Histoire Erotique

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Café avec crème

Il reprend, il me pompe tellement bien que je suis moi aussi au bord de l’explosion, sa bouche est chaude, ses mains s’aventurent aussi sur mes fesses. Puis il enlève une de ses mains de mon petit cul pour sucer son doigt et cracher dessus.

Proposée le 8/07/2018 par statam

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Thème: Première fois
Personnages: FH
Lieu: Bureau, travail
Type: Histoire vraie


J’entends frapper à la porte de mon bureau.

— Oui, entrez !
— François, tu viens prendre un café ?
— Déjà ?
— Il est 17 h, mon petit gars, c’est l’heure de la petite pause syndicale.
— Oui, fais-le chauffer, j’arrive dans cinq petites minutes, mon petit Pierre, juste le temps pour moi d’envoyer un mail à un fournisseur.

Avec Pierre, cela fait trois ans que nous sommes dans la même boîte, lui travaille à la communication, pour ma part, je suis aux achats. Avec Pierre, même si je l’appelle le vieux quelquefois, car il a 44 ans et moi 41, on a tout de suite sympathisé. Forcément, nous avons les mêmes points communs, accrocs au boulot, au sport, et nous avons chacun deux enfants à peu près du même âge.


— La vache, tu en as mis du temps, il va être froid ton café.
— Ce n’est pas grave, puis vu qu’il fait chaud dans mon bureau, je vais prendre la tasse dans mes mains pour le réchauffer.
— N’importe quoi, François, tu te prends pour Quasar
— Quasar ? Je ne connais pas !
— Laisse tomber, c’est super héros qui a le pouvoir de faire tout brûler.
— OK, je me coucherai moins con ce soir.
— Sinon tu as regardé le match hier, PSG-REAL
— Non, je n’ai pas le câble, en plus comme c’est les vacances scolaires, ma femme est partie chez ses parents toute la semaine dans le sud, avec les enfants. Autant te dire que je me suis fait chier, une branlette et au lit !
— T’es grave
— Mais si, je te jure ! Si tu veux tout savoir, je me suis même masturbé en pensant à toi.

À cet instant, je suis devenu rouge comme une pivoine et j’ai senti mon cœur s’accélérer.


— Pierre, tu dérailles complet, il est temps que ta miss revienne.
— Écoute je ne veux pas insister, mais je vais te dire que cela fait maintenant un mois que j’imagine faire des trucs avec toi.
— Bon, tu arrêtes tes conneries maintenant ! lui dis-je d’un ton sec et un brin énervé.

Je finis mon café et je lui souhaite une bonne fin de journée en refermant assez violemment la porte de la salle de pause. Et j’entends à peine Pierre me dire qu’il est vraiment désolé.


De retour à mon bureau, je repense à ce qu’il m’a dit tout à l’heure et me surprends à fantasmer. Dans ma tête tout se chamboule un peu, je me parle en me disant : François tu n’es pas bisexuel, faut arrêter, et puis un homme, n’importe quoi ! Mon esprit lutte contre cette idée de partager un moment intime avec un autre homme. Alors que je me bats avec cette idée, ma messagerie email retentit. C’est un mail de Pierre.

À la réception de celui-ci, je sens tout mon corps se réchauffer avec une pointe d’excitation et de mépris de moi-même. Même ma main posée sur la souris tremble au moment d’ouvrir cette enveloppe Outlook. Je viens de cliquer et commence ma lecture.


Mon petit François, Je suis désolé de t’avoir heurté tout à l’heure en salle de pause, mais cela fait maintenant plus d’un mois que je pense à toi. Pour être honnête avec toi, cela remonte au dernier squash que l’on a fait ensemble ou plutôt à cette douche qui a suivi. Nous étions côte à côte et j’ai été très troublé de te voir sous la douche avec ton sexe tout épilé. Je ne sais pas si ce jour-là tu m’as vu, mais j’ai regardé ton sexe avec délectation. Toi, tu n’as sans doute rien remarqué, mais après ce fameux jour, je me masturbe souvent en pensant à toi, je pense tenir ton sexe dans la main, le prendre dans ma bouche et y faire tourner ma langue. Je suis vraiment désolé de te dire tout cela, mais j’ai envie de toi et avant toi je n’avais jamais eu de pensées comme celles-ci. François, je ne veux en aucun cas te blesser et encore moins entacher notre amitié. Aussi, si tu ne réponds pas à ce message, on fait comme si cette histoire n’avait jamais existé et on reprend notre amitié sans rien changer. Excuse-moi encore, comme tu l’as dit tout à l’heure, je déraille. Je te souhaite une bonne soirée mon petit François, je quitte le travail pour aller courir, histoire de me vider un peu la tête. À demain à la pause, enfin j’espère…


