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Laura et le Colonel (suite 5)

Le frère de Laura, David, devient Lucie. Initié par sa Maîtresse il se donne à un militaire...

Proposée le 27/04/2017 par laura saintclair

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Thème: Homme soumis
Personnages: FFH
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme


David se réveilla encore sous l’effet tant des drogues que lui avaient administrées Ioana que de la débauche à laquelle ils s’étaient adonnés. Le soir, il avait été transféré de sa cellule dans une jolie chambre du palais. Sans atteindre le luxe de celle sa sœur, elle était bien plus confortable qu’auparavant. Sur sa table de nuit, Ioana avait posé 2 pilules accompagnées d’un petit mot : « Bonjour ma chérie, peux-tu les prendre. Ce sont des vitamines que nous prenons pour garder la forme. J’en prends aussi et regarde comme je suis jolie, bisous ». D’abord étonné par le ton du message, après tout Ioana était d’abord sa geôlière, il se souvint plus précisément de la veille. Lucie…Lucie…Il avait accepté de devenir cette étrange chose. Il était un garçon mais pour survivre, lui et sa famille, il devait se soumettre et revêtir les traits de cette fille qu’il ne connaissait pas encore. Un sentiment de crainte, de honte l’habitait à présent. Comment avait-il pu en arriver là. Se laisser aller ainsi. Il se souvenait maintenant précisément de la manière dont il s’était habillé en fille, des bas qu’il avait enfilés, de la manière dont il s’était fait dépucelé et de ses multiples jouissances. Sous le drap, il regarda son corps. Il était encore revêtu d’une jolie nuisette noire de satin. Il ne put s’empêcher d’y balader sa main. Le tissu était doux et parcourait merveilleusement les lignes de son corps. En descendant encore un peu, il remarqua la douceur de ses jambes, de son sexe. La nuit, pendant son sommeil, une partie de sa masculinité avait encore disparue. A présent, il était intégralement imberbe et sa peau habillée de douceur. A nouveau, il se mit à apprécier cette nouvelle féminité. Il effleura son petit trou. Lui aussi était doux et prolongea ses caresses. Il lui semblait encore lubrifié et, délicatement, y inséra un doigt. Instantanément, il sentit son ventre se contracter et une savoureuse chaleur l’envahir. Il poursuivit la découverte de sa chatte. Le ressortant, il se goutât et se lubrifia de sa salive. Son doigt rentra plus facilement et sans réfléchir commença à se branler…Soudain, une voix se fit entendre : « Vas te laver Lucie, ensuite tu t’habilles. Souviens-toi de ce qui est en jeu ici ! ». La voix masculine se tût. David sentant avoir été surpris alors qu’il se touchait devint rouge de honte. Il n’eut pas le temps de trop réfléchir, il se leva et se dirigea vers la petite salle de bain. Il prit rapidement une douche tout en prenant plaisir à sentir le savon glisser sur sa peau imberbe. Jamais il n’avait ressenti cette sensation. Au sortir de sa douche, il remarqua les vêtements posé sur la chaise. Il lui semblait qu’il s’agissait des mêmes qu’hier. Encore maladroitement, il trouva un certain plaisir à les revêtir. Il camoufla au mieux sa protubérance et regarda le nylon rouler le long de ses jolies jambes comme il avait vu le faire Ioana. Il les contemplait maintenant et il se dit…qu’elle était tout de même bien faite cette Lucie. Se redressant, il se percha sur les talons de ses chaussures. Elles lui convenaient également parfaitement et parvenait toujours à se déplacer correctement. Ainsi revêtu, il se regarda dans la glace. Il se trouvait pas mal. Une mini robe moulante noir, des bas de même couleur, une jolie guêpière,…Il aurait bien aimé passer un moment avec une telle fille. Il ne restait que sa tête qui gardait certain trait masculin que son jeune âge cachait pourtant en bonne partie. Il remarqua alors la perruque posée derrière lui sur une petite commode. Il tenta de l’ajuster au mieux à sa taille et se regarda à nouveau. Maintenant, Lucie était vraiment naissante. Il ne manquait qu’une légère touche de maquillage qu’il trouva ranger dans la commode. Judicieusement, il n’en fit qu’un usage modéré qui mit en avant toute sa beauté féminine. Se regardant, il trouva qu’il ressemblait fortement à sa sœur…Même s’il ne l’avait jamais vue habillée de cette manière provocante. Il resta là, de longue minute, à se contempler, à découvrir sa nouvelle personne. Pourtant, était-il encore véritablement une « personne » ou bien juste un matériel dont chacun pouvait se servir à sa guise…
