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Mauvaise influence suite 3

Corinne a des fantasmes de soumission, çà tombe bien, son mari voudrait l'obliger à assouvir les désirs d'autres hommes. Sous la mauvaise influence d'un pervers, ils passent à l'acte et Corinne se soumet à cet homme qui la livre à d’autres. Jusqu’où iront-ils ?

Proposée le 3/07/2018 par Erty99

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Thème: Femme soumise
Personnages: FHH
Lieu: Sauna, club, sexe shop
Type: Fantasme


Avertissement : Ce récit n'est qu'une FICTION. Vous trouverez dans ce texte brutalité, soumission et humiliation. Si vous n'aimez pas ce genre de lecture, ne continuez pas. Merci.

Karl gara son véhicule dans une impasse peu fréquentée, il vint ouvrir la portière à Corinne et l’aida à mettre de l’ordre dans ses vêtements. Ils marchèrent une centaine de mètres pour arriver devant une petite porte. Karl composa le code d’entrée et ils entrèrent. Il s’agissait de la porte de service d’un sex-shop avec salles de projection individuelles. Karl guida Corinne vers une petite salle ou un noir, d’un certain âge comme l’attestait ses cheveux gris, entièrement nu, les attendait. Grand et musclé, son sexe d’une taille hors norme, bien qu’au repos, pendait.

- « Voici Corinne, une gentille petite épouse qui veut connaître le grand frisson d’être traitée comme une pute soumise. Son mari préfère qu’elle se fasse fourrer par des blacks. Corinne, je te présente Mocktar. Il va bien s’occuper de toi.

Mocktar s’adressa directement à Karl

- « Et tu lui as dit pourquoi elle était là, Karl ?

- « Non, je lui ai simplement dit qu’un black bien équipé la soulagerait. »

Mocktar sourit et ordonna.

- « Enlève-lui ses vêtements, je veux la voir nue. »

Karl déshabilla Corinne qui se laissa faire. Mocktar s’approcha d’elle et lui pris les seins dans ses grandes mains, il les soupesa comme de la marchandise, les tritura et en étira les bouts.

- « Pas mal... Cette pute-là nous rapporterait beaucoup plus avec des seins d’une taille au dessus. »

Brusquement il lui tordit cruellement les mamelons. Elle cria de douleur. Karl, qui se tenait derrière elle, l’immobilisa et la fit taire en appliquant une main sur sa bouche.

- « C’est juste un rappel, pour que tu sache qui est le maître, et que tu sois obéissante. Ce sera bien pire si nous ne sommes pas content de toi .»

Mocktar se fit beaucoup plus doux pour caresser le pubis et la vulve lisses de la captive, avant de lui enfoncer deux doigts dans le vagin. qui sécréta des gouttes de mouille lorsque que ces doigts la branlèrent. Puis Mocktar joua avec les grandes et petites lèvres, les palpant et les écartant comme un maquignon à la foire aux bestiaux.

- « Tu as raison, ça vaut le coup qu’on s’occupe d’elle. » dit-il enfin. « Elle est bien faite et son visage est avenant. Elle n’est pas trop vieille, c’est une pute qui peut encore servir longtemps. »

Corinne, à la fois effrayée et excitée, incapable de se révolter, éprouvait un plaisir malsain à être traitée esclave soumise.

- « Elle n’est pas graissée ». Dit Karl.

- « J’ai ce qu’il faut. ».

Mocktar sorti de la pièce et revint quelques minutes plus tard avec un tout jeune homme noir, nu, qui avait dans une main un pot de lubrifiant, le même que celui utilisé par Karl, et dans l’autre une boite de préservatifs.

- « Prépare la » demanda Mocktar au jeune homme.

Entre-temps, Karl avait ordonné à Corinne de se positionner à genoux par terre, le buste reposant sur l’assise du canapé, et d’écarter ses fesses.