Après avoir lu son message, j’étais tout retourné comme dans un état second. J’étais à la fois déçu, content, choqué et excité à la fois. Je ne savais pas quoi faire. Devais-je continuer la relation avec Pierre comme si rien ne s’était passé ou tout simplement rompre les liens. Je suis rentré le soir avec de drôle de pensées. J’entends encore ma femme me parler et me dire :


— Tu es encore au boulot ? Je te parle et toi tu n’écoutes pas.
— Excuse-moi, Chérie ! J’ai un fournisseur en ce moment qui me prend la tête.

Je ne pouvais quand même pas dire à Martine ce qui s’était passé avec Pierre. Néanmoins après avoir couché les enfants. J’ai sauté sur ma femme, je l’ai embrassée et nous avons fait l’amour sur le canapé du salon, je me suis même surpris pendant le 69 que nous avons effectué à penser goûter à la verge de Pierre dans la bouche. J’étais en pleine confusion des genres.


— Chérie, tu veux que je te dise, tu peux avoir des fournisseurs un peu cons tous les jours, car c’était vachement bon.

Puis je la prends dans mes bras et la regarde en l’embrassant tendrement.


— Chérie ?
— Oui, mon cœur.
— Tu as déjà fantasmé sur une autre fille ?
— Je crois t’avoir déjà dit oui à cette question et puis, tu sais, j’ai lu dans Psychologie magazine que nous ne pouvons pas être 100% hétéro. Regarde, toi, tu es un homme et tu aimes bien de temps en temps que je caresse ta prostate avec le doigt.
— Oui, c’est vrai.
— Une fois, j’ai fait un test et j’étais hétéro à 80%, alors tu vois. Mais rassure-toi, je t’aime, cela ne veut pas dire que j’ai envie d’une autre femme, mais je fantasme un peu de temps en temps. Pourquoi cette question ? Tu t’es fait draguer par un autre homme ?
— Mais non, n’importe quoi, j’avais juste envie de parler et de connaître tes envies, car on ne sait jamais, peut-être qu’un jour je te ferai ce cadeau.

Martine n’a pas répondu à ma dernière phrase, elle m’a juste regardé et serré très fort dans ses bras comme pour me signifier que peu importe qui je suis, elle continuera de m’aimer. Nous nous sommes rhabillés et nous avons regardé la fin d’un film, enlacés l’un contre l’autre puis nous sommes allés nous coucher. Une fois dans le lit, alors que ma femme s’endormait sur mon épaule, je me mis à avoir des pensées très sexuelles avec un autre homme. J’imaginais multiples scénarios. Sous la couette je sentais mon sexe durcir à me faire mal. J’ai bien lutté une heure contre mon esprit pour trouver enfin le sommeil.


Le lendemain matin, après avoir emmené les enfants à l’école, je sentais l’angoisse monter à l’idée de recroiser Pierre. Surtout que le soir nous avions une réunion avec notre chef de service sur la communication interne et externe à mettre en place pour le secteur achat. Arrivé à l’entreprise, je ne l’ai pas croisé, mais j’ai reçu un petit mail de lui qui me proposait de prendre un café vers 10 h 30. Jusqu’à la pause, j’avais du mal à me concentrer sur mes dossiers. Il était l’heure d’aller prendre ce café. En salle de pause, il y a avait Franck, Chantal et Pierre. Nous nous sommes tous dit bonjour et nous avons échangé ensemble sur les actualités et autres sujets de conversation. Je croisais le regard de Pierre même si au début j’étais un peu gêné, nous avons échangé et rit à des blagues communes, je ne lui en voulais pas du tout. Après tout, nous avons tous des fantasmes et personnellement je ne vais pas casser une amitié, certes récente de trois ans, pour quelques propos déplacés. Avant de reprendre le travail, alors que Franck et Chantal me précédaient, Pierre me dit :


