Histoire Erotique

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Patricia expérimente (partie 1)

Patricia (citée dans l'histoire "Myriam se révèle") vous offre le récit d'une de ses aventures avec un couple rencontré via Internet qui va la recevoir pour un week-end de débauche au cours duquel, la jolie brunette va goûter aux femmes pour la première fois. Patricia attend vos commentaires ;-)Une petite photo d'elle est même envisageable en MP...

Proposée le 23/07/2018 par aqw12

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Histoire vraie


Puisque Myriam m’a cité lors de son récit, (titre : Myriam se révèle) il est temps que je me dévoile un peu, à mon tour. Je vais vous livrer une aventure assez représentative de ma sexualité.

Je m’appelle donc Patricia, 35 ans, célibataire la plupart du temps… Je mesure 1m66 pour 46 kilos. Je suis donc très fine et élancée. Je suis très sportive et en bonne « runneuse », j’ai un petit cul galbé et bien ferme. Mes seins sont menus (85b) mais étant très brune à la peau légèrement mate, mes tétons foncés sont longs, charnus et hyper sensibles. Comme je ne suis pas une adepte du soutien-gorge, mes pointes apparentes sous mon haut attirent très souvent les regards des hommes et des femmes qui croisent mon chemin et font le bonheur de mes collègues de bureau ce qui me vaut le surnom de « Pointricia » dans les couloirs… Pendant mon adolescence, j’ai porté mes cheveux noirs longs et détachés. J’ai opté depuis plusieurs années pour une coupe plus courte avec un brushing. J’arbore le plus souvent un grand sourire et mes joues creuses accueillent de nombreuses fossettes. Mes grands yeux marron sont volontiers rieurs et parfois coquins. Parmi mes occupations favorites : draguer des hommes mariés sur les sites de rencontres et me faire sauter par des inconnus ; des hommes murs le plus souvent.

Il y a environ deux ans, c’est par ce biais que j’ai engagé une conversation avec un certains Christian, 48 ans, qui me proposa une aventure inattendue. J’habite la région Toulousaine et bien qu’habitant sur Lyon, il se montre fort motivé à l’idée de « cajoler mon petit cul » qu’il a pu voir en photos (soft) jointes à certains de mes mails. Il m’informe alors qu’il a parlé de moi à son épouse. Ils forment un couple libertin et Madame, bi, est très attirée, elle aussi, par ma petite personne. Je n’ai jamais eu d’expérience homosexuelle jusque-là, mais, par curiosité et très excitée par la situation, je poursuis alors les échanges et comme prévu, Bernadette, l’épouse se joint à nos conversations. Je reçois des photos de mes deux aspirants. Christian est un bon « nounours » d’un mètre quatre-vingt-quinze pour une bonne centaine de kilos. Sa calvitie naissante ne le prive pas d’un certain charme et ses yeux verts clairs donnent un côté fougueux à son allure rassurante. Bernadette est une belle femme de 44 ans. Grande blonde, très fine. Son corps semble ressembler au mien mis à part ses 8 centimètres de plus que moi. Ses cheveux sont mi longs sont joliment ondulés et ses seins sont aussi petits que les miens. Je fais d’ailleurs remarquer à Christian que même en nous rassemblant, sa femme et moi, dans son lit, il n’aura pas une bonne paire de « lolos » à tripoter !

Ils se dévoilent enfin et m’invitent chez eux pour un week-end. Nous poursuivons des échanges par mails puis par texto, de plus en plus chauds avant que je me décide à accepter. Les échanges sont crus avec Christian qui me promet de me « défoncer », de me « baiser comme une bonne petite chienne », de me « manger le cul »… Tandis qu’une complicité torride s’installe avec Bernadette. Elle dit vouloir me « câliner », « déguster ma petite moule crémeuse »…

Mon excitation l’emporte sur mon appréhension et je me décide à prendre mon billet de train pour Lyon afin d’aller passer un week-end entier chez ces hôtes. Je descends du train le samedi matin à 11 heures. C’est Christian seul qui m’attend sur le quai. Il m’explique rapidement un léger contretemps. La mère de Bernadette est arrivée en retard pour venir chercher Tristan, leur fils de 6 ans, pour le week-end. Il semblerait donc que « belle maman » soit dans la confidence des raisons de ma venue.