Le jeune homme enduit l’anus de Corinne du gel lubrifiant, la pénétrant de ses doigts au plus profond. Son sexe, qu’il avait long mais fin, durcit rapidement, privilège de la jeunesse. Il enfila un préservatif et enduit son sexe ainsi équipé d’une bonne dose de lubrifiant. Il se positionna derrière Corinne et l’encula sans un mot. D’abord lentement, mais quand Corinne commença à gémir, il attrapa la jeune femme aux hanches et augmenta la cadence. Même dans la condition dégradante ou elle était réduite, la jeune femme restait victime de ses sens et se mis gémir. Constatant que la pénétration se faisait maintenant sans difficultés, Mocktar s’adressa au jeune homme, Ali.

- « Elle est prête, c’est à mon tour. » Et Ali se retira.

Mocktar pris sa place et enfila son sexe imposant dans le cul de Corinne d’un brutal coup de reins. Elle hurla de douleur, avec l’impression qu’elle allait être fendue deux. Il resta un moment immobile, le temps que la douleur diminue, puis se mis en mouvement, doucement. Le plaisir envahi peu à peu Corinne qui n’avait jamais connu une sensation aussi forte.

- « Elle te plaît, la grosse queue du black ? » Lui murmura Karl qui la tenait par les cheveux

- « Oui... Elle me remplit bien. »

Mocktar continua à la pilonner, sans hâte. Elle gémit, respirant difficilement et par saccades. Il accéléra la cadence.

- « Ça te plaît qu’on te traite comme une vrai putain ? D’être totalement soumise ? » Insista Karl.

Corinne ne répondit pas, trop bouleversée par ce qu’elle vivait, mais fut soulevée par une jouissance brutale. Mocktar maintint son sexe au plus profond de son rectum tant qu’elle fut animée de tremblements, puis il se retira de l’anus de Corinne, devenu un trou béant. Aucun des trois hommes présents n’avait éjaculé.

Karl laissa quelques minutes à Corinne pour récupérer puis lui demanda de se lever et de le suivre. Il la conduisit dans une une pièce dont les murs étaient constitués de miroirs et le sol recouvert d’une moquette rouge. Une sorte de lit rond tournait au milieu.

- « C’est un peep-show. Dans un quart d’heure, il y aura des hommes derrière ces miroirs qui vont se branler en te regardant te faire sodomiser successivement par Ali et Mocktar. Ce que tu viens de subir était une répétition. Il faut te préparer. »

Karl ramena Corinne dans la première pièce. Les deux blacks n’y étaient plus mais une femme, d’une cinquantaine d’années, encore belle, vint les rejoindre. Elle nettoya l’entre-jambes de Corinne, qui était luisant de mouille, avec une lingette. Elle la fit asseoir, et refit totalement son maquillage. Elle finissait quand on entendit l’appel à venir « apprécier un spectacle inédit au peep-show : une bourgeoise sodomisée par deux blacks ».

Karl reconduisit la pauvre Corinne vers la pièce du peep-show et la poussa avec autorité sur le lit rond. Mocktar entra à sa suite et lui intima l’ordre de s’agenouiller, ce qu’elle fit docilement, avec un sentiment de crainte mais aussi d’excitation, espérant secrètement retrouver les sensations vécues lors de sa première sodomie. Mocktar se plaça devant elle et lui mis son sexe imposant dans la bouche. D’une main, il tenait la tête de Corinne pour lui imposer sa domination. Sa queue grossit rapidement dans sa bouche, l’étouffant presque. Elle se mit à le pomper, elle n’étais plus qu’une femelle appliquée à donner du plaisir à un homme.

Ali entra alors. Il vint se placer derrière Corinne et l’encula comme il l’avait fait la première fois. Quand Mocktar lui signifia de lui céder sa place, il se retira et se précipita pour enlever le préservatif et faire gicler plusieurs jets de sperme sur le beau visage de Corinne. Quand Mocktar la sodomisa à son tour, elle souffrit moins que lors de la répétition. Sodomisée par un black puissant qui la remplissait comme elle ne l’avait jamais été, elle senti le plaisir monter. Son regard capta son image dans les glaces : maquillée comme une pute et le visage maculé de sperme, les seins ballottant. Elle pensa aux hommes qui se masturbaient en la voyant ainsi et cela l’affola, précipitant un orgasme dévastateur qui lui fit presque perdre connaissance. Maintenue à quatre pattes par les deux hommes, Mocktar l’encula jusqu’à ce que la fin de la séance fut annoncée. Il sorti alors de son cul, retira le préservatif et éjacula sur les fesses de Corinne, qu’il écarta ensuite afin de montrer l’anus élargi aux spectateurs invisibles, le temps que le lit fasse deux tours.

