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Petits Secrets entres Adultes

Il y a bien longtemps, notre jeunesse n’avait pas tout ces outils bons ou mauvais selon ce qu’on en fait, pour apprendre à aimer. Les mots utilisés étaient eux même proscrits. Quelques fois dans le secret d’une remise, une fille de notre âge lors de ses premières émotions soulevait sa jupe et tombait sa petite culotte. On osait à peine regarder !

Proposée le 17/02/2019 par maximilien7

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Thème: Masturbation
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


J’ai connu le temps des silences, celui des non-dits, celui des petits secrets susurrés à mon oreille curieuse, par des copains ou des copines mieux informés. Nous trouvions en ce temps là, les grandes sœurs si belles quand elles portaient leurs mini-jupes, nous laissant entrevoir l’interdit ou détour d’un pernicieux coup de vent.
L’interdit, n’avait pas de nom, il ne se disait pas, ne se regardait pas et surtout ne se touchait pas. Par la force des choses nous étions tous, garçons et filles à la recherche permanente de ce tabou. Les occasions étaient rares, nous vivions séparés, les filles d’un côté, les garçons de l’autre sous l’œil suspicieux des adultes.
Nous n’ignorions pas naturellement les différences entre sexe, mais de voir un corps nu sans que ce soit le nôtre était proscrit et le cas échéant sévèrement punit.
La curiosité s’en est mêlée bien sûr et la vie en campagne facilitait grandement les choses. Nos frères et nos sœurs aînés cherchant à séduire le sexe opposé, trouvaient toutes sortes d’astuces pour rencontrer l’âme sœur et c’est là que nous jouions involontairement un rôle plus ou moins complice. En montant la garde dans un couloir ou à la porte d’une grange, parvenaient alors à nos oreilles les petits bruits de vêtements arrachés, de longs soupirs exaltés et de furtives caresses.
En écoutant les râles des uns ou des autres, les gémissements étouffés des filles nous cherchions à voir entre deux planches, pour découvrir dans la pénombre un visage grimaçant, un cul s’agitant entre deux cuisses écartelées.
Nous ne comprenions pas pourquoi ces filles pouvaient accepter ainsi une torture infligés avec une telle vigueur qu’elles en criaient de douleur.

Ma sœur pour laquelle je pris des risques un après-midi en acceptant cette tâche ingrate, s’employât à rétablir cette contre-vérité que je m’étais imaginé.
Une nuit ou elle était de garde en l’absence des parents, c’est dans ma chambre que j’appris par sa bouche ces choses qui ne devaient même pas êtres dites. Assise au bord du lit elle jouât de sa main douce en parcourant le contour de mon ventre, s’arrêtant de justesse à l’élastique de la culotte, pour retourner au buste en accomplissant un prodigieux jeu d’attouchements.
Tandis que je m’abandonnais à cette tendresse, je me rappelle avoir souhaité qu’elle poursuive plus avant ses caresses. Qu’elle dépasse le seuil du seul vêtement que je portais encore. Un souhait impudique aussitôt rejeté par d’innombrables injonctions mentales inscrites en ma mémoire par mon éducation chrétienne. C’est dans cet interdit, pourtant que je trouvais aussi l’envie de la transgression, mon corps vibrant de désir venait de s’éveillé à un besoin nouveau.

A l’ instant où sa main s’est autorisée de franchir le dernier rempart, s’est affirmé le combat entre le défendu et l’envie de franchir enfin cette ultime barrière. Elsa, est une fille douce et sensible, ce soir là, à peine éclairée par la lampe de chevet elle cherchait à initier une éducation sexuelle absente par la rigueur de cette époque. L’érection de mon sexe désavouât ma réticence et mis à bas ma pudeur de gosse.
Elle ne fît aucune allusion à ce qu’on ne pouvait ignorer, et poursuivît l’exploration de mon bas ventre, me laissant tressaillir à chaque caresse de ses doigts. Je restais les yeux fermés, en sentant glisser mon slip sur mes cuisses, je reteins ma respiration quand de sa bouche sa salive chaude enduisît mon phallus hypertendu d’un sirop protecteur. Et tandis qu’elle énonçait les choses de l’amour sa main renfermant ma verge me projetât hors du temps.

- Voilà ce qu’on ressent en faisant l’amour, disait-elle, ce n’est pas une douleur mais un plaisir infini et quand un jour tu connaîtras une fille, ton sexe trouvera entre ses cuisses la porte secrète de son âme. Elle gémira par plaisir, elle criera par amour, elle s’unira alors à toi par passion.

Tandis que se contractèrent tous mes muscles et que s’échappais ma respiration, Elsa massant mon pénis avec célérité, ralentit imperceptiblement le rythme de son emprise. J’éjaculais alors longuement souillant en brèves cascades, sa main. Un baisé sur mon front, une caresse sur ma joue clôturât mon initiation, Elsa avait accomplie ce qu’elle estimait nécessaire à ma vie future. Elle m’avait instillée le respect du corps, enseignée l’anatomie féminine en décrivant sans pudeur ses propres expériences, ses envies et ses besoins. Je compris cette nuit là, que ce n’est pas l’amour qui est douloureux, mais…l’abandon de l’être aimé.


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Commentaires de l'histoire :

Philus
Jolie histoire, vous êtes chanceux d'avoir eu une soeur comme celle-ci.
Posté le 26/05/2019

Roleplayer
Très joli texte.
Posté le 24/02/2019


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