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Souvenirs de jeunesse

Françoise m'a invité chez elle car elle voulait me faire voir la collection de vieilles photos de son papa. Je découvrais des clichés surprenants mais le meilleur restait à venir. Françoise, sous des airs de femme bourgeoise, possédait d'autres ressources encore plus étonnantes !

Proposée le 13/04/2019 par sorggulp

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman


Il était 14 heures lorsque je sonnais chez Françoise.
« Bonjour, C’est Philippe » dis-je en me penchant vers l’interphone.
« Je vous ouvre, c’est au 1er étage » me répondit Françoise d’une voix rendue grésillante par l’appareil.
Un escalier de bois recouvert d’un tapis rouge tenu par d’antiques barres de cuivre me guidait vers la porte d’entrée de l’appartement où m’attendait Françoise.
Elle m’accueillait avec un large sourire. D’ailleurs, je n’ai jamais vu Françoise sous un air triste.
« Bonjour Philippe, comment allez-vous ? » me dit-elle en me tendant la main.
Françoise faisait partie de la catégorie « femmes mûres ». Une petite mèche rebelle de cheveux blancs masquait en partie son regard très vif. J’appréciais le maquillage très soigné notamment un rouge à lèvres particulièrement seyant mettant parfaitement en valeur ses lèvres pulpeuses. De fines lunettes mettaient en valeur son regard plein d’assurance. Une veste et une jupe de couleurs bleu marine ajoutait cette touche que seules les femmes de classe peuvent naturellement avoir.
C’était une très belle femme. Elle connaissait visiblement parfaitement utiliser ses atouts sans tomber dans la vulgarité.
« Bien et vous ? Je vous remercie encore de m’avoir invité à découvrir la collection de photos de votre papa » répondais-je.
Tandis que je la suivais, je ne pouvais empêcher mon regard aller sur les formes de Françoise.
-Elle n’est pas mal du tout pour son âge ! - pensais-je en laissant mon regard glisser sur les courbes de ses hanches.
J’avais rencontré Françoise au cours d’une exposition photos à la mairie de la ville. Nous avions bavardé ensemble autour de quelques clichés datant des années cinquante. Son papa était amateur de photos. Dans les années cinquante, il avait eu la riche idée de capturer à l’aide de son appareil des scènes de la vie quotidiennes des habitants du coin. A l’époque, cela semblait anodin mais aujourd’hui, ses clichés étaient demandés partout où l’on évoquait le passé de la ville.
C’est ainsi qu’au fil de notre discussion, elle m’avait demandé si je serais intéressé par la visite de l’atelier de son papa aujourd’hui disparu.
J’avais immédiatement accepté l’invitation.
Nous nous dirigions vers la pièce qui devait être le bureau. Tous les murs étaient occupés par des étagères remplies d’album photos sur lesquels étaient notés des dates ainsi que la description de l’album.
Au centre de la pièce se trouvait une table de verre. Tous un tas de documents se trouvait étalé sur celle-ci. Françoise poussa un monticule de photos tout en m’invitant à m’asseoir sur un tabouret qui semblait provenir d’un bar. Celui-ci était pivotant, me permettant de me balancer de droite à gauche ou inversement.
« Bien ! Qu’aimeriez-vous aborder comme thème, mon cher ? Mon papa a fait des photos toute sa vie. Dans ce bureau, vous trouverez forcément votre bonheur. »
« Eh bien, commençons par la mer. Cela me rappellera des souvenirs. Quand j’étais enfant, je passais mes vacances en bord de mer et j’en garde un souvenir émouvant ».
« Parfait ! J’ai ce qu’il vous faut ! »
Françoise tendit le bras pour attraper un album. Je profitais de l’opportunité pour jeter un œil sur sa poitrine. Visiblement, Françoise avait été généreusement dotée par la nature. Elle s’asseyait à ma gauche tout en prenant appui sur mon avant-bras. Je fus étonné de ce contact inattendu mais n’en tint pas compte mettant cela sur l’ambiance conviviale du moment.
Nous feuilletâmes l’album tout en faisant de nombreux commentaires sur les photos. Celles-ci étaient toutes plus belles les unes que les autres. C’était dû aussi à la touche inimitable que confère le noir et blanc.
