Histoire Erotique

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Vue sur un pont

Elle est ravissante, rêveuse aussi, elle aime regarder la ville d'un pont, y cherchant l'inspiration. Il croise et recroise son chemin et quelque chose se noue entre eux...

Proposée le 19/12/2025 par jerome james b

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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: Autres lieux publics
Type: Fantasme


VUE SUR UN PONT

Je venais de finir. 15 heures 15. Le temps de rentrer chez moi. Un SMS.
J'arrive.
Auquel elle avait répondu simplement
Je serai sur le pont.
Et c'était vrai que ce pont en bas de chez moi avait été le point central de notre histoire.
Un quart d'heure pour rentrer.
Il faut sans doute que je revienne en arrière pour me rappeler quand et comment on s'était connus.
J'avais un appartement dans une maison en L, au troisième et dernier étage, j'avais une vision plongeante sur un pont, pas très long, qui enjambait maisons, et rue, et permettait de rejoindre la partie supérieure de la ville, située sur une colline autrefois maraîchère.
Ma première rencontre avec elle avait eu lieu un dimanche en fin d'après-midi. Le dimanche après-midi, j'allais toujours me balader pour me détendre, après une semaine de travail souvent difficile, et je partais à pied hors de la ville, sur des chemins de randonnée.
J'étais arrivé en haut de cette descente qui englobait le pont, et je l'avais vue pour la première fois.
Elle était habillée très simplement, un pantalon de sport, noir, flottant, même s'il était tendu par ses fesses pleines et rebondies, des chaussures plates, et un T-shirt.
Elle était songeuse. Méditative? En tout cas, elle avait le regard fixé sur ce qu'il y avait face à elle. Et je comprenais parfaitement qu'elle puisse être attirée par cette vue. G... est une belle ville avec de nombreux vestiges du passé, de beaux bâtiments, mais aussi pas mal de nature. C'était le genre de vue qui pouvait ravir, apaiser.
Il n'y aurait sans doute pas eu de contact si quelque chose n'était pas tombé de sa poche, en l' occurrence il s'agissait d'un objet rouge, un cercle de tissu épais. Je l'ai ramassé par réflexe, et je n'ai vraiment compris ce dont il s'agissait qu'une fois que je l'ai eu dans la main. Elle avait sans doute attaché ses cheveux avec, ils étaient à présent libres, longs et frisés. J'ai eu l'envie, sans doute parce que j'étais près d'elle, et troublé, d'y glisser mes doigts. J'ai respiré aussi l'odeur d'un parfum qui évoquait le printemps, et les fleurs, alors même qu'on était en fin de l'été.
— Excusez-moi, je lui ai dit. Ça vient de tomber.
Elle s'est retournée. Surprise. Elle était perdue dans ses pensées. Je lui ai tendu l'attache pour cheveux. Elle a esquissé une sorte de sourire qui n'était pas vraiment un. Je la dérangeais, sans doute.
J'ai continué ma route.
Arrivé tout en bas, au bout du pont, je me suis retourné. Elle était toujours là, perdue dans ses pensées.
Je suis rentré chez moi. J'habitais dix mètres plus loin.
J'ai repensé à elle un moment. Elle avait pas mal de charme, une jolie fille, joli profil, jolie silhouette. Et j'aimais cette attitude, cette déconnexion par rapport à la réalité,
Et puis...Je dois l'avouer, je suis passé à autre chose. Il y a des moments comme ça, on croise une fille qui vous plaît, on pense à elle un moment, et puis on avance et on oublie.
Sauf que dans les semaines qui ont suivi, je l'ai revue.
Sans le chercher d'ailleurs.
Le lundi, je finissais à quinze heures, je rentrais chez moi. Je me garais toujours sur un parking plus loin, et je passais souvent en ville pour des courses très diverses avant de rentrer chez moi.
J'étais remonté par le haut de la ville, sur un parcours semblable au dimanche, et je descendais par le pont.
Ce n'était pas le lundi consécutif au dimanche, mais une semaine après.
J'ai aussitôt identifié sa silhouette. Ses cheveux châtain, longs et frisés.
Elle était habillée différemment, Un caleçon noir très moulant, et un crop-top qui laissait une partie de son dos et son ventre à nu. Je voyais son dos, pas son ventre. Une paire de bottines, avec des talons fins et hauts la cambrait.
Prise, encore, dans la contemplation de la ville.
Je ne sais pas ce qui m'a pris. Ce qui m'a donné, moi qui suis plutôt timide, l'envie d'aller vers elle, de lui parler. Ça tenait sans doute au fait qu'il y avait en elle pas mal de choses qui me charmaient. S'il n'y avait eu qu'une rencontre, je n'aurais rien fait, mais là, à passer une seconde fois près d'elle, je me suis dit que je ne POUVAIS PAS renoncer à mon envie d'aller vers elle. C'était la seconde fois que je la croisais, et une deuxième chance qui m'était donnée. Il n'y en aurait peut-être pas de troisième. Maintenant ou jamais.
