Histoire Erotique

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Mauvaise influence suite

La femme a avoué ses phantasmes de soumission, son mari est d'accord pour les assouvir. Ils contactent leur mauvaise fréquentation.

Proposée le 6/04/2017 par Erty99

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Thème: Femme soumise
Personnages: FHH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Vers vingt heure, reprenant leurs esprits, ils se vêtirent pour dîner. Polo Lacoste et pantalon de toile bleu marine pour Philippe et une petite robe beige légèrement moulante pour Corine, sans sous-vêtements, ce qui fit sourire son mari qui resta cependant silencieux.

Ils descendirent au restaurant de l'hôtel et prirent une table isolée pour converser plus tranquillement. Cependant, ils dînèrent silencieusement, comme gênés par ce qui s'était passé dans la chambre. Ce n'est qu'au dessert que Corinne, prenant la main de son mari, lui dit :

- « Tu veux qu'on en parle ? »

Elle évoqua Florence et raconta à son mari que son amie, qu'elle voyait malgré ses consignes, était épilée et sans culotte en permanence. Elle en avait fait de même depuis la veille et cela l'excitait d'être ainsi..

- « Tu a pu t'en rendre compte hier et aujourd'hui » lui dit-elle.

Philippe, se lâchant lui aussi, il lui exprima son plaisir de la voir ainsi évoluer, mais ne put poursuivre car Corine repris la parole pour avouer qu'elle avait vu, hier soir, Florence se faire baiser par plusieurs hommes sur ordre de Karl. Elle dit s'être enfuit avant que sa présence soit repérée.

Son mari ne la cru qu'à moitié.

- « Mais tu aurait voulu prendre la place de ton amie » arriva-t-il à répliquer.
- « Cet après-midi, quand tu m'a exhibée sur la route, j'ai enviée Florence et ce soir je me suis comportée comme je pense qu'elle l'aurait fait avec Karl ». Concéda-t-elle à voix basse. « Et tu m'a fait jouir comme jamais auparavant... j'ai jouis d’être traitée comme une putain par son mac, je ne comprend pas ce qui m'arrive »

Elle était persuadée que jamais Philippe n'accepterait de la partager avec un autre homme. Certes son époux était ouvert et peu jaloux, mais de là à accepter qu'un autre homme lui fasse l'amour, il n'en était pas encore prêt. En faire une putain n'en parlons pas, et tant mieux. Mais Philippe remis en cause ses certitudes :

- « Si je ne voulais plus que tu vois ta copine Florence, c'est qu'à notre dernière rencontre, Karl m'avait proposé de s'occuper de toi, que tu aimerais cela. Je me rend compte aujourd'hui qu'il avait peut-être raison. »

- « C'est vrai que, maintenant, j'aime être traitée comme une mauvaise fille. »...« Mais que t'a dit Karl réellement, lors de notre dernier dîner ? Soit franc. »

Après quelques hésitations Philippe répondit :

- « Il m'a confié qu'il aimait soumettre les femmes jusqu’à les offrir à d'autres hommes, il pensait que tu avait le phantasme de faire la putain, que je ne pouvez te satisfaire parce que je te respectais et donc que je devais te livrer à lui afin qu'il s'occupe de toi ».

- « Et qu'a tu répondu ? » Demanda-t-elle

- « Je n'ai rien dit, mais j'ai fait en sorte de ne plus le revoir, et je t'ai demandé d'en faire autant, mais tu as visiblement ignoré ce conseil... Mais j'ai peut-être eu tort, à toi de me le dire ».

Corinne resta silencieuse, Philippe eu alors cette réflexion :

- « J'ai toujours été fasciné par les hommes qui mettent leurs femmes sur le trottoir, il faut une force de persuasion et un manque de scrupule, dont je suis incapable. Je trouve cela ignoble et pourtant cela m'excite… Et si je lui demandais de s'occuper de toi ? »

- « Puisque cela t'excite….C'est toi qui choisit... » Puis D'une voix à peine audible Corinne ajouta : « Mais il faudra me préparer et me protéger, Karl m'obsède mais il me fait peur, je crois que j'accepterais tout de lui, et pourtant je ne l'aime pas, c'est toi mon amour. »

- « Moi aussi je t'aime, et je veux que tu t'épanouisse ».

- « Montons dans la chambre, je veux que tu me baise encore une fois ».

Elle se leva de table la première et se dirigea vers l'ascenseur en ondulant son derrière pour exciter Philippe.

