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Fantasme candauliste d'un homme marié. Suite: la soumission du mari trompé.

Sa femme comblait son fantasme au delà de ses espérances. Il voulait toutefois aller plus loin et voir sa femme et son amant en plein acte. Il proposa à sa femme de les filmer en toute discrétion pendant qu'il serait dans la chambre voisine. Mais tout ne se passe pas comme il l'avait prévu...

Proposée le 25/04/2019 par Sanbun

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Sa femme continuait à voir son amant régulièrement. Elle aimait de plus en plus ces moments privilégiés avec un autre que lui. Elle se faisait prendre avec tant de force et de passion qu’elle ne faisait presque plus l’amour avec son mari. De toute façon, elle en avait de moins en moins envie. En matière de sexe, son amant était bien plus apte à la faire jouir. Elle conserverait cependant son amour et sa tendresse pour son légitime, mais elle était désormais la femelle d’un autre. Son mari l’avait bien compris à travers les récits qu’elle faisait de ses nuits torrides avec son amant. Elle devenait de plus en plus salope, offrait sans discuter son cul à son amant alors qu’il lui était toujours interdit. Elle finit d’ailleurs par lui confier que seul son amant était susceptible de lui donner des orgasmes et qu’aucun homme ne lui avait jamais donné autant de plaisir. Il n’en gardait aucune rancune. Cela l’excitait au contraire d’être réduit au rôle de simple observateur soumis de la vie sexuelle de sa femme. Cela le comblait et lui procurait des sensations inédites. Sa femme le lui rendait bien en assouvissant son fantasme au-delà de ses espérances. Un jour, alors que son amant venait d’éjaculer abondamment sur son visage, elle pris un selfie et l’envoya à son mari. Lorsqu’il vu la fasse d’ange de sa femme maculée du foutre de son amant, dont une partie s’échappait de sa bouche, il du quitter prématurément le bureau tant cette image le hantait. Une autre fois, elle laissa son téléphone allumé à côté d’elle pour qu’il puisse l’entendre faire l'amour avec son amant. Les cris de sa femme en plein acte le bouleversaient au plus profond de son âme de mari trompé.

Un jour, il expliqua à sa femme qu’il aimerait les observer faire l’amour. Son idée était simple. Il proposa à sa femme d’inviter son amant à la maison. Il installerait une GoPro dans la chambre. Cette caméra se cache facilement et offre l’avantage de filmer en grand angle avec une haute définition. En plus, son modèle est connecté à son téléphone si bien qu’il peut voir en direct ce qui se filme et zoomer comme bon lui semble à distance. Sa femme était plutôt réticente au départ. Elle voulait préserver l’intimité de ses ébats passionnés et ne voulait pas filmer son amant à son insu. Il jura cependant de ne pas enregistrer les images qu’il verrait en direct et insista lourdement. Elle finit par céder. Après tout, elle trompait son mari avec sa bénédiction. Le minimum était d’accepter ses petits caprices pervers. Surtout que ça l’excitait de plus en plus de le tromper. Elle se sentait puissante et admirée comme une déesse du sexe. Elle allait se donner en spectacle, et elle ferait tout pour qu’il ne soit pas déçu.

Le jour venu, il s’installa dans la chambre d’amis attenante à la pièce conjugale. Il avait installé la caméra sur une étagère, dissimulée sous un tissu. L’angle de la GoPro couvrait l’ensemble de la pièce, si bien qu’il ne perdrait pas une miette du spectacle dont il serait le seul spectateur.
À l’heure prévue, l’amant arriva. Il entendit sa femme lui ouvrir la porte, puis les bruits s’éloignèrent vers le salon. Un certain temps s’écoula qui lui paru une éternité alors qu’il était seul à attendre. Il ne savait pas comment ça allait se passer et ça le rendait très nerveux. Il avait peur d’être déçu par la réalité. Les récits de sa femme lui permettaient de magnifier par son imagination les scènes qu’elle décrivait. Il prenait maintenant le risque de se confronter à la réalité. Mais le risque en valait largement la peine. Au pire, se dit-il, son fantasme prendrait fin et il pourrait reprendre une vie normale avec sa femme. Cette idée le soulageait même d’un poids. Sa femme était devenue une déesse à ses yeux et ses désirs de mari trompé étaient assouvis, mais il plongeait de plus en plus dans l’abîme de l’humiliation et il craignait de s’y perdre… il en était là de ses pensées quand il entendit le couple monter les escaliers. Son cœur se mit à battre à tout rompre, il était aussi nerveux que s’il devait monter seul sur une scène devant des milliers de personnes. Il se précipita sur son téléphone afin de vérifier que tout fonctionne parfaitement. Il fut soulagé de voir l’image du lit conjugal sur son téléphone. Tout se déroulait comme prévu.

