Histoire Erotique

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La découverte du sexe, suite

Ceci est la suite « la découverte de la vie et du sexe » qui relate les aventures de Gérard, marin en permission

Proposée le 30/10/2016 par alain06

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Inclassable
Type: Histoire vraie


Gérard se réveille vers onze heures, il est dimanche. Avec la soirée torride d’hier soir plus la nuit d’avant passée dans le train de nuit, Gérard avait besoin de récupérer.
Il se demande ce qu’il va faire aujourd’hui. Le père d’Annie ne travaille, donc il ne pourra que la voir à la rigueur mais rien de plus.

Il se remémore la soirée d’hier, il a été bluffé par tempérament d’Annie, cela dénote une certaine dose de perversité se dit il.
Il se rappelle tous ces hommes qui venaient la voir, des hommes plus âgés, c’est sur qu’elle a eu beaucoup d’expériences.
Il passe sa main sur son sexe, il est bandé à mort, sans doute à se rappeler les ébats de la veille mais aussi à cause d’une grosse envie de pisser comme tous les matins. Il se caresse doucement en passant sa paume de bas en haut, sa queue se tend encore plus lui semble t’il.

Il dort toujours tout nu. Il se lève met son pantalon de pyjama, le remontant au maximum. Le fond de celui ci lui entrant dans la raie des fesses, il parvient à fermer la ceinture avec la cordelette mais une bosse énorme déforme le mince tissu. Il met la veste. En fermant le bouton du bas celle-ci parvient à dissimuler un peu le renflement.

Il entend sa mère qui s’affaire dans la cuisine. Aujourd’hui elle non plus ne travaille pas, sinon elle est femme de ménage dans un magasin de la ville voisine.
Il sort de la chambre qui donne directement dans la cuisine, dit bonjour à sa mère qui lui répond. Apparemment elle semble de bonne humeur, ce qui ne lui arrive pas tous les jours, du moins avant qu’il ne parte. Il sort et se retrouve dans la cour.

Ils habitent un ancien corps de ferme. La maison toute en longueur occupe le côté en face au grand portail d’entrée. A gauche et à droite se trouvent les dépendances, granges, appentis, tout cela vide à part une petite étable ou sa mère élève des lapins pour améliorer l’ordinaire et quelques poules pour les œufs.
Le WC se trouve dans l’aile droite en sortant de la maison mais Gérard ne s’y rend pas, il passe devant et se dirige dans l’angle tout au fond à droite, entre sous un appentis et, écartant sa veste de pyjama, il défait la cordelette du pantalon qu’il retient d’une main et commence à pisser.
Ecartant son sexe le plus qu’il peut de son ventre, le jet fait une belle parabole avant de retomber par terre. La miction dure longtemps. Au fur et à mesure, la queue de Gérard s’incurve de plus en plus vers le bas. Il la secoue pour éliminer les dernières gouttes puis la rentre dans le pantalon, celui-ci est toujours déformé mais bon, sa mère connait le truc après tout. Il referme la cordelette du pantalon, referme le bouton de la veste et retourne vers la maison.

Avant sa mère le réprimandait chaque fois qu’elle le voyait aller se soulager dans l’appentis au lieu d’aller au cabinet de toilette le matin.
-Pourquoi tu vas jamais pisser dans le cabinet ?
Cela avait commencé il y a quelques années, au début de l’adolescence, au moment ou le corps d’un garçon devient peu à peu celui d’un homme.
Un jour, devant son insistance, il avait fini par lui répondre qu’il ne pouvait pas.
Il faut savoir que le cabinet de toilette, c’est un local plus profond que large, avec au fond un petit muret de 60/70cms de hauteur environ et dessus fixé sur ce muret et accroché aux murs sur les 3 autres côtés, une simple planche en bois avec un trou circulaire en son milieu.
Devant son incompréhension manifeste, il lui avait dit :
-Enfin tu sais bien, non ?
Devant son air ébahi, il avait ajouté la mine renfrognée :
-Si je pisse au cabinet le matin j’arrose les murs et la planche, c’est ça que tu veux ?
Après un regard furtif sur la bosse qui déformait encore le pantalon, le visage de sa mère s’était alors éclairé et elle avait pouffé de rire.

Il entre dans la maison, sa mère en souriant lui dit :
-Alors t’as retrouvé ton petit coin ?
Il est rare que sa mère manie l’humour, du moins avec lui et surtout à ce sujet. Il répond :
-Oui maman, tu sais pourquoi non ?
Elle rit sans répondre mais Gérard a eu le temps de capter son regard furtif sur son entre jambes encore gonflé. Elle lui a préparé son bol et verse le café. Le pain est à côté ainsi que le beurre.
Gérard prend son petit déjeuner et ils discutent de la nouvelle situation de Gérard. Elle est heureuse de constater qu’il aime sa nouvelle vie.
De son côté Gérard est ravi de l’attitude de sa mère. Il la trouve complètement changée et plus ouverte qu’avant son départ, heureuse, alors qu’avant elle lui adressait à peine la parole.
Il ne comprend pas le pourquoi du changement mais il en est heureux.

