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Laura et le Colonel (suite 4)

Laura découvre à nouveau le plaisir lesbien. Ensuite, elle se prépare pour se donner à son maître...

Proposée le 27/04/2017 par laura saintclair

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Thème: Femme soumise
Personnages: FFH
Lieu: Inclassable
Type: Fantasme


Laura se réveilla dans un bon lit douillet. Après sa journée mouvementée d’hier, elle avait passé une bonne nuit. Celle-ci avait été peuplée de rêves érotiques en compagnie de Ioana. Lorsqu’elle émergea de son sommeil, elle portait une jolie tenue en soie rouge. Une vraie princesse se dit-elle…enfermée dans sa tour ! Prudemment, elle se leva pour visiter la chambre dans laquelle elle se trouvait. Le moins que l’on puisse dire c’est qu’elle était confortable. Spacieuse et joliment décorée, elle avait également à sa disposition une grande salle de bain. Lorsqu’elle s’en aperçu, le besoin de prendre une douche lui sembla évident. Il s’agissait d’une grande douche dont les murs étaient en marbre blanc et le sol en pierre noir. Les robinets étaient dorés finement. Encore une fois superbe se dit-elle. Elle laissa tomber le peignoir qu’elle avait revêtu. Seule, sa nuisette couvrait encore son corps. Elle se regarda dans un immense miroir. L’image qui lui fût renvoyée était celle de splendide jeune femme. Quelque chose avait changé, elle se sentait pour la première fois femme. Une femme jeune, jolie et disposant de formes parfaites. Elle posa le pied sur un tabouret et retira doucement la nuisette. Elle sentait la douceur du satin glisser sur sa peau et appréciait cette sensation. Sans trop savoir pourquoi, ses têtons étaient durs et frottaient au passage du fin tissu. S’agissait-il encore des effets des drogues qu’on lui avait donné, toujours est-il qu’elle n’avait qu’une vague conscience de sa condition et de celle de sa famille. Tout cela était enfui en elle. Nue, elle se dirigea dans la douche et fit couler l’eau. La chaleur du liquide coulant sur sa nuque, ses seins lui faisait du bien. Elle prit le savon et commença à se laver. Ses mains caressaient sa petite poitrine et tournaient sur le contour de ses tétons. La douceur de l’eau mêlée au savon faisait glisser ses mains sur sa peau. Irrésistiblement, sa main droite descendit jusqu’à son sexe. Il était légèrement douloureux mais elle ressentait plus de chaleur encore à son contact. Son majeur se glissa entre ses lèvres tandis que son autre main malaxait ses seins. Sa chatte était humide. Mouillée d’eau mais pas seulement, elle sentait son sexe lubrifié par sa propre sécrétion. Les souvenirs sexuels de la soirée d’hier lui montaient à l’esprit. Ne connaissant que peu le plaisir solitaire, elle découvrait une nouvelle fois de nouvelles sensations. Elle fit pénétrer deux doigts en elle. Ils exerçaient un va et vient et glissaient sans difficulté dans son vagin. Elle ne put longtemps résister et un éclair de chaleur lui envahi le corps. Les muscles de ses jambes tremblaient, son cœur, son souffle étaient rapides comme à la suite d’un effort violent. Le tourbillon passé, elle s’écroula sur le sol et un chagrin immense la ramena à la réalité. Elle pleura de longues minutes. Il ne fallait pas céder à tout ce luxe qu’on lui donnait. Ces gens étaient mauvais et maltraitaient tant sa famille que la population. Sa volonté repris le dessus et réfléchi à comment elle pourrait sortir de cette situation. Elle ne voyait pas d’issue. Elle était coincée puisqu’ils retenaient sa famille en otage. Elle avait été contrainte d’accepter l’ignoble chantage pour les préserver. Sans solution, elle se recoucha et sombra à nouveau dans le sommeil.