« A votre avis, qui sont ces jeunes filles ? » me demanda Françoise en posant le doigt sur deux superbes créatures en maillot de bain à la plage.
« Je ne sais pas » répondais-je en observant attentivement la photo.
« Celle de gauche est une amie et celle de droite, c’est moi ! » me répondit fièrement Françoise en me regardant droit dans les yeux tout en posant de nouveau la main sur l’avant-bras.
« Je dois reconnaître que vous êtes toutes les deux ravissantes » lui répondis-je en lui jetant un regard malicieux.
« Attendez, j’en ai d’autres encore plus belles. Mon père m’avait demandé de lui servir de modèle à la campagne. »
Elle prit la petite échelle posée contre le mur et la plaqua sur celui qui se trouvait juste derrière nous.
Elle gravit alors les montants pour aller chercher un album rangé dans la dernière étagère près du plafond. Tandis qu’elle tendait le bras pour saisir l’album, sa jupe remontait sur ses jambes et c’était à ce moment précis que je me retournais. De ma position, j’avais une vue imprenable sur ses cuisses gainées de noirs.
Mon rythme cardiaque s’affola lorsque je vis sa jupe remonter, laissant furtivement apparaitre le haut des bas noirs. Malgré son âge, je devais reconnaître qu’elle ne me laissait pas du tout insensible.
De retour à sa place, elle posa la main sur ma cuisse pour se rasseoir. Je sentais la chaleur de celle-ci se propager au travers du tissus ce qui ne manqua pas de me troubler encore plus.
Françoise ouvrit l’album. Nous nous penchions vers celui-ci tout en le feuilletant. Nos visages étaient alors très proches l’un de l’autre. Je sentais que la température avait monté de quelques degrés en quelques instants mais me persuadait que c’était dû à mon imagination.
Tandis que les pages tournaient, je découvrais Françoise sous un autre angle.
Tantôt, elle était assise sur une barrière en bois, tantôt, elle se tenait sur un parapet surplombant une rivière semblant méditer sur son reflet dans l’eau. Tantôt, elle était allongée dans l’herbe, semblant assoupie.
Mais la plus belle était sans conteste celle où elle sortait de l’eau, les cheveux ruisselants. J’admirais surtout sa plastique parfaite. Le maillot de bain blanc ne pouvait dissimuler sa poitrine généreuse ainsi que ses hanches parfaitement dessinées. Je pouvais même deviner le mont de Vénus sous le tissu.
« Elle vous plait ? » me murmura Françoise qui regardait fixement le cliché, semblant perdue dans ses pensées.
« Vous êtes magnifique ! » ne pus-je m’empêcher de souffler sans pour autant cesser de détailler le corps de Françoise.
« Oauhhh, c’était une véritable bombe ! » pensais-je. Je sentais malgré moi l’excitation monter dans mon pantalon. Il fallait que je sois prudent car cela ferait désordre si cela se voyait.
« C’est si loin tout cela ! Aujourd’hui, le temps a fait son œuvre et je suis devenue une vieille dame que plus personne ne regarde ! » dit-elle en soupirant. Semblant perdue dans ses pensées, elle laissa sa main se poser sur ma cuisse pour ne plus la retirer.
« Mais non ! vous êtes très belle !» répondis-je en me concentrant pour ne pas laisser l’excitation monter encore plus.
Caramba ! Il n’y avait rien à faire !! Et sa main ! Que faisait sa main sur ma cuisse si près de ma …. !!! J’étais à présent trop à l’étroit dans mon pantalon !
« Vous êtes sincère ? » me dit Françoise en s’approchant insidieusement de moi.
J’eu le souffle coupé lorsque je sentis sa main remonter imperceptiblement sur le haut de ma cuisse. Tout en feignant de ne rien remarquer, je pouvais parfaitement sentir sa main caresser ma cuisse. Elle feuilletait l’album d’un air absent.
« Les journées sont longues lorsque l’on est seule, vous savez ? » me dit-elle en soupirant. Sa main se plaçait alors sur mon entrejambe. Mon pantalon me faisait atrocement mal.
« J’imagine que oui » répondis-en en bredouillant, tout en essayant de rester concentré sur les photos
Françoise me parlait en fermant les yeux, semblant uniquement concentrée sur ce qu’elle sentait sous ses doigts. Elle me caressait très doucement l’entrejambe comme pour mieux imaginer ce qui pouvait s’y dissimuler. Je fermais à mon tour les yeux afin de mieux profiter de ses caresses.