Vers 13h ils déjeunent, la bonne humeur est au rendez vous tandis qu’ils mangent un lapin que sa mère a sacrifié pour son retour.
Gérard aide sa mère à faire la vaisselle, elle s’étonne, lui qui ne voulait jamais en entendre parler avant.
Il lui dit que dans la marine quand il est de corvée c’est autre chose que ça.

Gérard a l’intention d’aller voir ses amis dans l’après midi, il se lave, enfile un pantalon, un peu court car il a pris quelques centimètres depuis 6 mois. Même chose pour la veste, il est carrément boudiné dedans
Sa mère constate la chose et lui dit qu’ils iront acheter de nouveaux habits le lendemain.
En attendant, il n’a pas grand-chose à se mettre. Dans la région, c’est très mal vu de sortir en jean et chemise sans veste le dimanche et il décide de rester à la maison.
La mère de Gérard lui dit qu’elle va travailler un peu dans le jardin qui se trouve derrière la maison, il se propose de l’aider. Elle est enchantée, car tout comme pour la vaisselle, c’est bien la première fois qu’il se propose de l’aider au jardin.
Et ensemble ils travaillent jusqu’au soir, sa mère lui montrant comment faire.

Le soir, tandis que le diner est en train de cuire, sa mère prépare un apéritif . Les verres remplis, elle s’assoit en face de Gérard et lui dit:
-J’ai une grande nouvelle à t’annoncer.
Elle arbore un grand sourire en disant ça. Il attend, curieux d’entendre la suite.
-Tu te rappelles d’Irène ?
Gérard cherche, il ne voit pas. Elle lui explique. Irène est une amie de longue date. Celle-ci a perdu son mari, tué lui aussi par le grisou en même temps que son père. Après sa mort elle a ouvert dans le village une petite buvette, un lieu ou les gens viennent boire un verre et jouer aux cartes.
Cela avait bien marché et elle avait revendu et repris un bar dans un autre endroit du village, plus isolé, à l’orée du bois. Elle lui précise l’endroit.
Gérard connait ou plutôt a entendu parler de ce bar mais il ne dit rien.
-Elle m’a demandé de l’aider, je gagnerais plus et surtout ce sera plus agréable. Qu’en penses-tu ?
Elle le regarde d’un air un peu anxieux.
Il trouve l’idée excellente. Et puis si c’est pour cette raison que sa mère est d’excellente humeur, tant mieux. Il est ravi pour elle, il le lui dit. Sa mère est heureuse et semble soulagée.
-T’avais peur que ça me plaise pas ?
-J’avais peur que ça t’embête oui.
Gérard la rassure et lui dit que c’est sa vie et que c’est mieux que faire des ménages.
Ils lèvent leur verre en souhaitant le meilleur pour le nouveau travail de sa mère.
Tout le long du repas ils discutent des nouvelles perspectives d’avenir.
Puis ils vont se coucher après avoir lavé la vaisselle ensemble.

Gérard se déshabille et se couche, pensif. Il a entendu parler de ce bar, et pas en bien car il a mauvaise réputation, enfin d’après les on-dit car lui n’y est jamais entré bien sur.
Peut être ce sera une nouvelle clientèle avec Irène et sa mère ? Ou ça continuera à être un endroit ou les hommes vont le soir se détendre et prendre un peu de bon temps ? Et puis se dit il après tout ce n’est peut être que des commérages ?
Il finit par se dire que si c’est ce que sa mère veut, qu’elle le fasse et- repensant à son changement d’attitude- si c’est à cause de ce nouveau travail qu’elle est si heureuse, alors tant mieux.

Gérard imagine sa mère derrière un bar en train d’aguicher des clients. L’idée ne le choque pas, bien au contraire. Pourquoi pas après tout ? Elle a vécu assez d’épreuves dans sa vie pour avoir le droit d’en profiter sans avoir de comptes à rendre à qui que ce soit.
Et puis lui qui a passé les derniers mois dans les bars à putes de Toulon il estime qu’il n’a pas le droit de la juger.
Gérard voit à présent sa mère d’une manière différente, plus tout à fait comme une mère mais comme une femme. C’est encore une belle femme bien en chair, pulpeuse. Oui, c’est le mot qui lui vient à l’esprit: pulpeuse. Une poitrine généreuse, de belles jambes, un beau corps et une figure agréable quand elle est heureuse comme il la découvre aujourd’hui.

