Histoire Erotique

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Soirée à trois

Une belle fille à l'étranger retrouve deux compatriotes ....

Proposée le 9/01/2017 par cupidon

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Thème: Jeu érotique
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme


Le carillon de la porte du bar retentit, je me retournais sur les nouveaux arrivants. Il s’agissait d’un groupe de jeunes gens, dans les 22 à 25 ans, sans doute un groupe d’étudiants en goguette ; bref rien d’étonnant pour un samedi soir à Copenhague. J’allais replonger le nez dans ma bière, lorsque je les entendis s’exprimer bruyamment en français. Il m ‘était agréable d’entendre ma langue maternelle après 6 mois de travail dans une société danoise.

J’examinai plus attentivement le groupe qui venait de prendre place à une table voisine de la mienne. Deux d’entre eux me regardait avec insistance, ils ne détournèrent pas leur regard et me sourirent.

Je devais les intriguer, que faisait une jeune femme seule dans un bar où tout le monde est en groupe ou en couple ? L’un des deux, celui qui avait les cheveux blonds d’un scandinave arrêta son regard sur mes jambes nues et remonta jusqu’à mi cuisse à la limite de la dentelle de ma mini robe noire.
L’autre, très brun, fixait comme hypnotisé mon décollette très échancré. J’étais flattée et je me sentais sexy, depuis que j’ai passé les 45 ans, je suis devenu sensible à ces regards portés sur moi par des jeunes hommes.

Mes deux admirateurs délaissèrent la bruyante conversation du groupe pour échanger quelques mots entre eux. Comme tous mes étrangers dans un pays, ils se mirent à parler fort convaincus de ne pas être compris par les tablées voisines. Je les entendis clairement s’interroger sur ma solitude dans ce lieu, ils évoquèrent un lapin posé par un homme, un chagrin d’amour, mon attirance pour les femmes. Ils se mirent ensuite à espérer une occasion de me séduire et commentèrent mes attraits. Amusée, je finis ma bière, je me levais, j’attendis qu’ils eussent fini d’admirer mon petit cul rond et ferme et je m’approchais. Je les saluais en français et rit du rouge qui envahit leurs joues. Pour ajouter à leur confusion, je leur expliquai que j’étais seule ce soir parce que j’en avais envie, que je n’étais pas amoureuse et que si j’aimais mes femmes, j’aimais aussi les hommes. De vermillon, ils devinrent cramoisis. Je leur pris à chacun une main et je les fis lever en annonçant au groupe encore assis que je les enlevais pour la soirée. Ce fut dans notre dos, un hurlement, des commentaires coquins et surtout une immense envie d’être à leurs places.

Mes deux compatriotes étaient estomaqués et ravis de leur bonne fortune, nous partîmes bras dessous bras dessus dans la rue. Il faisait doux et nous marchâmes en bon moment, mes deux coquins avaient de l’humour et leur conversation me distrayait de ma solitude actuelle.

Tout en déambulant dans les rues animées, je les amenais vers l’immeuble dans lequel j’avais loué, pour la durée de ma mission, un appartement petit mais confortable.

Nous passâmes ma porte d’entrée, arrivés au salon, ils cessèrent de plaisanter et me regardèrent avec un mélange d’envie et de gène. Je mis un peu de musique douce et je me mis à danser document. J’enlevais agilement mes sandales, je fis glisser la bretelle de ma robe, puis l’autre. Je m’approchai du blondinet (il s’appelait Rodolphe) et lui présentait mon dos, il comprit immédiatement et fit glisser le zip jusqu’au bas du dos. Je me retournai et me mis à déboutonner son jean, je passai la main dans l’ouverture de son caleçon bleu et je sentis son membre déjà dur. Je l’abandonnai débraillé pour me tourner vers son ami Luc. Je fis glisser ma robe dévoilant mes seins lourds. Je passai la main sur son entrejambe. Le spectacle l’avait excité, je sentais la bosse que faisait sa bite en érection. Je défis son pantalon et baissai son slip tout en m’agenouillant devant lui. Je léchai sa queue de bas en haut, elle était droite, épaisse et de belle taille, il sentait l’homme en rut, son méat était humide de la rosée que procure l’excitation. Je le pris en bouche goulûment, il se contorsionna pour achever de se déshabiller. En un rien de temps, il fut nu, je cessai de le pomper pour le regarder, il était velu, ses couilles surtout disparaissaient dans une toison noire et odorante.