Corinne, dans un état second, fut transportée dans une salle de bains ou la femme, qui l’avait précédemment maquillée, s’occupa d’elle : elle pris un long bain chaud afin de récupérer, fut démaquillée, son rectum enduit d’une crème apaisante. Karl lui apporta ses vêtements et l’aida à s’habiller. Mocktar vint saluer Karl et le complimenta.

- « Ta pute manque d’endurance, elle jouit trop vite, mais c’est bien pour un début ; les clients ont été satisfaits. On la reprend quand tu veux. »

Ils quittèrent tous les deux cet endroit de luxure. Dans la voiture Corinne s’effondra en larmes.

- « Je suis vraiment devenue une pute. Vous m‘avait fait enculer par ces deux salauds sans que je puisse me défendre et je n’ai pas pu m’empêcher de jouir… »

Karl la pris dans ses bras et la consola, puis avec sa voix douce et envoûtante, il lui répondit.

- « C’est parce que ça te plaît d’être traitée comme une vrai putain, c’est un vieux fantasme. Ces jouissances perverses viennent de ta nature profonde.Tu aime les grosses bites, c'est comme ça, tu n'y peux rien. Tu doit l’accepter…

- « Et je peux te faire connaître des jouissances encore plus intenses… Es-tu prête à aller plus loin ? Avec moi, et pour Philippe ? »

Il marqua une pause, puis, comme elle ne répondait pas.

- « Demain, nous ne nous verrons pas mais je te téléphonerais. Tu te donneras du plaisir, le matin et le soir, en t’enfilant le cul, lubrifié comme je te l’ai appris, sur le godemiché noir. » « Ainsi elle resteras sous l’influence de l’aphrodisiaque contenu dans le lubrifiant » pensa-t-il .

- « Tu réfléchira à ce qui vient de ce passer et à ce que je t’ai dit. »

Il la déposa enfin chez elle.

Seule dans l’appartement, elle dîna sur le pouce et se coucha rapidement, mais ne trouva pas le sommeil. Elle ressassait les humiliations de la journée : la visite médicale et sa soumission à Karl et Mocktar. Ils avaient l’intention de modifier son corps par le port d’anneaux aux seins et au sexe et d’augmenter le volume de sa poitrine par un traitement hormonal. Ils feraient d’elle une pute docile, d’abord au peep-show et ensuite ? Dans un bordel ? Sur le trottoir ? C’était un peu son fantasme, mais entre le fantasme et la réalité il y a un pas à ne pas franchir. Tout allait trop vite, trop loin. Elle devait reprendre le contrôle de sa vie, et pourtant elle mouillait au souvenir des orgasmes qu’elle avait subis. Elle s’était sentie remplie comme elle ne l’avait jamais été et avait connue une extase indescriptible. Elle aimait qu’on la baise sans lui demander son avis, qu’on lui parle crûment, et elle se rendait compte que bientôt elle ne pourrait plus s’en passer. Il était peut-être trop tard. Elle pensa à Philippe, son amour, accepterait-il sa déchéance ?



Au matin, le réveil fut difficile pour Corinne. Elle avait mal dormi et ne savait plus ce qu’elle voulait. Cependant, autant obnubilée par les ordres de Karl que devenue addict à la sodomie, ayant repris des forces avec son petit-déjeuner, elle se lubrifia l’anus et parti s’empaler sur le godemiché noir (un godemiché à ventouse, fixé sur la table basse, de bonne taille et de couleur noire ; d'un diamètre normal à l'extrémité, l'engin s'élargissait régulièrement pour atteindre une section très conséquente à la base). Elle se revit sodomisée brutalement et humiliée et le plaisir vint rapidement, elle se traita de salope et, pour se punir, s’enfonça de plus en plus profondément sur le gode. Plus la pénétration était profonde, plus son anus s’élargissait, plus vive était la douleur qu’elle s’infligeait, rendant plus présente l’image de Karl la fixant du regard pendant que Mocktar perforait son fondement. Elle cherchait cette douleur qui l’excitait comme aucune autre caresse. Un orgasme la terrassa. Quand elle repris tous ses esprits, c’était clair dans sa tête : elle attendait les ordres de Karl, soumise.