Sa main s’est posée sur son sexe et il se branle doucement depuis un moment. Sa bite est dure. Des images lui viennent à l’esprit. Il revoit les beaux seins d’Annie, bien ronds, bien faits et si sensibles. D’autres images se juxtaposent, la poitrine de sa mère avec des seins plus imposants mais très beaux, des nichons de femme qui a eu des enfants, qui ont allaité. Il se demande comment ils sont sans soutien gorge. Tombent ils ? Sans doute vu leur grosseur. Sa pensée s’envole et il rêve de les caresser. Est-ce qu’elle aime qu’on les lui caresse ?
Elle a de belles fesses, rebondies qui vont bien par rapport au reste de son corps. Il l’imagine à poil, un beau cul rebondi, un mont de vénus avec une belle toison bien fournie.
-Ahhhhhh
Il jouit d’une façon démentielle. Il rabat le drap de sa main libre mais c’est trop tard, le sperme s’est répandu partout, les dernières giclées lui atterrissent sur le ventre.
Il savoure son plaisir puis allume la lumière et essaie d’effacer les dégâts. Il ne réussit qu’à étaler la semence épaisse.
Après avoir essuyé comme il peut, il se recouche et s’endort tout en continuant a penser à sa mère.

La mère de Gérard, Marie de son prénom n’arrive pas à trouver le sommeil repensant aux évènements de ces derniers temps.
Lorsque son fils est parti dans la marine il y a six mois, elle était une femme mal dans sa peau, aigrie. Ils s’accrochaient toujours, elle et Gérard pour des riens, il l’énervait.
Après son départ les journées lui ont semblé longues. Le matin elle travaillait dans le magasin de cycles et motos. Le patron, un homme pour qui tout lui était du, la baisait régulièrement dans une remise dès que sa femme avait le dos tourné. Elle n’en ressentait aucun plaisir, mais il était généreux et elle se disait que chez un autre patron ce serait pareil alors…
Et puis elle avait besoin de manger.

Un jour ses pas la conduisirent dans la petite rue ou se trouvait la buvette d’Irène. Elle entre et s‘embrassent. Il y a quelques personnes dans le petit établissement, rien que des hommes. Elles se mettent à discuter de tout et de rien en buvant un café, heureuses de se retrouver.
Elle prit l’habitude de s’y rendre de plus en plus souvent. Peu à peu, Irène se confia et lui révéla que la plupart de ses clients étaient des gens insatisfaits, veufs, divorcés, mal mariés, seuls ou frustrés qui avaient besoin de parler, de trouver une écoute amie et surtout agréable. Elle les écoutait. Peu à peu les choses allèrent plus loin et des hommes prenaient rendez vous pour le soir après la fermeture qui avait lieu vers 19h.
Elle se faisait payer et peu à peu elle a eu une clientèle fidèle et de plus en plus nombreuse.

Marie reste ébahie mais n’est pas choquée. A son tour elle lui raconte ce que le patron fait avec elle, c’est pareil en fait.
Elles devinrent inséparables. Puis un jour Marie lui demanda si elle pouvait la remplacer l’après midi une heure ou deux de temps en temps.
-Tu comprends certains hommes sont mariés, ils n’ont pas d’excuse pour venir me voir après 19h, alors…
Marie accepta et de plus en plus souvent elle remplaçait sa copine. A partir de ce moment il y eut de plus en plus de monde dans la buvette l’après midi et Marie y passa tous ses après midi.
A son tour Marie reçut des propositions quand elle se trouvait seule avec eux. Elle en parla à Irène qui ne vit aucun inconvénient à ce qu’elle monte elle aussi.
Elle n’acceptait de monter qu’avec des personnes qui lui plaisaient, pas trop âgés et courtois. Elle qui avait mis sa sexualité de côté, elle redécouvrit le plaisir du sexe, se montrant de plus en plus experte en coquineries, en même temps que son bas de laine augmentait. Elle a même quelques clients réguliers qu’elle invite chez elle.
L’affaire marchait donc très bien mais les mauvaises langues bien sur ont vite répandu leur venin, c’est pourquoi quand elle a su que le bar à l’orée du bois allait être mis en vente, Irène avait tout fait pour conclure l’affaire.