Pourtant, quelque chose qu’il n’avait à aucun moment imaginé se produisit. Sur son écran, sa femme entra dans la chambre, partiellement dénudée, seulement vêtue de ses sous-vêtements, elle était incroyablement sexy. Il était surpris de la voir déjà à moitié nue et se demanda se qui avait bien pu se passer en bas. Mais rien d’anormal jusque là. Toutefois, elle était suivie non pas d’un, mais bien de deux hommes. Cette vision lui donna le vertige. Il n'en avait pas été prévenu. Était-elle au courant ? Ou est ce que son amant lui avait fait la surprise ? Sa femme semblait en tout cas parfaitement à l’aise dans cette configuration.

Elle ferma la porte et commença à embrasser un des deux hommes pendant que l’autre les regardait. Vu la façon dont ils s'enlaçaient, il en conclut qu’il s’agissait de l’amant officiel. Il n’aurait pu distinguer les deux hommes autrement tant ils se ressemblaient de par leur grande taille et leur carrure charpentée. L’invité semblait un peu plus âgé, dans les 45 ans, mais toujours en pleine forme physique. L’amant commença à caresser le con de la femme tout en continuant à l’embrasser langoureusement. Le mari était dans la pièce d’à côté et bandait déjà douloureusement, les yeux rivés sur son petit écran. Il trouvait sa femme magnifique et son amant digne d’elle.

Elle pris l’initiative de se mettre à genoux en prenant bien soin de se mettre face caméra. Elle caressa le sexe de son amant à travers son pantalon avec un air gourmand non feint. Elle déboutonna le pantalon pour libérer l’objet de son désir. Elle n’avait pas menti. L’outil de son plaisir était effectivement de grande dimension. Il n’était pourtant pas encore tendu et attendait qu’on prenne soin de lui. Elle pris alors l’engin délicatement dans sa main et approcha lentement sa bouche entrouverte. Elle le regardait avec dévotion et ferma les yeux au moment où il s’enfonça dans sa bouche. Il entra complètement dès la première avancée d’un mouvement parfaitement naturel, comme s’il rentrait chez lui, là où il devait toujours être. Le cocu dans sa chambre ne savait pas que sa femme était capable d’une telle prouesse, avec une telle facilité. Sa femme continua ensuite ses services d'avant en arrière sans jamais laisser le membre ressortir complètement. Celui-ci devenait de plus en plus dur et de plus en plus grand à chaque mouvement de la bouche qui s’en trouva bientôt déformée. L’organe était maintenant d’une taille exceptionnelle. L’amant incita l’invité à les rejoindre et celui-ci se mit debout du côté encore libre de la femme. Elle commença alors à prodiguer exactement les mêmes soins au nouveau venu. Il avait un sexe moins grand que son partenaire de jeu tout en étant plus long et plus épais que la moyenne. Elle se retrouva très vite avec deux grandes bites se battant pour sa bouche. Pendant que l’une était dedans, l’autre caressait sa joue et profitait du moindre retrait pour prendre la place laissée vacante. Les deux envahisseurs s’adonnaient à une compétition complice pour prendre possession de l’espace. La rivalité qui se jouait pour sa bouche la ravissait et gonflait son égo, si bien qu’elle récompensait à tour de rôle le gagnant éphémère en l’accueillant au plus profond de sa gorge. Les deux mâles mirent finalement fin à leur joute et usèrent à tour de rôle de leur lance pour baiser la bouche de la femelle. Elle manquait de s’étouffer à plusieurs reprises tandis que sa salive coulait en abondance sur ses seins gonflés, mais elle ne protestait à aucun moment. Elle semblait au contraire les encourager entre deux respirations en cherchant la bite la plus proche pour l’avaler au plus vite.
Son mari était littéralement fou d’excitation devant ce spectacle. Sa femme était devenue une véritable guerrière sexuelle, dressée par son amant à assouvir tous ses désirs. Il enviait cet homme qui disposait complètement de sa femme au point de lui faire tout ce dont lui avait seulement osé fantasmer. Il n’en tirait cependant aucune rancune et se sentait même privilégié d’assister à la mue de sa femme et à ses ébats passionnés avec son amant. Il ressentait même une certaine fierté à la voir se faire baiser la bouche de la sorte par deux hommes bien membrés. Toutes ces considérations le mettaient dans un état d’excitation qu’il n’avait jamais connu jusque là.
L'amant ordonna à sa maîtresse de se mettre à quatre pattes sur le lit. Une fois positionnée, il s’approcha et arracha son string d’un geste net et précis. Il proposa ensuite à l’invité de la prendre en levrette. Celui-ci ne se fit pas prier et commença à besogner lentement la femme adultère. L’amant officiel s’adossa quant a lui à la tête de lit afin de contempler la scène.

