Histoire Erotique

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CAFE: 12 heures 50

Sa femme le teste de la manière la plus méchante qui soit en lui mettant une autre fille dans les pattes...Elle le paiera très cher, car le courant passe très bien entre eux, une complicité se crée...Et l'issue est inéluctable...

Proposée le 14/10/2025 par jerome james b

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Thème: extra-conjugal
Personnages: FFH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


CAFE: 12 heures 50
Tout a démarré à 12 heures 49 précisément.
— Je vais chercher le café?
Phrase toujours dite à 12 heures 49. A la maison on suivait un horaire très strict, et je vérifiais toujours du coin de l' oeil que mon épouse le respectait. Le pire c'était qu'elle ne regardait aucune horloge. C'était elle l'horloge. Je rentrais pour midi. Elle arrivait à onze heures trente. On préparait ensemble le matin avant de partir. Midi dix entrée, midi vingt plat principal, midi quarante dessert...Et elle me proposait le café à 49, pour partir le chercher pile à 50...Elle aimait les comptes ronds. Ce n'était pas 49 ni 51.
Le repas se passait dans un quasi silence, uniquement coupé par des échanges pratiques. En gros, le fameux 'passe-moi le sel.' Ça faisait longtemps que ma femme et moi, nous n'avions plus rien à nous dire. Le temps de la passion était bien loin, nous en étions l'un comme l'autre conscients.Nous restions ensemble par habitude et commodité. Ma femme avait été et était toujours une grande et belle femme, les années qui passaient l'avaient embellie, mais il n'en restait pas moins que l'illusion que j'avais pu avoir au début du mariage s'était dissoute petit à petit. Ou alors elle avait été, au début, vraiment différente de ce qu'elle était devenue, quelqu'un aujourd'hui plein d'acrimonie, d'amertume et de colère, et qui déversait tout ça sur moi...Mais aussi sur les autres.
Pour moi c'était une journée comme les autres. La routine.
Aussi, j'ai été surpris quand j'ai vu arriver dans la pièce, avec le plateau sur lequel il y avait deux tasses et le pot de café une blonde qui avait énormément de sensualité. La cinquantaine, mais une belle cinquantaine. Grande, souriante, avec des formes pleines soulignées par une simple robe noire qui lui descendait jusqu'à mi-cuisses, les jambes gainées de nylon,et avec des escarpins à talons aiguille.
— Et voilà, le café est servi!!!
Elle a posé le plateau sur la table, gestes que ma femme accomplissait régulièrement, et elle s'est installée, avec un immense sourire.
— Ma femme a beaucoup changé!, j'ai dit simplement.
Vraiment particulier, ce moment.
Je ne me suis pas vraiment posé de questions. Avec ma femme, tout était possible. Le meilleur comme le pire. Elle m'avait fait le coup, une fois, de disparaître, une journée durant, et était revenue sans la moindre justification. J'étais habitué, c'était une évidence. Finalement, nous étions encore ensemble, mais nous vivions chacun notre vie. Avec pas mal d'indifférence.
Elle a servi le café. Nos doigts se sont effleurés quand j'ai pris la tasse. Contact chaud et doux.
J'ai pris le temps de la regarder pendant que, totalement décontractée, elle buvait son café. La robe, courte, était remontée haut, et elle dévoilait des jambes vraiment bien dessinées, Ce qu'elle dévoilait aussi, c'était qu'elle n'avait pas les jambes gainées par un collant, mais par des bas stay-up, dont la lisière, les parties élastiquées, étaient visibles. Il y avait en elle une sensualité tranquille qui était vraiment séduisante. Je me souvenais très bien quand on s'était connus ma femme et moi...On faisait l'amour très très souvent...Et puis, je ne sais pas pourquoi les choses avaient basculé, deux ou trois ans après notre mariage, elle avait commencé à refuser et à se refuser, sans que je comprenne bien pourquoi. On était arrivés très rapidement à une absence totale de relations sexuelles. Pas vraiment totale, bien entendu, mais ça tournait autour d'une fois par mois...
Et ça n'avait pas changé...
De toute façon, je n'avais plus envie.