Plus tard, elle appela son bureau pour annoncer qu’elle était souffrante et qu’elle ne viendrait pas du reste de la semaine. Quand Karl lui téléphona, il l’apprit et changea ses plans puisqu’elle était disponible, il fallait en profiter. Au milieu de l’après midi, il sonnait chez elle.

Une heure auparavant, l’idée lui était venue de ré-essayer les dessous achetés deux jours auparavant. N’étant pas habituée à ce type de lingerie, elle eu quelques difficultés avec les serre-tailles dont les jarretelles retenaient des bas noirs tendus haut sur les cuisses. Elle ne trouva pas de robe allant avec le serre-taille noir, mais la robe blanche moulante acquise au début des vacances s’accordait très bien avec le serre-taille transparent à broderie blanche, bien que la marque des jarretelles fut visible pour un œil averti. Elle mis ses escarpins blancs à talons de dix centimètres et se regarda dans glace sous toutes les coutures et se trouva particulièrement sexy et en fut troublée. Elle entreprit de se maquiller en forçant sur le mascara autour de ses yeux et sur le rouge à lèvres. « Je ressemble vraiment à une putain » pensa-t-elle. Son besoin de sexe se réveilla et elle pensa une nouvelle fois à la façon dont Karl l’avait livrée à Mocktar et Ali, à la façon dont elle avait été traitée la veille, et aux orgasmes qu’elle avait vécus. « Je suis devenue une putain » se dit-elle en remarquant qu’elle avait envie de recommencer, la sensualité devenait un état quasi permanent en elle.


C’est dans cette tenue et cet état d’esprit que Karl la trouva. Il la saisit par la taille et l’embrassa à pleine bouche lui enfournant sa langue. Au début, elle resta passive, mais très vite elle répondit à son baiser. Karl lui remonta la robe à la taille et glissa une main entre ses cuisses. Il constata l’humidité du sexe de Corinne et compris que sa proie avait choisi de continuer l’aventure, sa tenue, son maquillage, son excitation l’attestaient. Alors, comme il l’avait déjà fait quelques jours auparavant, il positionna Corinne face au mur, penchée en avant et bras tendus, mains appuyées sur le mur, les jambes écartées et les fesses cambrées. Corinne compris qu’elle allait subir une punition, mais pourquoi ?

- « Je vais te battre sans raison, parce que c’est dans l'ordre des choses, pour que la petite pute que tu as choisi d’être reste obéissante. »

A peine cette phrase terminée, Karl retira sa ceinture et asséna un coup de ceinture en travers des fesses de Corinne. Comme lors de la première séance, il lui zébra le postérieur et la vulve, mais sans forcer les coups. Cela faisait partie d'un cérémonial destiné à s'assurer de sa soumission inconditionnelle. Docilement, elle encaissa les coups en gémissant mais sans pleurer ni se rebeller. Il la dressait à lui obéir, elle en était consciente. Elle l’acceptait. Quand il eu terminé, Karl lui enfonça un doigt dans la chatte.

- « Tu est trempée, les corrections ne te laisse pas indifférente !  Remet ta robe en place, j’ai pris rendez-vous chez le toubib : il te faut un arrêt de travail et je veux qu’il vérifie que Mocktar ne t’as pas abîmée. »

Corinne prit son sac à main et suivit Karl jusqu’à son véhicule. Ils se rendirent rapidement au cabinet du médecin qui avait ausculté Corinne la veille. Prévenu préalablement par Karl, celui-ci les reçus sans attendre. Il connaissait le but de leur visite et demanda à Corinne d’ôter sa robe et de prendre place dans le fauteuil gynécologique. Il s’équipa et examina directement le rectum de la patiente. Il prépara Corinne et lui enfila un spéculum anal. L’examen ne décela aucune lésion.

