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Graziella Del Monte

Mort pour ne pas avoir bander. J’étais impuissant. Deux phrases écrit sur l’urne en forme d’un cube rectangle. Au-dessus il a une statue qui représente une femme et un homme nue. La femme au corp pulpeuse est coucher en appuient sur ses coudes les jambes écarter et replier en guise de lui offrir son

Proposée le 19/12/2025 par pappilonbleux

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Thème: Homme dominé
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Fantasme


Graziella Del Monte
A lire par un publique averti

Mort pour ne pas avoir bander. J’étais impuissant. Deux phrases écrit sur l’urne en forme d’un cube rectangle. Au-dessus il a une statue qui représente une femme et un homme nue. La femme au corp pulpeuse est coucher en appuient sur ses coudes les jambes écarter et replier en guise de lui offrir son vagin son regard fixe l’érection. Une partie de sa longue chevelure repose sur le haut de sa généreuse poitrine et le reste en chute libre. L’homme lui a genoux entre ses cuisses, les mains poser sur les genoux de sa conquête son pénis en érection prêt à la pénétré marquer dessus <<MON REVE>>.

***

Un jour en sortant d’une librairie d’où je venais d’acheter deux livres érotiques. Au moment de connecter mon casque la musique du Parrain résonne dans mes oreilles. Le temps de sortir mes lunette noir mon imagination s’évade.

***

L’excluse et un établissement en vogue tenue par Paola Danria d’une quarantaine d’année. Petite brune pulpeuse aux yeux noisette avec une chaine de cheville. Paola est la descendante d’une famille de mafioso. Ses deux frères en préfèrent retourner en Sicile. Avec l’argent que lui a laisser sa famille Paola a préféré ouvrir un établissement d’amusement sur trois étages. L’étage du haute en y mange en y bois, l’étage du milieu c’est jeu de société et un dimanche par mois c’est loto. Au sous-sol en dansent en chante et des spectacles se déroule. L’après-midi c’est animation pour enfants qui déguste des glaces des boissons sans alcool. Pour passer d’un étage a l’autre il y a des toboggans assez larges pour pouvoir y descendre à plusieurs voir en roulant. Les adulte les empreintes aussi.
Le soir à partir de 19h c’est réservé aux adultes. Il y a une scène ouverte à tous publics. Le tout Paname y vient pour des soirées endiablées des groupe vienne chanter leur propre composition, en y vient déguiser ou pas en y chante en y dance certain soir des troupes ou des solos vienne s’exprime sur scène en impro ou pas. Des balles en mousse sont mis à disposition pour le mécontentement du public. Il y a des tournois de poker gratuit certain soir de la semaine. Moi je suis souvent dans l’établissement au point que des bruit court et disent que Paola et moi nous sommes amant. Ce qui est faut.

***

La musique du film Le clan des sicilien résonne dans mes oreilles. Certain soir de la semaine un organisme au nom de FULL ET PAIR vient organiser des tournois de pokers gratuits. Les seules conditions être majeur, inscrit sur le site et avoir un pseudo.
Un soir en rentrent chez moi dans une rue mal éclairée j’aperçois deux personnes cagoulées devant moi je tourne la tête il y deux autres personnes cagoulées derrière moi. Je reconnais leurs physiques Je comprends que c’est pour moi. Au cours d’une partie un joueur au pseudo Acrot m’accuse d’avoir dit.
- Tu as dit tapie.
- Absolument pas
- Si. Alors que je n’avais même pas ouvert la bouche ayant le sang chaud je lui
balance les jetons en pleine gueule. Je suis partie en bousculant du monde sur mon passage. Il m’avait coursé Acrot me rattrape me bouscule je tombe volontairement en espèrent qu’il me tabasse afin de pouvoir le tuer. Etant lui-même un blanc-bec il n’a pas eux les couilles d’aller jusqu’au bout. Acrot a dû demander de l’aide à Baussi un arabe, Mongton un noir et Bingal un métis. Acrot Mange pièces sans devant moi, Bingal, Baussi sont derrière moi. Dont j’ignore leur prénom ainsi que des autre participants (tes). En me donne un coup de poing de face plus un coup de pied au cul. Je les laisse croire qu’ils me font peur et qu’ils sont plus fort que moi. Je prends des coups de toute les coté à plus savoir où j’habite. J’entends une voiture qui s’arrête des talons qui claque le sol son pied poser sur moi la point au niveau du nombril et le talon qu’elle enfonce par à-coup sur mes testicules. Je reconnais la voix de Graziella Del Monte.
- J’espère que sa te serviras de leçon et que tu comprennes à qui tu as affaire. Ce
n’est qu’un avertissement. Je suis réveillé à coup claque par un pompier.
- Vous, vous prénommé comment, vous habiter où. J’ai une perte de mémoire. Peu a
peu la mémoire revient. Seul sur mon lit d’hôpital dans un état critique le visage amoché ne pouvant pas marcher sans l’aide de béquille. C’est encor pire que je penser ils sont sous les ordres d’une femme de la mafia sicilienne. Je pourrais les tuer tous un a un y compris Graziella qui est la cousine de Paola. Je n’en ferais rien. Par amour pour Paola.

