Histoire Erotique

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Le calendrier

Où comment bien terminer une journée qui avait mal commencé".

Proposée le 12/12/2016 par TheCrow

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Thème: Exhibition, voyeurisme
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Roman


En cette période de fin d’année, par un temps froid et humide, j’ai, gentiment, été désigné pour aller vendre les calendriers du club de rugby de ma ville… Je ne vous cache pas que je ne le fais pas de gaité de cœur… Mais bon, c’est pour la bonne cause, l’organisation de l’arbre de noël pour les enfants du club et des joueurs… J’étais là, à me les geler depuis 2 heures et n’avait réussi à vendre qu’un seul calendrier, à chaque fois, soit je tombais sur des mecs ou alors quand c’était une femme, son mari arrivait dans la seconde et me fichait dehors. J’arrivais au bout de la rue, une dernière maison et j’avais fini, pour aujourd’hui. Je sonnais au portillon, je patientais un peu, n’ayant pas de réponse, je réessayais. Au bout d’une minute à attendre, je me décidais à rentrer quand j’entendis l’interphone grésiller et la porte automatique s’ouvrir. Surpris, sur le coup, je me décidais à rentrer sur la propriété.

Je remontais l’allée gravillonnée, et sonnait à la porte fermée. Je n’attendis que quelques seconde et une personne vient m’ouvrir la porte, qui restait en retrait et me demandais ce que je voulais. Voyant mon état détrempé par la pluie, elle me pria de rentrer au chaud, ouvrit la porte afin de me laisser passer mais toujours en restant cachée derrière. Elle m’indiqua le chemin d’une pièce ou se trouvait un grand canapé. Je pris donc la direction indiquée. « Asseyez-vous », me dit cette voix douce et sensuelle.

Elle me rejoint alors dans la pièce et là, stupéfaction, je vois une femme, la trentaine, cheveux châtains, fine mais avec de belles formes, simplement vêtue d’une petite nuisette en satin bleue. Je suis subjugué devant le spectacle, ma gorge se noue, je l’entends à peine quand elle me demande le but de ma visite sur un ton agacé. Je me surprends à avoir du mal à aligner les mots, je bafouille, mes yeux ont du mal à rester au niveau de son regard. Tant bien que mal je fini de lui expliquer que je vends des calendriers pour l’arbre de noël du club de rugby de la ville. J’eu à peine fini de dire cela, que son visage s’éclaira, allez comprendre pourquoi. Elle s’aperçu de mon trouble, me demanda si je voulais boire quelque chose pendant qu’elle allait passer une tenue plus adaptée. Elle me servit un verre d’eau, se penchant bien en avant, me laissant tout loisir de laisser mes yeux plonger entre ses seins, accentuant mon trouble. M’ayant donné mon verre, elle se retourna sans un mot et pris la direction de la salle de bain, donc je pouvais voir la porte ouverte depuis le canapé. En passant à côté d’un guéridon, elle fit tomber une pile de magasines. Sans se soucier de moi, elle se penchant, les jambes bien droites pour ramasser les revues. J’eu, alors, la vision de ses fesses et son abricot qui m’apparurent quand la nuisette se releva. J’ai cru m’étouffer avec l’eau que j’avais dans la bouche, avala tant bien que mal et me mit à tousser bruyamment. Elle se retourna et me demanda si ça allait, j’étais rouge écarlate, la rassura tant bien que mal. Elle posa la pile de journaux sur le guéridon, me dit qu’elle arrivait et pénétra dans la salle de bain sans refermer la porte derrière elle, disparu derrière celle-ci. Je me rendis compte, en jetant un œil vers la salle de bain qu’un miroir me permettait de la voir sans être vu. C’était sans compter sur le fait qu’elle se retourna vers ce miroir et me regarda alors qu’elle retirait sa nuisette, comme si elle effectuait un strip-tease, faisant glisser les bretelles, couvant sa poitrine de ses bras croisés, laissant, alors, la lingerie glisser sur sa peau et tomber doucement au sol, la laissant nue devant moi. Je me sentais de plus en plus attiré par cette femme, je me régalais du spectacle qu’elle me donnait. Elle se pencha pour ramasser la nuisette, disparue quelques instants de ma vue et réapparue. Elle s’assit sur le rebord de la baignoire, glissa son pied dans un bas noir qu’elle fit remonter jusqu’en haut de sa cuisse, recommença avec l’autre jambe, d’une manière très sensuelle. Une fois ses jambes gainées de noir, elle s’éclipsa une nouvelle fois de ma vue, j’avais très chaud, alors que quelques minutes auparavant, j’étais gelé d’être resté une éternité dans le froid et sous la pluie.