Elle fut réveillée par la télévision. Lorsqu’elle ouvrit les yeux et elle fut horrifiée. Les images étaient celles d’hier. Elle se voyait étendue sur le bureau du Colonel occupée à le sucer tandis que Ioana lui léchait le sexe. Son plaisir y était évident. Elle se demanda comment avait-elle pu en arriver là. D’aller cherche d’elle-même le sexe de son tortionnaire et le prendre en elle. Les images lui firent également se rappeler qu’hier elle était devenue une femme, qu’elle avait donné sa virginité à un homme qu’elle n’aimait pas et qui torturait ses semblables. Elle se revit aussi enfoncer sa langue dans le sexe dégoulinant d’une…femme. Comment avait-elle pu avoir un comportement pareil !
La porte s’ouvrit. S’était Ioana. Toujours sur ses hauts talons, elle était vêtue d’une veste de tailleur bleue sur un bustier blanc. Une jupe serrante finissait de lui donner l’allure d’une véritable femme d’affaire. Elle s’approcha de Laura. Celle-ci la regardait ne sachant que faire…Sans un mot, Ioana se pencha vers son visage et l’embrassa. A nouveau sans savoir pourquoi, Laura n’offrit pas de résistance et ouvrit sa bouche pour accueillir les lèvres puis la langue de sa maîtresse. Le baisé dura de longue seconde et une douce chaleur envahissait une nouvelle fois Laura.
« As-tu bien dormi ma chérie ? » lui dit-elle. Laura lui répondit d’un petit « oui ». « Oui qui ? » « Oui Madame ».
«j’en suis contente comme je le suis de te revoir ce matin Laura. Et toi ? ». Ne voulant offusquer sa maîtresse, elle lui répondit « moi…moi aussi Madame ».
Ioana lui annonça qu’elle serait libre de se reposer aujourd’hui mais que ce soir elle devrait être en forme pour aller voir le Colonel. Elle lui montra les vêtements qu’elle avait apportés. « Ce soir, il te veut dans cette tenue ! Ne le déçoit surtout pas. Tu sais bien ce qu’il t’en coûterait à toi mais aussi à ta famille ». Regardant les images de la télévision : « Il me semble que tu as pris beaucoup de plaisir hier ! Maintenant que nous avons cette vidéo, il te va être difficile de dire que nous t’avons obligé… » «Pour ta première fois, tu as été une belle petite pute ma chérie ». Le regard de Laura s’assombrit. D’une part elle ne voulait pas être une « pute » mais aussi car elle ne voyait décidément plus de solution à sa condition.
« Je te laisse, j’ai du boulot. Sois prête à 19h précise ! » Sur ces mots elle leva Laura et l’embrassa. Laura se laissa faire. Se faisant, Ioana sentit le besoin de jouir. Elle était partagée entre le fait qu’elle allait se mettre en retard et le besoin de profiter du jeune corps qui était à sa disposition. Elle choisit de se laisser un peu de temps.
