Alex est une très jolie jeune femme, très nature, et qui passe son temps quasiment à poil, troublant son voisin qui la trouve désirable. Ce jour-là, elle a besoin d'aide pour fixer des moustiquaires, et elle vient le chercher. A la fin des travaux, tout bascule.
Proposée le 29/10/2025 par jerome james b
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Thème: Couple, passion
Personnages: FH
Lieu: A la maison, intime
Type: Fantasme
LA MOUSTIQUAIRE
Ça faisait un moment que je matais ma voisine. Mais je ne faisais pas que la mater. Elle était chaleureuse et conviviale, et puis elle vivait seule avec sa gamine, alors comme elle avait vu que j'étais plutôt accueillant, elle n'hésitait pas à venir me chercher quand elle avait besoin d'aide. J'étais moi célibataire, et bon bricoleur, c'était pas le biais de réparations qu'on avait sympathisé.
On avait à peu près le même âge, la trentaine, et elle était vraiment attirante. Brune, très grande, avec un immense sourire et des formes bien pleines, contrairement à pas mal de filles qui, grandes, n'en avaient pas. Trop longilignes pour moi.
Son corps, en tout cas je le connaissais bien. Elle avait une tendance naturelle à se balader à poil chez elle et autour de chez elle, ou bien avec juste un accessoire, un soutien-gorge, une culotte, rarement les deux ensemble, un crop top sans bas, un short sans haut. Il n'y avait d'ailleurs aucune provocation de sa part, c'était juste qu'elle était, on va dire, naturelle. De la sorte, je savais tout de ses longues jambes, bien galbées, d'un cul charnu mais qui bénéficiait d'un rebondi comme on en voyait rarement, d'un ventre plat, mais de hanches quand même bien marquées. Ce qui me fascinait le plus, je dois bien l'avouer, c'était sa poitrine. Elle avait une poitrine bien charnue, bien pleine, mais qui se redressait d'une manière impressionnante, elle commençait à descendre, puis elle remontait vers le haut, dardant vers vous, elle n'était pas simplement droite, mais dressée, les bouts des seins arrivant en partie vers vous, en partie vers le ciel, avec de larges aréoles bien roses, et des tétons qui ne semblaient jamais au repos, toujours semi-dressés...
Quand je regardais sa poitrine, je me voyais faire mille choses avec. Et pas forcément une cravate de notaire, même si j'y pensais, bien sûr.
Ce qui me troublait aussi, évidemment, c'était quand Alex ramenait des copains et des copines, puisqu'elle me semblait totalement bisexuelle, ou alors je me trompais radicalement.
Ce n'étaient jamais les mêmes personnes, et je comprenais bien qu'elle avait envie de plaisir et de variété, mais pas forcément de fidélité et de stabilité.
Un choix que je respectais.
Je capturais bien sûr des moments de ces brèves rencontres...Et elles me troublaient bien sur. D'autant plus faciles à capturer qu'elle n'avait pas de rideaux, mais aussi que les rapprochements pouvaient avoir lieu à l'extérieur...Je me souvenais d'une fellation sur son devant de maison qui donnait dans le jardin, elle était assise sur un fauteuil blanc, en plastique, il y avait un type avec elle, pas très grand, blond. Elle était posée sur ledit fauteuil, lui en face sur un autre fauteuil. Ils avaient chacun posé près de soi, sur une table légèrement en recul des verres remplis de je ne sais quel liquide, des cigarettes, de quoi manger. Le gars s'était levé, était venu se poser devant elle. Elle avait baissé le short du gars dévoilant une belle queue, prise dans une bonne érection.
J'avais assisté à toute la scène. Du début à la fin. J'ai envie de dire du début à la toute dernière goutte. C'est agréable de tout voir, et là, j'avais quasiment tout vu.
Tout comme je me branlais en convoquant des images d'elle nue, je me branlais aussi en repensant à cette scène...Mais aussi à d'autres...
J'avais bien aimé, c'était la première fois que je la voyais dans un acte sexuel, la manière qu'elle avait eue de venir sur sa queue. Rapide, efficace, habile, Mais surtout avec un plaisir évident dans l'acte.
Il y avait quelque chose d'extatique dans son expression pendant qu'elle baladait sa langue sur la queue déjà en pleine érection, mais qu'elle avait encore fait grossir, d'abord en la léchant bien, sa langue bien dardée sur la chair roide, puis en prenant sa queue dans sa bouche et en faisant aller et venir celle-ci dessus. Avant d'alterner coups de langue et va-et-vient dans sa bouche. Quand elle avait lâché sa queue, il était bien plus long, bien plus épais, et dégoulinant de salive.