- « Tout va bien. » Dit le médecin à Karl, en aparté hors de portée des oreilles de Corinne. « Je lui fait un arrêt de travail comme convenu et si elle est d’accord, je peux commencer son traitement hormonal pour l’accroissement de sa poitrine. »

- « Oui. » Répondit Karl. « Il faudrait que j’obtienne d’abord l’accord de son mari, c’est lui qui me l’a confié. Mais je vais demander à Mocktar de s’en occuper et il ne s’intéresse qu’aux femmes avec des grosses mamelles. Si il sait qu’elle est sous traitement, il acceptera. Quand il l'aura dilatée par devant et par derrière, elle en redemandera, et elle fera le bonheur de tous ceux qui seront assez membrés pour profiter de ses trous élargis. »

Corinne s’inquiétait de cette conversation. Cependant, en bas et porte-jarretelles, cuisses écartées dans le fauteuil, un spéculum enfoncé dans l’anus, elle se sentait esclave soumise et cette situation l’excitait.

Les deux hommes revinrent vers Corinne. Le docteur enleva le spéculum et Karl, qui avait sorti son sexe, l’enfila doucement, remplaçant ainsi le dispositif médical. Corinne frémis. Karl lui parla alors de sa voix calme et profonde, qui l’hypnotisait quasiment.

- « Tu est saine, je te prend sans préservatif...Mocktar ne t’as pas abîmée, tu pourras y retourner. Je sais que tu a aimé ce qu’il t’a fait hier soir, dis moi que tu veux y retourner. »
- « Oui. »
- « Oui quoi ? Que veut tu qu’il te fasse ? »
- « Je veux y retourner pour qu’il me fasse jouir avec sa grosse bite. » Répondit Corinne sous l’emprise de Karl et de la jouissance qu’elle sentait venir.
- « Mocktar veut que tu ai des gros seins, le docteur va s’en occuper, tu seras superbe. Est tu d’accord ?

Corinne, toute à sa jouissance, répondit oui sans vraiment comprendre.

Le docteur avait préparé deux seringues. Karl, immobile, le pénis au fond du rectum de Corinne, l’empêcha de bouger afin que le docteur puisse lui faire une injection dans chaque sein.

- « C’est fait...Votre poitrine va se mettre à grossir naturellement pendant une semaine sous l’effet de ce produit à base d'hormone. Nous nous reverrons dans une semaine pour la suite du traitement. »

Karl repris son pilonnage du fondement de Corinne amenant celle-ci à l’orgasme. Karl continua encore quelques instants puis la rejoignit dans la jouissance en inondant de son sperme le rectum de sa partenaire.

- « Elle est de facile à prendre. » Commenta le docteur sous le regard duquel avait eu lieu cet accouplement.

- « Cette pute est douée. » Répondit Karl. « Mais elle doit encore se perfectionner. »

Le docteur fit se lever Corinne et l’amena au cabinet de toilettes afin qu’elle se nettoie.

Karl l’humilia volontairement en inspectant la propreté de son cul. Il la dressait, et ça marchait, elle était matée par son autorité.

Karl accompagna Corinne à son appartement. Il passa plusieurs minutes à examiner ses messages sur son smartphone. Puis il appela Mocktar qui lui apprit que Corinne lui avait beaucoup plu, elle avait eu du succès lors de sa prestation de la veille. Il voulait donc la revoir.

- « Elle sera disponible demain soir. » lui répondit Karl « D’ici là, il faut qu’elle se repose et que je la vous prépare ». Puis il raccrocha.

- « Ce soir, je t’emmène au restaurant, et demain tu te repose car Mocktar te veut en soirée, il faudra que tu soit en forme. »

En entendant cette annonce Corinne ressentit un trouble, mélange de crainte et d’excitation. La soirée fut calme et plaisante, au restaurant Karl se montra charmant et plein d’humour. De retour à l’appartement, Karl lui demanda de lubrifier son rectum. Ce qu’elle fit bien volontiers en pensant que Karl allait ainsi l’utiliser. Mais il n’en fut rien.