— François
— Oui Pierre, on peut se voir tout à l’heure pour préparer un peu la réunion de ce soir avec le taulier.
— Sans problème, passe après déjeuner.
— Tu veux que l’on déjeune ensemble ?
— Non, pas ce midi.
— C’est à cause d’hier ?
— Mais non, mon petit Pierrot, t’inquiète pas, c’est juste que ce midi j’ai pris un sandwich, j’ai un travail urgent à faire pour organiser une visite de contrôle dans une usine en Chine.
— Je suis rassuré, je ne voulais pas que l’on perdre notre relation

Après avoir posé la main sur son épaule, en le regardant fixement je lui dis :


— Moi, non plus, je n’ai pas envie de te perdre !

J’entends encore cette phrase résonner, « Pas envie de te perdre », comme si nous étions dans quelque chose de très intime. Ce moment un peu hors du temps, hors des mots, hors de toute logique. Après ce nouveau trouble, je suis sorti pour reprendre possession de mes dossiers urgents.

14 HEURES,

— Entre, Pierre.
— Alors, tu veux qu’on prépare quoi exactement ?
— Je voudrais savoir si tu as des envies précises ?
— T’es grave, tu recommences.
— Mais non, excuse-moi, je suis un peu maladroit, si tu as une idée précise sur la façon dont devrait fonctionner le secteur achat en termes de communication.

Nous avons continué ainsi la conversation sur le travail, l’organisation pendant deux petites heures avant de finaliser.


— Je suis satisfait, nous avons bien avancé tous les deux, nous avons un début de proposition à présenter au grand Manitou.
— Impec, c’est du travail d’artiste, Pierrot !
— Après ce taf, on se prend un petit café ?

Je lui dis : « on se prend tout court » et je lui souris :


— Toi François, tu joues avec le feu.
— Mais non, je te taquine un peu c’est tout
— Méfie-toi, mon petit François, mais moi aussi j’ai des pouvoirs magiques et avec mes mains je ne réchauffe pas que les tasses à café.
— Arrête de déconner, on va le prendre ce jus (en rigolant).

Pendant notre intermède de l’après-midi, nous avons beaucoup plaisanté là-dessus en prenant tout à la dérision comme si cette chape de plomb de la veille avait disparu, comme si la gêne s’était envolée. Nous étions légers et de nouveau très complices, même plus complices qu’avant. Avant de sortir, je lui dis :


— Allez ! On retourne au travail.
— Oui, on y va, mais tu as dit quoi : je te retourne au travail ?
— N’importe quoi !
— Avance, petit cul.
— Je sais, j’ai de très jolies fesses.
— Avance, on doit travailler un peu et je te signale que la réunion est à 18 h et perso, ma journée est presque morte.
— Je dis, à tout à l’heure, en salle de réunion.
— À tout à l’heure, mon petit poulet.

La réunion s’est super bien passée, on a fait une belle présentation et pour une fois, le chef n’a pas rajouté la moindre objection à ce que je demandais. Il a fait part à Pierre de mettre en place les supports et maquettes et on a refixé une réunion dans un mois. À la fin de la réunion, vers 20 heures, nous n’étions plus que trois dans l’entreprise enfin trois, je dis deux puisque le Boss est parti tout de suite en nous disant qu’il devait filer, car une partie de poker l’attendait. Puis j’entends Pierre me dire :


— Moi aussi, je ferai bien une petite partie de poker avec toi, François.
— T’es vraiment lourd quand tu t’y mets.
— Excuse-moi encore.
— Bon, je vais chercher mes affaires et je rentre.

À cet instant, j’entends Pierre me suivre et au fond de moi j’espérais qu’il le fasse. Je m’assieds à mon bureau et lui reste au pied de la porte. Nos regards sont intenses, pleins de puissance et d’envies inavouées. Je décide de me lever, je le pousse un peu de l’embrasure de la porte afin que je puisse fermer la porte. Je m’approche de lui, il fait un pas en arrière pour voir ses épaules contre la porte.


— François ?
— Oui, Pierre !
— Je croyais que tu étais complètement fermé à cette idée.