Arrivés dans leur chambre, ils se déshabillèrent et se mirent au lit directement.

C'est avec une infinie tendresse que Philippe lui fit l'amour ce soir là, mais Corinne n'eut pas d'orgasme, obsédée par sa rencontre avec Karl et son ordre « tu ne jouira plus que par le cul ». Philippe compris que, maintenant, Corinne avait besoin d'autre chose. Elle n 'était déjà plus totalement à lui.

Si Corinne était attirée par Karl, pourquoi pas le laisser faire, il était très expérimenté. L'exemple de Florence était rassurant : bien que contrainte sexuellement aux volontés perverses de Karl, elle apparaissait épanouie et menait une vie sociale et professionnelle normale.

Philippe pensa aussi que Karl avait raison : un mari aimant n'était pas la meilleure personne pour « s'occuper de sa femme ».

XXX

Le lendemain ils se levèrent tard, après une douche rapide, ils optèrent pour prendre leur petit déjeuner en salle car le buffet de l'hôtel avait la réputation d'offrir un grand choix d'excellents produits. Au moment de s'habiller, Corinne fit remarquer qu'elle n'avait pas de robes qui puisse se porter sans soutien-gorge, car elle comptait bien profiter de vacances pour ne pas en porter. Philippe lui demanda un peu de patience : ce n'était pas les boutiques qui manquaient autour de l'hôtel, ce serait bien le diable si elle ne trouvait pas quelques robes d'été dont le décolleté lui soutiendrait la poitrine. Corinne en convint, elle mis une jupe courte moulante et un tee-shirt, sans rien dessous.

Ils sortirent de leur chambre et prirent l'ascenseur. Dans la glace de celui-ci Corinne constata que le ballottement de ses seins étaient visibles et sa jupe bien moulante.

- « Est ce que je ne fait pas un peu pute ? »
- « Un peu » lui répondit son mari, « mais je suis sûr que ça te plaît, lâche toi, c'est les vacances ».

Elle sourit. Ils prirent un copieux petit-déjeuner et Philippe, ayant pris sa carte bancaire, lui proposa d'aller directement faire quelques emplettes sans remonter dans leur chambre.

Ils n'eurent pas longtemps à marcher pour trouver une boutique qui leur convienne.
Corinne flasha sur deux robes, descendant dix centimètre au dessus du genou, conçues pour être portées sans soutien-gorge, le décolleté assurant un léger maintien : une colorée, légèrement évasée et une blanche moulante.

- « Il te faut des chaussures assorties » intervint Philippe.
- « Si tu me les offre », répondit son épouse, tandis que son regard se portait sur une paire d'escarpins blancs dont les talons devaient bien faire dix centimètres.
- « Maintenant il faut essayer », se contenta de dire Philippe qui fit venir une vendeuse pour avoir la bonne taille. Corinne les chaussa, fit quelques pas dans le magasin, se trouva très sexy et dit
- « Elles me vont, je les gardent, maintenant essayons les robes »

Elle rentra dans une cabine et enleva jupe et tee-shirt, entièrement nue, elle fit venir son mari dans la cabine et l'embrassa.

- « Oui, çà me plaît de ressembler à une pute, tu m'as exhibée hier et je crois que j'y ai pris goût, mais toi aussi » dit-elle caressant le sexe bandé de son mari à travers le tissu de son pantalon.

Elle le renvoya de la cabine et fit ses essayages, demandant pour chaque vêtement l'avis de son mari en prenant des pauses lascives. Philippe n'en pouvait plus. Corinne s'en aperçu, mais craignant qu'il ne fut refroidit par l'addition, elle lui glissa à l'oreille, au moment ou il sortait sa carte bancaire.

- « Rentrons vite à la chambre, tu seras mon premier client, pour ce prix je ferais ce que tu voudras ».

Sur le chemin de l'hôtel, il marchèrent main dans la main, Philippe portait les achats.

- « Je suis ton mari, je ne peux pas être ton client, mais si tu veux jouer… Commence par marcher quelques mètres devant pour voir si ton gros cul fera l'affaire. » dit Philippe, qui lâcha la main de sa femme et s'arrêta. Corinne passa devant lui, en ondulant des hanches pour le provoquer.

« Elle est vraiment sexy, limite vulgaire mais bandante » se dit Philippe, «  Il ne lui manque que le maquillage et elle aurait vraiment l'air d'une pute... »
«  Une pute à blacks » pensa-t-il quand ils croisèrent un black qui se retourna pour admirer le postérieur de Corinne. Il constata que cette idée le faisait bander.