Marie repense au moment ou elle a expliqué l’affaire à Gérard. Elle était anxieuse de sa réaction mais apparemment cela ne l’a pas choqué. Pourtant elle est sure qu’à son âge il a entendu se dire des choses sur ce bar.
Ce en quoi elle ne se trompait pas d’ailleurs.
En tous cas la voila rassurée car elle craignait beaucoup sa réaction.
Elle a longtemps été dure avec lui, pour la raison que le père de Gérard n’est pas le mari décédé de Marie et qu’elle culpabilisait pour cela. Durant la guerre, quand son mari était au loin, elle a fauté comme on dit par ici. Il fallait bien se débrouiller comme on pouvait à l’époque.
Elle a été heureuse de le retrouver, le trouvant plus fort, plus mur et très ouvert.
Maintenant que tout va bien pour elle, elle se promet de se rapprocher de lui et de tout faire pour se faire pardonner son attitude passée envers lui.
Puis ses pensées dérivent doucement. Elle le revoit aller pisser tous les matins dans l’appentis et sourit quand elle repense à sa façon qu’il a eu d’expliquer pourquoi.
Il est vrai que son fils a l’air d’être superbement membré. Marie a un client régulier qui la baise comme un dieu. Il est d’ailleurs un de ceux qu’elle invite chez elle. Lui aussi est doté d’un sexe imposant qui la rend folle de bonheur quand il lui fait l’amour.
En pensant à cette belle bite, elle écarte les jambes et commence à se masturber.
Rêvant de beaux sexes bien tendus elle finit par se faire jouir. Apaisée, elle s’endort.

Gérard se réveille assez tôt, le soleil éclaire chichement la chambre à travers volets. Ce matin il a envie d’aller voir des copains. Après le traditionnel lever, vidange vessie, déjeuner, il s’habille et s’en va. Sa mère lui rappelle qu’ils doivent aller acheter des vêtements cet après midi.
-OK maman je serai là à midi de toute façon.
Il s’en va, regarde partout, il retrouve le village comme il était avant, triste avec peu de gens dehors.
Il arrive chez son meilleur ami, sa maman est heureuse de le revoir et l’embrasse. Malheureusement son fils est parti en vacances à Paris dans la famille pour les vacances.
Il se dirige vers une autre maison, là personne ne répond et les volets sont fermés. On est en aout, le temps des vacances.
Trainant les pieds, il fait un tour puis rentre chez lui, un peu dégouté.
Après le déjeuner, ils prennent le bus pour aller à la ville voisine ou ils achètent ce qu’il faut pour Gérard puis rentrent à la maison.
Ils soupent tout en devisant calmement puis il dit à sa mère qu’il va essayer de voir des amis et sort.

Il va boire un verre, discute avec des connaissances puis, l’heure venue, il rejoint Annie qui l’attend sur le pas de sa porte, confirmant que son père est parti au travail.
Ils entrent dans la maison ou ils s’embrassent furieusement. Très vite elle s’écarte et l’entraine dans sa chambre. Sans dire un mot ils se déshabillent et se jettent sur le lit. Gérard note que cette fois elle a mis une grande serviette de bains à l’endroit ou elle met les fesses. Sans aucune pudeur elle écarte les jambes, le sexe est bien apparent entre la belle toison bien fournie. Gérard la pénètre, elle a le con trempé. Elle crie de bonheur et tous deux baisent comme des bêtes.
Très vite ses cris montent en intensité. Lui aussi sent qu’il ne va pas pouvoir tenir longtemps.
Ses cris atteignent un niveau incroyable. Elle aussi avait hâte de prendre la queue de Gérard.
-Ahhhhh ! Ah oui ! Ouiiii !
Elle jouit et sa bouche vient se poser sur le cou de Gérard, ses cris diminuent, transformés en grognement de bête.
Il jouit à son tour et se déverse dans le con qui ne peut vraiment pas absorber tout ce liquide.
Enfin ils s’arrêtent, repus, fatigués, heureux.
Reprenant leur souffle, ils se mettent à rire de concert.
-Mon dieu comme j’en avais envie ! Toi aussi non ?
Il répond que oui et après un moment ils se lèvent et se dirigent vers le pot de chambre pour la toilette rituelle.
Ils se recouchent et se caressent mutuellement chacun admirant le corps de l’autre.
Soudain elle s’écrie :
-Mon dieu je t’ai fait un suçon !
-Est-ce que ça se voit beaucoup ?
-Plutôt oui ! Je suis désolée vraiment ! Je m’en suis pas rendu compte.
Il la rassure.
-Tant pis, c’est pas grave. Y a que ma mère qui pourra s’en apercevoir éventuellement et je ne pense pas qu’elle s’en offusque.