Je ne lui réponds pas et m’approche de la commissure de ses lèvres pour sentir tout le charnel de sa bouche et l’humidité de sa salive. Habillés, torse contre torse, sexe contre sexe, je passe mes bras autour de sa taille pour forcer sa bouche avec ma langue et magnifique roulage de pelle s’engage. Mon sexe et le sien sont tendus à travers nos jeans, j’ai envie de le manger, de le goûter, je veux que ma première fois avec un homme soit fantastique. Avec ses mains, il entoure mon visage comme pour me signifier qu’il ne veut pas que je renonce. Mais je n’ai nullement l’intention de renoncer, je commence à déboutonner sa chemise pour pouvoir passer ma main sur son torse, je le caresse fermement, en prenant bien soin d’attarder mes doigts sur ses petits tétons, je descends jusqu’à sa légère petite brioche pour lui effleurer le nombril. Puis je remonte ainsi jusqu’à ses épaules pour faire tomber sa chemise et la poser sur le bureau.


— François, c’est trop bon, j’ai envie de toi, je veux tout de toi, te sentir. Ce n’est pas très juste, je suis torse nu et toi tu as encore ta chemise.

À mon tour, Pierre me déboutonne et fait passer ses mains, sa bouche sur l’ensemble de mon torse, sa bouche est chaude et sa langue me fait frissonner. Il aspire et lèche mes tétons comme une glace. Ses paumes douces parcourent mon dos et Pierre se redresse pour m’embrasser à nouveau.


— François, je veux te voir nu !
— Pierre, je veux te voir nu !

Il me déboutonne le jean, et je lui ôte aussi ses boutons, nous nous caressons l’entre-jambes, il fait glisser mon pantalon et le fait descendre le long de mes cuisses pour arriver aux bas de mes chevilles, il défait les lacets de mes chaussures. Il en enlève une puis l’autre, prend l’un des bas de mon jean pour faire passer mon pied puis le deuxième. Me voici en boxer et chaussettes.


— Maintenant à moi de te déshabiller ! me souffle-t-il à l’oreille.

Je fais glisser aussi son pantalon, j’enlève ses chaussures et je profite d’être à genoux pour aussi enlever mes chaussettes. Il se retrouve lui aussi en boxer et chaussettes.


— Moi non plus, François, je n’aime pas faire l’amour en chaussettes.

Il les enlève rapidement.


— Parce que nous allons faire l’amour ?
— Oui, j’ai envie de toi depuis un mois et crois-moi, je vais te faire l’amour et te faire jouir comme jamais tu n’as joui.
— Des promesses, des promesses, encore des promesses, lui dis-je en souriant
— On avait dit tout nu !
— Très bien, aussitôt dit aussitôt fait ! Je fais sauter mon caleçon.
— Attends, je suis nu, à toi !
— Tes désirs exaucés, Monsieur.

Entièrement nu, mon sexe est à son paroxysme. Le sien, telles deux épées qui se touchent et battent le fer, nos glands se juxtaposent. Nous continuons à nous câliner, à nous entrelacer à s’embrasser comme des fous. Aucun de nous n’est inquiet, nous sommes seuls, il est 21 heures et nos femmes savent que l’on a une réunion. Pressés par aucun temps, aucune obligation sinon celle de prendre du plaisir. Je décide de le prendre en main, j’ai envie de sentir son sexe et de souiller ma bouche. Je décide de me mettre à genoux, son sexe me fait face. Tendu, beau, parfaitement épilé, 17 à 18 cm, épais, je le respire, il sent bon le savon. Je pense que Pierre a prémédité ce qui allait se passer. Après la réunion, il est allé aux toilettes et a dû se laver le sexe. Quelle délicate attention, qui me fait encore plus bander.


Son sexe est beau magnifique, je lui caresse les petites bourses complètement imberbes, bien rasées. Avec mon autre main, je fais jaillir son prépuce. Quelle douceur, une merveille, je le contemple, lui caresse les fesses, la raie. J’embrasse et dépose le bout de mes lèvres sur son gland, sors ma langue, caresse mon visage avec sa verge, avant de déposer de jolis baisers le long de sa peau, j’ouvre grand la bouche et me décide à l’engloutir et me surprends à faire une gorge profonde. Je crois vomir, mais j’adore le sentir faire des va-et-vient jusqu’au fond, il pose ses deux mains sur ma tête et m’indique le mouvement à faire et le rythme à adopter.