Corinne sentit aussi le regard du black. Elle frissonna alors en se souvenant qu'elle était nue sous sa jupe et que le mouvement de ses seins devait être visible sous son tee-shirt. Elle hâta le pas, pressée de se faire baiser, « non, pas baiser, enculer car j'ai besoin de jouir » pensa-t-elle.

Une fois la porte de la chambre fermée, Corinne se déshabilla rapidement et alla se positionner à genoux sur le lit, le cul en l'air, la tête dans l'oreiller. Elle écarta ses fesses à deux mains, exposant son œillet et sa chatte trempée.

- « Comme promis, fait de moi ce que tu veux »
- « Non, je suis ton mari, je te le répète, je t'aime et je vais te faire ce que toi tu as envie : t'enculer comme Karl le ferait si tu étais une de ses putes »

Il enleva ses vêtement, prit le tube de gel dans la salle de bains et lui en mis une bonne dose sur l'anus. Doucement il y enfonça profondément deux doigts. Le passage lubrifié, il accéléra les va et vient. Corinne gémissait déjà. Il déposa une autre dose de gel dans l'anus entrouvert, puis y posant son sexe durci, il s'enfonça lentement mais d'une seule traite et profondément dans les entrailles de son épouse. Il lui ordonna de maintenir ses fesses écartées et, glissant ses mains sous son torse, il attrapa ses gros seins pour les malaxer et en étirer les tétons.

Alternant mouvements rapides et mouvements plus lents, Philippe amena sa compagne à la jouissance. Il n'avait toujours pas joui, il s'immobilisa, la queue toujours raide dans le cul de son épouse. C'est alors qu'il passa aux aveux :

- « J'appellerais Karl, si tu le veux, afin qu'il fasse ton éducation de salope ».

Toujours raide, il décula mais resta en position.

- « Si tu est d'accord, empale toi sur ma queue. »

Corinne hésita cinq secondes, puis, les fesses toujours écartées à deux mains, elle recula son gros derrière, s'enfonçant ainsi sur la bite immobile de son mari qui repris vigoureusement l'enculage de Madame.

- « Tu as raison, je crois qu'il faut m'éduquer» arriva-t-elle à dire d'une voix saccadée en raison des mouvements qu'elle subissait et des gémissements de plaisir qu'elle ne pouvait retenir.

Cette réponse eu un effet dévastateur sur les deux époux qui imaginèrent simultanément l'intervention de Karl dans leur vie sexuelle. Elle partit la première, dans une série de spasmes tandis qu'une coulée abondante de cyprine giclait de sa chatte. Poussant un grognement, il la suivit en se vidant dans son boyau. Puis il retira lentement sa queue d'entre les fesses de sa compagne pour s'écrouler à coté d'elle tandis qu'elle s'allongeait sur le ventre.

- « Oui, c'est ainsi qu'il faut me traiter dorénavant. » soupira-t-elle après quelques instants de récupération, soulagée d'avoir avoué son phantasme.

- « Mais il te faudra soigner ta préparation. » répondit-il en montrant son pénis sur lequel quelques tâches douteuses apparaissaient. Il s'était exprimé sur un ton badin, comme pour dédramatiser le moment qu'ils venaient de vivre.

Ils se reposèrent quelques instant, se douchèrent et, ayant largement dépassés l'heure du déjeuner, Philippe téléphona à la réception pour faire monter une collation.

Le reste de l'après-midi, ils profitèrent de la piscine de l'hôtel. Corinne put ainsi étrenner son nouveau maillot. Elle prit un plaisir certain à exhiber ses rondeurs.

La soirée se passa calmement : dîner dans un restaurant de plage, promenade sur le bord de mer et Corinne demanda à rentrer à l'hôtel, « fatiguée par cette première journée de vacances ».

XXX

Le lendemain, Philippe se décida à passer à l'acte. Il avait conservé le numéro de portable de Karl malgré leur brouille, il l'appela.