« Laura, j’ai trop envie de tes lèvres sur mon sexe » lui dit-elle les yeux dans les yeux tout en relevant sa jupe. Laura, qui ne s’avait trop que faire, n’eut pas l’occasion d’y réfléchir. Ioana la poussa à se mettre à genoux face à elle. Elle se trouva à hauteur de sa culotte. Par-dessus, elle portait des bas couleurs chair. « Tu n’as que te rappeler d’hier » dit-elle en se couchant sur le rebord du lit et en abaissant jusqu’aux genoux sa culotte. Face à ce sexe, Laura ressentait une envie d’une nouvelle fois le découvrir. Elle s’approcha et vint y poser sa bouche. Le bout de sa langue alla à sa rencontre. Elle se faufila entre les lèvres et découvrit un intérieur déjà humide. Ioana soupira langoureusement sa tête tombant en arrière. Ses mains agrippèrent la tête de laura et la poussa plus profondément encore en elle. « Lèche ma bonne petite pute ». Ces mots résonnaient dans la tête de Laura. Ceux-ci, accompagné de l’odeur de la cyprine, envahir ses sens et elle redoubla d’envie. Sa langue effectuait un va et vient délicieux dans le corps de Ioana. Elle s’insérait profondément en elle ayant difficile à trouver son oxygène. Ioana tremblait et poussait de petits cris de plaisir. « Branle-moi Laura». Se souvenant de son initiation, elle introduit deux doigts dans la chatte. Sa langue se concentrait maintenant sur le clitoris de sa maîtresse. Dans son exercice, elle jouissait presque autant que sa maîtresse. Mais que lui arrivait-il, ce n’est pas possible d’être comme cela…Ces quelques barrières ne résistaient guère à l’envie qui la dominait tout entière. L’une de ses mains se dirigea vers son propre sexe et se remit à se branler elle-même. Elle aussi poussait de léger gémissement. Soudain, Ioana se cambra tout en se crispant, dans un râle fiévreux, l’orgasme l’avait submergé. Après quelques secondes, elle amena le visage de Laura vers le sien et s’embrassèrent. « Merci ma belle, grâce à toi je vais passer une bonne journée ». « Ah oui, j’allais oublier. Il faut aussi que tu te rases la chatte pour ce soir. Tu trouveras le nécessaire dans la salle de bain. » Laura était fier et gênée à la fois. Fier du plaisir qu’elle avait ressenti et donner et gênée de s’être encore laissé emporter.

Elle voyait l’heure qui avançait. Inexorablement, elle la rapprochait du Colonel. Elle ne le voulait pas mais que pouvait-elle y faire ? Rien se dit-elle. « Il faut que je me prépare et que je fasse ce qui est nécessaire ». Soumise, elle se dit encore que pour l’instant il valait mieux faire ce qu’on lui ordonnait, qu’elle était responsable du sort de sa famille. Elle se leva et se dirigea vers la salle de bain. Un peu comme lorsque l’on part au travail, elle allait se préparer pour convenir au Colonel. Elle reprit une douche chaude et se savonna. Ensuite, elle entreprit de se raser l’entre jambe, chose qu’elle n’avait jamais faite. Elle prit un peu de mousse et en disposa sur son sexe. Le toucher lui donnait encore quelques secousses. Elle y passa délicatement la lame du rasoir en prenant bien garde à ne pas le blesser. Elle se rinça et une sensation de fraicheur l’envahi. « Oh qu’il est doux et que c’est agréable ». Elle se regarda dans le miroir. Elle se sentait belle avec ce sexe mis à nu et chassa les quelques idées suggestives qui lui venaient. Elle prit la petite pile de vêtement laissé par Ioana et s’habilla. Elle n’avait jamais revêtu ce type d’étoffe mais elle remarqua qu’il s’agissait certainement de vêtements de grandes qualités. Il y avait une guêpière noir, des bas noirs , une robe mini-mini et des escarpins. Elle remarque leur taille et se demanda comment elle allait pouvoir tenir là-dessus, elle qui n’en mettait jamais. Elle attacha la guêpière et la sentit mouler son corps. Ainsi compressée, elle se sentait en sécurité. Doucement, elle enfila les bas un à un. La douceur de la soie sur ses jambes termina de la rendre magnifique. Ce qu’elle constat dans le miroir. Elle passa la robe dont la taille lui moulait parfaitement le corps. Par contre elle était vraiment courte et lui arrivait à la mi des cuisses. Elle monta sur ses talons et sa surprise elle se débrouillait plutôt bien. Ainsi vêtue, elle se coiffa et se maquilla légèrement. Elle agrémenta le tout d’une touche d’un célèbre parfum. Le miroir renvoyait une superbe image de jeune fille prête à aller à un rendez-vous galant.