Christian ne cache pas sa joie de m’accueillir. Il me prend dans ses bras et ses mains se montrent audacieuses en empoignant fermement mes petites fesses à travers ma jupette. Je le sens prêt à me trousser, là, sur le quai, à la vue des autres passagers mais je me dégage lestement. Je me baisse pour ramasser mon petit sac de voyage et déjà les mains de Christian s’engouffrent à nouveau sous ma jupe et c’est à ma culotte qu’il en veut cette fois. Ses doigts savent exactement ce qu’ils veulent et en passant furtivement sous le satin de mon tanga, c’est mon anus qu’ils recherchent. Je me relève en souriant, faussement choquée… « Oooh, mais quel coquin ! » « Je veux ton cul ma petite chienne » me murmure-t-il… « Mais tu vas l’avoir, je suis venue pour ça ! » je lui rappelle pour calmer son impatience. Une fois devant le coffre de la voiture, il me laisse déposer mon sac et ses mains empoignent ma poitrine cette fois-ci. Je me retourne, lui fait face et sans hésitation, il me prend la bouche avec fougue. Il me roule une pelle autoritaire. Ces mains entreprennent à nouveau mon popotin. Je suis prise par la bouche et ne peux me dégager de ses attouchements de plus en plus précis et son index s’enfonce une première fois dans ma rondelle. Pendant quelques secondes, en plein milieu du parking, je me fais ainsi branler le cul puis nous montons enfin en voiture.

Nous roulons quelques minutes en direction d’une zone plus pavillonnaire. La conversation est plaisante et Christian me demande si mon voyage s’est bien passé. Je commence à lui raconter mon voyage en face d’une mamie qui ronflait bruyamment mais il ne m’écoute pas, me coupe sèchement la parole en me posant une main sur la cuisse : « Ferme-la, je veux voir ta chatte ! » Je prends ça pour un jeu de rôle, ouvre me cuisses, relève ma jupe sur mon ventre et écarte ma culotte pour dévoiler mon abricot épiler de frais. J’ai gardé un triangle de poils coupés court au-dessus de ma fente. « Branle-toi ! » ordonne-t-il. Avec deux doigts, j’ouvre mes lèvres et laisse apparaitre mon clitoris que je commence à caresser. Il engage la voiture dans un chemin communal et se gare. Sans éteindre le moteur, il me saute dessus et bascule mon siège en position allongé : « J’ai trop envie de te sauter petite pute ! J’ai promis à Bernadette de ne pas te prendre avant de te ramener à la maison mais tu m’excites trop, faut que je te tire une première fois ! » Je tente de le raisonner « T’es sûr que tu ne veux pas attendre que Bernadette soit avec nous ? » Mais déjà ses doigts fouillent ma chatte, il dévore mon cou, descend vers mes seins. Il déboutonne mon chemisier et trouve mes petites tétines toutes nues comme presque toujours. Il se jette sur un de mes tétons déjà bandés. Je mouille de plus en plus et il le sent bien. Je tente vainement une dernière négociation : « Tu ne préfères pas que je te suce, juste et on baisera à la maison ? » « Non, tu vas me sucer tout le week-end mais c’est défoncer ta foune que je veux maintenant ! » Il ne tarde pas à se mettre en action. Il a sorti sa bite et je ne peux résister à la prendre dans ma main. Il est couché sur moi, je relève mes genoux au niveau de ses hanches pour lui ouvrir et lui offrir ma chatte dégoulinante. Son sexe est de bonne dimension et je le sens rentrer. Il est dur comme une barre d’acier. Il se met aussitôt à me limer avec ardeur et mangeant mes pointes de seins. Il me baise comme ça pendant près de 10 minutes avant de se retirer au bord de l’explosion. Il me retire ma culotte, l’enroule autour de sa queue et se masturbe avec puis éjacule dedans avant de me la rendre. Pas question que je l’enfile à nouveau alors je la glisse dans mon petit sac de voyage. Je referme mon chemisier tandis que Christian a déjà repris le volant. A peine un quart d’heure plus tard, nous sommes garés devant le pavillon.