J’étais plongé dans mes pensées, à imaginer les choses les plus folles avec cette inconnue, quand le bruit d’une porte qui claque me tira de ma torpeur. Je levais les yeux et vit alors cette femme, s’approchée de moi, vêtue, cette fois, d’une robe noire, légèrement décolletée, arrivant au-dessus du genou et des talons haut. Elle prit place dans un fauteuil, me faisant face, après avoir saisi le calendrier que je lui tendais, et avait effleuré mon poignet, ce qui me procura une légère décharge électrique. Une fois assise, elle croisa les jambes, ce qui eut pour effet de faire glisser sa robe sur le haut de ses cuisse et laissant apparaitre le haut de ses bas. Elle ouvrit le calendrier, je vis son visage s’empourprer. Voyant que je la regardais, elle leva le calendrier à hauteur de son visage. Je l’observais, plus ou moins discrètement, elle changea de position, décroisa les jambes, alors que je prenais une gorgée d’eau. La vue de son entrecuisse me fit avaler de travers et je manquais de m’étouffer. Elle lâcha le calendrier, se leva et vint rapidement vers moi, me demandant si ça allait. Tant bien que mal j’essayais de lui répondre, continuant de tousser. Elle prit mon verre des mains et le posa sur la table du salon avant de s’agenouiller devant moi. « Jeune homme, vous allez bien ? Vous êtes tout rouge, qu’est ce qui ne va pas ? ».
J’avais de plus en plus de mal à reprendre mon souffle, pour corser le tout, elle se leva, se pencha vers moi pour dézipper mon blouson. Faisant cela, elle m’offrit la vue de sa poitrine à moins de 30cm de mon visage, ce qui eut pour effet d’aggraver mon état, je sentais le rouge me monter aux joues, mon sexe gonflé dans mon boxer. Elle ne pouvait pas ne pas se rendre compte que mon regard était dans son décolleté, elle posa ses mains sur mes cuisses « Vous êtes tout rouge, vous avez chaud jeune homme ? » Je reprenais mon souffle, mais mon embarras devait se voir à coup sûr, surtout ses mains sur mes cuisses, je désirai cette femme plus que tout et elle faisait tout pour me tenter, comme par jeu. Mais comment être lui faire comprendre qu’elle me plaisait sans risquer de m’en prendre une. Elle me prit par la main et me demanda de la suivre « venez avec moi dans la salle de bain vous passer un peu d’eau sur le visage pour vous rafraîchir » Me lever, alors là, elle ne manquerait pas de voir l’érection qui déformait mon pantalon. Elle tira fort sur ma main, vaincu je m’exécutais. A peine debout, je vis son regard se poser sur la bosse de mon sexe. N’y prêta pas attention ou du moins n’en fit pas cas. Je la suivais, comme hypnotisé vers la salle de bain. Une fois dans la pièce, elle me fit asseoir sur le rebord de la baignoire, pris un gant de toilette, l’humidifia et le passa sur mon visage. Je sentais sa main effleurer ma joue. « Vous vous Sentez mieux jeune homme ? Comment vous appelez vous ? » Bredouillant je lui répondit « Luc, madame et vous ». -« Luc, vous vous sentez mieux ? Appelez-moi Sandra, cessez le madame. Que vous est-il arrivé, Luc ? »
-« Je ne sais pas trop, j’ai dû avaler de travers quand vous vous êtes assise, Sandra. »
-« Quand je me suis assise ? Ho, je comprends et qu’avez-vous vu quand je me suis assise ? »
-« Je, heu, j’ai pu voir vos cuisses et même plus haut. » dis-je en baissant les yeux.
«-« Et ça t’a fait quel effet ? »

