Histoire Erotique

Littérature adulte en ligne, histoires érotiques et récits coquins gratuits...

Quand on aime, on fait tout ensemble

La première fois que l'amant trop vieux offre la virilité d'un autre homme à sa femme et en tire un immense plaisir

Proposée le 28/06/2016 par Adrien Derbyl

Votre note pour cette histoire érotique
Nous vous remercions pour vos nombreuses contributions, elles motivent les auteurs à poster leurs histoires érotiques.

Thème: Première fois
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


PRÉLUDE

Ils étaient follement amoureux l’un de l’autre et ils étaient très sensuels. Dans leur ébats amoureux rien ne les arrêtaient dans leur recherche d’un plaisir commun.

Lui adorait la câliner, la pénétrer partout, la caresser et tombait en extase à ses genoux pour embrasser avec une dévotion sans pareille on sexe tâchant d’absorber toute les liqueurs divines qu’il secrétait. Il aimait et son goût et son odeur, à tel point qu’il la suppliait de ne pas se laver le sexe avant de le lécher goulûment. Il était fou de la posséder ainsi complètement. Il prenait un plaisir malin à la mettre sur le ventre, pour parcourir de sa langue son dos en s’attardant sur la chute de ses reins avant de la glisser entre ses jolies fesses et s’arrêter longuement sur la rose pour la pénétrer doucement. Une fois qu’elle s’ouvrait à son baiser sous la rosée de sa bouche, il y poussa un doigt, puis deux, tout heureux de cette possession tant désirée. Il augmentait encore son plaisir d’être pénétrée ainsi en introduisant le pouce dans son vagin pour le faire rejoindre à travers la frêle paroi les deux doigts inquisiteurs et pratiquer ainsi un massage interne qui la ravissait. Un autre point de toute son attention était la succion de son bouton d’amour, cherchant à pénétrer du bout de la langue le petit orifice qui s’y dissimulait.

Elle aimait s’abandonner à tout cela et que l’acte fut joyeux mais aussi varié que surprenant. Elle adorait devenir le jouet de son amant. Hélas l’âge de celui-ci et sa médication contre la tension ne lui permettait plus l’intromission dans son sexe, aussi c’est avec plaisir qu’elle inventa des jeux avec toutes sortes de gadgets. Bien vite, elle se rendit compte du plaisir évident d’être pénétrée par un vibromasseur qu’il manipulait comme un sexe ajoutant à sa grosseur des vibrations intenses. Elle était en quête de sensations nouvelles, aussi la liste des accessoires grandit au fur et à mesure. L’extase commune n’arrêtait pas d’augmenter à chaque séance et elle arrivait à avoir plusieurs orgasmes successifs poussant des petits gémissements et tendant le ventre en avant sous la délicieuse brûlure qu’elle éprouvait.
Claudette et René cherchaient constamment à sublimer tellement leurs transports, qu’un jour après l’avoir fait jouir plusieurs fois. René osa lui avouer que son fantasme suprême était de la voir défaillir dans les bras d’un autre homme qui la pénètrerait et lui procurerait ce plaisir assez naturel de sentir un sexe conquérant labourer son ventre, de se laisser submerger par un plaisir animal plus animal qu’amoureux par un inconnu à qui elle se donnerait sans pudeur et avec envie. Cela ne pourrait que le rendre plus amoureux encore. Elle regarda René dans les yeux et elle soupira qu’elle aimerait aussi être prise devant lui et que sa jouissance serait doublée par celle que lui donnerait l’intrus et à la fois par un sentiment trouble de s’offrir, sans retenue aucune, sous les yeux de celui qu’elle aime et qui vibrerait à chacun des gestes accomplis dans une excitation croissante.
Bouleversé, René murmura d’une voix sourde, tu ferais cela pour moi ? Tu accepterais de te donner totalement ? Sous mes yeux ? Claudette lui répondit d’un fougueux baiser et répondit haletante « oui je le veux, j’en ai une folle envie. Ce serait tellement bon de sentir une queue en moi sans amour, rien que pour satisfaire mon corps qui ne connaît plus cette sensation que j’ai aimée jadis »

Une queue ? C’était la première fois que Claudette employait ce mot et René éprouva un choc. Mais bien vite, il se mit à l’aimer ce mot une queue. Une queue dans la femme qu’il aimait, une expression pornographique qui brusquement prenait une dimension érotique qu’il n’avait jamais ressentie. René questionna presqu’incrédule « tu veux une queue, une queue d’un homme que tu ne connais pas ? Ce sera presqu’un viol » « Oui, mais consenti par moi et désiré par toi. Le mariage parfait de sentiments d’animalité et de spiritualité pour que je me sente femme comme je ne l’ai jamais été. Mon corps jouira sous ses assauts et mon esprit par le fait de ta présence et de ta satisfaction » me répondit-elle.
Ce fut elle qui chercha l’invité par le biais d’un site Internet. Elle considérait que c’était à elle de le faire, non par envie de sélectionner l’homme mais bien dans l’idée qu’elle offrirait ce cadeau à son amant. Le jour venu, elle mit des dessous extrêmement suggestifs, se maquilla légèrement et se parfuma. Elle était prête à se donner mais elle avait le cœur battant à la pensée de la venue prochaine de Jean cet homme d’une cinquantaine d’années qui était marié et qui désirait avoir des plaisirs clandestins. René était comblé qu’elle ait trouvé un amant viril et Claudette était émoustillée à l’idée de la découverte d’un autre corps, d’une autre bouche et d’autres mains sur elle. En déterminant le rendez-vous, dans cette terrible complicité, ils jouirent plus que d’habitude.

