Histoire Erotique

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Chaleur et tonnerre, ça désinhibe !

Une jeune épouse, amoureuse et bien propre mais craignant une incommodité, cherche à améliorer sa vie de couple en interprétant à sa manière le surprenant conseil de son médecin.

Proposée le 23/10/2017 par spiroutic

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Vacances, voyages
Type: Fantasme


Déjà deux mois de vie commune. Cependant, depuis un mois, Adèle semble préoccupée le soir.

Hier, elle revenait de chez son gynécologue. Reconnaissant son pas léger, j'ai aussitôt ouvert la porte de l'appartement et chuchoté :
-"ça allait ?". Elle a hoché affirmativement la tête.
-"Bon, alors je peux t'annoncer une surprise : mon copain Robert nous prête sa maison de campagne pour ce week-end. On sera prêts ?"
-"Oh oui, par ce temps on n'a pas grand-chose à amener" répond-elle heureuse.

Donc aujourd'hui, après une courte nuit bien sage, nous voila en route.
Il fait déjà chaud, je défais deux boutons ma chemisette et pour faire la conversation je plaisante :
-"Robert dit que son jardin est entouré d'une grande haie, serais-tu intéressée par un peu de naturisme ?"
-"Oh, voyons" s'offusque t'elle en secouant la tête.
Nous arrivons avec retard sous un ciel lourd. Je sors le trousseau de clés de Robert et ouvre le portail. En progressant vers la maison nous remarquons que ce jardin est vraiment touffu et il y a aussi une véranda : bonne surprise.
Dans la porte de la maison j'introduis... non, je n'arrive pas à introduire la clé. Après deux essais je me décide à regarder la forme de la fente sur la serrure : ce n'est pas le profil de la clé!
La déconvenue est à la mesure de notre gaité évanouie. On fait le tour de la maison, pas de garage, pas d'autre issue qui puisse convenir à cette satanée clé.
Je veux appeler Robert mais le réseau est HS. Nous faisons triste figure mais il s'avére que la véranda n'est pas fermée. Elle n'est pas communicante mais on y découvre des tabourets plastique, des bouteilles d'eau, deux draps de plage pour bain de soleil, et un beau fauteuil d'osier.
-"Dès que le réseau se rétablit je demande un hôtel".
Je m'assois un quart d'heure. Toujours pas de réseau. L'énervement et le climat me font transpirer, alors je me mets en slip. Adèle semble craindre de bouger.

-"On parlait justement de naturisme."
Je regarde fixement Adèle qui comprend :
-"Non, ma robe est très légère et supportable"
Pourtant ces haies et buissons semblent bloquer tout vis-à-vis, et la lumière du jour baisse. Je le fais remarquer à Adèle qui répond :
-"Je préfèrerais que les voisins dorment, Mais de toute façon on ne va pas passer la nuit ici."
Le ciel semble tourner à l'orage.
Encore un quart d'heure d'attente, le réseau toujours en dérangement. Je prends enfin le courage de dire :
-"Considérons nous comme des campeurs, nous avons ces deux draps de bain pour passer la nuit, non ?"
Adèle semble excédée, puis d'un coup semble penser à un truc. Elle entame une bouteille d'eau.
-"S'il le faut. Mais je ne suis pas sûre de pouvoir dormir."
Je ressens le besoin de pisser, je fais donc deux pas dans le jardin mais un premier coup de tonnerre me surprend désagréablement et je dois sortir précipitamment mon appendice giclant sans aller plus loin.
Une petite main se pose sur mon bras : Adèle a tout vu !
-"Danger, recule !"
Il est bien connu que les pointes attirent la foudre (Peut-être). Gêné, je préfère stopper ma miction car nous ne sommes pas familiers au point de pratiquer ce genre d'exhibition.
Par contre nos nudités ont été souvent explorées, donc en revenant dans la véranda j'accroche mon slip mouillé à un tabouret pour qu'il sèche.