Je me souviens d’un soir durant la pose d’un tournoi de poker Graziella m’avait collé voir elle me faisait du rentre-dedans. Je n’avais pas répondu à ces avances. En partant elle m’a rattrapé dans la rue. Graziella s’est agrippée à mon bras j’ai essayé de la repousser mais cela m’était impossible. Arrivée au métro Graziella est toujours coller à mon bras.
- Désolé je dois descendre là. Je me suis trompé de direction. Toujours coller à mon
bras. Durant le voyage Graziella a réussi à me voler des baisers. Arrivé à une station j’ai réussi à m’escarper au moment de la fermeture des ports. Graziella ressemble à sa cousine Paola. Après quelques jours à l’hôpital la police vient me demander si je connaissais les agresseurs et si je voulais porter plaint. Sachant qu’elle descend d’une famille mafioso je refuse.

***

Le bon le brut et le truand :
Apre un mois de convalescence et de psychologue. Des amis me propose d’aller prendre un café dans un troquet non loin de l’hôpital Trousseau. 14h45 Deux hommes cagoulés entre dans le café en bousculant table, chaise et des personnes. Je prends un coup de poing dans l’estomac un ami intervient il se prend un coup de poing en pleine face. Ils me passent un sac sur ma tête, me traine comme un moins que rien, me jette dans un véhicule qui selon moi c’est un fourgon. Après une demi-heure de route. Peu avant de prendre l’ascenseur j’entends une voix de femme.
- Vous faite quoi ?
- Rien. C’est son enterrement de vis garçon
- Amuser vous bien
- Merci madame. Arrivée dans l’appartement ils ouvrent une porte et me balancent à
terre me retire le sac. La pièce est vide. Les mains toujours attaché dans le dos le scotche toujours sur la bouche je ne peux rien faire ni crié. 15h00 Graziella arrive une chaise à la main moi assis au sol contre le mur les jambes repliés. Graziella pose sa chaise face à moi et s’assoies les cuisses écartées. Je détourne mon regard Graziella me gifle.
- Tu n’aime pas voir sous ma jupe. Elle me gifle de nouveaux.
- Regard. Je regard Graziella porte une culotte blanche. Tire d’un coup sec pour me
retirer le scotche. Graziella remonte sa jupe dégrafe son chemisier, passe son doigt sous la culotte tout en l’écartant le pénètre en elle. Graziella passe son doigt sur mes lèvres en forçant le passage une fois dans bouche je le mort. Graziella crie et me gifle de nouveau.
- Tu aimes ça prendre des coups. Se lève va ouvrir la porte. Ils sont là tous les quatre.
- Déshabillé le. Ils sortent des lames rétractables coupe mes vêtements une fois nue.
Graziella leur demande de me lever. Elle passe sa main sur ma bite essaie de me branler, elle passe derrière moi sa main sur mon cul se colle à moi je sens sa poitrine. Approche sa bouche de l’oreille.
- Beau cul. Elle me fait tourner sur moi-même. Face à moi elle me pousse. Je tombe
assis sur la chaise. D’un simple signe du doigt ils comprennent qu’ils doivent quitter la pièce. Seul de nouveau avec elle. Graziella pose sa main sur mon visage relève ma tête d’un geste brut. Pose ces lèvres sur les miennes, je n’ouvre pas ma bouche me gifle. Se met à genoux devant moi prend ma bite en pleine bouche qu’elle suce sa main caresse mes testicules ne bandons pas sa main les serres au poing de me faire mal tout en me mordant la bite. Graziella se lève me gifle une fois de plus.
- Tu es déshonorent et tu me déshonore. Tous les hommes bande pour moi et veules