Elle a ouvert les jambes. J'ai été surpris. Et fasciné. Comme l'aurait été tout homme. La robe, comme je l'ai dit, était vraiment courte, de telle sorte que j'ai clairement pu constater qu'elle n'avait pas de petite culotte. Et comme elle est restée dans cette position, choix ou innocence, j'ai pu découvrir son espace le plus intime. Une toison qui disait qu'elle était vraiment blonde, la fente d'un sexe dont sortaient deux bouts de lèvre. Ça a réveillé en moi pas mal de choses assoupies.
— Je vais vous dire ce que je pense...Et vous allez confirmer ou infirmer...En fait c'est assez simple...Elle a voulu me jouer un tour...Me déstabiliser...Et me tester...Voir quelle serait ma réaction. Et jusqu'où ça pourrait aller entre nous. Vous êtes de bonnes copines. Vous avez dit oui.
Elle a acquiescé.
— Et je le regrette. Elle m'a fait une image de vous très négative, et, en quelques secondes, je me suis rendu compte que vous n'étiez pas le salaud qu'elle prétend que vous êtes.
— Elle est toujours là ?
— Non, elle est partie travailler. Je suis supposée lui faire un compte-rendu par SMS.
Quelque chose s'installait entre nous. Une sorte d'attirance mutuelle. Quelque chose que je n'avais plus ressenti depuis longtemps, surtout dans le sens d'un partage.
J'ai sans doute été dans le sens où ma femme avait envie que j'aille quand je lui ai dit:
— J'aimerais qu'on se revoie. Ca vous dirait?
Et il y avait un réel accent de sincérité quand elle m'a répondu:
--Oui, moi aussi, j'en ai envie.
J'ai pensé que ma femme était l'arroseur arrosé. Elle avait voulu jouer avec moi, méchamment, cruellement, et elle n'imaginait sans doute pas que quelque chose se passerait, ou peut-être simplement que j'essaierais de la tripoter, alors que c'était quelque chose de plus profond qui se jouait.
Je lui ai tendu mon portable, elle a pris le mien. On a fini nos cafés. Elle a refermé ses jambes, et je l'ai raccompagnée. Elle était garée un peu plus loin, sur la gauche, dans la rue, et j'ai eu la certitude, comme une évidence, qu'on n'allait pas tarder à se revoir.
Il était treize heures dix quand j'ai posé mon dernier regard sur elle. Le noir, c'est transparent, et, par cette belle journée d'avril, les rayons du soleil ont traversé la robe, alors qu'elle cherchait sa clef dans son sac, la faisant aux trois-quarts nue.
C'est sur le coup de seize heures, je ne pensais pas que ça irait aussi vite, que j'ai reçu un SMS accompagné d'une photo.
Un mot : Je crève d'envie de te revoir. Ca monte d'un degré supplémentaire à chaque minute.
Il y avait une photo avec.
Elle ne faisait pas dans la demi-mesure. Elle avait fait un gros plan sur ses seins. Si elle n'avait pas de slip, elle avait par contre un soutien-gorge, qu'elle avait baissé, pour exhiber des seins qui, sans être énormes, étaient bien ronds, bien fermes, et bien dressés. Avec des tétons qui eux aussi étaient dressés.
Quand on allait se revoir, on n'allait pas jouer au scrabble, pour sûr.
Elle m'a donné son adresse.
Je finis à 17 heures. On peut se retrouver chez moi à 18, si ça te convient.
Ca me convient.
Jamais je n'ai eu autant hâte de finir ma journée.
J'arrivais devant chez elle. Je suis descendu, je mourrais d'impatience. Une voiture, un peu plus haut dans la rue. La sienne. Elle est descendue et a avancé vers moi. Elle s'était changée et à la petite robe de midi avait succédé un pantalon de vinyle hyper moulant qui dessinait son corps d'une manière ultra-précise, avec des bottines à talons, un haut fuschia, qui contrastait avec le noir du pantalon. Elle m'a fait un immense sourire. J'étais inquiet à l'idée de la revoir. Je craignais que cette rencontre repose sur une fausse idée. Mais je l'ai retrouvée telle que je l'avais vue pour la première fois à 12 heures 51. Simple, chaleureuse, souriante, et terriblement attirante.
Ma femme était très loin.
