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L’évolution de Céline 3 - Vendredi soir

Des barrières sont tombées et de nouveaux désirs sont apparus dans le couple. Céline a changé et se laisse guider par son mari qui lui fait part de son plaisir de la voir se libérer...avec un autre si elle en sent le besoin.

Proposée le 26/04/2018 par Erty99

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Essayage
Type: Fantasme


Le vendredi matin avant de partir, Sébastien prévint Céline qu’il réservait une table dans un petit restaurant du centre ville qu’elle affectionnait particulièrement, et qu’il viendrait la chercher à son travail en fin de journée.

Il n’eut pas le plaisir de voir Céline s’habiller. Elle mis la jupe qu’elle portait la semaine précédente « qui moulait bien son derrière et qui laissait voit les marques de sa culotte ». Elle n’en mis donc pas, acceptant maintenant l’excitation procurée sa nudité. Elle choisit un chemisier qu’elle rentra à l’intérieur de la jupe afin de mettre en valeur ce derrière que Florence lui affirmait être attirant. Elle revêtit cependant une veste, ce qu’elle prenait pour un début d’exhibition étant réservé à ses collègues, et compléta par une paire de chaussures avec des talons de six centimètres, confortables mais mettant la jambe en valeur. Elle se maquilla plus que d’habitude mais sans exagération.

Quand elle enleva sa veste en arrivant dans son bureau, Samia la regarda attentivement puis lui dit que son changement de look lui allait bien.

En fin d’après-midi, Sébastien arriva au pied de l’immeuble de Céline et la prévint, par SMS, de sa présence. Elle était déjà prête, bureau rangé et maquillage refait avec l’aide de Florence qui avait forcer un peu le trait. Elle le rejoignit aussitôt. Il fut agréablement surpris de son nouveau look : elle assumait sa féminité, enfin ! Ils se firent la bise et Sébastien en profita pour passer la main sur une fesse de son épouse. Elle devança sa question.

- « Pas de culotte avec cette jupe à cause des marques. »

Sébastien lui exprima sa satisfaction, et lui proposa le programme de la soirée : shopping et restaurant. Pour le shopping il lui demanda ses préférences. Elle savait déjà ce qu’elle voulait : voir des jupes ou robes « pour changer », des chaussures à talons hauts « pour être à la mode » et passer dans une boutique de lingerie, l’augmentation du volume de sa poitrine nécessitant l’achat de nouveaux soutiens-gorges qu’elle voulait essayer avant d’acheter, ne connaissant pas sa taille actuelle. Elle les dirigea vers la boutique ou elle avait repéré cette jupe qui lui faisait envie. Sébastien reconnu la rue, c’était proche du restaurant où il avait réservé ainsi que de la rue « chaude » de la ville ou il avait repéré un sex-shop ou il comptait bien amener Céline après le dîner. Le choix du restaurant n’était pas innocent.

La boutique était d’ailleurs en adéquation avec cette proximité et présentait, à coté d’une collection classique, des tenues très féminines. Céline s’orienta vers ses dernières. Compte tenue de sa stature assez forte son choix fut limité. Elle trouva cependant à sa taille une jupe noire semblable à celle recherchée, mais plus courte encore, quinze centimètres au dessus du genou, ainsi qu’une robe plus sage. Céline hésita un instant à entrer dans la cabine d’essayage : elle n’avait pas de culotte et craignait que la vendeuse s’en aperçoive. Sébastien la rassura : il montait la garde devant le rideau. Les essayages furent concluants bien que Céline trouva les deux vêtements trop moulants. Sébastien la tranquillisa en lui assurant qu’elle était très belle ainsi et que si les vêtements lui plaisaient, elle devait se faire plaisir, à commencer par garder sur elle la jupe achetée. Ils repartirent à la recherche cette fois d’un chausseur et d’une boutique de lingerie. Ils les trouvèrent tous les deux en pénétrant dans la rue « chaude ». Dans le magasin de chaussures, qui n’avait que l’embarras du choix en matière de chaussures à talons, Céline choisit une paire d’escarpin noir à talons de dix centimètres, qu’elle garda aux pieds. Dans la boutique de lingerie, elle fut surprise par la présence en bonne place de dessous sexy : de guêpière, serre-tailles, ensemble avec porte-jarretelles… Elle les regarda avec attention, hésita mais se dit « plus tard peut-être, maintenant que je sais ou les trouver ». Elle acheta, après essais, deux soutiens-gorges plus classiques, en dentelle noire, à sa nouvelle taille.