Elle avait été très surprise de voir que son amant était accompagné quand elle avait ouvert la porte. Il ne l’avait pas prévenue et elle ne savait pas quoi penser de ses intentions. Elle avait toutefois fait comme si de rien n’était et avait accueilli chaleureusement les deux hommes. Elle les avait fait entrer dans le salon et l’amant fit les présentations. Elle se sentait mal à l’aise et faisait tout pour garder contenance en proposant à boire à ses invités ou en meublant la conversation par des considérations banales sur le réchauffement climatique et les gilets jaunes. Son amant mis un terme à ces gesticulations en lui demandant de se dévêtir pour ne laisser que ses sous vêtements. Le ton qu’il employait était directif et ne laissait pas place à la discussion. Elle voulait protester mais elle n’osait pas le contrarier. Elle se résolut donc à lui obéir et passa outre sa pudeur. L’invité la complimenta. Elle avait 35 ans et avait toujours un corps de rêve, ferme et généreux à la fois. Son string mettait en valeur le galbe de ses fesses et son soutien tenait fermement sa poitrine prête à exploser hors des bonnets. Elle était terriblement gênée et ne savait pas quoi dire, implorant du regard son amant pour qu’il lui vienne en aide. Celui-ci répondit en lui intimant l’ordre de prendre en bouche son invité. « Montre lui ce que tu sais faire » ajouta-t-il. Interdite, elle se mit à genoux et obéit sans un mot. Elle pompa le membre comme s’il s’agissait de celui de son amant. Elle usa de tout sa dextérité et l’enfonçait au fond de sa gorge, puis reculait de quelques centimètres avant de s’enfoncer à nouveau. Elle le fit sans répits pendant de longues minutes jusqu’à ce qu’il jouisse dans sa bouche. Elle n’en revenait pas. Elle le connaissait depuis moins de 30 minutes, se souvenait à peine de son nom, et se retrouvait la bouche pleine de son foutre. Ce connard la traitait comme une pute. Elle avait voulu protester mais se ravisa quand elle vu que son amant était satisfait. Elle courra alors jusqu’à la cuisine pour recracher la semence de l’inconnu dans l’évier. Ensuite, elle reprit ses esprits et proposa aux deux hommes de monter à l’étage. Elle appréhendait le fait que son mari la voit avec ces deux hommes. Elle avait peur que ça soit trop pour lui et qu’il tente d’entrer dans la chambre pour mettre un terme à tout ça. Elle était certaine que si une telle chose de produisait, ça tournerait au drame. Son amant avait un caractère beaucoup trop fort et dominant pour accepter avec urbanité d'avoir été observé à son insu. Heureusement, son mari était resté bien sagement dans sa pièce tandis qu’elle se faisait prendre par un homme qu’elle connaissait depuis moins d'une heure, sous le regard autoritaire de son amant.