Une sonnette retentit. Il était 19 heures et la porte s’ouvra automatiquement. Une sorte de valet patientait derrière celle-ci. « Je vous en prie Mademoiselle. Suivez-moi. Monsieur le Colonel vous attend ». L’heure était arrivée. Avec quelques craintes elle suivit l’homme dans les couloirs de palais. Les quelques personnes qu’ils croisèrent se retournèrent sur la jeune fille avec un regard tinté de lubricité et d’envie. Ils arrivèrent devant une grande porte à double battant et le valet frappa trois fois puis il fit rentrer Laura dans la pièce. « Bonjour Laura » Dit le Colonel. « Bonjour Monsieur » répondit celle-ci. Il s’agissait de la chambre du Colonel, ce qui ne lui laissa plus de doute. Il était là assis sur un imposant fauteuil. Il était encore en uniforme. Elle le trouvait toujours aussi laid mais quelque chose avait tout de même changé depuis hier. Ne lui avait-elle pas en partie donné sa virginité. Bien qu’elle y fût d’abord obligée, n’avait-elle pas ressenti du plaisir entre leurs mains ? Son honnêteté la poussa à l’admettre.

Il la regarda de haut en bas. Elle était superbe. Décidément, il avait beaucoup de chance de l’avoir retrouvé. Maintenant, elle était à lui et il saurait en profiter totalement. Pas jaloux, Il se disait aussi qu’elle pourrait lui servi de monnaie de cadeau. Elle conviendrait parfaitement à l’un ou l’autre de ses sbires ou aux barons la mafia locale avec qui il voulait structurer le trafic de drogue et de femmes vers l’étranger. « Il fallait bien financer tout ça » se dit-il. « C’est bien ! Tu es parfaite devant moi ! Je vois que tu as bien compris. Maintenant, fais t’on boulot et viens me sucer !
Les paroles de son maître la figèrent. Voilà à quoi elle était destinée : être l’objet de cet homme envers qui elle n’éprouvait que du dégout ». Pourtant, son corps répondit timidement à l’ordre et s’avança prudemment vers l’homme en uniforme. « Mmmmm, comme tu t’es fait belle pour moi Laura ! Tu vas voir nous allons passer un bon moment ensemble et tu découvriras encore un peu plus ton joli corps ! ». La remarque troubla Laura qui se rappela à nouveau son « laisser aller » de la veille. Arrivée à sa hauteur, elle resta immobile. Il se redressa et posa ses grosses mains sur les fesses de la jeune fille, puis la renifla au travers de sa robe : « Héhé, comme tu es bonne ! je sens que tu en as déjà envie ! vas-y demande le moi…demande mon sexe ! ». Etre traitée de la sorte devait inconsciemment lui plaire et une légère chaleur lui envahit le bas ventre. Les joues rougies, elle se concentra pour répondre aux désirs du Maître « Monsieur, je suis à vous…je vous demande votre sexe ». Il se blotti au fond du fauteuil. « A genoux ! Vas-y ma chérie sert toi ». Laura fléchi les jambes et se trouva face à la braguette du Colonel. Elle l’ouvrit de manière indécise et le sexe en érection du maître en sorti spontanément.