— J'ai fait mon rapport à ta femme. Je lui ai dit que ça s'était bien passé entre nous. Pas comme elle a pu l'imaginer, mais bon...
Il y avait une ironie profonde, dans le fait que ce soit ma femme qui nous ait mis en contact. Il y avait entre nous une attirance profonde que je retrouvais, et contre laquelle je ne me sentais pas capable de lutter, elle non plus d'ailleurs, quand elle m'a dit:
— Viens, j'ai envie qu'on se rapproche physiquement.
Elle m'a fait pénétrer dans un intérieur simple et coloré. Mon regard a glissé dessus, quand je me suis retourné, elle avait relevé le haut sous lequel elle n'avait pas de soutien-gorge. J'ai retrouvé ses seins, qui étaient bien conformes à la photo qu'elle m'avait envoyé. Je me suis penché sur elle, j'ai enveloppé un téton de ma bouche, et je l'ai frotté de la langue, le faisant durcir. Elle a poussé un long gémissement.
— Mmm...Je savais que tu me donnerais du plaisir. Je le sentais. Tu peux me faire tout ce que tu veux.
C'était...Tellement loin de ce qui se passait avec mon épouse. Même ça, une simple caresse de ses seins de ma bouche, c'était quelque chose qui appartenait au passé, et tellement au passé que je pouvais même me demander si ça avait jamais existé...
J'ai été d'un sein à l'autre, laissant ses tétons érigés quand je me suis dégagé. Je suis venu rechercher sa bouche, pour un baiser plus profond, plus intense que ceux qu'on avait pu échanger jusqu'alors. En même temps, comme j'en avais envie, j'ai glissé mes mains sous l'élastique qui tenait son pantalon de vinyle à sa taille. Trouvant dessous des fesses rondes et fermes, sur lesquelles j'ai plaqué mes mains.
— Au cas où tu te poserais des questions, elle m'a dit quand nos bouches se sont détachées l'une de l'autre, j'aime ne pas mettre de culotte. Ca me donne des sensations. J'en mets juste quand j'ai mes règles.
On s'est embrassés. Je gardais le contact avec ses fesses, pendant qu'elle, elle glissait la main entre nous, il y avait peu de passage, et venait tâtonner à la recherche de ma queue. Il fallait dire que ça faisait quelques minutes déjà qu'elle sentait mon érection contre elle. Elle a dégagé ma queue et elle s'est mise à la masturber doucement.
— J'ai pas fait l'amour depuis trop longtemps, elle m'a soufflé. Je suis en manque.
Je n'ai pas répondu, parce que j'ai pensé qu'elle l'avait deviné, intuité, mais c'était évidemment pareil pour moi.
On est restés comme ça un moment, nos bouches se cherchant, se caressant, nos mains s'accrochant à l'autre, moi à ses fesses, elle à ma queue, avant que, la tenant toujours par ces fesses rondes mais dures qui constituaient un de ses nombreux charmes, je ne la porte jusqu'au canapé sur lequel elle a basculé en arrière, les pattes en l'air. J'ai attrapé le bord du pantalon de vinyle et je l'ai descendu vers le bas. Il est passé par dessus les bottines, et elle s'est retrouvée avec le ventre et les jambes nues. Elle avait de jolies jambes, fines mais bien galbées, et la vision de l'ensemble de son sexe, que j'avais aperçu à 12 heures 51, mais que je revoyais, était infiniment troublante.
Un autre angle de vision, mais je rêvais de les multiplier. Contrairement à d'autres, j'adorais les toisons pubiennes, et la vision de ce tapis bien épais de poils blonds, même s'il était soigneusement taillé en triangle me réjouissait, tout comme cette déchirure dans sa chair, bien longue, ouverte sur son intérieur, et ces lèvres vraiment fines, au repos à 12 heures 51, mais qui là s'épanouissaient, ne s'épaississaient pas, mais s'allongeaient bien.
— Viens me lécher la chatte, j'adore ça. Et après, je voudrais que tu mettes ta queue dedans. Avec une capote, bien sûr, j'ai très peur des maladies vénériennes.
