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Pierre libertine - Douceurs et gourmandises épisode 7

Voilà plusieurs mois que Sonia explore divers horizons érotiques, plus torrides les uns que les autres. Sa libido, ses fantasmes, son plaisir n'ont de cesse de se renouveler. Mais aujourd'hui c'est au tour de Pierre de se trouver dans une situation qui va l'amener à un délicieux moment d'extase...

Proposée le 20/03/2019 par Sweet64

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FFH
Lieu: Sauna, club, sexe shop
Type: Fantasme


Chapitre Bonus

Ce matin-là, alors que l’été battait son plein, la gare était étrangement vide.
Peut-être que les vacanciers avaient quand même un peu de mal avec les départs qui précédaient le lever du soleil.

Toujours est-il que Pierre ne boudait pas son plaisir d’être ainsi au calme, alors qu’il se préparait à une bien longue journée. De travail.
Voir toute une foule excitée à l’idée de rejoindre les plages et le soleil du sud-est n’aurait fait qu’accentuer sa colère de s’être vu refuser sa semaine de congés.
Dans son malheur, le voilà parti pour les rivages sulfureux du Cap d’Agde. Il y avait pire comme destination.
Surtout pour lui qui avait toujours été intrigué par cette enclave libertaire voire libertine.

Certes, c’est le travail qui allait le conduire là-bas. Une question d’accès sécurisés à internet dans deux établissements de nuit.
Mais cela lui promettait peut-être de sacrées surprises puisque ces établissements avaient semble-t-il un lien évident avec la réputation de la torride station qu’il s’apprêtait à rejoindre.
Toujours est-il qu’il avait rendez-vous le soir même à 22h pour apprécier la situation.
Le propriétaire des lieux l’avait volontairement invité ce jour-là et à cette heure-là, afin qu’il puisse évaluer les nécessités, comme on dit souvent, en live.

Depuis que le dossier était sur son bureau et les démarches lancés, Pierre avaient justement imaginé bien des scenarii quant au live qu’il découvrirait.
Souvent lui revenait à l’esprit les images de corps peu vêtus qui se déhanchaient lascivement sur des tempos latinos, des femmes toutes plus sauvages les unes que les autres qui affolaient des hommes impatients de satisfaire tous les désirs de ces tigresses.
Certainement un mélange de fantasmes et de croyances peut-être bien non fondées sur ces temples de débauche.

Ayant gobé un petit déjeuner plus que hâtif avant de monter dans le train, et encore un peu dans sa nuit, il rejoignit dès les premiers instant du voyage, le wagon restaurant pour y déguster un excellent café made in SNCF.
Là aussi, le désert. Pas un chat. Si ce n’est une dame, assise au bar, de dos. De longs cheveux noirs qui couvraient en partie des épaules dénudées et déjà un peu halées.
Point de serveur.
Juste un café fumant devant la dame, que Pierre découvrait de plus près au fur et à mesure qu’il s’approchait du comptoir.

Une vision captivante. Un rayon de soleil cinglant dans les limbes de sommeil qui enveloppaient encore Pierre.

S’approchant avec ce qu’il pouvait avoir de plus naturel, et alors que tout le bar était libre, il demanda à cette magnifique femme s’il pouvait se joindre à elle… enfin, s’assoir sur le tabouret voisin.
Peut-être simplement surprise par cette approche, la dame n’émit aucune réticence à cette nouvelle compagnie.

Tandis que le serveur tardait à s’inquiéter de la commande de son nouveau client, Pierre engagea la conversation avec un banal « vacances ou boulot ? ».
Et non, son interlocutrice n’était pas aussi matinale que lui pour les mêmes raisons.
Elle partait rejoindre des amies et sa fille, en villégiature au Cap.
L’idée qu’il y eut des enfants interloqua un instant Pierre qui se demandait s’il était raisonnable de conduire de trop jeunes personnes en ces lieux mal famés.

Mais, comme si elle avait lu dans son regard, la belle inconnue ajouta « au Cap d’Agde, mais version sage ».

« Ah, tout le contraire de moi alors… » répliqua Pierre. Avant de réaliser combien son propos pouvait être sujet à interprétation.
« Enfin, moi c’est boulot. Mais je dois justement ma rendre du côté plus léger du Cap… »
Et d’expliquer plus précisément en quoi consistait son déplacement dans la station érotico-balnéaire.
« Pierre, je ne me suis pas présenté, Pierre »
« Corinne », lui répondit la délicieuse maman.
« Original comme déplacement… ça risque d’être amusant ! A moins que vous ne connaissiez déjà ces établissements ? »
Corinne faisait montre d’une curiosité intéressée.
« Non, non, je ne connais pas encore ; mais en effet, ça peut être sympa… euh, marrant… enfin, vous m’avez compris. » lui répondit Pierre.
« Certes, surprenant ! Oui, sympa… » répliqua Corinne.

