant la caméra vers le bas, au niveau de son pantalon de treillis, là, où l’on peut apercevoir une très belle érection. (Se mord la lèvre)

-Mince… Il ne me reste qu’à trouver un autre moyen de me faire pardonner. (Air innocent) Et si je fais ça, cela t’aide t-il ? (Sourire)

Changeant de position, me voici de profil, à quatre pattes, le dos bien cambré, de sorte à centrer la caméra sur mon cul afin qu’il puisse me voir m’insérer ma jolie petite queue sans oublier les gémissements de plaisir qui vont avec. (Grand sourire) Je vais le rendre dingue. (Rire)

Et si je poussais la provocation un peu plus loin ? (Sourire coquin) Non, moi, j’oserais ? C’est maintenant dos à l’objectif que je me place. À genoux, jambes écartées, le dos toujours cambré. Je pivote un peu le haut du corps vers lui, je souris tout en lui faisant signe du doigt de venir à moi puis vient doucement caresser ma fesse gauche.

-Raphael… Et si tu venais lui donner quelques couleurs, qu’en penses-tu ? Lui demandé-je tout en la claquant. Ou, peut-être, n’en as-tu pas envie ? (Petite bouille triste)

-T’es qu’une salope !!! Putain, tu continues à me chauffer alors que je ne peux rien faire, t’es vraiment une garce !!!

-Je vois, tu n’as pas envie de moi. Je savais bien que je ne te faisais plus d’effet. Je trouve ça profondément (Accentuant sur le mot tout en soulevant ma queue sur ma cambrure et me pénétrant de trois doigts) triste, décevant. Et toi qui disais que jamais tu ne te lasserais de moi. (Sourire sadique)

-Bordel, tu me rends complètement dingue !!! S’exclame t-il en se plaquant une main sur la tête. Ça t’amuses ??? Question idiote, bien-sûr que cela t’amuses. Je te le garantie, tu vas me le payer cher !!! Eh merde, on m’appelle pour aller manger.

J’éclate de rire, c’est plus fort que moi. J’y peux rien, c’est dans ma nature de... Petite innocente ? S’il savait ce que je lui réserve. (Sourire)

-Bon, je suppose que tu vas devoir me laisser, toute seule, dans cet état. Lui dis-je tout en ressortant mes doigts complètement trempés de désirs pour lui.

-Salope !!! Crie t-il.

-Raphael…

-Oui ?

-J’ai… Très… Envie… De toi… Prends-moi… Baises-moi… Et possèdes moi entièrement… Raphael…

-Putain, t’imagines pas à quel point j’en ai envie aussi ! Mais mon ange, il va falloir que j’y aille, même si j’en ai vraiment pas envie.

Je quitte la position pour m’installer correctement sur le siège. Le regarde avec une petite bouille triste. Oui, j’ai envie de le faire culpabiliser. (Sourire)

-Je comprends, vas-y, je n’aurais qu’à me satisfaire toute seule avec mes jouets ou… Le premier venu ? (clin d’oeil)

-Bon, je te le redis. Salope !!! Dit-il en riant. Allez, je file. Je t’aime, mon ange.

-Moi aussi, je t’aime. Bon appétit et bonne chance, pour ne pas bander en repensant à ce petit moment ensemble. (Sourire coquin)

Après qu’il ait raccroché, je retire lentement ma queue, décroche les pinces tétons et la laisse. Remets ma veste puis sors de la voiture. Me plaçant dos à l’entrée de la base, je me prends en photo, la mettant bien en évidence et la lui envoie avec un.

[Bon, eh bien, je vais rentrer à la maison. Passes une excellente aprèm. (Grand sourire sadique)]  

Ça va le rendre totalement fou de savoir que je n’étais qu’à quelques mètres de lui lorsque je l’ai excité. (Rire) Allez, je range les accessoires dans le sac, prends le temps de boire une gorgée de mon ice tea. Et voilà, je suis prête à partir.

Je m’installe sur mon siège, m’apprête à boucler ma ceinture lorsque la portière s’ouvre brusquement sur cet homme que je désire tant et qui semble si… Euh… Furieux ?

-Qu’est-ce que...

Je n’ai pas le temps de finir ma phrase qu’il me saisit aussitôt par la nuque pour me faire sortir de la voiture.

-Merde ce que tu peux être excitante ! Me chuchote t-il avant de m'embrasser passionnément avant de me tourner dos à lui et me pousser brutalement en avant sur le siège.

-Raphael… Dis-je tout en essayant de me relever.

-Ne bouges pas et restes comme ça. M'ordonne t-il en posant sa main sur mon dos.

J'entends quelque chose. Je suis sur le point de tourner la tête pour voir ce qu'il fait que je suis stoppée. Un cri s'échappe de moi lorsqu'il me pénètre d'un coup sans que je m'y attende.

-La ferme. Me dit-il en se penchant sur moi et posant sa main sur ma bouche. À moins que tu veux que l'on te surprenne avec ma queue dans ta chatte ?

Un autre coup de bassin. Je me retiens de faire du bruit et pourtant, ce n'est pas facile.

-Putain que c'est bon. C'est pas toi qui voulais que je te baise, mon ange ? Eh bien je vais te donner ce que tu réclamais.

Voilà qu'il me tire à présent par les cheveux bien en arrière à me cambrer au maximum et enchaîne les va et vient. Il est totalement sauvage, bestial. Il se déchaîne, se venge. C'est tellement bon, il y va fort, il est profond. Je me mords la lèvre. Je dois me contrôler, ne pas faire de bruit. Bon sang! J'ai mal.

-C'est bien ma belle, encaisses. Je vais bientôt gicler. Je vais te remplir. T’aimes ça, hein ? Te sentir pleine, de mon sperme.

Le salaud, il le fait exprès, il s’amuse à essayer de me faire craquer... Il me connaît, il sait ce que j’aime. J’en veux encore, qu’il y aille toujours plus fort. Je veux le sentir davantage.

Comme s’il avait lu dans mes pensées, il devient subitement plus brutal. J’ai mal, mais qu’est-ce que j’aime ce mélange plaisir-douleur. C’est tellement... Hummm…

Argh… Je sens ses dents sur mon épaule et je comprends qu’il est sur le point de jouir. De sa main, il ramène ma tête vers la sienne pour un tendre baiser.

De nouveau présentable, il me prend dans ses bras. Je m’y sens bien, je suis comblée. Mais n’oublions pas un détail.

-Je suppose que tu n’as pas mangé ? Lui demandé-je.

-Non et je ne pense pas que je pourrais y aller. Me répond-il avec un grand sourire.

-Bien, alors viens t’installer à côté de moi et régales-toi avec ton Mc Do.

-Tu savais que je viendrais ?

-Non, je ne savais pas, c’était juste au cas où. (Sourire)Mais honnêtement, j’en avais envie, je l’espérais. Que tu sauterais sur l’occasion de me rejoindre.

-Mon ange ?

-Oui…?

-T’es complètement dingue.

-Ah ? Veux tu que je change ?

-Changes et je te quitte !!!

-Essayes de me quitter et je te séquestre !!!

-Me séquestrer ? T’inverses les rôles, là, ma belle.

Nous éclatons de rire.

-Je t’aime, Raphael.

-Je t’aime aussi, mon ange malgré ta folie.

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