Entre temps Gérard ne cesse de la bécoter, d’abord les beaux seins qui sous les caresses ont les pointes érigées, puis petit à petit il est descendu vers le bas du ventre et s’est rapproché de la belle chatte poilue. Annie a les jambes largement écartées, les grandes lèvres du con bien ouvertes.
Gérard reste longtemps à suçoter tout autour sans jamais toucher au sexe. Annie gémit de plus en plus, son bassin s’agite, une mouille de plus abondante sort de la chatte et coule dans le sillon des fesses. Elle n’en peut plus d’attendre :
-Viens ! Viens suce moi la chatte salaud ! Viens !
Impatiente elle met ses mains sur la tête du garçon et vient l’appliquer sur son sexe trempé.
-Là ! Oui ! Oui ! Oui !
La langue de Gérard titille le beau clitoris, le contourne, lui happe les petites lèvres qu’il aspire, revient partout sur le sexe de la fille qui donne des grands coups du bassin, allant à l’encontre de la bouche et de la langue qui la fouille avec gourmandise.
-Ah que c’est bon mon chéri ! Ah que c’est bon !!Oui ! Oui continue ! Continueeeee ! Ahhhh ! Ouiiii !
Et elle jouit comme d’habitude en poussant de grands cris de bonheur, les mains crispées sur la nuque de Gérard.
Enfin ses cris diminuent tandis que sa respiration s’apaise. Gérard continue à lécher la belle chatte bien ouverte. Sa langue descend dans la raie culière. Il se repait d’odeurs fortes, enivrantes.
Annie lui caresse tendrement la tête, elle murmure :
-Tu aimes mon petit chat ?
Il ne répond pas, elle continue :
-J’adore mon chéri, continue.
De nouveau des soupirs et une respiration de plus hachée montre la montée du désir. Gérard a la queue tendue au maximum mais il attend que la belle la désire en elle.
-Viens mon chéri ! Viens j’ai envie de ta queue !
Il la fait attendre un peu, elle s’impatiente :
-Viens ! Viens salaud !
Et elle l’attire vers elle en lui tirant les cheveux.
-Viens me baiser, j’ai trop envie !
Gérard n’y tient plus, il remonte vers elle et doucement, trop doucement pour Annie qui devient hystérique et l’insulte presque :
-Mets la moi ! Viens me la mettre salaud ! Salaud !
Enfin il présente sa queue devant le sexe béant. Annie n’en peut plus, elle agrippe la belle tige dure comme du bois et l’introduit en elle. Mettant ses mains dans le dos du garçon, elle l’attire de façon furieuse. Gérard donne alors un grand coup de reins et il vient abuter au fond du vagin accueillant et trempé.
Elle pousse un grand cri de satisfaction et les deux amants entament une danse effrénée dans un concert de cris de plaisir.
Annie semble prise de folie, sa tête, ses bras s’agitent dans tous les sens tandis qu’elle râle de bonheur, les yeux clos. Elle jouit très vite encore une fois. Gérard ne ralentit pas, au contraire il la pistonne comme jamais, la vue de la jouissance d’Annie le rend comme fou. Elle crie comme une folle.
Gérard sent le plaisir monter en lui.
-Je vais jouir bientôt ! Je viens ! Ahhhh !
Il se vide dans le con trempé en poussant de grands cris lui aussi :
-Tiens ! Tiens salope ! Prends ! Prends ! Ahhhhhhhh !
Il continue à la baiser tout en ralentissant la cadence, puis s’arrête, épuisé.
Ils ne disent rien pendant un bon moment. Annie lui caresse tendrement le dos, les fesses tout en reprenant sa respiration. Puis elle murmure :
-C’était fou ! Je crois que j’ai jamais autant joui !
Gérard aussi a bien joui, il lui dit et l’embrasse.
Enfin ils se lèvent, Annie se dirige à nouveau vers le seau hygiénique. Gérard se contente d’essuyer la queue ainsi que le bas ventre trempé avec la serviette.
Annie est assise sur le seau, il s’approche d’elle. Lui mettant les mains sur ses fesses, elle l’attire, lui prend la bite encore bien gonflée mais au repos, et lui fait des petits baisers, respirant en même temps les effluves qui s’en dégagent, mélange de sperme, de mouille, de chatte en chaleur. Gérard lui caresse la tête.
Ils ne parlent pas, apaisés après ce plaisir intense.
Ils retournent sur le lit, heureux, chacun se régalant du plaisir de pouvoir admirer le corps de l’autre.
-T’avais une grosse envie aujourd’hui.
Gérard dit que oui, elle demande :
-T’as fait quoi hier soir ?
Il répond qu’il n’a rien fait de spécial. Avec une moue vicieuse, elle s’étonne :
-Rien ? Vraiment. Moi je me suis masturbée comme une folle en pensant à ta queue.
Gérard répond
-Moi aussi bien sur !
Et continuant il dit :
-Tu te masturbes souvent ?
Tranquillement elle répond :
-Tous les jours, je suis sur que tu en fais autant non ?
Gérard acquiesce.
Elle caresse le beau membre depuis un petit moment et il commence à bander.
Les yeux fixés sur le membre elle ajoute :
-T’es incroyable tu sais ? J’ai jamais vu personne récupérer aussi vite et aussi souvent.
Gérard, flatté veut en entendre plus.
-Les garçons que t’as connu étaient moins…
-Moins tout, moins gros, plus petits et en général ils ont du mal à recommencer. Toi tu as joui 2 fois et tu as encore envie, c’est incroyable.
Gérard lui aussi caresse Annie, celle-ci est de nouveau excitée. Elle lui dit :
-Allonge toi.
Comprenant ce qu’elle veut il s’allonge, Annie vient se coucher sur lui tête bêche et ils commencent à se manger le sexe, Gérard introduisant très vite un doigt puis deux dans le cul de la belle qui dit :
-C’est bon ! Oui branles moi le cul cochon !
Disant cela elle mouille un doigt et fait de même. Gérard apprécie la caresse.
Gérard adore sucer la chatte d’Annie, il trouve fabuleux le gout de la mouille qui en sort et l’odeur le rend fou de désir. Dès qu’il entend les cris d’Annie lui dire qu’elle est prête à jouir, il arrête presque pour reprendre ensuite. Annie en fille experte fait de même.
Puis enfin elle le fait jouir dans sa bouche. Dès qu’il a fini sa jouissance il la fait jouir elle aussi. Ils restent ainsi longtemps puis se retrouvent allongés en s’embrassant sur la bouche, leurs salives étant un mélange de mouille et de sperme.
Ils restent ensuite un long moment, les ses apaisés, heureux, se contentant de quelques caresses légères sur leurs corps repus.
Puis Gérard se lève, s’habille et ils se donnent rendez vous pour demain.
Gérard rentre chez lui, sa mère dort apparemment, la lumière est éteinte partout.
S’efforçant de faire le moins de bruit possible il va se coucher et s’endort très vite.