Etait-ce l’aveu d’une curiosité certaine ?
Toujours est-il que Pierre rebondit sur son propos et creuse plus avant cet aveu.
Elle avoua ne pas avoir eu l’occasion de visiter de tels repères coquins, mais qu’elle avait souvent eu la faiblesse d’imaginer ce qui pouvait bien s’y passer.
Un fond de fantasme voyeuriste qui semblait la titiller, l’interroger, la tenter.

Fort de ces échanges, et poussé par l’esprit léger de la conversation qu’il avait avec cette charmante brunette, Pierre s’entendit lui proposer de l’accompagner.
« Si ça vous dit de venir… enfin, juste par curiosité. Et puis, moi, je me sentirai moins seul. »
« Euhhh, c’est que j’ai mes amis qui m’attendent, ma fille à retrouver, …
Bon, ok ok, pourquoi pas. Après tout, à l’origine, je ne devais arriver que demain. Il me faut juste trouver de quoi m’héberger ce soir. »
Corinne ne laissa pas passer cette occasion de partir à la découverte d’un univers qui paraissait l’intriguer au plus haut point.

« Si ça peut vous dépanner, j’ai une chambre réservée dans un bel hôtel quatre étoiles. Pour y être déjà venu une première fois, je sais qu’il y a un canapé. Je vous laisserai la chambre. »
Lui proposa Pierre.
Etre accompagné par une femme aussi jolie ne pouvait pas être désagréable pour une telle soirée… fusse-t-elle une soirée de boulot.

« Je vais voir, si je trouve quelque chose… Sinon je profiterai de votre offre. »
Corinne voulait garder la maîtrise de la situation et ne pas donner le sentiment d’être une femme facile.
Mais avait-elle réellement envie de trouver une autre solution ?
Après tout, elle allait passer la soirée dans un établissement dédié à la luxure avec cet homme qu’elle ne connaissait pas vraiment.
A ce stade-là, elle avait déjà franchi certaines barrières assez hautes. Donc autant laisser l’aventure avancer bien gentiment.

Les deux nouveaux amis d’un soir – en ce vingt et unième siècle, au royaume des réseaux sociaux digitaux, on devient amis en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire – finirent par échanger leurs numéros de téléphone pour se retrouver dès vingt heure. Ils dineraient avant de partir en exploration.

Corinne n’attendit pas vingt heures pour envoyer un message à Pierre.
Prise par diverses urgences professionnelles qui ont agité son après-midi, elle n’avait pas eu le temps de s’inquiéter et s’assurer un hébergement pour la nuit. En pleine saison, des chambres pour une personne seule, ça ne se réserve pas aisément au pied levé.
Elle proposa donc à ce presque inconnu de profiter de son offre d’hospitalité.
A vrai dire, pour le plus grand plaisir de Pierre qui se réjouissait déjà de cette galante compagnie.

Après avoir fouillé sur divers réseaux sociaux spécialisé, il dégota une table apparemment bien côté et abordable pour y inviter sa cavalière aventurière.
Une cuisine italienne qui collait parfaitement au style latin de l’élégante dame.
L’ayant rejoint à son hôtel, Pierre lui avait mis la chambre à disposition pour se préparer avant de sortir.
Et là, quel vision ! Encore plus éblouissante que lorsqu’il l’avait aperçu dans ce wagon restaurant, aux premières lueurs de la journée.
Les cheveux noirs, qui tombaient en cascade sur ses épaules dénudées. Des yeux dont le maquillage étiré accentuait le piquant.
Une ligne harmonieuse, où les courbes semblaient avoir été dessinées pour affoler les hormones du sexe dit fort.
Une beauté qui ne pouvait que faire bouillir le désir de son hôte.
Après l’avoir complimenté sur sa grâce et feignant de se sentir indigne d’une telle cavalière, Pierre proposa à Corinne de rejoindre le restaurant à pied.
Il n’était distant que de quelques trois cents mètres de là.

Le dîner ne fut qu’un charmant jeu de séduction entre les deux convives. Un jeu réchauffé par un excellent Lambrusco qui aida à libérer l’audace de l’un et de l’autre.

A tel point que c’est accroché au bras de Pierre que Corinne fit le chemin qui les séparait de ce fameux club non conformiste qu’ils avaient tous deux très envie de découvrir.
Envie et crainte.