Je me suis accroupi devant elle. Jambes dressées et ouvertes, elle s'offrait totalement. Un premier contact quand j'ai posé ma langue au bas de ses lèvres, et que je l'ai remontée jusqu'en haut, avec un double effet, là on pouvait parler de Kiss Cool parce que c'était un baiser et que la situation était vraiment cool...
Il s'est passé quelque chose le temps que ma langue remonte le long de ses lèvres. J'avais la bouche entrouverte, et elle a balancé un énorme jet de mouille dans ma bouche. Une mouille acre et sucrée à la fois, qui m'a rappelé ce qu'une copine qui adorait que je lui fasse des cunni m'avait dit un jour : ' Il y a toujours un goût de base, plutôt amer, et puis après...Ça dépend de ce qu'on a mangé...Ça peut être plus sucré, plus salé...'
Je l'ai caressée longtemps de la langue, me glissant en elle, c'était de plus en plus facile, à mesure qu'elle se dilatait, et je suis monté sur son gland clitoridien quand il s'est décalotté et érigé, long et fin.
— J'en peux plus, elle m'a dit au bout d'un bon moment. J'ai envie de ta queue maintenant. Regarde dans la poche arrière de mon pantalon. Il y a ce qu'il faut.
La bosse correspondait à une boite de 4 capotes. Je l'ai ouverte, j'en ai récupéré un, emballé très classiquement dans une enveloppe d'aluminium.
— Attends, je vais te la mettre sur la queue, j'aime faire coulisser du latex sur des bites en pleine érection.
J'ai eu envie de lui demander combien de fois elle s'était livrée au même exercice. Mais c'était une curiosité malsaine, et je me suis auto-censuré. Qu'elle ait vécu ce qu'elle avait vécu. Ce qui comptait, c'était le moment présent. Elle a ri en étirant la rondelle de latex.
— Hmmm, elle sent bon la fraise...Quand je vais te sucer la queue, j'aurai l'impression de bouffer des fraises.
Et deux secondes plus tard, après avoir ajusté le réservoir sur ma trique, elle venait balader une langue gourmande dessus. Il y avait dans ses yeux une joie immense, celle d'avoir une verge à sa disposition, de pouvoir jouer avec. Une fille qui aimait le sexe. Ça n'était pas, et ça n'avait pas été le cas de ma femme. Jamais en fait, même au début de notre relation, quand on avait encore des rapports. Elle a bien baladé sa langue sur moi, tout le long de ma tige, encapotée, insistant sur le gland, qui suintait sous le latex, venant sur mes couilles.
— Mmmm, j'aime trop les queues, elle m'a fait remarquer.
Et moi j'avais envie de la toucher partout. Pendant qu'elle me suçait, je baladais ma main sur elle. Une chair chaude et douce. Une chair de femme. Des plaisirs très simples, mais que je ne connaissais plus depuis longtemps.
Elle a fini par se détacher de ma queue, en précisant, au cas où je n'aurais pas compris où elle voulait en venir:
— J'ai envie de m'empaler sur ta queue.
Et deux secondes plus tard, elle venait se positionner au-dessus de moi, sexe ouvert et palpitant, pour guider ma queue vers son sexe. J'ai senti contre mon gland la chaleur de toutes ses lèvres, j'ai glissé entre, et je suis rentré en elle. Des sensations encore une fois simples, celle d'un sexe d'une femme autour de soi, une gaine chaude, douce, humide, et du plaisir. Beaucoup de plaisir.
Prenant appui sur mes épaules, elle s'est laissée descendre sur moi, jusqu'à ce que mon gland vienne cogner contre son utérus. Elle a fermé les yeux, soupiré de contentement. Totalement remplie, comme moi j'étais totalement enveloppé.
Une queue dans un vagin. Un acte sexuel basique, et pourtant, c'était quelque chose que je n'avais plus connu avec mon épouse depuis belle lurette. J'ai glissé mes mains autour de sa taille, venant me raccrocher à ses fesses, qui s'ajustaient parfaitement à mes mains, ou alors c'étaient mes mains qui s'ajustaient parfaitement à ses fesses, et je l'ai faite monter et descendre sur ma queue...Le plaisir se lisait sur son visage, mais on aurait certainement pu en dire autant, sinon plus de moi. Je retrouvais ce plaisir simple d'être dans un sexe de femme, et d'en tirer du plaisir en modulant les mouvements, les caresses, les pauses et les actes.