La porte de la chambre s’ouvrit. David osa un regard et s’aperçu avec soulagement qu’il s’agissait de Ioana. Il sortit de la salle de bain et se dévoila à sa maitresse. « Très bien Lucie…Je dois dire que tu es très belle aujourd’hui. J’ai un bon programme d’initiation pour toi aujourd’hui ». « Avant tout, j’aimerais que tu prennes mes petites pilules. Ne t’inquiète pas, comme je te l’ai écrit j’en prends également. Tu sais dans cette période trouble, il faut préserver sa santé ». Troublé par la gentillesse et n’ayant de toute façon pas d’autre solution, il s’avança et pris les « vitamines ». Immédiatement, il ressentit à nouveau une chaleur l’envahir et ne douta plus de l’efficacité de la médication. Il se sentait aussi apaisé, rassuré face à un destin qu’il ne pouvait plus maîtriser. Ioana s’approcha et l’embrassa doucement. Il se laissa faire et apprécia ce moment. « Merci. Viens maintenant » lui dit-elle doucement.
Ils sortirent de la chambre pour emprunter un long couloir dans lequel étaient en fraction quelques soldats. Ceux-ci ne manquèrent pas de reluquer les deux demoiselles. Lucie, malgré une pointe de gêne, fût soulagée de ce moment. Personne ne rigolait d’elle, au contraire, elle pouvait percevoir le regard envieux de certains gardes. Au fond du couloir, après avoir descendu quelques marches, ils arrivèrent à une grande porte. Le cœur de Lucie commençait à battre fort. Sans doute l’effet conjugué des pilules et de l’incertitude du moment. Ils pénétrèrent dans la pièce. La lumière y était tamisée et un imposant lit rond tout de rouge vêtu trônait en son milieu. Sur le côté du lit un géant noir patientait débout et nu. A sa vue, Lucie comprit ce qui l’attendait. Elle s’en effraya mais ne pouvait faire demi-tour. Ioana la maintenait et l’homme se rapprochait d’elles. « A genoux ! » lui dit Ioana. Lucie voulu se débattre mais sa maîtresse lui fit un croche pied qui la fit se mettre dans la position voulue. « Voilà, calme-toi. Tu vas découvrir comme un homme peut correctement s’occuper de nous ». « Et souviens-toi bien de ce qui est en jeu ici ! Tu n’as d’autre choix que de continuer à te soumettre à nos désirs ! ».
L’homme arriva à leur hauteur. Sa bite était bien droite et il l’avança jusqu’à quelques centimètres du visage de Lucie. « Non, je ne veux pas, je ne veux pas » supplia-t-elle. Peine perdue ! Ioana maintenait sa tête et le chibre du géant avançait encore. Bientôt le contact allait inexorablement se faire. Elle allait être abusée par ce colosse et devenir sa chose. Son sexe était proportionnel à l’individu…énorme ! Ioana lui pinça les narines et Lucie n’eut d’autre choix que celui d’ouvrir la bouche. Instantanément, la bite s’engouffra dans l’orifice et commença à aller et venir. Cette intrusion provoqua d’abord un haut le cœur…puis elle commença à s’habituer au corps étranger. Il lui maintenait toujours la tête et lui baisait bien la bouche. Les phéromones et les drogues commencèrent à produire des effets. Lucie laissait coulisser ses lèvres au tour du sexe de son tourmenteur. Il ne devait même plus exercer de pression, elle allait et venait à la découverte de ce sexe bien dure.
Ioana, quant à elle, s’était positionné la tête sous le sexe de Lucie. D’une main elle la branlait tandis que sa langue redécouvrait et lubrifiait doucement le cul de l’ex-jeune homme. Le sexe de celui-ci devint dur lui-aussi. Elle ne pouvait s’empêcher d’éprouver du plaisir dans les caresses buccales de Ioana. C’était la première fois qu’elle se retrouvait avec un sexe en bouche. Hier, Ioana lui avait montré comment faire mais jamais elle ne s’était imaginée être ainsi humiliée. Habillée en fille, à genoux, branlée et lubrifiée, elle suçait un homme. Le sexe du colosse lui remplissait la bouche et sa peau d’ébène luisait sous la salive. Elle fut surprise d’avoir été aussi docile, de n’avoir pas offert beaucoup de résistance à ce viol. Ioana se redressa derrière elle et lui caressa la poitrine. Doucement, elle dégrafa le chemisier de Lucie pour laisser apparaître sa jolie guêpière. Elle la détacha de la bite pour l’embrasser ce que Lucie lui rendit bien. Sa bouche reprit ensuite le sexe et continua de le pomper de plus en plus avidement. Le géant prenait vraiment son pied à être ainsi sucer. Il admirait les deux filles dont il disposait pour ce soir. Les deux filles se redressèrent et s’embrassèrent. Lucie avait maintenant fait baisser toute garde et se laissait aller à la découverte sexuelle. Ioana la déposa sur le lit. Elle lui écarta les jambes. La scène était splendide. L’ex jeune homme était langoureusement couché, le corps gainé par sa guêpière et les jambes revêtue de bas noirs. Son sexe, bien droit, indiquait clairement qu’elle était