Je l’abandonnai pour rejoindre Rodolphe qui n’avait pas perdu une miette du spectacle et s’était lui aussi mis nu. Lui était peu poilu, seul une blonde toison courait son pubis. Sa bite était très belle et ses couilles bien dures. Je me mis à le sucer tendrement tout en lui massant les fesses. Je laissai aller un doigt le long de sa raie et taquinais son petit trou.

Je me levai et finis de faire tomber ma robe, laissant apparaître un string noir, d’où jaillissait ma toison que je n’avis pas épilé. J’ai toujours alterné le pubis poilu à l’excès avec le sexe rasé, selon l’humeur.
Je leur demandai de se branler devant moi, c’était la condition pour continuer mon effeuillage. Ils obéirent tous les deux et je me régalais de voir ces deux hommes, la main refermer sur leur bite aller et venir en me mangeant des yeux.

Je fis glisser mon petit morceau de dentelle et je mis un doigt en bouche, je le portais ensuite sur ma fente en le faisant aller de haut en bas.
Je m’approchai d’eux, je saisi leurs membre dans chaque main et je les tirai doucement ainsi vers mon lit. Je me couchai sur le coté, Luc se plaça tête bêche contre moi et nous commençâmes à nous lécher le membre. Rodolphe se mis dans mon dos et m’écarta les fesses pour me sucer mon petit trou poilu. Pour des jeunes hommes, ils savaient tous les deux y faire. Notre excitation monta vite, je me mis sur le dos, je relevai mes jambes dévoilant sans pudeur ma fente humide, j’invitai Rodolphe à me prendre le premier. Il me pénétra doucement et se mit à aller et venir avec force, sa bite était dure et il prenait très vite du plaisir. Luc me léchait mes gros bouts de sein, je le branlais gentiment d’une main. Rodolphe jouis très vite en moi alors que je venais de ressentir les premiers spasmes de l’orgasme. Luc le remplaça immédiatement et me pris brutalement, je me mis à crier de bonheur. Il vint à son tour et nous retombâmes tous les trois suants et fatigués.

Ces jeunes mâles récupèrent vite, très vite leurs mains et leurs bouches coururent sur ma peau, s’insinuant dans mes endroits les plus intimes, fouillant tendrement la chair humide et odorante de ma fente et de mon trou de cul. Ils s’attardèrent sur mes seins, le long de mes cuisses, sous mes aisselles. Ils me firent à nouveau l’amour, se relayant en moi jusqu’à ce que l’un après l’autre ils se vident les couilles, m’arrachant à chaque fois des cris de plaisir.

Nous nous endormîmes d’un sommeil de plomb. Je m’éveillai la première, je les regardai dormir, j’approchais mon visage de leurs queues molles, je les humais à tour de rôle. Ils sentaient très fort tous les deux, le sperme, la sueur, la cyprine se mêlaient dans ce délicieux parfum de l’amour. Ils se mirent à bander, à me caresser. Rodolphe insinua un peu profondément son index dans mon cul. Je le retirai et lui demandai s’il souhaitait me sodomiser. Il était bien entendu d’accord. Je souris, posai la même question à Luc et j’obtins évidemment la même réponse.
Je leur fis la promesse de leur offrir mon cul autant de fois qu’ils le voudraient pendant le reste du weekend à condition qu’ils fassent l’amour devant moi, je précisai que je voulais que chacun se fasse enculer et que chacun jouisse dans la bouche de l’autre. Je leur demandai en outre de pouvoir filmer la scène pour mon seul usage.

Sur ce, je les abandonnais pour aller boire un verre d’eau. A mon retour, ils me firent part de leur accord. Je sortis ma caméra et j’attendis. Un peu gênés, ils se mirent en 69 et commencèrent à se sucer, de timides les caresses devinrent plus hardies, non content de se sucer la bite, leurs mains couraient dans le dos et le cul. Luc se retira de la bouche à Rodolphe et tout en fixant la caméra, il branla son copain et avala le jet de sperme. Docilement, Rodolphe se mit en levrette, je lui demandai d’écarter ses fesses avec les mains, il s’exécuta et je filmai son trou de cul lisse et glabre. Luc le lécha avec force salive pour faciliter l’introduction de sa queue raidie par le désir. Je fixai pour la postérité ce moment fabuleux où le gland écarte la chair brune du petit trou pour s’y enfiler. Luc allait et venait, Rodolphe passait de la douleur au plaisir. Je passai la main sur sa bite, il bandait à nouveau… Je me dis qu’il venait de découvrir un plaisir qu’il ignorait. Luc était aux anges, il admirait son membre dur, le petit cul de son ami et matait mes seins et ma chatte. Il disait des mots grossiers pour ajouter à son excitation. Il jouit avec un cri qui recouvrit ceux que poussaient son partenaire.