Elle m'a fait basculer et m'a entraîné vers d'autres positions jusqu'à ce qu'elle me propose:
— Sodomise-moi. J'aime me faire enculer.
Je n'aurais pas imaginé que la fille qui avait déboulé dans le living à 12 heures 51 avec le café puisse avoir envie de ça.
— Tu penses que?
— Mais oui, elle a répondu sans me laisser le temps de finir ma phrase.
J'étais derrière elle, la queue dans son vagin. Elle a expulsé celle-ci, l'a attrapée, posée contre sa muqueuse anale. J'ai eu la sensation des plissements de sa muqueuse anale contre mon gland et à travers le latex, elle a tendu les bras en arrière, a posé ses mains sur mes hanches et m'a poussé pour rentrer en elle. Ce qui s'est fait tout naturellement, d'une manière fluide. Son rectum a avalé ma queue. Elle a poussé un gémissement de contentement.
— J'aime tellement ça...Je comprends pas les filles qui n'aiment pas se faire enculer. Ce qu'elles manquent...Mon Dieu...
J'ai souri, alors qu'elle faisait bouger son cul pour aller et venir sur ma verge enfoncée en elle. Avait-elle demandé à sa bonne copine ce qu'elle pensait de la question? Je n'avais clairement pas abordé le sujet avec elle, et ce n'était pas non plus une pratique qui m'obsédait, mais il était évident que ce n'était pas quelque chose d'envisageable.
On a alterné. Elle se faisait aller et venir sur ma queue, et après c'était moi qui bougeais en elle. Je voyais bien, un élément excitant en plus, sa main collée à son sexe, elle se masturbait avec fébrilité pour un maximum de plaisir. Ses liquides intimes coulaient dans ses aines, le long de ses cuisses, mais aussi trempaient directement le divan, qui en avait sans doute vu d'autres.
Elle m'a averti qu'elle allait jouir. C'est venu quasi immédiatement, juste après qu'elle ait dit ça. Elle s'est cambrée, tendue, elle a perdu le contrôle, secouée par des spasmes, et elle a balancé des jets de liquide crémeux sur le divan. Ça a entraîné ma jouissance à moi, mon sperme est venu cogner contre les parois étroites, la faisant jouir à nouveau.
Je suis parti en arrière. Elle s'est retournée, venant sur ma queue, qui n'avait pas vraiment débandé, même si j'avais joui, a roulé le préservatif tout en faisant attention à ne pas perdre le sperme qui s'était accumulé dans le réservoir. Je me demandais ce qu'elle voulait faire. Elle a étiré le latex, et elle a lapé le sperme qui s'était accumulé tout au fond de la capote, comme on peut lécher une glace ou une sucette.
Je suis rentré chez moi peu après. Ma femme était là. Elle ne m'a posé aucune question. On a dîné ensemble, parlant de choses et d'autres. J'ai eu envie de lui demander pourquoi elle m'avait monté ce coup avec son amie, mais j'ai préféré ne rien dire. Cela faisait longtemps qu'on n'évoquait plus aucun enjeu dans nos discussions.
Marie-Noëlle et moi on s'est revus une fois, puis encore une autre fois...De plus en plus souvent, à vrai dire. On s'entendait parfaitement, et pas seulement quand on faisait l'amour.
Quand j'ai eu la certitude absolue que tout se passait bien entre nous et qu'on pouvait envisager de faire quelque chose ensemble, j'ai annoncé à ma femme que je voulais qu'on se sépare. Elle n'a même pas parue surprise. Je me suis demandé si elle avait quelqu'un dans sa vie. Je le plaignais...Ou peut-être qu'elle lui présentait un autre visage, et qu'il avait su lui donner l'occasion de s'épanouir. J'avais conscience que j'avais des torts.
La séparation s'est faite à l'amiable, et elle a gardé la maison, en échange d'une somme d'argent.
Je me suis toujours demandé si elle avait réalisé que c'était en me mettant Marie-Noëlle dans les pattes qu'elle avait précipité la fin.
Mais peut-être était-ce ce qu'elle souhaitait au final et pas seulement me tester.

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