— C’est trop bon François. Continue, me dit-il d’une voix basse et suave.

Je le suce encore et encore, il me pilonne la bouche. De temps à autre, je sors sa verge et crache dessus pour la reprendre de plus belle. Ses râles se font de plus en plus hauts, je sens qu’il va venir. Je continue mon va-et-vient et avec mes mains, je tiens les deux pommes de ses fesses pour lui signifier que je veux tout. Que je veux sentir son sperme chaud dans ma bouche, sentir sa verge tressauter à chaque giclée que je recevrai. Il est proche de la rupture, je continue de plus en plus vite de plus en plus fort. Je le veux, je le veux. Il entre et sort, je le maintiens fermement et fais tourner ma langue. Que c’est bon d’avoir une tige en bouche, quelle excitation.


— J’aime François ! Encore ! Mmmmmm ! Encore ! Oui oui ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii !

Et dans un dernier râle de plaisir, la purée arrive dans ma bouche, un goût amer et chaud dans ma bouche. Je n’en perds pas une miette. Dans ma bouche je fais tourner ce velouté de sperme. C’est tellement bon, je lui lèche les quelques gouttes pour que son pénis redevienne le plus propre possible. Je continue à le sucer comme pour en avoir encore, mais il n’y a plus de jus à sortir. Je continue encore un peu jusqu’à ce que je sente ses deux mains me prendre les tempes et les joues pour me redresser. Nous nous regardons fixement et il m’embrasse avec une volupté et une tendresse indescriptible.


— Mais toi, tu n’as rien eu !
— Ce n’est pas grave.
— Tu crois que je vais te laisser partir comme ça ?

Puis il se met aussi à genoux et attrape mon sexe dans sa bouche, ses va-et-vient sont doux et très bons à la fois. Debout, je décide de lui caresser moi aussi la tête pendant qu’il me suce.


— Tu suces bien, dis donc, j’adore.

Il se retire pour me dire :


— Attends tout à l’heure, tu vas voir, je ne vais pas que t’aspirer la hampe.

Il reprend, il me pompe tellement bien que je suis moi aussi au bord de l’explosion, sa bouche est chaude, ses mains s’aventurent aussi sur mes fesses. Puis il enlève une de ses mains de mon petit cul pour sucer son doigt et cracher dessus. Puis il m’avale encore. Je sens son doigt venir chercher mon trou. Il s’aventure à titiller l’entrée de mon anus tout en continuant à me prodiguer une magnifique fellation. Mes petits cris se rapprochent de plus en plus pour l’informer que je vais venir dans sa bouche. Il fait la même chose que moi, ses mains fermes me plaquent, Pierre aussi veut tout en bouche. À mon tour, je lâche de longues giclées dans sa bouche, il n’en perd pas une miette, il ne déglutit rien. Je le vois passer sa langue autour de sa bouche tel un chat venant de recevoir sa gamelle. Puis je le prends aussi dans mes mains pour le redresser et l’embrasser à pleine bouche. Je sens que son sexe a repris de la vigueur alors que le mien se délite.


— Je veux tes fesses, je veux te faire l’amour comme promis.
— Mais tu sais, j’ai peur d’avoir mal.
— T’inquiète pas, j’ai tout prévu.

Je le vois se baisser pour prendre quelque chose de son pantalon, il en ressort un tout petit flacon plastique.


— C’est quoi ?
— C’est du gel, tu connais pas, allez retourne-toi, fais de la place sur ton bureau et allonge ton torse dessus.
— Tu vas faire quoi ?
— À ton avis ?

Après avoir poussé les affaires de mon bureau dans un coin je m’allonge dessus et lui offre la vision de mon petit postérieur. Pierre est lui à genoux, il enduit l’entrée de mon anus de gel et fait glisser un doigt puis l’autre dans mon anus.


— C’est trop bon ce que tu fais, tellement bon.
— Je vais entrer en toi comme dans du beurre, François !

Je sens sa verge auprès de mon anus, prêt à le recevoir.