Ses doigts trouvèrent un premier bouton qui ne résista pas très longtemps puis un deuxième qui céda encore plus rapidement.
Sa main glissa dans l’ouverture, s’aventurant plus profondément dans mon pantalon.
Je pouvais entendre la respiration saccadée de Françoise. L’observant discrètement, je voyais son visage concentré. Sa main était partie à l’assaut du dernier rempart de tissu. L’élastique de mon slip ne résista pas à l’agilité de la main qui enserrait déjà ma queue.
Je ne pus m’empêcher de pousser un soupir de bien-être lorsque ses doigts s’enroulèrent autour de mon sexe tendu comme un bambou. Un sourire se dessina sur la bouche de Françoise tandis qu’elle parcourait celui-ci sur toute sa longueur. Plongeant la main plus profondément, elle enveloppa mes bourses pour les cajoler délicatement. Je sentais la chaleur de sa main envelopper celles-ci. C’était d’une douceur incroyable. Remontant sur la tige, elle titilla le gland encore emmitouflé dans sa cachette.
Françoise descendit de son siège. Sans prononcer une parole, elle me fit pivoter sur le tabouret. Elle se plaça debout entre mes jambes.
Sans dire un mot, je l’aidais à défaire ma ceinture. Elle envoya promener mes chaussures quelque part dans le bureau puis tira sur mon pantalon qui imita les chaussures. Le slip termina de la même façon. Elle regarda quelques instants ma queue dressée tout en la caressant des deux mains. Je sentais celui-ci frémir sous les caresses expertes.
Françoise fermait les yeux, semblant se délecter du moment. Seule sa respiration se faisait entendre tandis que je m’étais cambré, les coudes appuyés sur la table pour lui offrir entièrement ma queue.
Françoise déposa un baiser sur l’objet de sa convoitise. Les yeux mi-clos, je voyais ses lèvres rouge vif épouser la forme de mon gland pour le gober tel une friandise. La scène décuplait mon érection.
Lentement, sa langue parcourait le gland, tournant autour, le titillant du bout des lèvres tandis qu’une main s’affairait sur les bourses, les malaxant tendrement.
Je fermais les yeux tout en gémissant de plaisir.
Je sentais une chaleur se propager sur toute la longueur de mon sexe. Baissant le regard, je voyais ma queue disparaître lentement dans la bouche de Françoise. C’était divin !
Françoise me suçait ainsi longuement. Elle prenait son temps, prenant d’infinies précautions. Jamais une femme ne m’avait sucé de la sorte et j’étais aux anges.
Je lui caressais les cheveux.
Nous étions partis pour un voyage extraordinaire.
Je sentais arriver du plus profond de mon être les prémices de la jouissance.
Françoise avait parfaitement compris que j’étais au point de non-retour.
Elle plaqua de façon autoritaire une main sur mon ventre afin de m’immobiliser tout en guidant mon sexe le plus loin possible entre ses lèvres.
Son autre main s’activait sur mes bourses, manifestant son impatience du cadeau tant désiré.
J’explosais littéralement dans sa bouche en poussant un cri animal. Mon corps était secoué de décharges incontrôlées tandis que je me répandais longuement dans la bouche de Françoise.
J’observais Françoise.
Elle semblait se délecter de la semence offerte, souriant tout en me pompant de plus belle.
Les yeux fermés, le visage radieux, elle couvrait de baisers ma queue.
« Merci ! » Dit-elle en me lançant un regard langoureux
Quelques instants plus tard, elle se redressa puis me déposait un baiser sur les lèvres.
« Je suis sûr que vous avez encore des tas de photos à me faire voir ! » dis-je en lui jetant un regard malicieux.
A suivre…

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

sisyphe49
J'adore cette histoire, excitante au possible, dont l'atmosphère est extraordinairement troublante et renvoie irrésistiblement à une quantité de souvenirs tous plus chauds les uns que les autres, et qui se mélangent dans un tourbillon prenant la verge en otage... bravo, et je me réjouis de savourer vos autres histoires !...
Posté le 2/08/2019


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