Elle avait confié sa veste à Sébastien pour les essayages et comme il faisait une température agréable elle ne la repris pas. Quand ils sortirent dans la rue, Sébastien portant les sacs et la veste, Céline remarqua la présence de prostituées. Elle les observa quelques instants, puis regarda sont reflet dans une vitrine, elle se trouva une forte ressemblance, talons hauts, court vêtue, maquillage appuyé… Elle pressa le pas pour sortir de la rue. Sébastien remarqua le regard noir d’une prostituée sur son épouse, crainte de la concurrence ? Il la suivit avec retard. Elle était sublime, ses talons hauts transmettait un roulis à son fessier généreux, un peu vulgaire, mais sublime.

Quand ils entrèrent dans le restaurant, elle remarqua, une fois de plus, le regard des hommes sur sa personne. La gêne qu’elle éprouvait dans de telles circonstances avait fait place à une forme de jouissance. Installés à leur table, ils passèrent leurs commandes et Céline se dirigea vers les toilettes, pour se laver les mains. Elle s’enferma dans une cabine, remonta sa jupe et, avec une lingette prise dans son sac à main, se nettoya la vulve et l’intérieur des cuisses. Se promener le sexe nu sous une jupe courte et sur des talons comme une tapineuse ainsi que les regards lubriques des hommes l’avaient excitée au plus haut point.

Sébastien et Céline dînèrent fort bien dans le calme, sans voisins. Durant le repas Céline raconta, comment elle s’était faite draguer par Claude, rencontré chez son amie Fabienne. Elle avoua l’émoi ressenti dans son rôle de femme sexy, de femme facile. La réaction de Sébastien fut surprenante.

- « Il y a une semaine, quand j’ai compris que tu était fidèle, j’ai eu un sentiment étrange, d’abord un grand soulagement, suivi d’une déception car te savoir avec un autre homme m’excitait énormément. Je fantasmais que l’homme était plus âgé. Depuis j’y pense souvent. Je suis jaloux si l’homme est de notre génération, car j’ai peur de te perdre. Mais s’il est plus âgé, tu pourrait profiter de son expérience et je sais que tu me reviendrais, je ne ressens pas de jalousie. Quel âge à ce Claude ? »

- « Soixante je crois, mais il le porte bien. »

- « Quelle réputation a-t-il auprès de ton amie ? »

- « Plutôt bonne d’après Fabienne, c’est un gros client de son mari.» Céline omis volontairement de mentionner ce que Fabienne lui avait dit : « Il traite les femmes comme des putains »

- « Maintenant tu sais que je ne suis pas jaloux de ce type d’homme, je te laisse libre de tes mouvements. »

- « Alors tu veut vraiment que j’ai un amant ? »

- « S’il t’apporte ce que je ne peux pas te donner pour ton épanouissement, oui. »

- « Tu veux m’élargir l’anus pour qu’il m’encule ? »

- « Jusqu’à ces derniers jours, ce chemin m’était interdit, un autre pourrait peut-être l’ouvrir, et puis tant que tu n’es pas enceinte, ta chatte est à moi, il reste ton cul. »

- « Et qu’il fasse de moi une pute, comme tu l’a dit il y a une semaine ? »

- « Je sais que c’est ignoble ce que je te dit là, mais je suis comme beaucoup d’hommes, je fantasme que ma femme se comporte comme une pute. Mais comme je te respecte trop, ce ne peut être qu’une autre personne, un mentor, qui t’apprenne à le devenir. »