— Ca vous plaît de contempler la ville ?
Elle s'est retournée. J'ai remarqué la couleur de ses yeux, bleus, le dessin de son visage, ovale, le rose de ses lèvres plutôt charnues. A-t-elle reconnu celui qui lui avait tendu le chouchou quelques temps plus tôt? Elle m'a en tout cas répondu. Avec le sourire.
— Oui, j'adore me poster là. J'ai testé plusieurs points de vue, et c'est celui que je préfère, et de loin. J'enregistre tout, et après je m'en sers pour faire des cartes...Je fais des cartes, pour les anniversaires, les fêtes...Je travaille le matin et l'après-midi, je tourne à la recherche de lieux qui m'inspirent.
J'en savais un peu plus.
Elle avait énormément de charme, et je lui en trouvais de plus en plus, alors qu'on était tout près l'un de l'autre... Je m'attardais sur des détails...La manière dont ses cuisses se dessinaient,..Ou son sexe, parce que le caleçon était très collant, et il soulignait bien le renflement de son sexe, et la fente qui l'ouvrait en deux au milieu. Son crop top, lui, était tendu par sa poitrine, qui me semblait non seulement volumineuse, mais aussi bien dressée, et libre sous le tissu, en tout cas elle bougeait avec elle, et ses tétons pointaient et tendaient le tissu.
On a discuté de tout et de rien. J'ai fini par lui demander:
— Et alors vous êtes là tous les après-midi?
— J'aime bien me poser là.
On en restés là pour ce jour-là. Une chose était sûre...Cette fois, je n'allais pas penser à elle que quelques minutes puis l'oublier.
C'est comme ça qu'on s'est retrouvés dans une relation étrange. Elle n'avait pas d'heure fixe, mais il y avait un moment où elle venait se fixer sur le pont pour un moment de contemplation. Et moi je la rejoignais. Soit que je sois chez moi et que je l'aperçoive (je ne la guettais pas cependant, je ne voulais pas tomber dans l'obsession...)soit que je parte voir si elle était là les deux jours où je travaillais et généralement, elle y était.
On parlait de nous, de nos vies. Rien que de très banal, mais je sentais bien que j'étais de plus en plus attiré par elle. Elle avait un charme fou, et qui ne tenait pas seulement à son physique, mais aussi à beaucoup d'intelligence et une présence indéniable.
A vrai dire, je n'attendais pas grand chose, en dehors de ce moment.
Et puis un jour ça a basculé. Et quand on y réfléchit bien, ce n'était pas si étonnant que ça. Ça faisait quasiment deux mois qu'on se voyait, Alors bien sûr c'était un peu particulier, mais quelque chose s'était créé...Pour moi? Bien sûr...Pour elle? Je l'ai découvert quand elle m'a dit:
— Viens, on va chez moi.
Elle m'a attrapé par le poignet, et elle m'a entraînée chez elle. Elle n'habitait pas très loin, il fallait remonter, en haut du pont, partir sur la gauche, et s'arrêter devant la dernière d'une ligne de maisons qui fermait la ruelle. Le portillon était entrouvert, ça lui a permis de m'attirer à l'intérieur encore plus vite. Elle a ouvert la porte d'entrée, l'a refermée, on s'est trouvé dans un hall qui donnait sur plusieurs pièces. Mais on n'avait pas besoin d'aller plus loin. Elle était aussi grande que moi, et donc ça n'a pas été difficile pour elle de se plaquer contre moi, et de venir chercher ma bouche. Le poids de son corps contre moi...Je n'avais jamais espéré pouvoir le sentir, contre moi, chaud et épais, avec la masse de ses rondeurs, pas plus que je n'avais espéré que ses lèvres rejoignent les miennes, et que sa langue vienne chercher la mienne.
On s'est embrassés un moment, mes mains venant explorer maladroitement tout ce que je pouvais, elle en faisait de même, jusqu'à ce qu'on bascule sur du plus sérieux. Elle a reculé, pour défaire mon pantalon. La bosse qui tendait le tissu disait clairement mon envie d'elle, envie exacerbée, bien sûr, à force de de la sentir contre moi. Elle m'a défait. Le tissu de mon caleçon, dessous, disait tout aussi clairement que ma queue était en pleine érection. Elle m'a mis à nu, a fait remarquer:
— Hmmm, tu as une belle queue...Ça fait trop longtemps que je suis sans queue à ma disposition.
Une phrase en forme d'aveu.
Elle portait une robe noire, très simple, fluide mais qui soulignait bien ses charmes, ce jour-là. Reculant, elle l'a soulevée, se dévoilant. A ma grande surprise, elle était cul nu, m'offrant son intimité, mais par contre le nylon qui gainait ses cuisses était celui de bas stay-up. Les avait-elle mis parce qu'elle aimait les bas, ou parce qu'elle espérait, à un moment ou à un autre, me séduire? La même question pouvait se poser pour la culotte ou plutôt son absence. Je n'aurais jamais sans doute de réponse.
