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Pas tout à fait seul

Les plaisir solitaires d'un jeune homme s'entremêlant avec les souvenirs de sa petite amie absente depuis 1 mois. Après une discussion sur internet avec cette dernière il laisse son désire s'exprimer.

Proposée le 19/08/2018 par InDisguise

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Thème: Masturbation
Personnages: Solo
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Ça va faire 3 semaines que tu es partie et il n’y a pas un jour où je ne pense pas à toi. Jusqu’ici j’avais souvent de quoi m’occuper l’esprit pour que ton absence ne soit pas trop pesante et que mes envies ne m’amènent pas à souffrir d’une main droite toujours insuffisante à les apaiser.
Je ne vais pas te mentir j’ai craqué 1 ou 2 fois.

Puis le camp scout fut un moment de répits. Étant occupé toute la journée d’une façon ou d’une autre au point de ne pas avoir le temps de laisser mes pensées s’envoler plus loin que le simple manque de ta présence, je m’endormais comme une masse le soir bien qu’amère de ton absence auprès de moi.
Il y a bien une fois où, seul dans la douche, j’ai voulu laisser les souvenirs de nos nuits et de ton corps guider ma main mais le manque de temps et le cri d’un gamin dans les dortoirs adjacents ont eu vite fait de me refroidir.

Sauf que voilà, le camp est fini et mon esprit bridé pendant un peu plus de 10 jours reprend ses droits.
Je suis seul dans ma chambre recevant de ta part une photo de toi, assise lascivement de dos, les bretelles de robe tombées pour laisser apparaître les marques que le soleil t’a laissées sur la peau. Je suis peiné par la souffrance que t’inflige cet astre que je déteste de ne plus nous éclairer en même temps mais c’est sans compter mes pensées n’en demandant pas plus pour s’évader. Elles me font fantasmer sur ton soutien-gorge apparent, imaginer les courbes de tes hanches sur lesquelles reposent nonchalamment le tissu retiré. Je me laisse bercer par le souvenir de ces dessous que je crois reconnaître, la forme galbée de ta poitrine, la dentelle noire ne couvrant que bien peu ces fesses que je rêve d’embrasser.
Me voilà bien serré dans ce boxer noir. Je veux te le dire mais sais que tu n’aimes pas ce genre d’échange par messages interposé. Je t’exprime à demi-mots mon émois pour ne pas t’embarrasser plus que ça, me doutant que ça n’ira de toute façon pas plus loin. Surprise, tu me proposes de m’envoyer demain des photos de toi en bikini (ce qui n’arrange en rien mon excitation) mais change juste après de sujet me laissant quelque peu frustré de cet ascenseur émotionnel tout en étant impatient de recevoir ces clichés.

La conversation se termine mais mon boxer ne se désemplit pas. Je te souhaite une bonne nuit tout en regardant cette bosse effrontée dont tu es la cause.
Je veux penser à autre chose, me retourne sur le dos, ferme les yeux, une main sur le ventre. Mauvaise idée. À l’instant de fermer les paupières, c’est tout ton corps qui s’empare de moi. Je pourrais presque sentir ta poitrine se loger aux creux de mes mains, sentir ton parfum et la caresse de tes cheveux lors de nos va-et-vient, le goût de tes lèvres fiévreuses, …
Je me rends compte au bout d’une bonne minute qu’une légère pression est venue accentuer celle de l’étroitesse déjà établie de mon boxer. C’est ma main qui a glissé de mon ventre à mon insu, se refermant sur cette excroissance visible.
Je frôle d’abord le tissu, la respiration s’accélérant. J’imagine ta main remplaçant la mienne.
Je ne tiens que peu de temps à ce petit jeu et sors le lubrifiant. Je retire le seul vêtement salvateur de ma pudeur restant, fait couler un filet de liquide sur ma verge et sur le bout des doigts. J’étale la substance visualisant la douceur de ta main, démarre à la base, remonte lentement vers le gland gonflé de désire. À destination, je joue délicatement avec lui essayant de me persuader que c’est ta langue qui s’amuse de mon émoi dressé.
Mes doigts frôlent, ta langue caresse. Ils tournent et flattent le col durcit d’une virilité qui se croient léchée. Mes muscles se contractent à chaque réminiscence de tes jeux gustatifs passés.

Toujours aussi impatient, je succombe très vite à l’envie de l’entourer complètement de ma main et commence de léger va-et-vient, ayant toujours la douceur de tes lèvres pour exutoire. Je sens le plaisir monter au rythme des mouvements fantasmés de ta bouche, sens mes abdos se contracter à chaque descente de poignet. Le souffle est court quand la paume remonte flatter la tête bombée et dégoulinante de plaisir. L’envie d’accélérer est trop forte, je me cambre à l’arrivée d’un plaisir plus grand encore, m’arrête de justesse.
Je ne veux pas venir tout de suite et, dans cette même pensée, me rappelle t’avoir emprunté cet œuf Tenga jusqu’ici oublié.

Je fouille dans le même tiroir que tout à l’heure, empressé et maladroit. Je délivre le jouet de son craquant de plastique et refermant les yeux pour te voir t’installer à genoux au-dessus de moi. Tandis que je viens agripper mon sexe pour laisser glisser dessus l’œuf, c’est toi que je vois l’étreindre pour le diriger en toi. Tandis que la 1ère descente survient, c’est ton imperceptible tremblement de plaisir que j’attends sentir. Tandis que je recommence le va-et-vient, ce sont tes mouvements de bassin qui enflamment mes rétines voilées. Je me délecte de cette vision rêvée, veut sentir le frottement de tes fesses contre le haut de mes cuisses. J’agrippe les draps. Mes fesses se soulèvent du lit comme voulant porter fougueusement le poids absent de ton corps brulant.
Je/Tu accélère et je cherche tes hanches que les doigts de cette main libérée des draps ne trouvent pas. Je soupire, me cambrant de nouveau. Tu me mords la nuque sans laisser de marque, tu griffes de plaisir un dos restant immaculés. Tu trembles sentant enfin les cris dans les coussins approcher.
Je pourrais presque sentir ta poitrine se loger aux creux de mes mains, sentir ton parfum et la caresse de tes cheveux, le goût de tes lèvres fiévreuses, … Presque … Presque … PRESQUE !

Me voilà nu, pas encore essuyé de ce moment suffisamment solitaire pour me laisser ce goût d’inassouvi, suffisamment fort que pour repousser l’impatiente encore quelques jours.


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Commentaires de l'histoire :

Philus
Joliment décrit, aucunement vulgaire,tout dans l'interprétation que le lecteur en fait. Attention toutefois à l'orthographe et, de même, écrivez les nombres en lettres.
Posté le 5/09/2018


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