Elle repose une main sur ma cuisse, mais plus près de mon entrecuisse, s’approchait doucement de mon sexe, sa main glissait doucement.
-« C’est moi qui produit cet effet-là ? Tu me trouves désirable ? »
-« Oui, Sandra, très désirable, mais je ne savais comment vous le dire, je n’étais pas certain que vous apprécieriez ma franchise. » Sans plus cacher ses intentions, elle posa sa main sur le gonflement.
-« Humm, intéressant. » dit-elle en enlevant le bouton de mon pantalon et baissant le zip. Elle glissa sa main sous mon jeans, caressa mon sexe à travers le boxer en me regardant droit dans les yeux. Elle s’approcha de moi, déposa un baiser sur mes lèvres puis murmura à mon oreille, -« viens, suis moi ».

Elle se leva et reparti vers le canapé du salon, je la suivais, les yeux rivés sur ses fesses. Elle se retourna, m’embrassa et fit glisser jeans et boxer au sol puis me fis asseoir dans le canapé. Toujours en soutenant mon regard, elle saisit le bas de sa robe la remonta et finit par la faire passer au-dessus de sa tête. Elle m’apparut alors, seulement vêtue de ses bas noirs et ses talons. Elle s’approcha de moi, pris appui sur mes cuisses, ses mains me caressaient doucement. Elle se pencha en avant et posa ses lèvres sur mon gland, s’agenouilla. Elle fit glisser plusieurs fois sa langue le long de ma tige tendue, puis la pris en main et l’enfila dans sa bouche. Je ne pus retenir un soupir de plaisir tellement la sensation était agréable. Elle s’agenouilla, cuisses grandes ouvertes, impudique, et repris sa fellation, elle glissa une main entre ses cuisses et, me fixant d’un regard aguicheur, commença à caresser ses lèvres avant de jouer avec son clitoris. Ses lèvres glissaient sur ma queue tendue, je sentais sa langue jouer avec mon gland, elle l’aspirait à chaque fois qu’elle l’enfonçait dans sa bouche. J’étais aux anges, je caresserais ses cheveux et imprimais la cadence de sa succion sur mon sexe. Elle s’exécutait, comme soumise à mes désirs.

Sa main quitta sa chatte pour remonter sur ses seins qu’elle caressa, jouant avec les tétons, les faisant rouler entre ses doigts. Je les voyais gonfler de plaisir sous ses caresses et elle gémissait. Je lui pris la tête entre les mains, elle cessa de me sucer, s’appuya sur mes cuisses, se redressa et vient m’embrasser, nos langues jouaient ensemble. Je pris sa poitrine entre mes mains, lui massant les seins, pinçant ses tétons. Elle frémissait et ondulait sous ces caresses. Elle prit ma main et la posa sur ton pubis, je glissais un doigt entre ses lèvres humides et commençais à masser son clitoris, j’enfonçais deux doigts dans sa chatte et commençais à la masturber doucement. Je l’aidais à monter dans le canapé et me glissa sous elle pour aller lécher ce sexe qui n’attendait que ça.

Je posais mes lèvres sur cet antre bouillant de désir, glissais ma langue entre ses lèvres intimes, gouta le fruit de son plaisir, puis entrepris de lécher et prendre son clitoris entre mes lèvres. Ce contact l’électrisa, elle posa ses mains sur ma tête et appuya pour accentuer ma succion. Je jouais avec son clitoris du bout de ma langue, le mordillais doucement. Ce faisant je la pénétrais de deux doigts et les fis coulisser en elle, elle gémissait son plaisir, ondulait du bassin sous les caresses. Je sentais son plaisir couler sur mes joues, tellement elle mouillait. J’accélérais le mouvement de mes doigts dans sa chatte, la défonçant littéralement et lui mangeant le clitoris, elle se cambra, se crispa d’un coup et cria sa jouissance. Elle retomba sur moi, m’enlaça. Nous embrassâmes longuement je lui caressais doucement le dos, laissant le temps au plaisir de redescendre.