Elle a remonté la robe jusqu'à ses épaules, puis au-delà, se révélant quasi totalement nue, à l'exception d'un joli soutien-gorge de dentelle rose. Elle était vraiment magnifique. Ventre plat mais hanches marquées, une toison châtain sur le pubis, et des lèvres qui sortaient de la fente de son sexe. Ses jambes étaient vraiment bien dessinées. Elle a tourné sur elle-même pour me présenter son cul, plein, haut perché et rebondi. Tout ça je l'avais déjà vu, entrevu ou deviné quand elle était habillée. J'ai trouvé excitant qu'elle garde son soutien-gorge, mais soit nue par ailleurs.
— Viens, j'ai envie qu'on se masturbe mutuellement pour commencer.
On rentrait dans le dur, c'était le cas de le dire. Elle est venue encercler ma queue, et elle l'a masturbée doucement. La chaleur et la douceur d'une main...Moi je suis parti explorer l'entrée de son sexe. Sensation d'ouverture, d'humidité aussi, d'un dépliage et d'un déploiement de ses lèvres, Elle s'est mise à couler de plus en plus, ses liquides intimes poissant ma main et coulant le long de mon avant-bras.
En même temps, on cherchait la bouche de l'autre. Un complément pour un moment de félicité, que je n'aurais pas imaginé quelques temps plus tôt, lorsque nous discutions sur le pont.
Elle s'est détachée de moi pour partir farfouiller dans un tiroir, dont elle a tiré une boite de préservatifs. La suite a été très rapide. Elle a fait glisser un rond de latex le long de ma queue et elle s'est retournée, prenant appui sur une commode, se pliant en deux pour s'offrir, en me disant:
— Viens, j'ai envie que tu me fouilles avec ta queue.
Il y a des propositions auxquelles on ne résiste pas. Tout me poussait irrésistiblement vers elle, aussi bien ces moments passés ensemble, que ce moment-là, présent, où elle s'offrait, tendant son intimité vers moi, sa croupe dont le rebondi était bien en évidence devant moi, ouverte sur son sillon dans toute sa profondeur, mais aussi son sexe dont le gonflement était un appel. Un appel auquel j'aurais été bien incapable de résister. A ce moment précis, rien n'aurait pu m'empêcher de venir en elle. C'était ce qu'elle voulait, son regard le disait tellement fort. Je me suis approché, calé par rapport à elle. Il y avait toujours une magie, je trouvais, dans le fait qu'on puisse accoupler, tellement nos corps, malgré ce que l'on aurait pu penser, n'étaient pas calibrés pour ça. Mais je suis arrivé à approcher ma queue gorgée de sang de sa fente entrouverte et, après avoir appuyé sur ses lèvres en la faisant gémir, je suis lentement rentré en elle, en la faisant gémir encore plus. J'ai été aussi loin que je pouvais, jusqu'à ce que mon gland vienne cogner contre son utérus. On était très loin, et j'étais certain qu'elle pensait la même chose, de nos discussions sur le pont. A quel moment avait elle pensé, avait-elle eu envie, qu'on en arrive là?
J'ai bougé en elle, qui s'abandonnait totalement, caressée par ma queue qui frottait contre les parois de son intimité. Mais moi, j'étais caressé, par les parois de son sexe, et c'était aussi très bon...Cette gaine chaude, qui m'enveloppait, me frottait dès que je bougeais...J'aurais voulu y passer ma vie entière...
Elle s'est pourtant dégagée, au bout d'un moment, expulsant ma queue de sa vulve. A force d'être en elle, caressé par elle, et de la fouiller, ma queue avait gagné en longueur et en épaisseur. J'étais...Oui, je peux le dire, j'étais énorme.
Elle s'est accroupie, et elle est venue lécher ma queue, apparemment ravie non seulement de balader sa langue dessus, mais aussi troublée de le faire le long et à travers du latex. L'extérieur dégoulinait de ses sécrétions intimes, l'intérieur de mes suintements...
Elle m'a attrapé par la main, et elle m'a entraîné vers un living décoré dans des teintes rouges. Elle m'a fait tomber sur le divan, m’entraînant dessus, venant rechercher ma queue, m'offrant le reste de son corps. Je me suis accroché à ses fesses, et je suis venu à la rencontre de son sexe, pendant qu'elle dévorait ma queue. Je l'ai caressée et fouillée de la langue, ses jus intimes, au goût amer et intense ont rempli ma bouche. C'était bien comme ça, fort, mais on est revenus sur une pénétration plus classique, elle m'a guidé pour me redresser, et elle est venue s'asseoir sur moi, se faisant glisser le long de ma queue, jusqu'à ce que ses lèvres soient contre mon pubis. Elle s'est faite bouger sur moi, follement heureuse de se caresser avec ma queue, comme je l'étais qu'elle me frotte ainsi.
Nous sommes dissous dans ce moment de complicité, dans ce plaisir intense, qui a duré tard. L'après-midi se terminait, et on n'avait pas vu le temps passer. Elle m'a proposé de rester pour dîner avec elle, et pour la nuit.
Depuis on va regarder la ville ensemble sur le pont.

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