Enfin gentleman, Christian porte mon bagage en m’accompagnant à la porte qu’ouvre déjà Bernadette avec un sourire béat. « Te voilà enfin ma chérie ». Elle me fait une bise sur chaque joue puis un troisième sur la bouche. Je suis debout dans le hall d’entrée et je vois passer le jeune Tristan qui court d’une pièce à l’autre et la mère de Bernadette vient me saluer avec un sourire étrange. Bernadette s’excuse : « Tristan et ma mère sont un peu en retard mais ils sont sur le point de partir. » Elle me saisit par le bras et m’attire dans un coin du couloir. Toujours aussi souriante, elle lève ma jupe et empoigne ma motte avec force. Elle est surprise de me trouver sans culotte mais surtout de découvrir ma chatte gluante et ouverte. Elle comprend aussitôt et me murmure discrètement à l’oreille : « Ca fait tellement longtemps que j’ai envie de te renifler le cul ma jolie !... Mais tu t’es déjà taper mon mari espèce de petite pétasse ? Tu vas me payer ça ! » Finit-elle froidement.

S’adressant à la gentille grand-mère : « Maman, tu peux mettre Tristan devant la TV stp ? Et mets le son assez fort, j’amène Patricia visiter la maison… » Sa mère répond par un sourire tendre.
Puis à moi : « Suis-moi petite putain ! »

Nous sommes dans la chambre du couple. Elle se montre désormais très autoritaire et froide : « Mets- toi à quatre pattes sur le lit et montre-moi ton cul » Dans cette position, je ne peux voir ce qu’elle est en train de faire mais je n’ai pas à attendre longtemps pour sentir ses mains qui ouvrent mes fesses et son visage tout entier s’enfouir dans ma raie du cul. Elle me renifle de façon animale et sort enfin sa langue qui s’écrase sur mon anus, le rappe puis descend fouiller l’entrée de mon vagin. « T’as l’huitre bien salée ma chérie, comme je les aime ! » Elle reprend son exploration de mon intimité avec sa bouche experte puis tout s’arrête. Elle empoigne mes hanches et je sens un long cylindre me pénétrer. Je me retourne vivement et constate qu’elle a enfilé un gigantesque gode ceinture et qu’elle entreprend de me défoncer avec. Elle s’allonge sur mon dos, me tire la tête en arrière par les cheveux pour m’obliger à me cambrer et lui faciliter l’accès au plus profond de ma chatte. Je gémis de plus en plus en fort. Bien campée, debout derrière moi, sur ses jambes écartées et fléchies, elle entame une série de va et -viens de plus en plus rageur. Elle me fend en deux littéralement. Elle glisse une main vers ma moule et pince mon clitoris, le triture, le décapuchonne et le branle habilement. Je sens l’orgasme venir, à la fois vaginal et clitoridien. Je sens que je vais exploser. Mes gémissements deviennent des cris mais elle me prive et me frustre en stoppant tout net sa séance de baise. Elle se retire laissant mon vagin béant et affamé. Lestement, elle m’enjambe pour se poster à 4 pattes devant moi et me présenter son cul à sucer. A peine le temps de constater que je me retrouve en face des trous d’une femme pour la première fois de ma vie qu’elle écrase son fessier sur mon visage. L’odeur me répugne, je tente d’y échapper. Je me tourne sur le dos mais elle s’assoit sur mon visage et fait glisser sa raie de haut en bas sur mon visage et cherche à pénétrer son anus avec mon nez. « Lèche moi le cul ou je te pisse dessus » me dit-elle froidement. Alors je m’exécute et elle ne tarde pas à s’affaler sur moi prise d’un orgasme bruyant. Je me souviens tout à coup que lors de nos échanges, elle s’est dite « fontaine » quand la jouissance était très forte. Les puissants jets chauds que je reçois dans la bouche, sur le visage et sur les cheveux me confirment ses propos…

Et le week-end ne fait que commencer…

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Commentaires de l'histoire :

Fleuron
Parti 1. Ça commence bien. J'espère que je pourrai me retenir jusqu'à la fin et Avoir une éjaculation monstre et jouitive. En tout cas j'aime
Posté le 26/09/2020


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