- « Heureux de t'entendre à nouveau » répondit Karl
- « Si je t'appelle c'est que Corinne a des besoins que je ne peux satisfaire, te souviens tu de l'aide que tu m'avais proposé ? »
- « Bien sûr ! Mais répond d'abord à quelques questions »
- « Vas y »
- « Est-ce qu'elle met une culotte ? »
- « Non »
- « Est-ce qu'elle demande être sodomisée ? »
- « Oui »
- « Elle a donc pris les bonnes habitudes que je lui ai demandées, veut tu que je finisse son éducation de salope ? »

- « C'est ce que je viens te demander. »
- « Tu a pris la bonne décision pour vous deux. Il faut que je te dise que la veille de votre départ en vacances, j'ai surpris Corinne qui nous espionnait, Florence moi et quelques autres. Je l'ai un peu bousculée et lui ai demandée de rester épilée, sans culotte et de ne plus jouir que par le cul. Je constate que mon pouvoir hypnotique a fonctionné. Cela ne marche qu'avec ceux qui sont d'accord, même inconsciemment. »
- « C'est vrai, elle est d'accord »

Il fut convenu qu'à leur retour de vacances, Karl les rejoindrait à leur domicile pour une première séance. Si tout se passait comme prévu, ils aviseraient de la suite étant entendu que le lendemain Corinne reprendrait normalement son activité professionnelle, tandis que Philippe effectuerait un déplacement prévu de longue date.

Lorsque Philippe informa Corinne du rendez vous pris avec Karl, elle se colla à lui pour l'embrasser. Constatant son érection, elle s'agenouilla devant lui, ouvrit la braguette et sortit le sexe de son époux qu'elle prit en bouche, le suçant et le prenant jusqu'au fond de sa gorge alternativement. Philippe surexcité par la décision qu'il venait d'annoncer et surtout par la réaction de sa femme éclata dans la bouche de Corinne qui avala l'intégralité de la semence.

- « C'est ma façon de te remercier, je jouis de façon incroyable depuis que je suis une salope, je veux aller plus loin encore. »

Durant le reste du séjour, Corinne se montra plus excitée encore, probablement l'idée d'être livrée à Karl...
Cependant, aucun des deux époux ne parlait du changement intervenu dans leur sexualité. Comme s'ils avaient honte de leurs désirs inavouables. Chacun avait montré à l’autre ses perversions.

Corinne, toujours nue sous ses robes, était excitée en permanence et se plaisait à aguicher les hommes avec l'accord de son mari. Le soir, lorsqu'ils sortaient au restaurant, Philippe demandais à son épouse de porter ses chaussures à haut talons au motif qu'elle s'y habitue, mais réellement pour mieux l’exhiber, ce qu'elle faisait avec plaisir.

Elle s'était procurée en pharmacie, de son propre chef, une poire de lavement munie d'une canule rectale. Depuis leur arrivée à l'hôtel, Philippe l’avait prise tous les jours suivant le même rituel : sur un signe de lui, elle allait dans les toilettes se nettoyer les boyaux avec la poire, puis se lubrifiait l'anus avec du gel. Elle se mettait enfin en position sur le lit, à genoux fesses écartées et en l'air, pour un acte qu'elle appréciait maintenant particulièrement, « c'est ainsi qu'il faut me traiter dorénavant. » avait elle dit.

Philippe, qui ne pénétrait plus la chatte de Corinne, ne se lassait pas de l’enculer sans ménagement. Il l'amenait à chaque fois à la jouissance, comme en témoignaient les spasmes qui la secouaient et la giclée de liquide poisseux émise par sa chatte lors des orgasmes qu'elle éprouvait.

La bestialité de leurs rapports sexuels n'empêchait pas une très grande tendresse entre les deux époux par ailleurs.

XXX

L'excitation se transforma en appréhension lors du voyage de retour. Cependant, une fois arrivés à destination et les bagages déchargées, c'est Corinne qui posa la question :

- « Quand arrive Karl ? »
- « Le temps que tu te prépare. Tu te met nue avec uniquement tes nouveaux escarpins, le cul préparé, mais sans gel lubrifiant au cas ou il voudrait te prendre à sec. »

Corinne ne répondit pas mais partit se préparer. Elle finissait lorsque le sonnerie de l'entrée se fit entendre. Philippe fit entrer Karl qui portait un sac de voyage. Ils discutaient, chacun dans un fauteuil, quand Corinne fit son entrée dans le salon, maquillée comme une pute afin de montrer sa disponibilité.

Karl se dirigea vers elle, la saisie à la nuque d'une main puissante et l'embrassa longuement tandis que de son autre main il lui caressait les fesses et pelotait les seins.