Je me dirige vers le fauteuil.
-"On pourrait y tenir à deux" fais-je remarquer, narquois.
Cette fois Adèle obtempère avec un petit sourire et vient à mon contact, toute transpirante maintenant.
-"Mais enlève donc ça, voyons!"
Elle doit être maintenant bien amoureuse car elle obéit et, oooh surprise, elle n'a pas de culotte.
J'ai constamment eu ma chérie sous les yeux aujourd'hui et elle n'a pas pu jeter de culotte, donc elle a fait tout le voyage dans cet état, même pendant l'arrêt à la superette. D'ailleurs je me rappelle qu'au moment où un petit garçon s'approchait de ses jambes, elle a vivement reculé. Je comprends maintenant. De plus elle n'y a pas profité des toilettes. S'est elle donc troussée discrètement ailleurs ? Ce doit être vite fait sans culotte, je suppose.

-"Avoue que le naturisme te fascine"
Elle baisse les yeux et se presse contre moi. C'est donc le moment.
L'orage reprend alors que mon érection se déploie, ma vessie devra donc attendre.
Ma chérie vient sur mes genoux pour s'y empaler (ça c'est inhabituel). Nous semblons transpirer toute la limonade que nous avons bue, c'est excitant.
D'ailleurs je me souviens qu'elle en a bu encore plus que moi... mais je ne peux achever mon raisonnement car l'orgasme va me submerger.
Ma chérie semble préoccupée puis accélère soudain, toute luisante et humide au point de clapoter sur mes cuisses. Au diable les ennuis, il faut jouir.
Quand j'ai fini d'éjaculer je la vois heureuse comme jamais. Je reprends mon souffle et lui chuchote :
-"Hé bien, tu..."
-"J'ai suivi un bon conseil", avoue t-elle avec un petit rire.

Sans lit pour se reposer après l'amour, le mieux est de rester accouplés tels quels. Elle semble dormir mais un violent roulement de tonnerre la réveille. Je l'enlace plus fort, pourtant elle frissonne. Puis :
"Il pleut sous le fauteuil ?" pense mon esprit encore confus.
Oooh certes non ! C'est elle qui pisse, sur moi et à travers le fauteuil, vivement, copieusement, longuement. Le dessous du fauteuil ressemble à une douche.
-"Pardon chéri, cette frayeur...".
Et elle reste en place ! Je la fais tressauter sur moi pour mieux sentir son jet de pisse dru, raide presque autant qu'une antenne qui sortirait du vagin, ou plutôt du petit trou que je n'ai jamais pu voir.
Quand je joins mes cuisses une petite mare chaude s'y forme, dans laquelle retombe son cul en clapotant, bien plus que tout à l'heure. La fascination de ce spectacle extrème ralentit mes pensées mais j'en formule une : Tout à l'heure pendant mon orgasme, elle pissait déjà un peu et en avait l'air très heureuse !
Elle s'est donc retenue toute la journée : quelle coquine courageuse !

Au sol, une petite rivière chaude cherche la sortie de la véranda.
La vue et le contact de ces chhoses font remonter mon pénis dans le vagin qu'il n' a jamais vraiment quitté pendant notre bref repos.
Mais cette belle vidange me rappelle aussi l'état de ma vessie que je sens maintenant douloureusement pleine. Ma chérie a fini de pisser, radieuse, mais je n'ose pas bouger.
Un soudain courant d'air frais et un coup de tonnerre tout proche me font sursauter et, à mon tour, j'en perds le contrôle de mon sphincter, une giclée part à l'intérieur d'Adèle. J'ai honte mais elle ne proteste pas. Alors, voyant déjà notre degré de souillure, je ne trouve pas de raison de stopper ma miction. Totalement désinhibé je pisse tout, longuement.
Gargouillis obscène dans le vagin d'où fusent ensuite des jets de ma pisse.
Elle en a maintenant les yeux exorbités.
-"Pardon ma chérie, je t'aime"
Elle se met spontanément à tressauter, ce qui aggrave les éclaboussures.
Ma vessie commençant à s'apaiser, mon érection peut se réveiller. Me voilà le plus viril et le plus cochon des mâles.