J'avais été aussi marqué par les secondes qui avaient suivi, sans doute parce que j'aurais aimé être à sa place, plus que dans l'acte précédent. Comme lui, elle avait un short,et pour une fois un crop top qui tendait ses seins. Elle s'était redressée, et accroupie, à rebours sur le fauteuil de jardin, avant de descendre son short. Révélant sa croupe très charnue, que sa position ouvrait bien, et ensuite ses cuisses, une vulve toute gonflée, luisante, dont pendaient des filets de mouille. Le gars avait récupéré quelque chose sur la table, j'avais compris que c'était une capote, il s'en était gainé, et il l'avait pénétrée. Elle s'était cambrée, magnifique à ce moment...Comme à bien d'autres...Et il s'était mis à bouger en elle. Ça avait duré un long moment, il faisait des pauses, allait lentement, plus vite. Difficile d'être indifférent au spectacle offert. J'avais bien remarqué qu'elle avait amené sa main entre ses cuisses, pour frotter son sexe et son gland clitoridien, et sa jouissance ne m'avait pas échappé non plus, qui l'avait tendue et faite gémir après avoir crié.
Elle avait retiré le sexe masculin de sa vulve. Ça avait libéré des jaillissements de liquides qui avaient coulé le long de ses cuisses et sur la chaise, un véritable Niagara, avant qu'elle ne se retourne, et vienne arracher le préservatif. Elle avait masturbé son compagnon, deux à trois aller et retour de la main et il avait craché des jets de semence qui avaient arrosé son visage. Le gars avait l'éjaculation copieuse et ça lui avait fait un masque blanc et crémeux.
Il y avait eu d'autres fois, aussi. Tout aussi excitantes. J'avais tout dans ma tête. Je me repassais souvent ces moments.
Une autre fois, c'était aussi dehors, elle était avec deux gars. Et ça avait été radicalement différent, mais pas moins excitant. Ils étaient calés plus loin dans le jardin, sur un banc, situé sur le côté, et pile face à moi. J'avais donc tout vu.
Elle avait déplié une grande feuille de papier journal, qui contenait de l'herbe, et ils s'étaient roulé des joints. De bons gros joints bien chargés.
Ils ont commencé à fumer, vite en plein trip. Il y avait suffisamment de matière sur la table pour les faire planer longtemps. Je n'entendais pas tout, j'étais trop loin, et je ne sais pas comment ça s'est passé...Si c'est eux qui ont quémandé quelque chose, ou elle qui l'a proposé. Toujours est-il qu'elle a été chercher leurs queues dans leurs pantalons. On dit que la drogue inhibe tout ce qui est sexuel. Ce n'était pas vrai pour eux, ils avaient deux queues énormes, gorgées de sang, j'étais même convaincu qu'elle n'avait jamais été aussi charnue et longue qu'à ce moment.
Et elle a entrepris de les masturber.
Je ne connaissais pas un homme, moi le premier, qui n'aimait pas se faire masturber. On était beaucoup à avoir commencé comme ça. Une fille qui acceptait de vous masturber, parfois prodiguant les mêmes caresses à plusieurs garçons, parfois même simultanément. L'envie de sexualité apparaît très tôt. Et c'était un plaisir à part entière, un vrai plaisir, contrairement à ce que certains pouvaient prétendre, qui y voyaient un ersatz.
Et encore une fois, j'aurais donné cher pour être l'un de ces hommes qu'elle masturbait avec le sourire, et une envie évidente de leur donner du plaisir. Et on voyait bien les résultats, oui, évidents, leurs queues gonflaient. S'allongeaient, s'épaississaient. C'était très excitant à voir, même si, bien sûr, j'aurais aimé être à leur place. Les gars se tordaient de plaisir. Alex était habile, elle faisait durer, faisant des pauses quand elle sentait qu'ils allaient jouir. Jusqu'au moment où, leurs queues dilatées à l'extrême, ils se sont tordus, figés, leur queue crachant des jets de sperme copieux qui ont maculé Alexandra de semence. J'avais imaginé, au tout début qu'elle s'empalerait sur l'une des queues, ou sur l'autre, mais elle ne le sentait pas ce jour-là, elle avait peut-être ses règles...
Ce matin-là, elle essayait d'installer les moustiquaires, et je voyais bien qu'elle n'y arrivait pas.
Alors elle a traversé sa pelouse et elle est venue chez moi. On n'avait pas vraiment de délimitation, juste une haie très basse, faite d'arbustes, entre laquelle on pouvait passer.