- « Je t’ai dit, il y a une semaine, que j’étais prête à t’écouter si tu me procurais des jouissances aussi puissantes que celles que tu m’apporte actuellement. Mais je veux que ce soit toi qui t’occupe de moi, pas un amant. Déjà, je n’ai plus honte de mon corps, j’aime les regards des mecs sur mon cul. J’ai aussi aimé m’habiller en pute ce soir, ce n’était pas que pour te faire plaisir, j’ai mouillée comme une salope au point de devoir aller m’essuyer dans les toilettes. »

Sébastien reçu ce message avec, à la fois, une satisfaction intense et la crainte de ne pas être à la hauteur.

Céline, voulait rester fidèle et montrait à son mari qu’elle était prête à le suivre s’il prenait des initiatives. Mais elle savait déjà qu’elle mentait en refusant un amant, Sébastien était « trop gentil » comme l’avait dit Fabienne, tandis que Claude était sûr de lui, expérimenté en matière de sexualité perverse. Céline imagina un instant lui être livrée par son mari afin qu’il lui montre comment faire d’elle « une bonne pute ». Mais Claude était loin.

Au moment du café, Sébastien persuada Céline, sans difficulté, de visiter un sex-shop afin de se procurer les accessoires qu’ils avaient évoqués durant leurs ébats de la semaine. Il faisait presque nuit quand ils sortirent du restaurant. Céline avait remis sa veste et Sébastien portait les achats réalisés en fin d’après-midi. Ils retournèrent dans la rue « chaude ». Lorsqu’ils furent devant l’entrée du sex-shop, fermée par un rideau rouge, Céline paniqua : les clients de cette boutique étaient des hommes et allaient sûrement la regarder comme une salope. Elle appréhendait ces regards et demanda à Sébastien de rentrer seul, elle l’attendrait dehors. Il insista pour qu’elle l’accompagne, mais elle refusa.

Il fallu peu de temps avant qu’elle soit accostée par un homme, d’aspect quelconque, qui lui demanda « ses tarifs et ses spécialités ». Simultanément, elle vit deux prostituées s’avancer vers elle, l’air pas commode : elle était prise pour une pute, sur un territoire non autorisé. Elle entra précipitamment dans la boutique pour chercher la protection de son mari. Il y avait peu de clients, et parmi eux elle repéra tout de suite Sébastien, au rayon des sex-toys, et le rejoignit, sans se soucier du regard des autres clients. Quand elle s’accrocha à son bras, il lui sourit, content d’avoir sa présence à ses cotés.

- « Le vendeur revient pour nous montrer ces godes là, le reste dépend de ton choix. » Il désigna deux jouets dans la vitrine.

Le premier était un godemiché noir, épais, une hampe longue d’une vingtaine de centimètres, imitant un sexe dur, avec un gros gland, et une base, imitant une paire de couilles, finissant par un plat lui permettant de tenir debout. « Pour ta chatte » Murmura Sébastien.

Le second, un vibromasseur, de même couleur, moins long et plus fin, s’élargissait à la base et était surmonté d’un gland oblong. « Pour ton cul, imagine toi avec les deux godes utilisés en même temps. »

Céline fut troublée par la taille et l’épaisseur du premier, et intriguée par le second. L’arrivée du vendeur interrompit ses réflexions.

- « Très bon choix Madame, Monsieur, deux articles de qualité. » Qu’il sortis successivement de la vitrine et qu’il remis directement dans les mains de Céline. « Belle taille, remarquez la douceur de la texture. » Dit-il du premier. « Le bout fin facilite la pénétration anale tandis que l’élargissement vers la base permet de dilater l’entrée. » Commenta-t-il du second. « Pour l’utilisation des deux je vous conseille d’utiliser un lubrifiant. » Conclut-il.

Pas un mot ne sorti de la bouche de Céline, rouge de honte de tenir ces engins à la main devant les autres clients. Le vendeur et Sébastien s’aperçurent de son trouble.