Mais Adèle quitte le fauteuil et le coït, pour me saisir le phallus.
-"Je veux voir sortir la semence."
Cette idée me choque venant d'une femme (Quel vieux-jeu hypocrite)
-"Non, à genoux ici !"
Et je positionne ma femelle pour une levrette afin d'apparaitre le plus mâle possible.
Je fourre, je tringle, voulant devenir un sauvage que je ne suis pas.
L'éjaculation démarre mais ma frénésie me fait décrocher, et une rafale part en dessous de ce joli postérieur.
Adèle a baissé encore davantage la tête. Je comprends qu'elle regarde par dessous ce qu'elle voulait voir, et aussi qu'elle s'en prend dans la figure car elle émet un bref râle sauvage.
Surpassant mon orgasme, j'arrive à réinsérer prestement mon membre giclant au bon en droit, et râle à mon tour pour mieux profiter de ma dernière saccade.

Et en même temps, une voix se manifeste dans le jardin :
-"Ah je vous entends, vous êtes là tous les deux!"

C'est Robert ! Il met un pied dans la véranda et :
-"Voici la bonne clé que... oups..."
Il nous jette son trousseau et s'enfuit en courant.

***

Pendant des années, au boulot, lui et moi ne pourrons pas entendre prononcer le mot Véranda sans démarrer un fou-rire, devant les autres collègues perplexes.
Et avec moi il a fini par évoquer l'incident en voulant s'excuser, mais n'a jamais mentionné l'odeur qu'avait prise sa véranda.

Notre vie sexuelle, après deux semaines de gêne, s'est avérée bien enrichie.

L'année suivante, seulement, Adèle a pu me parler des conseils de son gynéco :
-"La pénétration me donnait l'impression d'une envie de faire pipi imminente qui me déconcentrait. Le docteur m'a conseillé d'essayer juste une fois de tenter le diable au moment de cette sensation, en m'efforçant, au contraire, de pousser pour pisser et constater qu'il ne sortirait probablement rien, ou si peu, loin de l'inondation redoutée. Il m'a suggéré de t'en parler d'abord, mais je n'ai pas osé.
Chez Robert, sur toi au début, ça a bien marché, je t'ai très peu mouillé et j'ai été comblée.
Mais ensuite, comme j'avais beaucoup trop bu d'eau et que cette chaleur me troublait l'esprit..."
-"Serait-ce aussi un fantasme refoulé de petite fille ?"
-"Et toi pour ce qui est arrivé ensuite, ton fantasme de petit garçon vicieux ?, cochon chéri."

Le lendemain je prends l'initiative d'acheter seul une bonne protection de matelas.
Et le soir je l'installe pendant qu'Adèle prend sa douche. Aussitôt qu'elle sort de la cabine j'y rentre à mon tour et j'écoute sa réaction dans notre chambre attenante.
Son pas s'interrompt et elle tapote la surface neuve en question sous le drap, puis elle revient vivement interrompre ma toilette en ouvrant la cabine. Ses mots ont du mal à sortir.
-"Heu, chéri, alors sur le lit, maintenant je peux encore ? Tant que je veux ?"
-"Pour que tu sois parfaitement heureuse en te laissant aller."
Nous nous embrassons, puis elle me prend le flexible et se met à boire à même la douchette, une vingtaine de secondes.
-"Tout de même, sois raisonnable, ton estomac..."
Mais elle insiste et enfin, toute joyeuse, m'applique fermement la douchette sur la bouche : je dois boire aussi.

Qu'il sera doux de se laisser aller pour rendre l'autre heureux.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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