- « Tu dois être prête à tout moment. » lui dit il. « Et je te réserve pour demain soir ».

Le lendemain, Corinne passa la journée nue dans l’appartement, en compagnie de Karl qui alterna charme et domination, suivant ce qu’il voulait obtenir d’elle. Il lui imposa plusieurs fellations, elle à genoux, les mains dans le dos ; lui, baisant sa bouche ou la forçant à pratiquer des gorges profondes, en lui tenant la tête. « Un entraînement nécessaire pour être une bonne suceuse ». Il ne jouit qu’une fois et elle avala la semence naturellement. Mais la domination de Karl lui convenait finalement : puisqu’elle devait obéir, cela lui enlevait ainsi tout sentiment de culpabilité, et elle savait maintenant qu’elle aimait être pervertie, offerte et malmenée par un vrai mec.

En début de soirée, Karl lui demanda de se préparer. Elle se fit un lavement puis lubrifia son rectum. Sur ordre de Karl, elle enfila sa robe blanche moulante, sans aucun sous vêtement, et ses escarpins. Elle masqua l’indécence de sa tenue en revêtant un imperméable, puis ils partirent rejoindre Mocktar. Dans la journée, Karl avait refusé toute jouissance à Corinne et l’avait en même temps entretenue dans un état d’excitation quasi permanent. Se souvenant de la taille du sexe de Mocktar, elle eu hâte d’arriver.

A leur arrivée, Ils furent accueillis par la femme qui s’était occupée de Corinne la fois précédente, et tandis que Karl rejoignait Mocktar, elle amena Corinne dans une petite pièce. Elle la fit se dénuder, et la maquilla outrageusement.

De son coté, Karl s’enquit du programme. Mocktar lui expliqua qu’avec deux autres black bien membrés, ils avaient l’intention de prendre Corinne par tous les trous sur le lit rond du peep-show show durant deux heures. La prestation non seulement serait vue par les clients mais serait aussi filmée. Karl approuva, mais prévint son interlocuteur.

- « Il ne faut pas l’abîmer. Tu aura tout le temps de t’en occuper car tu finira son éducation, dans quelques semaines elle te plaira encore plus : elle vient de commencer un traitement pour accroître sa poitrine. »

Mocktar manifesta sa satisfaction. « Elle me plaît bien cette blonde, je vais bien m’occuper d’elle ».

Ils attendirent que Corinne soit prête, Mocktar lui présenta ses deux partenaires de peep-show et la chauffa. Comme la première fois il pris les seins de Corinne dans ses grandes mains, il les malaxa, les tritura et en étira les bouts. Corinne gémit sous la douleur, mais Mocktar, tout comme Karl, savait que çà la faisait mouiller et la préparait ainsi pour la suite. L’appel à venir « apprécier un spectacle inédit au peep-show » résonna et Mocktar et ses deux compères entraînèrent Corinne vers son lieu de soumission.


Le lendemain soir Philippe, rentré de son déplacement, ne trouva pas Corinne chez eux. Il attendit en observant la rue par la fenêtre. Au bout d’un moment, la voiture de Karl se gara et celui-ci en sorti ainsi que Corinne. Quand Philippe les aperçus, il eu le souffle coupé : Corinne avais vraiment l’air d’une pute fatiguée accompagnée de son mac. Mais ce qui lui fit le plus mal c’est qu’ils s’embrassaient comme deux amoureux.

A son entrée dans l’appartement Corinne se jeta dans les bras de Philippe pour l’embrasser. Elle sentait le foutre mais cela ne rebuta pas Philippe et leur étreinte fut torride, ce qui contraria Karl qui ordonna à Corinne de se séparer de sa robe, pour la mettre au lavage. C’est donc nue qu’elle participa à la conversation.

- « Corinne à beaucoup changée » dit Karl « Hier soir et aujourd’hui elle s’est bien envoyée en l’air … je ne te raconte pas, voici le film de sa première prestation hier, cette après midi on a recommencé ».