- « Allons dans un lieu plus discret afin que je puisse vous présenter mes produits. » proposa le vendeur en débarrassant Céline de ses deux sex-toys.

Sébastien acquiesça et Céline suivit le mouvement vers une cabine de projection assez vaste, équipée d’un écran plat et d’une banquette sur laquelle ils furent invités à s’asseoir. Le vendeur, qui avait remarqué l’intérêt suscité auprès de la femme par le second engin, repris son discours commercial.

- « Si Madame n’est pas habituée à la sodomie, l’utilisation régulière de plugs est recommandée. Nous en avons un grand choix. »

Sébastien accepta que le vendeur leur en présente quelques uns. Celui-ci s’absenta à la recherche de sa sélection.

- « C’est quoi un plug» Demanda Céline, jouant l’innocente, elle qui en connaissait l’existence et l’usage par ses visites récentes sur les sites de sexe.

- « Se sont des godes spéciaux pour préparer ton gros cul, à garder le plus longtemps possible pour l’habituer à être remplie, tu aimeras »

Répondit son mari qui la pris dans ses bras, pour la première fois de la journée, et l’embrassa. Il glissa une main sous sa jupe et caressa sa vulve, elle était trempée. Tandis qu’elle répondait à son baiser, il se mit à lui caresser le clitoris qui, gonflé par l’excitation était sorti de son capuchon.

C’est gémissante, la main de son compagnon active sous sa jupe remontée haut sur les cuisses que le vendeur la trouva à son retour. Sébastien la libéra de ses bras mais l’empêcha, d’un geste, de descendre sa jupe.

C’est dans cet état qu’elle suivit silencieusement la présentation des différents plugs. Elle donna son accord pour l’achat d’une boite de trois plugs en silicone noir, de même longueur, douze centimètres mais d’épaisseurs différentes, un petit, un normal et un gros . Le vendeur leur assura « qu’une fois en place, ils y restaient », la perte accidentelle était donc exclue mais qu’il faudrait, au début, un peu d’aide à Madame pour les enlever. Il hésita un instant mais, devant l’état de Céline, jupe remontée, cuisse entrouvertes laissant deviner son pubis imberbe, il proposa de placer le plus petit des trois plugs. Sébastien regarda Céline dans les yeux et lui dit

- « Tu vas aimer, accepte, tu as promis de m’écouter ».

Elle ne répondit pas mais, comme dans un état second, retroussa sa jupe jusqu’à la taille, se mis à genoux sur la banquette et attendit. Sébastien se positionna à coté de son épouse et lui écarta les fesses tandis que le vendeur, qui ne devait pas être à son coup d’essai, faisait tomber quelques gouttes de lubrifiant sur l’anus de Céline. Il étala ce lubrifiant avec le bout du plug, recommença puis en mis abondamment sur le plug avant de l’enfoncer tout doucement, le retirant régulièrement pour remettre du lubrifiant dans le trou qui s’agrandissait. Quand le plug fut entré au trois quart, le vendeur lui fit faire une série de va et vient avant de le planter totalement.

- « Vous pouvez la graisser plus rapidement en utilisant vos doigts. » Dit le vendeur à Sébastien, puis s’adressant à Céline « J’espère que je ne vous ais pas fait souffrir, Madame ? »

Madame ne répondit pas, elle était à la fois morte de honte et au bord de la jouissance. Honteuse de se comporter comme une salope que son compagnon offre à un étranger, elle avait même espéré un instant que son mari demande au vendeur de la baiser, et la manipulation du plug dans son rectum l’avait amené au bord de l’orgasme.

- « Restez ici, je vais préparer votre commande et je reviens d’ici dix minutes. » Leur dit le vendeur qui quitta la cabine.

Le sexe de Sébastien lui faisait mal et Céline était toujours en position.

- « Viens, je n’en peux plus ! » lui dit-t-elle.