LA RENCONTRE
Le jour fixé, Claudette et René avaient le cœur battant dans l’attente de cet inconnu qui allait leur apporter le bonheur tant attendu. Quand Jean sonna à la porte, ce fut Claudette qui alla ouvrir à son amant d’un jour et l’introduisit dans le salon. Un moment de gêne compréhensible mais très vite passé, René et Jean sympathisèrent et René invita Claudette à se blottir dans les bras de celui qui allait la posséder toute l’après-midi.
Claudette se lova au creux de son épaule. Après un regard de connivence avec René, elle tourna son visage vers lui et lui offrit ses lèvres. D’abord hésitant, le baiser devint vite profond et elle posa sa main sur sa braguette. Lui tenta maladroitement de défaire son corsage. N’y arrivant pas, il souleva le bas de sa robe et glissa ses doigts entre ses cuisses pour atteindre son bas-ventre. La caresse des doigts sur le satin de sa culotte porta au paroxysme son désir. Elle regarda encore une fois René pour obtenir son acquiescement saisit la main de Jean et l’entraîna à l’étage où se trouvait le lit et un fauteuil qu’elle avait prévu pour le spectacle qu’elle désirait donner.

René fut subjugué en voyant sa compagne se déshabiller avec précipitation, jetant ses vêtements au sol s’allonger impudique sur la couche et attirer l’homme vers elle. D’emblée sa main partit à la recherche de sa verge dans le pantalon qu’il n’avait pas encore défait. Il ôta pantalon et slip fébrilement et son sexe apparut tendu à l’extrême. Il était de taille moyenne mais assez long. René pensa qu’il pouvait aller très loin en elle et cette idée le ravit. Il était dans l’attente de la voir ployée sous le joug de Jean.

Claudette s’était mis à l’ouvrage, s’était penchée en avant pour et caressait de la langue le bout gonflé de ce pénis dont elle découvrait le goût. Cela lui plut manifestement car d’un seul coup, comme ne pouvant plus résister, elle ouvrit grande la bouche pour l’aspirer en elle, ses lèvres formant un écrin de velours. Elle pompait ce dard tantôt avec force, tantôt avec douceur. Parfois elle introduisait, taquine, le bout de sa langue à l’entrée du méat. René était haletant avec l’espoir que ce moment durât longtemps.

Après cette entrée en matière, Jean la fit s’allonger sur le dos, se mit sur les genoux pour pouvoir caresser et sucer ses seins en taquinant les bouts qui se dressaient orgueilleusement sous la légère morsure qu’il leur faisait. Claudette tendait sa poitrine vers cette bouche pour mieux en apprécier cette délicieuse sensation. Mais très vite ses lèvres se mirent à descendre le long de son ventre pour se fixer entre les lèvres vaginales et lécher son clitoris. Claudette, très sensible en cet endroit écarta instinctivement et fortement les cuisses pour encore mieux s’épanouir et ses reins se cambraient sous ce baiser chaud qui la faisait frissonner entièrement. René voyait dans cette attitude une femme qu’il ne connaissait pas bien. Claudette jouissait à fond, sentant a langue s’insinuer en elle pour remonter ensuite vers le clitoris. Puis Jean introduisit délicatement un doigt dans son sexe, bientôt rejoint par un deuxième et un troisième pour lui masser l’intérieur du ventre. Son sexe se mouillait de plus en plus et une fois bien lubrifiée, elle lui demanda d’une voix troublée de la prendre, de la pénétrer. Elle en avait trop envie pour encore attendre cette sensation tellement désirée. D’une voix rauque, il lui commanda de se mettre en levrette et mit son sexe entre ses fesses.