D’une main elle prit le sexe et commença le va et vient appris la veille. De l’autre, elle se caressait doucement le sexe. Une envie instinctive l’amena à poser sa bouche sur le sexe turgescent. Elle le caressa de sa langue mouillée pour mieux le faire pénétrer dans sa bouche. Le Colonel poussa un râle de plaisir « oui c’est bon ma chérie continue tu es parfaites ». La satisfaction de son Maître, mêlé à l’obligation qu’elle avait de la lui donner, poussa Laura à poursuivre sa prestation. Le sexe était maintenant enfui profondément dans sa bouche laquelle coulissait parfaitement dessus. Elle remarqua que son propre plaisir augmentait et fût contrainte de suivre ses nouvelles pulsions. A nouveau, elle le suçait d’une manière véritable, avec envie. Le Colonel prenait beaucoup de plaisir. Il souleva ses couilles et présenta son anus à la jeune fille. Son réfléchir, elle posa sa bouche sur celui-ci et entreprit d’en découvrir l’intérieur. Ainsi, sa langue se faufila et se retrouva figée dans le fondement de son Maître. Pendant qu’elle poursuivait un léger va et vient dans l’anus, l’homme lui donnait de petits coups de bites sur le front. «Bien, tu comprends vite ma chérie. Enfonce là jusqu’au bout ! L’anus était bien lubrifié et Laura y poussa sa langue le plus loin possible. Le Colonel était fou d’excitation. D’un coup, il se redressa et poussa Laura sur le lit. En un instant, il était à califourchon au-dessus de sa tête et continua à baiser la bouche baveuse. Laura lui caressait les fesses sans que celui-ci ne lui ai demandé quoi que ce soit pendant qu’il la baisait entre ses lèvres. La domination était presque totale et il ne put se retenir longtemps. Laura senti le gland gonfler jusqu’à lui emplir entièrement la cavité. Un torrent de sperme jaillit et après une vague hésitation décida de l’avaler entièrement. « AHHHH tu es à moi maintenant !!! Je ne dois même plus te commander ! Tu es à moi !!! » lui dit son Maître. » Doucement, elle continuait à le sucer, à nettoyer son chibre. Il se retira et vint pour l’embrasser. Elle hésita un instant puis, se disant que de toute façon elle avait perdu tout honneur, approcha ses lèvres de celles de son tourmenteur et leurs langues s’entremêlèrent. Décidément, il avait raison…elle lui appartenait.
Il se releva et alla se rassoir dans son fauteuil. « Bien ma jolie, viens par ici ». La bouche quelque peu poisseuse, elle se rajusta et se leva à son tour. Arrivée à lui, il passa doucement sur son ventre recouvert de satin. Sa main glissa vers sa petite culotte noir qu’il se plu à caresser. « Ecartes les jambes Laura ». Bien droite sur ses escarpins, elle s’exécuta. Il caressait bien sa chatte. Un doigt se faufila bientôt sous sa culotte et écarta ses lèvres vaginales. Elle était déjà chaude. « Décidément, tu es une belle petite salope Laura ». Ces paroles, au lieu de l’offusquer, l’excitèrent davantage et, discrètement, son bassin se dirigea vers le doigt bien tendu. « héhé…Vas-y ma chérie, fais-toi du bien. Mouille bien mon doigt…pénètres-toi. La jeune fille se laissa tomber sur le doigt de son Maître. Délicatement, elle montait et redescendait sur sa main. Elle ne savait plus ce qu’elle faisait…seul le plaisir de cette pénétration comptait. La sentant prête, il dressa un deuxième doigt qui fût avalé par l’intimité de sa soumise. Elle continuait son mouvement en maintenant la pénétration, elle allait d’avant en arrière et sentait son sexe s’ouvrir sous les caresses.