Et il tendit à Philippe une clé USB que celui-ci connecta au téléviseur.

Aux premières images Philippe banda de voir sa femme avec des black, Corinne voulu se rapprocher de lui, mais Karl la retint. Il baissa son pantalon lui ordonna de venir s’empaler sur sa queue, ce qu’elle fit docilement.

Après plusieurs dizaine de minutes de visionnage, ce qui marqua l’esprit de Philippe ce fut en premier le contraste entre les fesses blanches et les énormes bites noires, les ventres noirs s’écrasant sur les fesses, poussant ces bites dans l’anus distendu. En second vint l’endurance et la brutalité des saillies. Et surtout l’extraordinaire beauté de sa femme qui vivait d’intenses jouissances, particulièrement quand elle était prise simultanément parle cul et le sexe. Intensité de jouissance que lui même était incapable de lui procurer.

Et Corinne qui montait et descendait, son anus coulissant autour de la bite de Karl, qui fini par gicler sa semence. Il ne ménagea pas Philippe.

- « Tu as vu comment elle joui avec Mocktar et ses acolytes ? Elle aime trop la queue pour se contenter de la tienne et maintenant qu’elle a goûté aux très grosses pénétrations anales, ça deviendra pour elle un besoin, tu verras comme j’ai raison. »

Et Corinne d’ajouter, regardant Philippe : « J’aime qu’on me domine vraiment quand on m’encule, et toi tu es trop gentil !  »

Philippe avait vu sa femme en pute docile se soumettre aux blacks. Il se sentait coupable car c’est lui qui avait proposé qu’elle se fasse baiser par des noirs bien montés, une façon de la dépraver encore plus, de l’humilier. Maintenant, il voyait le plaisir qu’elle prenait à ces pénétrations répétées et brutales.

Il était convaincu qu’elle acceptait sa servitude. Convaincu aussi qu’il n’y pouvais plus rien, il était prêt à accepter avec fatalisme que Karl soit devenu le maître, le maquereau de sa putain conjugale. Il l’avait pervertie au point d’avoir créé chez elle une addiction au sexe et jouait avec elle en la soumettant à ses délires pervers. Philippe était à la fois complètement déboussolé et terriblement excité. Comment devait-il maintenant traiter Corinne. Comme son épouse ou comme une catin et la traiter en conséquence, et en profiter.

Mais pour le moment, trop excité, Philippe fit mettre son épouse à quatre pattes sur la moquette et se jeta sur son anus, dans lequel son membre s’enfonça sans la moindre difficulté. C’était la première fois qu’il baisais sa femme pleine de foutre. Il prenait la suite de Karl, de Mocktar et des autres, trop excité pour ressentir le moindre dégoût. Elle était élargie mais elle sentait bien la raideur du sexe de son mari. Que sa femme soit ainsi transformée en putain le faisait bander encore plus. Ils jouirent ensemble, et Philippe, presque en état de transe mêla son sperme à celui de ses prédécesseurs…

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Commentaires de l'histoire :

Anonyme
Très belle histoire, on aimerait lire une suite
Posté le 22/08/2021

nnours64
Très beau dressage d'une jolie femme révélée à sa nature de jouisseuse et esclave Merci en attendant les nouvelles turpitudes qu'elle subira ainsi que l'heureux cocu
Posté le 15/08/2018

cocuforever
Devrons-nous patienter de longues semaines avant de lire la suite de cette excitante saga.Et pourquoi pas la soumission du gentil Philippe et au plaisir de la sodomie?
Posté le 11/07/2018

Hervé
Bonjour à Tous je trouve ce récit agréable à lire,cependant il manque un peu de pep's néanmoins je suis avec intéret l'évolution de CORINNE et de son mari PHILIPPE qui est un acteur passif car je l'avoue je fantasme d'avoir une épouse EPANOUIE comme cette Dame J'espère que d'autres chapitres suivront en nombre.... MERCI encore pour ces textes
Posté le 4/07/2018

vanbruje
Waouh !! Magnifique suite ! Aura-t-elle une continuation ou une fin ? Merci et à vous lire avec plaisir.
Posté le 3/07/2018


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