maintenant bien réceptive, qu’elle était devenue l’objet de satisfaction du désir du géant noir. Tandis que Ioana engloutissait le sexe de Lucie, le noir se pencha pour l’embrasser. Elle eut un léger recul puis accepta les lèvres, la langue charnue de l’homme. Elle l’embrassait bien et, instinctivement, ses bras enlacèrent son torse musclé. Tout en l’embrassant, elle poussait de timide râle d’excitation. Ioana vint s’empaler sur son sexe. L’intérieur de son sexe était brulant et elle mouillait abondement. Lenoir lui présenta à nouveau son sexe. Sans réfléchir, elle le prit en main et le mis en bouche. Elle le suçait avidement. L’homme se retira et Ioana, le sexe inondé, vint s’asseoir sur sa bouche. Avec plaisir, Lucie retrouvait le sexe qu’elle avait découvert hier. Avec application, sa langue remonta dans le sexe de sa maîtresse. Une quantité importante de mouille dégoulina dans sa bouche. Elle en ingurgita une bonne partie. Ioana se frottait la chatte et branlait son clito sur le nez de Lucie.
Le garde se positionna derrière. Il lubrifia son doigt et entrepris d’ouvrir le petit cul de Lucie. Après avoir tournoyé sur la petite rose, il poussa délicatement la porte d’entrée. Celle-ci céda et accepta l’intrusion. Lucie poussa un petit soupir de satisfaction. Doucement, l’intrus allait et venait dans son fondement. Bientôt, il fût rejoins par un deuxième doigt, puis un troisième. Ioana poussait toujours plus son sexe sur le visage de son esclave. Celle-ci y enfonçait sa langue tout en récoltant les effluves. Il n’y avait plus de conscience, tout était dans la sensation, dans le plaisir du vice…
Le noir s’avait y faire avec les corps masculin efféminé. De ses doigts, il massait la jeune prostate ce qui procurait un plaisir inconnu et irrépressible. A présent bien ouverte, il positionna son bel engin devant l’entrée presque béante. Il fit un mouvement de bassin et commença à baiser sa jeune pucelle. Lucie ressenti la douleur de cette trop importante intrusion. Toutefois, il y allait doucement, lui laissant le temps de s’accommoder du molosse. Progressivement, les résistances naturelles cédèrent. Le très lent va et vient ce fût plus rapide. Il commençait à coulisser agréablement dans sa chatte masculine.
Ioanna redescendit et mit son sexe juste au-dessus de celui de Lucie. Le garde avait une vue splendide. Tout en baisant le cul vierge, il avait, juste au-dessus, une chatte dégoulinante de mouille et de salive. Il admirait aussi ces deux donzelles occupées à s’embrasser goulument. Il comprit aussi ce que le sexe de Ioanna pouvait lui offrir…un parfais lubrifiant. Il sorti du cul de Lucie pour entreprendre de lubrifier son sexe dans la chatte de Ioanna. Il s’y engouffra comme s’il était avalé. Ioanna se cambra d’un coup en criant son plaisir. Après quelques allée et venue, son chibre luisant, il retourna dans le cul serré. Il n’y avait presque plus de résistance. Il la pénétra beaucoup plus facilement. Plus étonnant, Lucie commençait à apprécier la chose. Son corps en témoignait. Il se cambrait lui-aussi. Il allait précautionneusement à la rencontre de celui-qui prenait sa virginité. Soudain, l’ébène poussa son molosse au plus loin dans le pauvre petit cul. Ainsi remplie, entre douleur et plaisir, Lucie fût saisie dans tous les sens du terme. Elle ne pût s’empêcher de dire un « ouiiiiii » qui fit sourire tant le garde qu’Ioanna. A présent Lucie leur appartenait. Sa vie était bouleversée. Elle ne serait plus jamais le gentil garçon qu’elle était. Le venin du sexe anal était en elle. Elle ne pourrait plus s’empêcher de le rechercher.
Son corps lui dictant ses gestes, Lucie en lassa de ses jambes le noir. Elle l’invitait à la pénétrer encore plus. Son corps n’était plus que spasmes et orgasmes. Il tressaillait sous le pilonnage et sous les caresses de Ioanna. Soudain, le noir n’en puis plus de ce cul si serré et du spectacle qui s’offrait à lui. Lucie sentit l’intrus encore grossir en elle et, dans un râle de plaisir, le garde inonda de sperme le fond de son ventre. Il se pencha et embrassa Lucie tout en continuant à déverser sa semence. Lorsque la source fût tarie ; il se retira doucement. Son sexe était luisant de semence et une certaine quantité de foutre ressorti du cul déviergé. « Nettoie sa bite de ta langue maintenant » ordonna Ioanna. L’aidant à se redresser, Ioanna entraina Lucie vers le sexe encore tendu. Elle prit en bouche le sexe poisseux et le nettoya sans pudeur.
Bien propre, le noir sortit sans un mot de la pièce. Comblée, Lucie s’endormit sous les douces caresses de sa maîtresse.

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