Sébastien baissa son pantalon et transperça de sa queue la chatte trempée de sa femme, dont le vagin, rendu plus étroit par la présence du plug de l’autre coté de la paroi, lui procura une sensation nouvelle. L’excitation de Céline était à son maximum, elle se sentait occupée par les deux trous. Elle pensa à Claude et s’imagina prise en sandwich par son mari et Claude. Cette image, et les coups de reins qu’elle subissait, la projetèrent dans un orgasme puissant, bruyant et contagieux car Sébastien gicla au fond de son ventre dans les secondes qui suivirent.

Sébastien fut le premier à se remettre de ses émotions. Il aida Céline à se remettre sur pied et arranger ses vêtements. A temps, car le vendeur revint la minute suivante, avec un sac anonyme contenant les achats et le terminal de la carte bancaire. La transaction réalisée, le couple sorti du magasin en passant sous les regards des clients qui avaient probablement entendus les vocalises de Céline. Elle n’avait pas retiré le plug de son anus avant le retour du vendeur dans la cabine, et se rendit compte qu’elle devrait maintenant le garder jusqu’à leur domicile. Heureusement la présence de l’objet se révéla supportable.

Céline, se sentait bizarre : nue sous une jupe courte et moulante, l’anus pénétré, la chatte dégoulinante de sperme et de ses sécrétions, sur des talons trop hauts, elle se voyait comme une des prostituées qu’elle avait croisés. N’avait-elle pas été abordée comme telle ? Au fur et à mesure qu’elle marchait, que les mouvements du plug dans son fondement lui procuraient une sensation agréable. Plus les hommes la regardaient, plus elle prenait de l’assurance. Que devinaient-ils ? Savaient-ils qu’elle était une belle salope, prête à baiser, bientôt à se faire enculer ? Son excitation revenait, « je deviens nymphomane » pensa-telle.

Ils trouvèrent un taxi. Sur le chemin de leur domicile, Céline embrassa son mari et lui dit dans le creux de l’oreille.

- « Ce soir j’ai été ta petite pute, tu as apprécié j’espère. Le plug est toujours en place, il me fait de l’effet, je ne sais pas si tu vas le retirer ce soir. ».

Une fois chez eux, ils s’enlacèrent, Céline poussa Sébastien sur le canapé et se déshabilla lentement devant lui, quand elle fut nue sur ses talons, elle lui montra ses fesses en les écartant. »

- « Je préfère que tu me l’enlève, je l’ais bien supporté. Demain tu me mettra le moyen pour voir. »

Heureux de la voir dans ces dispositions, Sébastien se saisit de la base du plug d’une main et tira mais il ne voulut pas sortir. Céline se cramponna pour ne pas reculer, Sébastien tira plus fort et l’objet fut extrait mais Céline ressentit une douleur. Ne voulant pas que son mari s’en inquiète, elle le rassura.

- « Quand je serais élargie, çà passera tout seul. »

Il était tard et tous deux étaient fatigués, ils choisirent de prendre une douche et d’aller se coucher. Ils s’endormirent nus dans les bras l’un de l’autre.


Ce même soir, Fabienne réfléchissait à l’évolution de la libido de son amie, constatée lors de la soirée du mardi soir. Quand Céline s’était mise nue, sur son ordre, pour enlever ses sous-vêtements, Fabienne avait pu admirer la beauté de son corps malgré sa corpulence. Elle avait alors pensé à une esclave orientale dans un tableau du dix-neuvième siècle. Elle avait aussi remarqué, avec un plaisir sadique, qu’elle avait de l’influence sur son amie. « Faire de Céline une fille docile et me distraire avec elle pendant toute ces semaines ou Damien sera absent ». Elle se souvint aussi de l’attirance de Claude pour Céline et une idée germa dans sa tête « la pousser dans les griffes de Claude afin qu’il la pervertisse plus encore ».

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Commentaires de l'histoire :

hervé "dit Vison"
tres bon texte on reste un peut sur notre faim mais suspens.... quelle sera l'evolution de Celine Vivement la suite A bientot
Posté le 8/05/2018

vanbruje
Toujours excellent... bien qu'un peu court... Bien vite un suite svp, merci d'avance
Posté le 26/04/2018


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