Le patron des lieux ne parut pas du tout contrarié que Pierre se présenta accompagné. Celui-ci lui expliqua que Corinne travaillé dans le milieu de la création de site web, et qu’ils partageaient ainsi certains rendez-vous professionnels afin de mieux appréhender le domaine de l’autre.
Pour les mettre à l’aise, il leur expliqua rapidement comment fonctionnait la maison, les différents espaces, bar, piste de danse, spa, coins coquins, … et les invita à le suivre dans son bureau.

Pierre était le plus concentré possible sur toutes les attentes qu’exposait le patron du club.
Par les vitres sans tain du luxueux bureau, Corinne, elle, se distrayait en regardant ce qu’il se tramait entre le bar et la piste de danse.
Quelques femmes légèrement vêtues de robes estivales parfois très courtes ou assez transparentes s’invitaient entre elles à aller se trémousser lascivement sur des rythmes suaves.
Quelques hommes osaient déjà s’approcher mais se faisaient éconduire pour la forme.
D’autres couples admiraient le spectacle depuis le bar.
Là, un couple s’embrassait langoureusement sur un canapé. Monsieur caressait la cuisse dénudée de madame, dont la fesse reflétait les éclairs des spots de la discothèque.
Le baiser montait en intensité, au fur et à mesure que la main de monsieur glissait sur la robe de madame, pour gagner un sein et entamer un pétrissage en règle.

Sur la piste, deux brunettes quadras, accrochées à une bar de pole dance s’enlaçaient et partageaient quelques jeux de langue.
Elles étaient ni belles, ni moches. Libérées, spontanées, sensuelles, elles incarnaient un forme de charme assumé qui ne manquaient pas d’émoustiller Corinne.
Bientôt deux hommes s’approchèrent pour se coller à ces deux pin-up et enclencher un frotti-frotta synchronisé sur les ondulations des fessiers féminins.

Pierre avançait dans son analyse avec le propriétaire de lieux.
Mais d’un œil discret, il pouvait voir que Corinne n’en perdait pas une miette.
Il fut d’ailleurs tout surpris de deviner sous la robe de sa cavalière deux tétons qui se dressaient allègrement.
Après près de quarante-cinq minutes d’échanges avec Pierre, le patron proposa de faire un tour des lieux plus exhaustif pour boucler l’analyse du projet.
Corinne, dont la curiosité était déjà bien excitée, se joignit à eux pour cette visite.

Derrière la piste de danse, il y avait tout d’abord des vestiaires, où les clients pouvaient se dévêtir pour rejoindre l’espace humide du complexe : spa, hammam, et autres lieux où il pouvait être fort agréable de se perdre.
D’ailleurs, tandis que les trois « visiteurs » faisait leur petit tour, déjà plusieurs couples, trios, quatuors voire plus s’ébattait tantôt discrètement, tantôt avec force cris et acrobaties.

Le tour du propriétaire s’acheva avec les coins dit « câlins » ou « coquins ».
Diverses salles de tailles différentes, aux décors variés, aux accessoires multiples, pour attacher une proie, pour suspendre une rebelle.

La visite étant achevée, l’hôte fit offrir une bouteille de champagne à son couple de visiteur et les somma de profiter des lieux à leur guise.

Après avoir dégusté leurs premières coupes, Corinne suggéra à Pierre d’aller gouter à quelques plaisirs humides.
Sans aucune gêne, elle se dénuda dans le vestiaire pour réapparaître dans toute sa beauté sous les yeux gourmands de Pierre.
Des lignes délicieusement harmonieuses, des seins ronds et invitants à la dégustation de plaisirs assurément suaves, un sexe totalement lisse qui aiguisait l’appétit.

Tous deux se glissèrent dans un spa où se relaxaient déjà deux autres couples.

Après un petit salut de circonstance, Corinne se vit être délicatement approchée par une des dames.
Une blonde au visage tout doux et à la peau très claire.
Elle se présenta « Stéphanie », en embrassant Corinne sur les deux joue.
Et tout en discutant le plus naturellement du monde, posa presque immédiatement un main sur une cuisse de Corinne.
Sans trop perdre de temps, elle fit glisser cette main sur toute la cuisse, avant de l’envoyer se perdre sur l’abricot de sa nouvelle voisine.
Corinne laissait faire ; et ne la repoussa pas plus lorsque Stéphanie approcha ses lèvres pour lui dérober un premier baiser.

Fort de l’approbation apparente de Corinne, elle enchaina avec un second baiser bien plus gourmand.