Sans lâcher sa proie, de sa voix envoûtante, en la fixant droit dans les yeux il lui dit :

- « Corinne, tu as l'air d'une femme bien comme il faut, alors qu'en réalité ta vrai nature est celle d'une salope et d'une putain qui a besoin d’être dressée. Ton mari te confie à moi pour que je fasse de toi cette pute que tu fantasme d'être. Ta fonction sera de donner du plaisir, quel que soit le ou les partenaires que je te donnerai. C’est bien compris ? »

- « Oui, j'ai compris », dit Corinne, d'une voix bizarre, complètement sous l'emprise de Karl.

En le voyant agir ainsi, Philippe compris que ce dernier avait un véritable don d'hypnotiseur qu'il utilisait pour asservir les femmes dont c'était le fantasme secret.

Karl passa sa main dans l'entrecuisse de Corinne et constata avec satisfaction qu'elle avait la chatte bien humide. Il la lâcha puis alla se rasseoir dans son fauteuil.

- « Marche devant nous maintenant. » Ordonna-t-il.

Corinne fit des allers retours dans la pièce. Elle se prit tout de suite au jeu en se dandinant afin de mettre en valeur son postérieur.

- « Ce n'est pas un mannequin » commenta Karl, « mais c'est une belle jument, avec un beau cul sans cellulite, mais les seins tombent un peu. Il faudra leurs donner plus de volume et lui marquer la taille en lui faisant porter un serre-taille. »

Corinne se sentit humiliée par ces propos, mais ne se révolta pas, et elle obéit quand Karl lui demanda de se présenter à lui, debout, les jambes écartées.

- « Ton épilation sera à refaire prochainement ». Constata-t-il, puis s'adressant à Philippe.

- « Elle a des préférences ? »
- « Elle aime se faire enculer. » dit Philippe.
- « Oui, j'aime me faire enculer. Mais par toi. » lui répondit Corinne, dans un début de rébellion.

Karl, d'un geste rapide, lui entra un doigt dans la chatte et l'attira à lui en la fixant du regard :
- « Tu aimes ça, c’est tout. » Toujours avec cette voix particulière. « Par ton mari, par moi dans un instant et par d'autres bientôt. L'important est que tu ai du plaisir à prendre une queue dans le rectum, peu importe l'homme qui te la met, pourvu qu'elle soit grosse et qu'elle te défonce bien ».

Il retira son doigt de la chatte de Corinne et lui demanda de se retourner et de se pencher en écartant ses fesses. Il enfonça alors deux doigts, sans précaution particulière, dans son anus qui, rodé par deux semaines de sodomie, n'opposa aucune résistance. Cependant le manque de lubrification lui provoqua une douleur qui se transforma vite en plaisir quand Karl entreprit de lui dilater le conduit par des mouvements de va et vient. Elle se mit à gémir et à onduler de la croupe.

- « C'est vrai que tu aime cela, mais tu est encore trop étroite pour être prise sans lubrifiant.
Il va falloir t'entraîner dur pour accepter des gros calibres ».

- « Passons aux choses sérieuses, va te mettre en levrette sur le canapé. »

Corinne s'exécuta immédiatement, écartant ses fesses à deux mains, habituée à cette position depuis bientôt deux semaines et toute excitée d'être ainsi dirigée.

Karl se leva et alla vers son sac dont il sortit un préservatif, une canule particulière et un flacon avec un bec verseur.

- «  Un lubrifiant maison à base de vaseline, les gels sèchent trop vite et les huiles coulent trop, et la canule, c'est pour une lubrification en profondeur » expliqua-t-il.

Cette canule, semblable à une grosse seringue en plastique noir, faisait dix huit centimètres de long pour deux centimètres de diamètre. Elle avait un embout arrondi percé d'un trou et était dotée de trous sur les côtés. Le corps creux servait de réservoir et, une fois rempli, pouvait être vidé par les trous à l'aide d'un piston.

Karl, se tournant vers Philippe, lui demanda.

- « Déshabillons nous, nous allons la préparer, excite lui le clito, le temps que je soit prêt ».

Une fois nu, Philippe se positionna à genoux derrière son épouse, qui était restée docilement en position. Il enfoui son visage dans son entrecuisse et entreprit de sucer le bouton de madame.

Pendant ce temps, Karl remplissait la canule avec la crème, plutôt liquide, contenue dans le flacon. Quand ce fut fait, il proposa à Philippe de s'asseoir sur le canapé et à Corinne de venir le chevaucher. Lui faisant face, elle empala sa chatte sur la queue raide de son mari, secrètement heureuse de le savoir actif. Elle montait et descendait sur cette queue en soupirant de plaisir quand Karl lui demanda de stopper et d'écarter ses fesses. C'est Philippe qui se chargea de cet écartement tandis qu'elle l'embrassait, enfoncée sur sa bite jusqu'aux couilles.