Sous cette intrusion dans sa féminité qu’elle sentait sans voir celui qui la pénétrait, en sentant les mains qui lui saisissaient les hanches et un bas-ventre cognant ses fesses, elle devint tout entière à l’écoute de son corps mais son regard se portait vers René assis sur son siège comme pour le prendre à témoin du plaisir immense que ce viol désiré lui apportait. Quand elle constata avec quels yeux il la regardait se faire prendre et que sa main discrètement s’était mise sur son entrejambe, elle eut conscience brusquement qu’elle devait se surpasser dans cette étreinte.
Il voulait du spectacle, il allait en avoir. Elle cessa de penser à lui pour s’appliquer dans l’abandon de son corps à ce conquérant. Lui la sentant si soumise à sa virilité se mit à faire des va-et-vient de plus en plus profondément, des plus en plus puissants à tel point que chaque coup de boutoir faisait un bruit sur ce cul tendu et offert. Elle en oubliait tout, René et même Jean pour s’abandonner à cette force cosmique, à cette animalité qui la pénétrait au point de ne plus vivre que par ce sexe brutalisé. Elle aurait eu envie de hurler son bonheur mais disait d’une voix presque inaudible continue encore, plus fort, plus loin, n’arrête pas. Elle désirait que le sperme jaillisse, le sentir chaud contre les parois de son ventre, recevoir toute la puissance d’une virilité qui explose en elle. Lui en pleine folie sexuelle répondait à ses demandes de plus en plus violemment. Il sortait son sexe totalement pour d’un grand coup de rein puissant il se poussait violemment au plus profond d’elle. Brusquement, il se contracta et dans un grand gémissement il jouit en elle avant de s’effondrer à ses côtés.

Elle revint doucement à elle, tourna la tête vers son unique amour et vit dans ses yeux le bonheur immense qu’il avait éprouvé à la voir ainsi perdre toute mesure. Elle tapota de la main le lit à côté d’elle et lui demanda à René de venir la rejoindre. Elle avait envie de sa tendresse, d’avoir sa tête au creux de son épaule. Il se mit à la caresser doucement et elle se sentit pleinement épanouie et apaisée. René l’aimait et elle l’aimait aussi. Il déposait maintenant de tendres baisers sur sa peau un peu partout ressemblant à de grosses gouttes de pluie tombant après l’orage sur une terre abreuvée. Il se pencha sur elle posa sa bouche, en une adoration suprême sur ce sexe encore dilaté par l’intrusion puissante qu’il avait subi. Amoureux fou, il ne put résister et alla au plus profond d’elle chercher son bonheur. Il sentait dans sa bouche les liqueurs de l’amour intimement mêlées et voulait lui montrer à quel point il partageait dans ce temple d’amour, la félicité qu’elle avait connue.

Jean à peine parti, en promettant vaguement de le revoir, Odette et René se mirent nus au lit, corps contre corps pour se raconter les émotions ressenties, tellement puissantes qu’ils en étaient aussi émus que lorsqu’il avait fait l’amour la première fois. C’était merveilleux et dans leur amour complice ils se jurèrent qu’ils recommenceraient cette nouvelle manière de faire l’amour et de jouir. Seule chose que Claudette demanda d’un air timide ce fut « Dis la prochaine fois, j’aimerais que tu te mêles à nos jeux, j’aimerais tellement que lorsque l’on me pénètre en levrette tu sois la tête en dessous de mon sexe à me lécher le clitoris et à voir de près cette queue qui me défonce » René tout émoustillé lui jura se grands dieux que tel sera le cas et même qu’il la lècherait aussi quand elle prendrait le sexe de l’invité dans sa bouche. Heureuse elle conclut par ces paroles « Désormais j’ai envie de savourer à nouveau ce viol désiré par toi et adoré par moi » C’est si merveilleux, cette union que nous avons dans l’esprit de la recherche de la jouissance et du bonheur intense partagé.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


Laisser une note/commentaire (ou bien faire un signalement)

Histoire-Erotique.org lutte contre le plagiat pour protéger les oeuvres littéraires de nos auteurs.

Cette page est destinée à être consultée en ligne et ne peut pas être imprimée ou copiée.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle. Un nombre important d'auteurs nous ont donné l'exclusivité totale de leurs textes.

Fermer définitivement L'activation des cookies et de javascript est nécessaire à son bon fonctionnement. Suite à des abus avec les notes, nous avons apporté quelques modifications à celui-ci pour plus de partialité envers les auteurs qui sont très sensibles à ce que vous pensez de leurs histoires érotiques.
La nouvelle version a pour but d'éviter au maximum les abus inhérents à la notation des récits coquins, et donc des auteurs (les votes multiples par exemple).
Il sera maintenant impossible de noter plus d'une fois la même histoire érotique.
Les notes attribuées à la volée pour un même auteur (qu'elles soient bonnes ou mauvaises) seront modérées.

Commentaires de l'histoire :

kachbout
Tres bon recit nsurtout la derniere phrase qui donne envie ( tu sois la tête dessus
Posté le 24/02/2017


Voir les autres récits érotiques de cet auteur ou bien pour le contacter par email


Histoires érotiques choisies :
Pas tout à fait seul
Beau pap fait mon éducation sexuelle 4. Jean fait cocu son fils.
Tu te souviens ? : Je t'aime, mon a...mour !
Ma femme aime me défoncer
Un étudiant forestier qui aime les bonnes bûches.