Elle est venue me chercher, comme souvent quand elle n'avait personne sous la main. Mais c'était sans doute la première fois qu'elle était aussi dénudée, même si j'avais déjà vu du dénudé, mais involontaire.Style j'ai une robe, je me penche en avant pour ramasser quelque chose et je me dévoile, parce que je n'ai pas de culotte en dessous. Ou je m'accroupis en jupe pour ramasser quelque chose, j'ai les cuisses écartées et pas de slip en dessous. Il était vrai qu'Alex ne devait consacrer qu'une partie infime de son budget à l'achat de culottes. Mais dans sa manière d'être naturelle, sans pudeur, sans tabou, je dirai même sans codes sociaux, sa nudité ne signifiait pas forcément grand chose, pas même une manière de s'offrir. Simplement, elle n'avait pas eu, et elle n'avait pas l'idée de parer sa nudité.
J'étais dans ma véranda, je jetais un coup d' oeil à mes plantes. Elle est apparue, toute souriante, elle souriait toujours, et elle m'a dit:
— J'ai besoin de toi.
Je l'ai regardée. Je me suis dit que non, ce n'était pas possible qu'elle soit devant moi avec les seins nus. Ben il fallait croire que si. Comme quand on regarde dans le désert, et qu'on a parfois des hallucinations, je les ai vus frémir, mais ce n'était sans doute pas le cas. Je me suis dit que j'allais vraiment mal.
— Je veux monter des moustiquaires. Pour mes fenêtres du bas. C'est en kit. Je n'y comprends rien. Tu pourrais me donner un coup de main?
— Pas de problème. Tu as un mètre et des ciseaux?
— J'ai tout ce qu'il faut.
— Alors j'arrive.
A la maison, elle était souvent en short. Été comme hiver. Je l'ai suivie. Elle avait pris de l'avance et ses fesses dansaient sous le tissu du short.
Il s'agissait de moustiquaires nouvelle génération. Il fallait d'abord prendre les mesures de la fenêtre. Et ensuite ajuster les baguettes tirées du kit, puis y insérer la toile fournie avec, après l'avoir taillée.
Elle m'a regardé faire. S'il y avait une prochaine fois, ce serait elle qui le ferait. Elle enregistrait très vite, je l'avais déjà remarqué.
Au bout d'une heure et demi, j'avais fini. Tout était équipé.
J'allais retraverser et rentrer chez moi, quand elle m'a dit:
— Tu as fait beaucoup de choses pour moi, et je ne t'ai jamais vraiment remercié.
— Je n'attends pas forcément de remerciement.
— Et si je te disais que tu peux me faire ce que tu veux?
— Alors..., j'ai répondu.
Et j'ai fait ce que j'avais le plus envie de faire depuis que je l'avais vue seins nus, ça faisait maintenant quasiment une heure et demi. J'avais ses seins juste sous mon nez, on était face à face, et je n'ai pas pu résister à cette envie qui me taraudait depuis une heure et demi. Je me suis penché sur son sein gauche, et j'ai délicatement englobé un de ses tétons. Je n'aurais pas su dire s'il était sans son état de base, je pensais plutôt qu'il était un rien érigé par la fraîcheur de la journée, même si le soleil brillait. La seule certitude que j'ai eu, ça a été que son téton a durci au contact de ma langue qui le frottait, et qu'elle a gémi de plaisir. Comme pour le confirmer, elle m'a dit:
— J'adore me faire bouffer les seins, ça me donne énormément de plaisir.
J'ai prolongé la caresse buccale. Il me semblait que son téton allait éternellement grossir. Elle n'est pas restée inactive, elle était toujours dans le partage, pour le sexe aussi, elle a tendu la main vers mon pantalon, je portais un pantalon de survêtement, elle est venue chercher ma queue, qui n'avait pas vraiment débandé depuis que je l'avais aperçue tôt ce matin, et comme c'était souvent le cas. Elle m'a masturbé doucement, et comme j'avais la bouche occupée, mais les mains libres, elle a attrapé ma main gauche pour la fourrer dans son short. Elle l'a juste posée sur son pubis et elle m'a laissé faire le reste. En l' occurence, descendre jusqu'à la fente de son sexe, bien ouverte. Ses liquides intimes coulaient abondamment, ils trempaient ses aines et ses cuisses, et j'ai compris qu'il y avait une sorte de connexion entre ses seins, ce que je leur faisais, et ces jaillissements de mouille. Certaines femmes ne ressentaient pas grand chose si on leur caressait les seins, d'autres plus, certaines enfin autant sinon plus de plaisir quand on jouait avec. D'évidence, pour Alexandra, c'était l'intensité sinon maximum, en tout cas ça s'en rapprochait. Je me suis mis à caresser l'entrée de son sexe, sentant contre la pulpe de mes doigts et la paume de ma main le relief de ses lèvres qui gonflaient et celui de son gland clitoridien qui s'était érigé.
Je suis resté assez longtemps sur ses seins, ça me plaisait énormément et à elle aussi apparemment. Mais au bout d'un moment elle m'a soufflé:
— Viens à la maison, j'ai envie de plus.