Karl déposa quelques gouttes de sa crème sur le bout de la canule ainsi que l'œillet de Corinne, dans lequel il entra d'abord un doigt qu'il remplaça rapidement par la canule qu'il fit coulisser lentement dans le rectum. Quand elle fut totalement entrée, il actionna le piston qui réparti la crème dans la profondeur du boyau. Laissant la canule en place, Karl se plaça sur le coté du couple, saisit Corinne par les cheveux, amenant son visage devant sa verge, bien plus longue et épaisse que celle de Philippe.

- « Suce moi ! » Commanda Karl.

Corinne emboucha difficilement le gland d'une taille inhabituelle pour elle. Mais, Philippe ayant reprit ses mouvements dans son vagin, elle s'appliqua à bien sucer le sexe de Karl, ressentant un plaisir jusqu'alors inconnu à être ainsi occupée par tous les trous.

Ce que n'avait pas dit Karl, c'est que sa crème, en plus d'être un lubrifiant très efficace, contenait un puissant aphrodisiaque destiné à décupler la force des orgasmes de celles à qui il était administré. Dans le cas présent, injecté par la canule, il agissait à la façon d'un suppositoire et il suffisait d'attendre une bonne dizaine de minutes pour qu'il fasse effet.

Corinne, sous les coups de boutoirs de son mari, approchait de la jouissance. Karl demanda à Philippe de ralentir afin que Corinne se concentre sur la fellation.

- «  Je ne veux pas qu'elle jouisse maintenant » dit-il.

Il se mit à lui baiser la bouche. Au bout d'un moment, elle l'avalait régulièrement en gorge profonde sans qu'il l'oblige. Parfois il lui maintenait la tête quelque secondes. Malgré cela, elle arborait toujours un sourire béat quand elle n'avait pas cette queue dans la bouche. Visiblement, elle aimait le traitement subi.

Karl se retira cependant de la bouche de Corinne pour venir lui enlever la canule de son rectum. Il enfila le préservatif et pointa sa verge sur l'anus entrouvert qu'il pénétra lentement alors que Philippe s'était sorti partiellement du vagin de son épouse afin de laisser le passage. Corinne supporta la douleur provoquée par la taille du sexe de Karl car elle désirait cette pénétration.

- « Elle est plus grosse que celle de ton mari. Tu vas très vite t'y habituer ».

La crème faisant son effet, le plaisir l'emporta. Les deux hommes synchronisèrent leurs mouvements, leurs deux membres séparés uniquement par une fine cloison. Karl la cabra en lui saisissant les cheveux, Philippe en profita pour lui malaxer les seins. Corinne criait son plaisir : baisée par son mari, enculée et dilatée par Karl, traitée comme une chienne, elle jouissait intensément. Philippe déchargea le premier, remplissant le vagin de son épouse de son sperme. Un violent orgasme terrassa ensuite Corinne, si violent qu'après une série de spasmes incontrôlés, elle perdit connaissance et s'effondra sur le torse de son mari dont elle avait inondé le bas ventre avec des jets de cyprine. Karl éjacula dans le préservatif mais resta dans le cul de la belle endormie jusqu’à ce qu'il débande.

Lorsqu'elle repris connaissance, elle était allongée sur le canapé, les deux hommes, assis dans les fauteuils, la regardaient.

- « Que c'était bon » dit-elle, dans un état second, les yeux brillants, « ...J’ai peur de ne plus pouvoir m'en passer si on recommence. »

- «  Tu ne peux déjà plus t'en passer ! » intervint Karl avec autorité. « Pour toi c'est le début d'une nouvelle vie de plaisirs ».

Elle regarda Philippe, elle semblait à la fois gênée et excitée.
- « Pardonne moi chéri, je sens qu'il a raison ».
Philippe compris qu’elle était désormais prête à tout, et malgré la douleur de la voir lui échapper, il ressenti un plaisir particulier à voir un autre homme abuser de sa femme et entreprendre de la soumettre.

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Commentaires de l'histoire :

Crabou
J'aime beaucoup le plaisir que Corinne dans le libertinage et le renoncement au port de sous-vêtement. J'attends la suite avec impatience.
Posté le 9/04/2017


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