Je lâchai ma caméra et vint les embrasser sur la bouche, sur la poitrine et je pris leurs queues en bouche, cela faisait bizarre de sucer celle de Luc qui sortait tout juste du cul de Rodolphe.
Je les lâchai pour nous servir un petit verre de whisky. Nous le bûmes en silence assis sur le lit, nous nous observions l’œil allumé de désir. Rodolphe se leva et se mit à genoux au pied de Luc, il saisit sa bite et l’enfourna encore molle dans sa bouche. Luc banda très vite, le privilège des jeunes années, il saisit la tête de son ami et lui imprima le rythme de la fellation. Quand il se sentit venir, il tint Rodolphe à distance et arrosa son visage de quelques gouttes de sperme extraites de ses couilles vidées.

A son tour il se mit à quatre pattes, écartant ses fesses pour offrir à la caméra que j’avais reprise depuis le début son cul poilu à souhait. Sans trop de précaution, Rodolphe appuya son membre tendu, la rondelle résista un petit moment à la pression. Rodolphe s’écarta, s’approcha de moi et me demanda de le laisser me pénétrer pour graisser sa bite dans ma fente humide. Luc pris la caméra pour immortaliser ce moment. Après quelques coups de queue, Rodolphe se remit en position derrière Luc qui avait repris la sienne fort obligeamment. Sa bite pénétra cette fois l’anus de son ami sans difficulté. Le coït dura longtemps, il allait et venait doucement puis plus vite pour ralentir à nouveau ; enfin il explosa.
Tous les deux s’effondrèrent épuisés. Je me calais entre eux ma tête entre leurs cuisses et leurs membres mous, humides et dégageant une forte odeur.

Le soleil nous réveilla, je filai, sommairement vêtu pour acheter le petit déjeuner. Sitôt arrivée, mes deux hommes se jetèrent sur moi, me déshabillèrent sauvagement et me couvrirent de baisers. Ils voulaient, disaient-ils, ne me voir que nue, vêtue du seul parfum de nos sucs les plus intimes.
Nous avalâmes un petit déjeuner consistant tout en jouant à des jeux de main et de bouche sur les parties les plus intimes de nos corps.

A un moment, nous cessâmes nos caresses, ils m’observaient. Je souris, devinant leur demande. Je rejoignis le lit, me mit en levrette et j’attendis. Des mains attrapèrent mes seins, se mirent à jouer avec mes longs tétons jusqu’à ce qu’ils soient durs. D’autres doigts couraient à l’intérieur de mes cuisses, caressant mon clitoris, remontant le long de ma raie. Je sentis une bite contre mes fesses, elle glissa de haut en bas, s’attarda sur mon anus, puis pris le chemin de ma chatte. Elle s’y égara longuement pour y durcir et s’y humecter de mon jus de femelle en chaleur. Une main me tira doucement les cheveux pour amener ma bouche à hauteur de la queue du blondinet. Je le pris en bouche, l’odeur était fabuleusement excitante, cette bite avait fait tous les orifices sauf mon trou de cul … pour l’instant. Je la suçai avec énergie, dans ce laps de temps Luc avait sortie sa bite et appuyait son gland sur ma rondelle, d’un coup brusque il s’enfonça, je gémis de douleur puis immédiatement de plaisir ; j’adore me faire enculer. Nous primes notre rythme, je suçai en mesure avec les coups de boutoir de Luc. Le plaisir fut extrême, le jeune mâle velu jouit avec intensité et se vida bruyamment en moi. Le blondinet sortit sa queue de ma bouche et se mit derrière moi. Il admira ma rondelle encore dilatée par le membre de son copain et y pénétra à son tour. Il lima plus lentement en veillant à chaque fois à me prendre très profondément, je ne cessai de jouir, j’avais atteint le plateau de l’orgasme et quand Rodolphe se vida en moi, je conservai longuement une onde de plaisir.

Mes deux amants n’avaient pas oublier ma promesse et jusqu’au dimanche soir, ils m’enculèrent à tour de rôle à chaque fois que leurs bites furent assez dure pour s’engouffrer dans mon cul.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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