Quand j'ai lâché ses seins, leur extrémité était bien sûr couverte de salive, mais en plus, ses tétons avaient doublé de volume, et quasiment autant de longueur. J'avais pour ainsi dire poussé à bout leurs capacités érectiles. Ils étaient quasiment difformes.
On est partis vers la maison, nos mains en contact avec le sexe de l'autre. L'entrée, le living avec un grand divan qui allait bien faire l'affaire. Elle m'a lâché, moi aussi, a attrapé sur une table basse très encombrée une boite de préservatifs, a descendu son short, son cul tendu vers moi, ses fesses bien pleines ouvertes sur sa muqueuse anale, sa vulve toute boursouflée bien visible en haut de ses cuisses, avant de s'asseoir sur le canapé et de me faire un sourire qui disait: 'Viens! Je vais m'occuper de toi!'
Elle a ouvert l'emballage du préservatif, l'a jeté au sol pour récupérer la rondelle de latex trempée de lubrifiant, elle l'a posé sur mon gland en souriant, on voyait qu'elle était heureuse de ce qui se passait entre nous, regrettait-elle que ça n'ait pas eu lieu plus tôt? J'avais pensé que ce n'était pas possible, à tort sans doute...Je ne la voyais pas venant vers moi, même si on s'entendait bien.
Une fois ma queue gainée par la capote jusqu'à la racine, elle m'a fait habilement basculer sur le canapé. Je me suis retrouvé en dessous, et elle au-dessus. Elle est venue se caler au-dessus de moi, s'ajuster pour que sa vulve soit pile au-dessus de ma queue. Il lui a suffi de descendre, de pousser sur ma queue du bout des doigts pour qu'elle soit bien dirigée vers le centre de sa vulve. Je suis rentré en elle, envahi par les sensations fortes que m'ont donné l'enveloppement de cette vulve chaude et douce, d'une douceur exquise. J'ai glissé en elle, la remplissant. Elle s'est mise à gémir, pendant que je bougeais en elle, avant qu'elle ne m'impose son rythme à elle, plus rapide que le mien. On a alterné, dans un moment de plaisir pur, ses jus intimes coulant autour de moi, et trempant ma queue et mes chairs en dessous.
Elle m'a entraîné dans des positions différentes, avec des sensations différentes.
Un moment d'autant meilleur que je l'avais rêvé sans jamais osé l'espérer.
On a su le faire durer longtemps, en maîtrisant nos jouissances.
Elle m'a finalement dit:
— On a commencé avec mes seins, j'ai envie qu'on finisse avec. Ça te dit?
C'était effectivement une belle manière de finir. Boucler la boucle. Et puis ses seins, je les trouvais magnifiques...J'étais allongé, la queue roide et suintante, et elle a amené ses deux superbes seins dessus. Elle a attrapé ma queue, et elle l'a frottée contre sa chair. Une chair à la fois ferme et souple, chaude, sensation unique. J'ai été jusqu'au bout de ma dilatation. Je suintais comme je n'avais jamais suinté.
Depuis que je les avais érigés de la bouche, ses tétons n'avaient pas débandé. Longs et durs.
Ce qu'elle a fait, je n'aurais pas imaginé qu'on puisse le faire.
Elle a pris son sein en coupe, et elle est venue frotter mon gland de son téton.
Aucune fille ne m'avait fait ça avant.
Une caresse soyeuse et subtile. Sur la sensibilité de mon gland, avant qu'elle ne vienne pousser dans mon méat. Je ne pensais pas que ça allait rentrer. Ça a pourtant bien été le cas. Elle s'est glissée en moi, m'a pénétré et fouillé, quelque chose à quoi je ne m'attendais pas, La jouissance est venue très vite. Elle l'a senti, a retiré son téton. J'ai joui, d'un orgasme très fort, en criant, crachant des jets de spermes copieux qui l'ont arrosée. Mais elle avait l'habitude.
A la fin de ma jouissance, je me suis rendu compte qu'elle, elle n'avait pas joui. Sale égoïste que j'étais, trop centré sur moi. J'ai plongé entre ses cuisses, pour masturber ce gland clitoridien que l'excitation avait fait énorme. Je n'en avais jamais vu un pareil, et en le branlant, j'ai eu l'impression de branler une queue. Une mini-queue en fait.
Mon orgasme n'a sans doute rien été comparé au sien...Elle s'est tordu, a hurlé, et éjaculé des jets aussi blancs que du sperme, aussi épais et copieux que les miens.
On est restés immobiles, collés l'un à l'autre.
— C'était bien, elle a dit finalement. Vraiment bien. Je ne pensais pas que ça puisse être aussi bien.
— Pour moi aussi, c'est vrai.
Avec la promesse de futurs moments aussi bons?
L'avenir le dirait.
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