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Le coup de la panne

Liam et Seva doivent faire venir le mécanicien de l'assistance car leur fourgon aménagé est en panne au bord du canal. Une fois le camion réparé, le jeune couple va faire une sieste crapuleuse dans le fourgon, sans se douter que le garagiste va les rejoindre quelques instants plus tard...

Proposée le 2/02/2019 par Solaire

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Thème: pratiques sexuelles
Personnages: FHH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Roman


Ce matin-là , Liam et moi nous réveillâmes tranquillement, et tardivement, dans notre fourgon aménagé. Nous l’avions garé pour la nuit au bord d’un canal, légèrement en retrait de la route pour ne pas être gênés par le bruit des voitures. Liam voulut allumer le moteur pour désembuer le pare-brise… rien. Aucun voyant, aucun toussotement du moteur ! Nous appelâmes l’assistance, et la dépanneuse arriva trois quarts d’heure plus tard, il était déjà presque midi.
Le mécanicien examina la batterie, fit les tests nécessaires, puis la rechargea. Nous le remerciâmes chaleureusement.
Le garagiste repartit à côté de son camion, il y avait un banc sur lequel il s’installa pour manger son sandwich.

Quant à nous… nous avions l’habitude, quand Liam n’était pas parti surfer, ou que je n’étais pas en train de plonger, de faire une sieste crapuleuse. Ce n’était pas ce mauvais début de journée qui allait nous décourager ! C’était du moins ce que je compris lorsque j’étais en train de ranger le vide-poche et que Liam se pressa derrière moi : je sentis alors une belle bosse contre mes fesses... Je me retournai pour l’embrasser à pleine bouche, nos langues jouaient l’une avec l’autre, pendant que sa main, glissée sous mon T-shirt, malaxait mon sein.
Nous rentrâmes dans le camion pour continuer notre affaire. Je libérai le chibre de mon homme, bien trop à l’étroit dans son short. Ma langue, parcourant son cou, son ventre, finit par se perdre et enroula son gland, lisse et légèrement salé. Je le dégustai ainsi plusieurs minutes, faisant monter son excitation. Ma langue parcourait maintenant son phallus jusqu’à la base, et se promenait aussi sur ses boules. Les soupirs de mon homme m’excitaient moi aussi. Je sentais que je commençais à être bien mouillée. Enfin, je le pris entièrement en bouche, commençant des va-et-vient lents et profonds, alternés avec un suçotage plus rapide de son gland. Il n’en pouvait plus, et m’arrêta. « A mon tour ! » me susurra-t-il, avant de m’embrasser l’intérieur des cuisses, en remontant jusqu’à mon entrejambe trempée de désir. Il commença par me donner des petits coups de langue sur les grandes lèvres, entièrement épilées, pour me rendre folle d’envie. Je me cambrai, je voulais tant qu’il me dévore… Enfin, je sentis sa langue se glisser entre mes petites lèvres, remonter en plusieurs fois jusqu’à mon petit bouton, dont l’érection le rendait encore plus facile à trouver. Il le titilla, faisant tournoyer sa langue, le suçotant, le dégustant tel un bonbon… Mes gémissements devenaient de plus en plus forts, et quiconque passait par là ne pouvait ignorer ce qui se passait dans ce fourgon…

Mais d’ailleurs, il y avait bien quelqu’un à quelques mètres de là, qui avait fini son repas pendant ce temps ! Vincent le mécanicien, entendant mes gémissements, ne put s’empêcher d’avoir la gaule, et, d’un tempérament optimiste, il se décida à aller nous rejoindre. Il entrouvrit la porte latérale du camion. Liam et moi sursautâmes, mais lorsque nos regards virent la bosse dans le bleu de travail de Vincent, nous comprîmes qu’il n’était pas venu pour nous apporter la facture. « Viens, entre ! »
Je déboutonnai le pantalon de Vincent et prit sa queue, assez courte mais d’un beau diamètre, entre mes doigts. Il semblait légèrement gêné, mais surtout il semblait se délecter de la vision de mon corps nu et bronzé, sculpté par la pratique de la plongée avec palmes, et par le yoga. Tout en branlant notre garagiste, je repris le phallus de Liam dans ma bouche. Je le sentis aussitôt gonfler entre mes lèvres. Liam m’incita à me pencher en avant, à quatre pattes, et se plaça derrière moi pour une levrette, qui, je ne le savais pas encore, n’était qu’un échauffement. Cette position me permit de commencer à sucer notre spécialiste des batteries. La fellation était rythmée par les coups de butoir que je recevais de mon homme. La queue de Vincent s’enfonçait chaque fois plus profondément dans ma gorge. Au bout de cinq minutes, Liam se retira, et m’invita à m’allonger sur le côté. S’allongeant derrière moi, en cuillère, il insinua son sexe lubrifié de cyprine entre mes fesses. Ce que vous ne savez pas encore de moi, c’est combien j’adore la sodomie. Je sentais le gland de Liam pousser doucement contre mon petit trou, qui s’ouvrait chaque fois un peu plus. Je regardais Vincent droit dans les yeux, il se branlait en observant la scène. Au bout de quelques instants, presque tout le membre de Liam était en moi, ma respiration se fit de nouveau rapide et profonde. A cet instant, je pris la main de Vincent pour la guider vers mon minou. Il m’enfonça tout de suite trois doigts, ce qui m’arracha un cri de plaisir. Il me doigtait de plus en plus fort, et derrière moi mon homme me pilonnait le cul de plus en plus fort également. « Prends-moi aussi », demandai-je à notre invité. Dans un enchevêtrement de jambes et de sueur, il réussit à introduire son membre dans ma grotte bouillante d’excitation. Mes deux amants n’eurent aucun mal à trouver le rythme parfait pour me pilonner ensemble, je me sentais pleine de partout, leurs gémissements rauques m’indiquèrent qu’eux aussi prenaient leur pied. Après seulement quelques minutes de ce traitement, une vague de jouissance, que dis-je, un tsunami, tel que je n’en avais jamais connu, m’envahis, mon corps était rempli de spasmes quand je hurlais mon plaisir. Au même moment, Liam et Vincent se déchargèrent eux aussi, me laissant profondément satisfaite et pleine de foutre.
Notre garagiste prit congé, et, après cette aventure, il se peut que nous ayons encore oublié d’éteindre les phares parfois...

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