me baiser a par toi. Tu es la honte de ma vie. Enerver Graziella enlève son chemisier, son soutif qu’elle pose sur ma bite. s’asseoir face à moi sur mes genoux me place un sein dans la bouche. Je le suce le mordille Graziella satisfaite sourit. Se lève enlève sa jupe qui tombe au sol et sa culotte elle me l’enfonce dans la bouche. Graziella se rasseoir sur mes genoux me caresse. Je sens sa chatte colle à ma bite ses nichons colle à mon torse sa langue flirte avec ma langue. Ne bandons toujours pas. Graziella se lève va ouvrir la porte. Mongton rentre. Graziella se rasseoir sur mes genoux, lui ordonne de défaire son pantalon. Son pénis déjà en érection elle le suce l’orient a ma bouche. Il s’écrit.
- Non madame pas ça. Elle serre ces testicules d’une main ferme.
- Pardon madame. Je le suce un peu. Elle continue à le suce jusqu’à éjaculation me
crache tout le sperme en pleine gueule qu’elle essuis avec sa culotte et me l’enfonce de nouveau dans la bouche.
- Dégage je veux être seul avec lui. Une fois seul Graziella me défait les mains, les
poses sur sa poitrine me glisse une main sur sa chatte me pénètre un doigt en elle je la doigte puis un deuxième. Je ne bande toujours pas. Enerver Graziella les fait venir tous les quatre leur ordonne de se déshabiller. Toujours assise sur moi Graziella suce une bite puis s’allonge au sol face à moi les cuisses écartées, se fait pénètre tout en me regardant je la vois jouir gémir. C’est le tour du suivant Graziella a quatre pattes comme une chienne ses main poser sur mes genoux je la voix prendre du plaisir. Toujours a quatre pattes elle suce le troisième en même temp le quatrième la baise en levrette. Se lève me crache encor une fois tout le sperme sur ma gueule, m’essuis encor une fois le visage avec sa culotte. Ordonne au quatrième de se coucher sous la chaise, le chevauche pose ses mains sur mes genoux pour prendre appuie commence à sautiller, me sourit puis s’arrête attrape ma tête d’une violence colle sa bouche a la mien tournoie sa langue contre la mien. Graziella reprend ses va et vient à faire danser ses nichons, met sa tête en arrière sa langue chevelure dans le vide. Je ne bande toujours pas. Me fait mettre à genoux par ses hommes de main. Graziella pose sa main sur ma tête en l’approchant de sa chatte. Ma langue la pénètre doucement n’étant pas satisfait elle ordonne à un homme d’appuyer sur ma tête. Par force je pose mes mains sur son gros cul. Toujours pas satisfait elle me gifle. 17h00 Graziella se rhabille pose sa culotte sur mon pénis, me giflant.
- Tu me fais honte. Tu ma déshonoré. Je ne veux plus te voir sur Paname. Vous
pouvez-vous amusez avec. A peine parti que je me retrouve à quatre pattes une bite dans mon cul et une autre dans la bouche. Je la mords tellement fort qu’il me donne un coup de poing les autres en profite en me donnant des coups de pied. Après avoir fait mumuse avec moi ils sont partis. 22h30 ils sont de retour ils me rhabillent d’une robe d’un sac sur la tête. Je suis secoué dans le fourgon. Après au 45 minutes de route en me balancent tous nu. Je sens de la terre des feuilles. Vers minuit j’entends une voix de femme avec un accent hurler.
- Il faut appeler le police y a un mort. La police arrive suivie des pompiers en m’
enveloppe dans une couverture. J’entend une voix d’homme dire.
- C’est encor un coup de Graziella Del Monte.
- Monsieur vous ne voulez toujours pas portais plainte. La troisième fois elle vous
tuera. Je fais signe que non.