Tout en poursuivant la masturbation de sa soumise, il saisit la bouteille de champagne qu’il avait préalablement ouverte. D’une main, il en but une bonne lampée. Il amena le goulot à Laura qui en bu à son tour. N’ayant que très peu l’habitude de l’alcool, elle se senti envahir par celui-ci. Cela ne fit que la désinhiber davantage encore. A présent, elle venait véritablement s’empaler sur les doigts de son Maître. Il retira sa main et Laura lécha son propre jus. Il la prit par la nuque et la força à l’embrasser ce qu’elle fit sans trop de résistance. Assise a califourchon sur lui, ils continuèrent à s’embrasser. Elle pouvait sentir son sexe dur frotter sur le sien. Elle ne pouvait réprimer d’aller à sa rencontre. Instinctivement, elle se redressa et chercha la pénétration. Elle pouvait sentir sa culotte de satin entrer en elle. D’une main il écarta le rebord de celle-ci et sa bite entra en contact direct avec la petite chatte. Son gland la pénétrait à nouveau. Il pouvait en sentir la chaleur et de la cyprine le lubrifiait abondamment. Rarement, il avait pu voir cela et encore moins chez une fille si jeune et peu expérimentée. Décidément, il avait tiré le bon lot…
Laura continuait volontairement à l’embrasser tandis que le sexe du Colonel progressait en elle. Sa deuxième pénétration se révélait bien moins douloureuse que la première. Comme si son sexe s’était déjà habitué à la grosseur de son visiteur. Cuisses ouvertes, elle était empalée sur le chibre de son Maître. Laura le sentait bien en elle et son col de l’utérus se révélait effectivement bien rempli. Il la faisait monter et descendre tandis qu’elle lui répondait par de petits gémissements. Il entreprit de retirer sa robe et pu contempler son corps divin enfermer dans la jolie guêpière. Vigoureusement, il la souleva et la posa sur le lit. Elle le regardait envieuse malgré sa laideur et lui contemplait ses longues jambes enrobées de nylon noir. Il lui écarta les jambes et admira son sexe bien ouvert. Sans attendre plus longtemps, il s’y replongea et le pilonna adroitement. Laura le sentait entrer profondément en elle. La vigueur qu’il donnait à son assaut l’emmenait à une forte extase et elle ne put s’empêcher de jouir une première fois. Elle l’enlaça de ses jambes et le pressa contre son pubis. Inscrite en elle, Laura effectuait une sorte de rotation sur l’intrus qui ne faisait que décupler son plaisir et ouvrir encore plus largement son propre sexe. Il la repoussa et reprit son pilonnage. Elle ne pouvait résister à l’orgasme qui se profilait et choisi de s’y abandonner. Soumise, elle cria son plaisir « Ouiiiiiiii, prenez-moi Maître. Je suis à vous maintenant ! ». Son cri fut entendu jusque dans le couloir ce qui fit sourire les différents gardes présents. « Tu veux à nouveau mon jus dans ta chatte ma chérie ? » «Ouiiiiii, je le veux en moi Maître ». Elle ne se contrôlait plus. Seul un instinct animal la guidait et lui fit rechercher la profondeur de la pénétration. N’y tenant plus, Le Colonel la prit par les hanches et s’incrusta au plus profond avant de décharger une nouvelle quantité importante de foutre. Cette fois, son utérus était submergé et son Maître continuait à doucement de la baiser. Une partie du foutre dégoulinait de sa chatte tandis qu’une autre restait lover dans son utérus. Laura, les yeux fermés et les jambes écartées, se laissait baiser doucement et appréciait ce moment. Il ressortit son sexe et s’allongea à côté d’elle. Sachant ce qu’il souhaitait, elle se redressa et vint spontanément prendre le sexe poisseux en bouche pour délicatement le nettoyer. A nouveau, elle put apprécier le divin mélange de cyprine et de sperme. De son côté, le Colonel put apprécier tant la docilité de la jeune fille que les effets des drogues qu’ils lui avaient administrés la veille. Visiblement, même si elle avait certainement une disposition pour les choses du sexe, elle en subissait encore les effets désinhibiteurs. Il se leva et alla se doucher. Laura, toujours en lingerie, restait couchée et se caressait le sexe. Ses doigts était couverts de sperme. Elle les suça pour en récupérer la semence.
Après quelques minutes, le Colonel fit son retour dans la pièce. Il était nu sous une serviette. « Alors, tu m’as bien pris hein petite chienne ! ». Laura ne s’offusquait plus de son vocabulaire. Elle commençait à l’intégrer. « Oui, Maître ! ». Il but une bonne lampée de champagne encore frais et en fit boire à la jeune fille. Elle dut en boire plusieurs gorgées et souriant à son Maître, elle sentait son esprit tourner. « Tu me plais bien ma chérie. Je pense que je vais faire quelque chose de bien avec toi. Mais tu devras continuer à être bien gentille ! ». « je vais maintenant te présenter à mon meilleur garde : Hassan. Tu devras être aussi gentille avec lui et il t’offrira certainement aussi sa protection ».

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