L’invité allait et venait en elle avec de plus en plus d'entrain. Sa bite ne lui procurait pas autant de plaisir que celle de son amant mais elle remplissait déjà très bien son office. Elle commençait à prendre un réel plaisir à le sentir en elle. Surtout, le regard de son amant posé sur elle la mettait en émoi. Elle voulait qu'il la désire. Elle le regardait intensément, comme si c’était lui qui lui faisait l’amour. L’autre n’était qu’un faire valoir, un outil de ses ébats avec son amant. Elle ne le quitta à aucun moment des yeux pendant qu’elle se faisait baiser. L’amant dit à son complice de ne pas jouir en elle. Au bout de quelques instants ce dernier se retira et éjacula abondamment sur les fesses de la femme adultère.
Le mari avait les yeux rivés sur son écran. Il avait du mal à reconnaître sa femme, transformée en objet sexuel de son amant. Au moment ou l’invité souilla les fesses de sa femme l’écran de son téléphone s’éteignit. La batterie de la caméra était plate. Il n’en revenait pas. Il était fou de rage, et sa frustration était immense. Il savait qu’il se passerait encore beaucoup de choses dans la chambre d'à côté et il n'en verrait rien.
Il était désemparé et devenait littéralement fou à l’idée de ne pas pouvoir voir la suite du spectacle. Il réfléchit à ce qu’il pouvait faire mais ne voyait aucune issue. Il prit alors une décision fatale et désespérée. Il prit son courage à deux mains et sans réfléchir davantage se rendit dans la chambre conjugale. Quand il ouvrit la porte, sa femme était toujours dans la même position, à quatre pattes, mais elle avait cette fois la verge de son amant en bouche et l’invité s’était mis en retrait. Le mari cocu se tenait à la porte sans bouger. Les trois amants s’arrêtèrent net et se retournèrent vers lui et pendant un instant le temps s’arrêta. C’est l’amant qui brisa le silence, il demanda au mari qui il était et ce qu’il faisait là. Le cocu répondit qu’il était le mari de la femme qui était en train de lui sucer la bite et qu’il était désolé de les interrompre. L’amant ne comprenait pas pourquoi le mari trompé se comportait comme si tout était normal et s’énerva. Il demanda ce que c’était que ce « délire » et interrogea la femme du regard. Elle était pétrifiée et ne savait pas quoi dire. Le mari vint à son secours et dit qu’il était désolé de les déranger et qu’il voulait juste assister à la scène. L’amant se mit à crier : « QUOI ?! C’est quoi ton problème mec ?! Tu veux mater ta femme se faire défoncer ?! C’est ça ton trip ?! » puis s’adressant à sa femme : « et toi ?! T’étais au courant ?! » elle resta muette, ne sachant qu’elle attitude adopter. L’amant devint fou de rage et s’en pris à nouveau au mari : « alors tu réponds ?! C’est quoi ton délire !? Qu’est ce que tu fous là BORDEL ?!!! si tu me réponds pas JE TE DÉMONTE !!! » Il agrippa le mari au col et était à deux doigts de la frapper, mais sa maîtresse l’implora d’arrêter et de se calmer : « laisse le s’il te plait… il veut juste mater, il ne fait rien de mal… je t’en prie… ne fais pas attention à lui… viens, baise moi… ». Il y eu un instant de tension insoutenable pendant lequel l’amant hésitait. Il regarda la femme qui le suppliait du regard puis se retourna vers le mari et lui dit : « t'es vraiment tordu pauvre merde… va dans le coin et FERME-LA !! ».