Très vite les deux dames échangeaient des caresses. Tout y passait : leurs jambes, leurs fesses, les sexes, et surtout leurs seins.
Stéphanie abandonna la bouche de Corinne pour descendre déguster un téton. Déguster, mordiller, téter.
Toute à son plaisir, Corinne pencha sa tête en arrière, offrant son cou à la bouche de Pierre qui se délectait du spectacle.
Pas encore totalement évanouie, Corinne tendit son bras pour cherche le sexe de son partenaire.
Très vite, elle localisa des couilles avant de remonter sur le manche tout tendu.
Elle se faisait manger les seins par Stéphanie, tout en lui rendant du plaisir par milles caresses sur ses mamelons et en branlant très lentement Pierre.

Stéphanie voulait aussi faire jouer ses doigts, et entrepris de glisser sa main plus profondément entre les jambes de Corinne.
Titillant le clitoris de sa partenaire du bout de son pouce, elle glissa un doigt dans sa chatte.
Corinne se crispa un instant sur le sexe de Pierre. Puis repris son lent mouvement.
A son tour, elle chercha le fruit défendu de Stéphanie.
Elle décela une toison légère qui indiquait l’entrée de la salle de jeu.
Et ne tarda pas à rendre la pareille à cette inconnue qui lui fouillait la chatte.

Stéphanie invita ses deux collègues d’amusement à la rejoindre sur un tapis épais étendu en bordure de spa.
A peine Corinne étendu sur le sol, Stéphanie posa sa bouche sur son sexe. Elle voulait visiblement la dévorer. Et s’y prenait à merveille !
Aspirant le bouton de Corinne, elle l’excitait du bout de sa langue, avant d’enfourner celle-ci dans le sexe ruisselant.
Pierre, au service de ces dames caressait les seins de Stéphanie tout en léchant ceux de Corinne.
Il adorait manger ces tétons qui se dressaient sur ces seins magnifiques. Il alternait coup de langue, succions, caresses.
D’une main, il complétait ces gourmandises de savants malaxages. Resserrant sa main sur le sein jusqu’à sa pointe.

Quand les deux amantes inversèrent leurs positions, Pierre se positionna derrière Corinne pour lui bouffer le cul.
Une feuille de rose pleine d’envie, de fougue, de passion.
Il titillait le petit trou de la belle avec sa langue.
Il l’excitait avec un doigt mouillé par sa salive.
Corinne semblait ravie de ses attentions.
Mais elle n’en oubliait pas de faire frémir sa Stéphanie.
Elle prenait un plaisir totalement libéré à se rassasier de cette chatte. Tout en pétrissant les seins dressés de sa victime.
Pierre avait commencé à fouiller le cul de Corinne avec un doigt. Apparemment, elle semblait apprécier, et n’offrait aucune résistance.
Tout en humidifiant son petit trou avec sa langue, il y glissa un second doigt. Tout doucement. Progressivement.
Il fouilla ainsi la cavité durant un long moment.
Avant de retirer ses doigts pour déposer un long trait de salive sur l’ouverture interdite.
Il approcha son gland de cette grotte fermée et sans trop forcer le fit pénétrer avec délicatesse.

Corinne se cambra quelque peu, mais chercha avant tout à aider la progression de ce sexe dans son antre.

Une fois bien au fond, Pierre entama un lent va et vient qui arrachait des contractions jouissive à la belle.
Dans le même moment, Stéphanie se glissa sous Corinne pour lui manger à nouveau l’abricot et glisser plusieurs doigts dans sa fente.

La sauvage Corinne était remplie dans les deux trous.
Une délicieuse sensation qui habitait son ventre. Une tension délectable qui irriguait son cul.

Pierre cala son tempo sur les mouvements de la main de Stéphanie.
Celle-ci accélérait la cadence.
Corinne se cambrait de plus en plus, et ne tarda pas à jouir, tandis que Pierre libérait sa semence sur ses fesses.

Stéphanie déposa alors un baiser délicat sur les lèvres de Corinne.
Comme si elle avait compris que c’était une première pour elle.
Puis s’esquiva pour rejoindre son homme qui s’ébattait avec le couple resté dans le spa.

Corinne mit quelques minutes à recouvrer ses esprits.
Et c’est l’esprit plus que léger qu’elle acheva sa nuit, se baladant sur le front de mer.
Pour prolonger le plus délicieusement possible cette charmante parenthèse de vie.

Pierre, lui, s’inquiéta un instant de ce que Sonia pourrait penser de son aventure.

Mais les derniers mois, et tous les événements récents lui laissaient penser qu’elle trouverait cela certainement fort excitant.

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