Presque 3 semaine se déroulèrent ainsi, Marie partait travailler vers 18heures, elle rentrait dans la nuit et se levait vers midi.
Gérard lui aussi se levait vers midi, s’occupait comme il pouvait jusqu’à 20heures, puis allait voir Annie.
Le lundi était le jour de fermeture du bar. Ce lundi là entamait la dernière semaine de permission de Gérard. Celui-ci en effet devait partir le samedi soir pour rejoindre Toulon le dimanche matin.

Ilse levèrent quasiment en même temps, Gérard et sa mère. Ils se mirent à préparer le repas ensemble. Il faisait beau et tous deux se mirent à table.
Marie a sortie une bonne bouteille de rosé de Provence pour l’occasion.
Le déjeuner pris, elle lui demanda ce qu’il comptait faire dans l’après midi.
-Comme d’habitude maman, je vais me faire bronzer.
Dans le jardin il y a un endroit bien placé, à l’abri des regards ou Gérard a pris l’habitude de se faire bronzer. Il met une couverture et s’allonge dessus, entièrement nu quand il est seul.
Marie n’a rien à faire, elle lui demande si elle peut l’accompagner.
Un peu étonné, il tarde à répondre mais il dit que oui bien sur.

Il prend la couverture qu’il a l’habitude d’amener et tous deux vont à l’endroit ou Gérard s’installe habituellement.
Après l’avoir étalée, il se déshabille et, ne gardant que son slip, il s’allonge. Marie enlève le haut, garde son soutien gorge et, se débarrassant de sa jupe qu’elle met soigneusement par terre, elle s’allonge elle aussi.
Gérard regarde du coin de l’œil le déshabillage de sa mère. C’est la première fois qu’il la découvre en slip et soutien gorge.
S’il s’était rendu compte que sa mère était encore une belle femme, il voit cette fois ci son corps. Le soutien gorge est du type pigeonnant, ses beaux seins bien pleins débordent un peu, le slip n’en est pas vraiment un et ne cache pas grand-chose de ses fesses.
Gérard sent une excitation monter en lui et il se demande ce qui va se passer quand elle va s’en rendre compte.