Le mari obéit et alla s’accroupir dans un coin de la chambre, prostré. Il avait des sentiments mêlés, de honte d’abord, car il venait de subir la pire des humiliations par l’amant de sa femme, et de soulagement ensuite, car il était autorisé à voir sa femme se faire baiser par d’autres hommes. L’amant fourra son sexe dans la bouche de sa maîtresse et déchargea sa fureur sur elle. Il pilonna l’orifice sans ménagement sous les gémissement étouffés de sa proie. Le mari avait le regard exorbité devant cette scène bestiale. L’amant remarqua que les fesses de sa maîtresse étaient toujours souillées par le sperme de son invité. Il s’adressa au mari dont la femme avait toujours le sexe bien calé dans la gorge : « rends toi utile et nettoie le cul de ta femme… je veux qu’il soit bien propre avant de la baiser… ». le mari ravala le peu d’orgueil qui lui restait et parti dans la salle de bain prendre une serviette et l’humidifia.
Il revint dans la chambre et s’approcha de sa femme sans un mot. Elle ne remarqua même pas sa présence, complètement absorbée par le sexe de son amant. Il essuya délicatement les fesses de sa femme, non sans mal, tant elle se tortillait en pompant l’objet de ses désirs. Après avoir essuyé la dernière goutte de semence, il regagna sa place sous les regards narquois de l’amant et de son invité. Sa femme quant à elle continuait à engloutir la bite de son amant. Elle était de plus en plus excitée et sentait qu’elle était trempée. Son sexe réclamait avec urgence le gourdin de son amant. A son grand soulagement, son amant de retira de sa bouche. Elle allait enfin pouvoir l’avoir en elle. Il lui dit de rester à quatre pattes et de se diriger vers son mari pour qu’elle puisse le voir. Elle obéit. Il se positionna derrière elle de façon à pouvoir narguer le mari cocu du regard. Il lança à ce dernier : « regarde bien comme ta femme aime se faire défoncer ». Elle regarda alors son mari et le vit recroquevillé dans son coin. Il la fixait comme un petit chien puni par sa maîtresse. Elle eu pitié de lui et cette vision déclencha chez elle un instinct primaire, animal. Elle pris conscience du fait qu’elle était la femelle sur le point de se faire accoupler par le mâle dominant du groupe, son amant, qui venait de soumettre par la force un rival plus faible, son mari. Son sentiment de pitié se dissipa alors pour faire place à du mépris. Elle le méprisait parce qu’il était faible et qu’elle devait tout faire pour garder les faveurs du mâle dominant qui était sur le point de s’enfoncer en elle. Elle lança alors un regard plein de dédain pour son mari, un léger sourire sardonique aux lèvres et chercha le membre reproducteur de son amant en remuant langoureusement les fesses pour s’y empaler. Le cœur du cocu se brisa en mille morceaux. Il était fou de jalousie et d’amertume, et cela l’excitait encore plus. Le mâle alpha n’eu qu’à orienter son sexe aux commissures des lèvres génitales de la femelle. Dès qu’elle sentit le gland à ses portes, elle jeta un dernier regard pour son mari et accentua son sourire avant de s’enfoncer en arrière sur la verge tendue. Elle se sentit emplie comme jamais, fière d’être honorée par le plus fort, sa grande bite dans son bas ventre. Elle poussa des gémissements de bonheur intense alors qu’elle sentait au plus profond d’elle son amant. Leurs corps s’enchevêtraient harmonieusement, leurs mouvements de hanches s’accordaient parfaitement. Ils étaient dans une autre dimension, seuls au monde. De chaque charge se dégageait une impression de puissance qui transperçait la femelle au plus profond de son corps. Elle brûlait de l’intérieur et hurlait de plaisir. Chaque saillie écrasait avec brutalité sa croupe délicate, accentuant toujours plus sa cambrure. Elle accueillait chacun de ces assauts comme s’il s’agissait du dernier. La tension sexuelle était à son paroxysme et l’explosion était inéluctable. Les deux amants poussèrent un râle prodigieux pareil au grondement qui précède l’éruption d’un volcan. Il explosa dans son bas ventre et se répandit. Elle eu la sensation qu’un océan de plaisir incandescent se répandait dans les moindres recoins de son corps à travers ses veines. Elle eu un orgasme d’une rare violence qui lui donnait des spasmes parcourant tout son corps. Le cocu était subjugué par cet accouplement parfait. Il avait rarement vu quelque chose d’aussi beau et d’aussi intense. Il se sentait privilégié d’avoir pu assister à ça. Il savait qu’il vouerait désormais un véritable culte à sa femme et se soumettrait totalement à son amant.

Elle reprit progressivement ses esprits, les décharges d’adrénaline qui secouaient son corps s’estompaient peu à peu. Son amant la libéra du pieu qu’il avait planté en elle et se coucha sur le dos. Elle le rejoignit et se lova contre lui. Elle était comblée et ne voulait rien de plus que rester dans la chaleur de ses bras. Elle sentit alors une main toucher son épaule. Elle se retourna et vit l’invité qui se penchait sur elle le sexe en érection. Il n’avait pas raté une miette de la scène qui s’était jouée devant lui et elle pouvait constater que ça l’avait passablement excité. Il désirait maintenant goûter une nouvelle fois à ses délices. Elle interrogea du regard son maître pour savoir ce qu’elle devait faire. Le mâle alpha était disposé à partager sa femelle et autorisa son second à s’approcher d’elle. La femelle comprit tacitement ce que son amant voulait d’elle. Elle se tourna sans un mot vers l’invité et le pris en bouche pour la troisième fois de la soirée. Elle le faisait uniquement pour être agréable à son amant et satisfaire ses désirs. Elle s’y attelait cependant avec tant de passion que l’invité était en train de vivre une fellation comme il n’en avait jamais connu jusque là. Quant au mari, il observait le spectacle sans dire un mot et tapis dans l’ombre dans le coin. C’était là que se trouvait sa place, celle du soumis, tout en bas de la hiérarchie. Il ne voulait l’échanger pour rien au monde et savait que la nuit d’amour de sa femme avec ses deux amants ne faisait que commencer…

A suivre.

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Commentaires de l'histoire :

Didier
Bonsoir encore mais que de fautes de frappes et d'orthographe : "il vu la fasse de son ange" au lieu de : il vit la face de... et pleins d'autres erreurs du même type...Je me suis bien régalé cependant...Sans rancune, merci de Didier
Posté le 15/01/2023

Anonyme
Pas mal
Posté le 7/11/2021

nnours64
Très beau récit La transformation de l’épouse en femelle accro au sexe bien décrite A suivre avec la descente aux enfers du cocu?
Posté le 15/11/2020


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