Une fois apaisée, elle quitta le canapé, me demanda de me lever. Se colla contre moi et me déshabilla complètement, elle s’allongea alors sur le tapis du salon, me tendis la main et m’invita à la rejoindre. Je l’enjambais et vint poser ma bouche sur son sexe chaud et humide. Je lui léchais de nouveau la chatte, jouant avec son clitoris de ma langue. Elle prit mon sexe en main et le guida vers sa bouche et l’engouffra profondément, laissant glisser sa langue sur ma tige au fur et à mesure qu’elle l’avalait. Elle me branlait au même rythme que ses lèvres coulissaient sur ma queue. Chaque fois qu’elle sortait de sa bouche, sa langue jouait avec mon gland, le léchait, le titillait. Pendant que je m’occupais de son clito, j’enfonçais profondément deux doigts en elle et commençais de rapides va et vient en elle. Son plaisir montait, elle soulevait son bassin pour venir à la rencontre de mes doigts chaque fois que je les enfonçais. Après quelques minutes de ce traitement, je l’entendis me dire « Prends moi, j’ai envie de te sentir en moi. » N’attendant que ça, je quittais la position pour aller me placer entre ses cuisses, qu’elle écarta largement. Je m’allongeais sur elle. Elle saisit ma queue bien dure, se caressa les lèvres et le clitoris avec avant de la guider en elle en me regardant droit dans les yeux. Je la pris d’un grand coup de rein, profondément. Restais un moment immobile dans cet antre à la fois doux, chaud et humide. Alors que je commençais de lents va et viens elle m’embrassa fougueusement, noua ses jambes derrière mon dos, appuyant et accentuant la pénétration à chaque fois. « Plus vite, plus fort » me dit-elle, entre deux baisers. Je m’exécutais, sentant qu’elle n’attendait que ça, un peu de fougue de ma part. Mes couilles claquaient sur son cul à chaque fois que je m’enfonçais en elle, elle gémissait de plus en plus fort. Je sentais ses ongles s’enfoncer dans mon dos et me griffer, elle se crispait à chaque coup de rein. Le plaisir montait vite, elle vint me mordiller l’oreille et me murmurer « j’ai envie que tu me prennes par derrière, que tu prennes mon cul ». Je me retirais de sa chatte, la queue luisante de son plaisir. Elle s’agenouilla devant moi. Je la pris dans mes bras et l’embrassa longuement, lui caressant le dos, les fesses. Je glissais un doigt dans son sillon et le posa sur son anus. Le massais doucement. Elle se mit à quatre pattes, m’offrant son cul, impudique. Je vins derrière elle, et entrepris de lui lécher son petit trou, le titiller de ma langue. Je glissais un doigt dans sa chatte, détrempée, puis le posa sur ton cul et doucement, l’y enfonçais. Je la sentis se tendre au fur et à mesure que mon doigt la pénétrait. Je sentais son cul s’ouvrir à mesure que mon doigt glissait en elle. Je commençais de lents aller retours, je l’entendais geindre de plaisir. « Prends-moi » me dit-elle. Je m’agenouillais derrière elle, je pris ma queue en main, la passa entre ses lèvres pour lubrifier le gland, puis vint le poser sur sa rondelle. Doucement, je poussais et lentement mon gland disparaissait entre ses fesses. Elle respira profondément quand mon gland fut entièrement passé. Je restais sans bouger quelques seconde, le temps qu’elle s’habitue à ma queue puis repris ma poussée pour la prendre jusqu’au fond elle se cambra et poussa un long gémissement une fois ma queue enfoncée profondément dans son cul.

Je caressais ses fesses avant de m’accrocher à ses hanches et d’entamer de lents va et vient. Mon sexe coulissait doucement dans son cul, très étroit. J’y allais lentement quelques minutes, histoire que son cul s’ouvre un peu et que le passage soit plus facile et moins douloureux. Quand je la sentis s’ouvrir, j’accélérais le rythme, je l’entendis alors me dire « hummmm, oui c’est bon, vas-y fort maintenant, défonce-moi mon p’tit cul ». Il ne fallait pas le dire deux fois, « Je vais te le défoncer avec plaisir ma belle ». Et sans plus attendre je me mis à lui pistonner le cul à grand coups de reins, je sentais mes couilles claquer contre sa chatte. Elle passa une main entre les cuisses et se caressa le clitoris alors que je la défonçais. Dans un élan de fougue, je me mis à lui claquer les fesses, et fut surpris de l’entendre crier de plaisir à chaque fessée. « Ouiiiiiiiiiiiiiiiii, tu me fais du bien, lâche toi, crache moi tout dans le cul, je viens », elle se déchainait à mesure que son plaisir montait, je la sentais caresser mes couilles en même temps qu’elle se masturbait, ce qui eut pour effet d’accroitre mon plaisir. Je n’allais plus tenir bien longtemps. Je donnais de dernier violent coups de reins avant de ma raidir bien au fond de son cul et lui remplir de ma semence. Nous avons crié notre jouissance ensemble. Elle se laissa tomber sur le tapis, essoufflée, ruisselante de sueur. Je m’écroulais à ses côtés, dans le même état. Elle se retourna vers moi, je l’enlaçais et en la regardant dans les yeux, vint poser mes lèvres sur les siennes. Nous restâmes un long moment dans les bras l’un de l’autre, le temps de reprendre nos esprits et nous remettre du plaisir pris ensemble.