Enfin Marie s’allonge, presque à toucher son fils. Ils restent un moment sans rien dire puis :
-ça ne dérange pas au moins ?
-Quoi maman ?
-Ben,…tu m’as semblé réticent tout à l’heure. Quand je t’ai dit que je voulais venir avec toi.
Gérard est rouge de confusion et ne sait pas quoi dire. Il ne sait que dire :
-Non pas du tout,….juste… étonné, rien de plus.
Il y a un silence pesant puis :
-T’es bien fait tu sais, je suis fière de toi.
Elle dit cela en le regardant, mais ne porte pas son regard en bas. Heureusement se dit il, car maintenant, même s’il ne bande pas complètement sa queue a pris du volume et il se dit qu’elle ne va pas tarder à franchir la barrière de l’élastique.
Sentant qu’il lui faut répondre il dit :
-Toi aussi maman, t’es drôlement bien faite.
-Merci mon chéri.
Gérard ne sait plus que penser, il se demande vraiment si sa mère ne s’est pas aperçue de son état. Ce n’est pas possible se dit il.
Il tourne enfin la tête vers sa mère qui est en train de le regarder tendrement. Elle lui dit :
-T’es bien ?
Il ne peut répondre que oui.
Les seins de Marie, de par sa position allongée se sont légèrement échappés du léger soutien gorge, et Gérard voit distinctement le téton le plus près de lui.
Son sexe se tend de plus en plus. Il dit sans réfléchir :
-D’habitude je me mets tout nu maman.
Elle sourit puis :
-C’est vrai que tu serais plus à l’aise en effet.
Il attend la suite, elle ne dit rien.
-Est-ce que je peux…
Elle ne le laisse pas finir, lui dit :
-Oui, tu peux t’es trop…tendu pour le garder.
Gérard ne se le fait pas dire deux fois, il enlève prestement le slip. Sa queue enfin libérée se retrouve allongée sur le ventre.
Ils restent ainsi pendant un long moment puis Marie demande :
-C’est qui t’a fait ce beau suçon ?
Gérard ne réfléchit pas, répond sans hésiter :
-C’est Annie
-Annie… la voisine ?
-Oui.
Elle semble réfléchir puis :
-Mais c’est sérieux vous deux? Je veux dire… tu vas continuer à la voir après ton retour ? Tu vas repartir pour 6 mois et…
-Non, enfin j’en sais rien, pour l’instant je…enfin on passe des bons moments mais rien de sérieux non.
Elle semble soulagée puis :
-Tant mieux, je suis contente.
Il ne sait pas trop ce qu’elle entend par là.
Au tour de Gérard de poser des questions :
-Au fait maman, ça te plait ton nouveau boulot ?
Elle répond sans hésiter :
-Oui, j’aime bien et par rapport à avant je n’ai pas l’impression de travailler en fait.
Gérard ne se contente pas de cette réponse :
-Maman tu promets de ne pas te fâcher si je te demande….heu…
Il n’arrive pas à terminer sa phrase. Elle continue à sa place:
-Tu veux savoir si j’ai des rapports avec des hommes c’est ça ?
Rouge de confusion et d’excitation il dit oui.
-Oui…je ne suis pas forcé de le faire, je n’ai de rapports qu’avec ceux qui me plaisent et qui sont gentils.
Elle a dit ça calmement tout en tournant la tête vers lui, les yeux mi clos.
Gérard ne dit rien, elle demande encore :
-C’est ça que tu voulais me demander ?
Incapable de répondre il répond oui en hochant la tête.
Marie ajoute :
-Tu sais Gérard je n’ai pas toujours été heureuse. Avant j’étais une bonniche, dans la vie comme à la maison d’ailleurs. Maintenant, j’ai l’occasion d’en profiter un peu et ça ne peut faire du mal à personne, à part à toi si ça te dérange.
En disant cela, elle s’est tournée vers lui en s’appuyant sur son bras. Le beau nichon de Marie s’affaisse un peu, tout près de la figure de Gérard.
-Alors dis moi mon chéri : est ce que ça te perturbe ? Réponds-moi franchement s’il te plait, j’ai besoin de savoir.
Gérard répond spontanément tout en se mettant lui aussi en appui sur son bras.
-Non, non maman je te jure. Et puis je suis très content que tu sois heureuse.
Marie sourit, émue par la déclaration de son fils, elle le sent sincère.
Lui prenant la tête sa main libre, elle l’attire vers lui et l’embrasse très fort.
-Merci mon chéri, je suis soulagée tu sais.
-Tu croyais que ça m’embêtait ?
-Oui bien sur, enfin je voulais en être sure. Ah comme je suis heureuse !
Elle continue de le fixer dans les yeux un moment puis, jetant un coup d’œil sur son bas ventre et dit :
-Tu sais que tu as de la chance ?
Gérard sait à présent de quoi elle parle mais demande :
-Pourquoi maman ?
Elle reporte son regard dans le sien et répond :
-Tu sais très bien de quoi je veux parler coquin !
Gérard décide de pousser le jeu un peu plus loin :
-Dis moi maman, est ce je suis au dessus de la normale.
Elle regarde en se mordant la lèvre inférieure tout en secouant la tête de droite à gauche.
-Tu le sais très bien mon chéri. Et puis à l’armée tu as pu comparer non ?
Et après un silence elle ajoute :
-Je comprends le suçon d’Annie. Tu la vois ce soir ?
Gérard n’est plus du tout gêné à présent, il sourit de façon entendue, répond :
-Oui
Reportant à nouveau son regard sur le chibre tendu qui vibre de façon intense, elle murmure :
-Je ne sais pas si elle pourra attendre ce soir.
Gérard est de plus en plus excité, il répond :
-Qui elle ? Annie ou…
Amusée, Marie répond du tac au tac :
-Elle ! Tout en indiquant la queue de son fils d’un coup de menton.
Ils ne disent rien tout en se regardant, les yeux dans les yeux. Gérard pose doucement sa main sur sa bite.
Marie se lève.
-Si tu n’étais pas mon fils…Vas-y mon chéri, mais ce ne serait pas raisonnable que je reste.
Puis après un blanc :
-Tu me comprends ?
Et lui prenant la tête dans ses mains, elle l’embrasse tendrement puis s’en va.
Il y a un cap que Marie ne veut absolument pas franchir. Il la regarde partir en admirant le roulement de ses fesses puis commence à se branler doucement.
Il repense à la conversation avec sa mère, à son corps. Le plaisir monte lentement, il s’arrête quand le plaisir devient trop intense, puis il reprend, cela plusieurs fois. Il halète de plus en plus et se branle à toute vitesse à présent. De longues et belles giclées sortent du membre puissant, les premières atterrissant derrière lui dans l’herbe, les suivantes sur sa figure, son torse.
-Oui ! Oui ! Ouiiiii ! Ahhhhh !
Il continue sa masturbation jusqu’à ce que plus rien ne sort, pressant son membre pour en extraire les dernières gouttes.
Gérard reprend doucement sa respiration, les yeux clos, il reste allongé, savourant l’instant présent.