***
Le professionnel :
Après deux mois de rétablissement et sachant que je ne peux plus aller dans Paname. Paola me manque. Je pourrais tous les tuer. Mais par amour pour Paola je ne dis rien. Je vais me balader sur les bords de marne. Il est 18h. Il y a plusieurs établissements dans un qui m’attire sur la devanture c’est marquer le Tac Contre Tac avec une queue de billard et des billes. En rentrant en aperçois des tables de billards. Il n’y a pas grand monde un peu sombre. Ne pouvant pas rester debout je m’assoie à une table en terrasse. Une serveuse pas très aimable ni courtois à se demander si elle travaille là. Vient prendre ma commande. Cela fait prêt d’une heure que je suis attablé et que j’admire le passage de belle est jolie femme de toute origine de différent accoutrement. Certaines me sourit. Un moment un groupe de personne d’âge différent s’installe à la table d’à côté. Une femme de 50 ou 60 ans attire mon regard installe à l’opposer de moi. Elle demande à un ami d’échanger leur place. A son approche elle me sourit. Elle a un corps pulpeux au moment de s’asseoir entre moi est son amie ses fesses frotte mon bras.
- Excuser moi.
- Ce n’est pas grave. Elle commence à discuter avec moi. Je n’ai aucune envie de
dialoguer avec elle. Mais je me force un peut. Je connais son prénom Yasmine elle a 60an comme moi célibataire aussi et qu’elle vie à Joinville le Pont. Yasmine sait que je me prénomme Giovanni et célibataire comme elle est que je vie à Paname. La voilà parti dans des projets d’amitié comme faire un billard, se promener sur les bords de marne. Je n’arrive pas à décrocher mon regard son décolleter en espèrent être discret. Yasmine me sourit est me propose d’aller passer quelque nuit chez et avec elle. Il est 20h lorsque je vois Graziella se promener en compagnie de ses hommes de main. Arrivé à ma hauteur Acrot me vois et le fait savoir à Graziella. Elle s’approche de moi comme une furie et me gifle.
- Tu me trompe avec cette pouf. Yasmine se lève.
- Je vous aut. Yasmine n’a pas le temps de finir sa phrase que Graziella la repousse
et la gifle. Un homme a peine lever. Que Baussi sort un revolver. Ce qui calme tout le monde.
Que Mongton et bingal m’attrape par le col barre. Je me retrouve à quatre pattes au sol comme un mal propre. Ils me trainent au sol ils me relèvent. Il fait nuit j’essaye de me débattre personne intervient. Nous arrivant dans lieu peu éclairé là je prends des coups de poings de pieds j’ai le visage en sang me manque des dents.
- Tu vois tu aurais bandé et tu m’aurais baisé comme une chienne, une salope.
Graziella me pousse au sol me donne de coup de pied sur mes couilles. Je l’entends dire à ses hommes.
- Vous voyer ce qui arrive quand en me baise pas ou quand me baise mal.
- Oui madame sa n’arrivera pas.
- J’espère pous vous. Maintenant foutez le à poil et balancez-le dans la Marne.

***

Il était une fois dans l’ouest
Le jour de l’enterrement l’excluse à fermer ses portes une partie du personnelle étais présent ainsi que des clients fidèles. Graziella Del Monte étant en prison à demander à venir. A son arrivé à l’église une rangée de femme lui fait barrage.
- Je veux. Une femme se retourne est la gifle une autre lui fait signe de se taire. A la
fin de la messe une allée se crée. Au passage de Katia la sœur Giovanni San Vito marque un temp d’arrêt et la gifle. Graziella baisse les yeux. Au passage de Paola Danria qui marque un temps d’arrêt lui relève le visage et la gifle.
- Tu es bannie de la famille Danria.

*******

6 mois plus tard :
Katia San Vito va à l’excluse elle s’attable. Paola la rejoint prend place en face d’elle.
- Mon frère était impuissant et toi frigide.
- Comme…. Elle ne lui laisse pas le temps de finir sa phrase que Paola se tait.
- Vous étiez amoureux l’un de l’autre sans jamais vous l’avouez. Lorsque tes frères
voulez te ramener en Sicile. Mon frère Giovanni San Vito ta offert cet établissement par amour pour toi et te garder au plus près de lui. Et ta protégé chose que toi tu n’as pas fait. Paola se lève pour téléphone un peu plus loin on l’entend crier.
- NOOOOON. A sans retour Paola essuie ses larmes. Katia se lève en regardons
Paola tout en posant une arme sur la table.
- Le jour de l’enterrement tu as bannie Graziella Del Monte de ta famille. A sa sortie
de prison tu devras la tue ou elle travaillera pour moi entant que putain. La statue elle vous ressemble et vous représentent tous les deux. Il y a un tatouage Paola Danria sur le bras. Katia se dirige en direction de la sortie.

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