Une fois reposés, nous nous levâmes et elle m’invita à prendre une douche, ce que j’acceptai. Elle me conduisit à la salle de bain et nous entrâmes tous les deux sous la douche. L’eau chaude nous fit beaucoup de bien. Elle coupa l’eau et prit l’éponge de douche, y versa du gel douche et commença à me frotter le torse, le dos. S’agenouilla pour passer l’éponge sur mes fesses puis mon sexe, qui réagit à la caresse et se dressa fièrement. Elle le prit dans sa main douce, le caressa en me regardant dans les yeux et me dit « Dommage que nous n’ayons plus assez de temps, j’aurais aimé que tu me prennes sous la douche. » Elle se releva, me tendit l’éponge, imbibée de gel douche et je commençais à lui frotter le dos, la poitrine, je m’attardais sur ses tétons. Ce qui la fit gémir et frémir. Puis passa sur son ventre, ses fesses avant de terminer par son entrecuisse, endroit où je pris un malin plaisir à appuyer la caresse de l’éponge pour la faire réagir.

Une fois rincés, nous sortîmes de la douche, nous séchâmes mutuellement. Puis après un dernier baiser, nous retournâmes dans le salon afin de nous vêtir.

Une fois tout remis en place elle me proposa de prendre un café avant de partir. Elle se dirigea vers la cuisine et revint quelques minutes plus tard avec 2 cafés, m’en offrit un puis alla se posa à mes côtés, non sans avoir repris le calendrier. Elle posa une main sur mes cuisses me regarda avec un regard plein de gratitude et de désir.

- « Merci pour cet agréable moment, tu sais, j’ai un mari peu présent et pas très attentif, il y avait longtemps que je n’avais pas pris autant de plaisir avec un homme. Je m’apprêtais à prendre ma douche quand tu as sonné et en entendant ta voix, j’ai eu envie de voir si je pouvais encore plaire à un homme. »
- « Je ne sais quoi dire, vous êtes une très jolie femme très désirable, j’ai passé moi aussi, grâce à toi, un agréable moment. »
- « Je te demanderai juste un minimum de discrétion, Luc, et également si tu accepterais que l’on puisse recommencer.
- « Bien sûr Sandra, cela restera entre nous. Et oui, je serais heureux de te revoir. »
- « Merci Luc, ne m’en veut pas, mais mon mari ne va pas tarder à rentrer. Appelle-moi dès que tu pourras. »

Elle m’accompagna à vers la porte, m’embrassa une dernière fois avant de me glisser une carte dans la main. Je m’empressais de la mettre dans ma poche et m’engagea vers le portail. Une fois un peu plus loin dans la rue, je sortis la carte de ma poche, dessus, elle y avait noté son prénom et son numéro de téléphone. Je me dis à ce moment-là qu’elle avait conservé le calendrier mais ne m’avait pas donné d’argent. Qu’à cela ne tienne, le moment passé en sa compagnie valait bien tous les calendriers que j’avais sur moi et je repris ma route pour rentrer chez moi, la tête pleine de souvenirs agréables.

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Commentaires de l'histoire :

jean
trés bien, a repeter
Posté le 28/12/2016

Anna
J'ai beaucoup aimé! Le trouble monte petit à petit mais le résultat est là, je suis toute mouillée... J'espère lire d'autres récits de votre création. Merci !
Posté le 14/12/2016


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