Il reste ainsi un moment puis se lève, s’habille, il ramasse la couverture. Il passe devant une fenêtre, c’est celle de la chambre de sa mère. Il sait que de celle-ci on peut voir tout ce qui se passe à l’endroit ou ils étaient. Il essaie de voir à travers les rideaux, mais n’aperçoit rien et rentre dans la maison.
Il entre dans la pièce principale qui est à fois de cuisine, de salle à manger. Marie n’est pas là, il va ranger la couverture et va se changer dans sa chambre.
Il revient, s’assoit et prend une revue qui traîne. Il essaie de lire, n’y parvient pas. Il se demande si sa mère a regardé quand il se masturbait. Il pense que oui et il est troublé.
Il se lève et va pisser dans le WC. Quand il revient sa mère est là, entrain de vaquer à quelques occupations.
Elle lui tourne le dos, il attend la suite en faisant semblant de lire.
Enfin sa mère vient s’assoir en face de lui. Ils se regardent elle demande :
-Tu veux boire quelque chose ?
Il dit oui. Troublé comme le regard de sa mère. Ou est ce juste une idée ?
-Du rosé ? Il en reste un peu.
Ils lèvent leur verre, elle dit en le regardant bien dans les yeux.
-Profites de la vie mon chéri, moi je ne suis plus très jeune mais je vais essayer d’en faire autant.
Ils finirent la bouteille puis dinent en silence.
Marie fait la vaisselle, il veut l’aider, elle le remercie. Elle va se coucher, en lui disant bonsoir. Il va rejoindre Annie.
Ce soir il la baisa comme un forcené, elle le lui fit remarquer. Il ne répondit pas.

Les derniers jours passèrent et le samedi arriva très vite. En même temps Gérard avait hâte de partir. Il dit au revoir à sa mère à la maison, tous deux ayant horreur des adieux en public. Il avait dit au revoir à Annie la veille, aucun des deux ne savait s’il allait revoir l’autre.

Il sortit de chez lui et se dirigea vers la gare sans se retourner.

© Copyright : Ce récit comme tous les autres sont protégés par le Code de Propriété Intellectuelle.


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Commentaires de l'histoire :

alain06
Merci pour les commentaires sympa et notamment la partie "souvenirs"de julietnovembre
Posté le 16/02/2017

julietnovembre
Bien écrit, j'ai bien aimé l'épisode Miquette car, ancien marin, j'ai aussi connu sa gentillesse. Une plaque commémorative a été déposée à son honneur sur la façade du bar "les cinq parties du monde" surnommé, sans homophobie, "les cinq PD".
Posté le 12/11/2016

Roleplayer
Très bien écrit.
Posté le 5/11/2016


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