— François, j’ai lu qu’il faut pousser au moment où je rentre pour que je ne te fasse pas mal.
— OK, mon lapin, je fais cela

Je décide de pousser et je le sens rentrer en moi et venir taper sa verge contre ma prostate, il sort et entre doucement pour ne pas me faire mal, c’est trop bon. Il vient buter sur mes fesses et à chaque va-et-vient, je sens que mon sexe se gonfle de plus en plus. Me voilà de nouveau en érection. C’est vraiment très jouissif, je sens ses mains sur ma taille. Il continue avec des mouvements parfois lents parfois rapides.


— Pierre, attends !
— Quoi, tu n’aimes pas ?
— Si, beaucoup.
— Mais je voudrais le faire à mon rythme, tu veux bien.
— OK.
— Assieds-toi sur la chaise

Il est maintenant assis sur la chaise et je décide de m’asseoir sur sa tige pour entamer de longs va-et-vient. J’ai l’impression d’être une femme qui prend du plaisir au max. J’accélère de plus en plus vite. Je frissonne comme jamais. Je sens que comme une grosse tension dans le bas du ventre, dans le haut des épaules, je suis sûr d’être dans le fameux orgasme prostatique. À chaque coup de boutoir, c’est comme si mon corps ne m’appartenait plus comme si je volais dans une jouissance tellement intense que je crie et grommelle comme une chienne en chaleur.


— C’est bon.
— Ah oui, j’aime, vas-y Pierre, prends-moi par la taille, caresse-moi le torse !
— C’est trop bon, laisse-toi aller, François, je te veux, je vais venir.
— Vas-y viens, remplis-moi.
— Oui oui c’est bon.
— Allez ! Je veux te sentir venir.
— Moi aussi, je veux que tu viennes.

Tout en me pilonnant, il me saisit la bite et commence de longs va-et-vient avec sa main


— On se synchronise
— Je suis tout proche
— Plus vite
— Moi aussi, plus fort
— Aaaaaaah !!!
— Aaahhhhh !!
— Mmmmmm !!

Nous lâchons notre semence en même, lui dans mon cul, moi sur le sol de mon bureau, je le sens encore en moi, je ne veux pas qu’il sorte de suite, je suis rempli de sa bite, de son foutre. Le plaisir est intense, immense.


— C’est bon, on a était parfaitement calé, lui dis-je.
— Tu veux que je me retire.
— Non, reste en moi encore.

Pierre m’enlace de ses mains et toujours assis sur sa bite, je m’affale sur lui sans rien dire et nous reprenons lui comme moi tranquillement nos esprits. Nous restons comme cela dans une douceur et une tendresse plus de dix minutes. Puis je m’enlève doucement en sentant couler son sperme le long de mes fesses. Mon anus est tout gonflé, mais je me sens léger.


— Tu m’as bien rempli, dis donc.
— Je t’avais promis de te faire l’amour.

Je me retourne vers lui et je l’embrasse tendrement en m’asseyant sur ses genoux, nous restons quelques instants comme cela.


— Cela t’a plu ? me demande-t-il.
— Oui, c’était puissant bon et pour une première j’ai adoré.
— Qu’est-ce qu’on fait maintenant ?
— Quoi qu’est-ce qu’on fait ?
— On en parle à nos femmes
— T’es vraiment grave.
— Je plaisante.

Tout en l’embrassant, je lui dis :


— On n’en parle à personne

Et lui glisse tout doucement à l’oreille


— Je te propose qu’une fois par semaine d'évacuer le stress tous les deux, ça te dit Pierre ?

Avant de me répondre, il plonge ses yeux dans les miens et m’embrasse avec passion.


— Avec plaisir, mais une fois, ce n’est pas beaucoup.
— Tu es bien gourmand, dis donc, on verra.

Nous nous sommes rhabillés et c’est comme cela qu’à 41 ans, j’ai découvert ma bisexualité et franchement je le conseille à tout le monde. La vie est courte, se faire du bien n’est pas un mal.


Cela fait maintenant six mois qu’avec Pierre on se voit, on échange, on s’embrasse et on se fait du bien. On travaille tard une fois par semaine, on se retrouve après notre squash du midi ou dans le vestiaire de la piscine…

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Commentaires de l'histoire :

DIRCE
Une belle histoire, mais pourquoi ne pas prendre de protection comme un préservatif, attention aux mst.
Posté le 7/11/2023

Anonyme
Magnifique merci
Posté le 27/07/2023

Anonyme
Très belle histoire merci
Posté le 31/10/2018


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